Liste numérique des images | ||
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Image | No image | Titre |
2010.001 | arrache-souche | |
2010.007.1-2 | turbine | |
C001/A1,07.01 | Photo d'une portion de la maison Rosepierre cachée derrière la verdure. Photo prise lors d'une visite guidée, offerte aux employés et bénévoles du CAL et de la SHGIJ. Le tour était animé par François Pilon le 6 juin 2024. Décor estival. 2024. Photographe : Ophélie Debien-Lupien. Fichier numérique JPEG : photographie coul; 1536 x 2048p; 72ppp; 1,85 Mo. | |
C001/A1,07.02 | Photo d'une portion de la maison Rosepierre cachée derrière la verdure. Photo prise lors d'une visite guidée, offerte aux employés et bénévoles du CAL et de la SHGIJ. Le tour était animé par François Pilon le 6 juin 2024. Décor estival. 2024. Photographe : Ophélie Debien-Lupien. Fichier numérique JPEG : photographie coul; 1536 x 2048p; 72ppp; 1,50 Mo. | |
C001/A1,07.03 | Photo d'une portion de la maison Rosepierre cachée derrière la verdure ainsi que de la clôture d'entrée. Photo prise lors d'une visite guidée, offerte aux employés et bénévoles du CAL et de la SHGIJ. Le tour était animé par François Pilon le 6 juin 2024. Décor estival. 2024. Photographe : Pierre Lacroix. Fichier numérique JPEG : photographie coul; 2848 x 4288p; 300pp; 6,30 Mo. | |
C001/A1,07.04 | Photo d'une portion de la maison Rosepierre cachée derrière la verdure. Photo prise lors d'une visite guidée, offerte aux employés et bénévoles du CAL et de la SHGIJ. Le tour était animé par François Pilon le 6 juin 2024. Décor estival. 2024. Photographe : Pierre Lacroix. Fichier numérique JPEG : photographie coul; 4288x 2848p; 300pp; 6,36 Mo. | |
C001/A2,04.01 | Maison autrefois située au 4518, boulevard Lévesque Est, Saint-Vincent-de-Paul. Vue du côté droit d'une maison traditionnelle québécoise en moellons, de plan rectangulaire d'un étage et demi portant un toit à deux versants droits en tôle à la canadienne et percé de deux lucarnes à pignon. Le côté droit est percé d'une fenêtre à chaque étage. Une cheminée est placée à l'extrémité du bâtiment. Sur la droite, le toit se prolonge pour abriter une galerie en façade. La demeure appartenait à monsieur Jean Chartrand et fut détruite en 1966. Avant 1967. Tirage photographique: n&b. | |
C001/A2,04.02 | Maison autrefois située au 4518, boulevard Lévesque Est, Saint-Vincent-de-Paul. Vue d'ensemble de la façade arrière et du côté droit d'une maison traditionnelle québécoise d'un étage et demie en moellons sommairement recouvert d'un crépi. De plan rectangulaire, la maison porte un toit à deux versants retroussés en tôle à la canadienne, percé de ce côté, face à la route, de deux lucarnes à pignon. Une cheminée s'élève à chaque extrémité. Sur la gauche, le toit se prolonge en appentis au-dessus d'une galerie. Le mur du rez-de-chaussée est percée de deux fenêtres. Cette maison, à l'abandon, fut détruite en 1966. Elle appartenait à Jean Chartrand. Décor estival. Avant 1967. Tirage photographique: n&b. | |
C001/A2,04.03 | Maison autrefois située au 4518, boulevard Lévesque Est, Saint-Vincent-de-Paul. Vue du côté droit d'une maison traditionnelle québécoise d'un étage et demie en moellons sommairement recouvert d'un crépi. De plan rectangulaire, la maison porte un toit à deux versants retroussés en tôle à la canadienne, percé de ce côté, face à la route, de deux lucarnes à pignon. Une cheminée s'élève à chaque extrémité. Sur la gauche, le toit se prolonge en appentis au-dessus d'une galerie. Le mur du rez-de-chaussée est percée de deux fenêtres. Cette maison, à l'abandon, fut détruite en 1966. Elle appartenait à Jean Chartrand. Décor estival. Avant 1967. Tirage photographique: n&b. | |
C001/A2,04.04 | Maison située au 4592 boulevard Lévesque Est, Saint-Vincent-de-Paul. Vue de l'arrière et d'une partie du côté gauche d'une maison traditionnelle québécoise, probablement érigée au milieu du 19e siècle par Joseph Chartrand, menuisier et entrepreneur de Saint-Vincent-de-Paul, il a bâti la sacristie de l'église actuelle, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. C'est dans cette maison que naquit Joseph-Damase Chartrand, dit Chartrand des Écores (1852-1905), fils de Joseph, personnage coloré, à la fois militaire, écrivain, comptable et éditeur. Cette habitation est connue comme la maison des Chartrand. Décor estival. Tirage photographique, n&b. Il s'agit d'une maison ancestrale de plan rectangulaire d'un étage et demi portant un toit à deux versants retroussés en bardeaux d'asphalte. La maçonnerie en moellons a fait l'objet de réparations et est recouvert d'un crépi sommaire par endroits. La façade arrière ne comporte qu'une seule fenêtre alors que sur le côté gauche on devine une porte bouchée et une petite fenêtre sous les combles. Une cheminée construite à même le mur, s'élève au-dessus du faîte.La maison est sise directement le long de la route et fait dos à celle-ci. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Saint-Vincent-de-Paul LEVE_4592). | |
C001/A2,04.05 | Maison située au 4592, boulevard Lévesque Est, Saint-Vincent-de-Paul. Vue du côté gauche d'une maison traditionnelle québécoise, probablement érigée au milieu du 19e siècle par Joseph Chartrand, menuisier et entrepreneur de Saint-Vincent-de-Paul, il a bâti la sacristie de l'église actuelle, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. C'est dans cette maison que naquit Joseph-Damase Chartrand, dit Chartrand des Écores (1852-1905), fils de Joseph, personnage coloré, à la fois militaire, écrivain, comptable et éditeur. Cette habitation est connue comme la maison des Chartrand. Décor estival. Tirage photographique, n&b. Il s'agit d'une maison ancestrale de plan rectangulaire d'un étage et demi portant un toit à deux versants retroussés en bardeaux d'asphalte. La maçonnerie en moellons a fait l'objet de réparations et est recouvert d'un crépi sommaire par endroits. La façade arrière ne comporte qu'une seule fenêtre alors que sur le côté gauche on devine une porte bouchée et une petite fenêtre sous les combles. Une cheminée construite à même le mur, s'élève au-dessus du faîte.La maison est sise directement le long de la route et fait dos à celle-ci. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Saint-Vincent-de-Paul LEVE_4592). | |
C001/A2,04.06 | Maison située au 4706, boulevard Lévesque Est, Saint-Vincent-de-Paul. Vue d'ensembe d'une maison traditionnelle québécoise d'un étage et demi en moellons de pierre et au toit à deux versants retroussés aurait été érigée en 1863 par le maçon Joseph Mayé. Dans les années 1970, elle appartenait à madame V. Dion Griska. et on estime alors la date de construction à 1832. On peut cependant assurer avec certitude qu'elle fut construite avant 1871. Décor hivernal. Date inconnue. Tirage photographique: n&b. Informations tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Saint-Vincent-de-Paul LEVE_4706). | |
C001/A2,04.07 | Maisons situées aux 5188 et 5190, et au 5192 et 5194, boulevard Lévesque Est, Saint-Vincent-de-Paul. Vue en enfilade de deux bâtiments résidentiels sis sur le boulevard Lévesque Est. Le bâtiment de gauche (5192-5194), est une maison à mansarde à deux versants, construite vers 1900, dans un style très en vogue en milieu rural au Québec entre 1875 et 1920. De forme rectangulaire, cette maison possède un étage et demi, au parement de planche à clins. La façade de ces deux logements contigus comprend deux portes et deux fenêtres au rez-de-chaussée, et trois lucarnes à pignon à l'étage supérieur. Le bâtiment de droite (5188-5190), de plan rectangulaire, possède deux étages, un parement en planches à clin, et un toit à deux versants droits. Chaque étage présente une porte et deux fenêtres. Ces appartements appartenaient à monsieur Fortin. Décor hivernal. Tirage photographique, coul. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Saint-Vincent-de-Paul LEVE_5192). | |
C001/A2,04.08 | Maison située au 5164, boulevard Lévesque Est, Saint-Vincent-de-Paul. Vue de la façade et du côté droit d'une maison de type Boomtown, construite vers 1900, un style est en vogue au Québec de 1880 à 1930. On voit ici la variante avec toit en pente, fausse mansarde et lucarnes pendantes. Cette demeure appartenait à un monsieur Gagnon. Décor hivernal. Tirage photographique, coul. Il s'agit d'une maison de plan carré, de deux étages en planches à clins et au toit plat et fausse mansarde. En façade, le rez-de-chaussée est percée d'une porte et d'une fenêtre, l'étage, de deux fenêtres. Le côté droit, aveugle, montre une cheminée en tuyaux et une annexe à l'arrière. Une galerie, protégée par un toit en appentis, court le long de la façade et sur le côté gauche. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Saint-Vincent-de-Paul LEVE_5164). | |
C001/A2,04.09 | Maison située au 5132, boulevard Lévesque Est, Saint-Vincent-de-Paul. Vue de la façade et du côté gauche d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1864 ou 1877, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Le premier propriétaire aurait été François Bricot. La maison fut plus tard reprise par monsieur Joseph Hamelin, en 1874 (?). Décor estival. Tirage photographique, coul. Il s'agit d'une maison de plan rectangulaire d''un étage et demi en planche à clins portant un toit à deux versants retroussés en tôle pincée et percé de deux lucarnes à pignon. Une cheminée s'élève à chacune de ses extrémités. Au rez-de-chaussée, la façade est percée d'une porte flanquée de deux fenêtres et pourvue d'une galerie abritée par l'avant-toit Le côté gauche de la maison est percé d'une fenêtre par niveau. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Saint-Vincent-de-Paul LEVE_5132). | |
C001/A2,04.10 | Maison située au 5169, 5161, 5163, 5165, 5167 et 5169 boulevard Lévesque Est, Saint-Vincent-de-Paul. Vue de la façade d'un bâtiment résidentiel de 2 étages comportant six adresses civiques construit en 1921. De plan rectangulaire, le bâtiment présente une façade recouverte de crépi et un toit plat muni d'un parapet central. Chaque étage comporte trois porte et trois fenêtres. L'accès au rez-de-chaussé, légèrement surélevé, se fait par deux escaliers alors que l'étage est accessible par un escalier situé sur la gauche du bâtiment. Chaque étage est munie d'une galerie, celle de l'étage supérieur étant abritée par un toit en appentis recouvert de bardeaux d'asphalte. Décor estival. Tirage photographique, coul. | |
C001/A2,04.11 | Maison située au 5143, boulevard Lévesque Est, Saint-Vincent-de-Paul. Vue de la façade d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1868, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Tirage photographique, coul. Il s'agit d'une maison d'un étage et demi, de plan rectangulaire, en planche à clins et portant un toit en tôle à baguettes surplombant une petite galerie. La façade est percée d'une porte flanquée de deux fenêtres. Une cheminé s'élève à l'extrémitédroite du bâtiment. Une extension à parement de planches à clins et toit en bardeaux d'asphalte jouxte la maison sur la droite. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Saint-Vincent-de-Paul LEVE_5143). | |
C001/A2,04.12 | Maison autrefois située au 3993, boulevard Lévesque Est, Saint-Vincent-de-Paul. Vue de la façade et du côté droit d'une maison traditionnelle québécoise, de plan rectangulaire à deux étages surmonté d'un toit en tôle pincée à deux versants droits et doté d'une cheminée à chacune de ses extrémités. La façade, en pierre de taille, est percée de trois fenêtre et d'une porte. L'étage supérieur, qui a fait l'objet de transformation, recouvert de planches à clin, présente une porte et deux fenêtres maintenant abrités par un toit en appentis alors qu'une galerie court sur toute sa largeur. Le côté droit, recouvert de crépi, est percée d'une fenêtre au rez-de-chaussée et de deux à l'étage. Une extension jouxte la partie arrière de ce mur. Cette maison fut occupée par le gérant de la carrière située au nord du boulevard Lévesque, carrière aujourd'hui devenue le Centre de la Nature. Décor hivernal. [Années 1950-1960]. Tirage photographique, n&b. | |
C001/A2,04.13 | Maison située au 4518, boulevard Lévesque Est, Saint-Vincent-de-Paul. Vue de la façade avant d'une maison traditionnelle québécoise d'un étage et demie en moellons sommairement recouvert d'un crépi. De plan rectangulaire, la maison porte un toit à deux versants retroussés en tôle à la canadienne, percé de deux lucarnes à pignon, et comportant une cheminée placée à chaque extrémité. Le toit se prolonge en appentis au-dessus d'une galerie, sur la gauche, qui donne accès à une véranda, sur la droite. Le mur du rez-de-chaussée est percée de deux portes et de deux fenêtres. Cette maison, à l'abandon, fut détruite en 1966. Elle appartenait à Jean Chartrand. Tirage photographique, n&b. | |
C001/A2,04.15 | Maison autrefois située au 4518, boulevard Lévesque Est, Saint-Vincent-de-Paul. Vue sur des travaux de maconnerie et d'étayage à l'intérieur d'une maison traditionnelle québécoise. On distingue un muret de briques et des étais, ainsi que l'ouverture pour une porte. La maison fut détruite en 1966 et appartenait à Jean Chartrand. Photographie floue et sombre. Tirage photographique n&b. | |
C001/A2,04.16 | Maison située au 4518, boulevard Lévesque Est, Saint-Vincent-de-Paul. Vue du côté droit d'une maison traditionnel québécoise d'un étage et demie en moellons sommairement recouvert d'un crépi. Il s'agit d'une maison de plan rectangulaire, dont on aperçoit la façade arrière sur la droite, qui porte un toit à deux versants retroussés en tôle à la canadienne, et qui est percé de deux lucarnes à pignon. Une cheminée s'élève à chaque extrémité du bâtiment. Le mur de droite est percé d'une seule fenêtre au rez-de-chaussée alors que, sur la gauche, le toit se prolonge en appentis au-dessus d'une véranda munie d'une d'entrée surélevée. La maison, à l'abandon, fut détruite en 1966. Elle appartenait à Jean Chartrand. Tirage photographique, n&b. | |
C001/A2,04.17 | Maison autrefois située au 4518, boulevard Lévesque Est, Saint-Vincent-de-Paul. Vue du côté droit d'une maison traditionnelle québécoise en moellons, de plan rectangulaire d'un étage et demi portant un toit à deux versants droits en tôle à la canadienne et percé de deux lucarnes à pignon. Le côté droit est percé d'une fenêtre à chaque étage. Une cheminée est placée à l'extrémité du bâtiment. Sur la droite, le toit se prolonge pour abriter une galerie en façade. La demeure appartenait à monsieur Jean Chartrand et fut détruite en 1966. En ou avant 1966. Tirage photographique, n&b. | |
C001/A2,04.18 | Maison autrefois située au 4536, boulevard Lévesque Est, Saint-Vincent-de-Paul. Vue d'ensemble de la façade d'une maison traditionnelle québécoise de plan rectangulaire d'un étage et demi portant un toit en bardeaux d'asphalte à deux versants retroussés percé de deux lucarnes rampantes. Une première cheminée s'élève à l'extrémité gauche du faîte et une deuxième au centre, là où devait se situer la limite du bâtiment original. Le rez-de-chaussée est doté d'un portique hors-oeuvre et de trois fenêtres. Le mur de gauche, partiellement visible, ne comportait qu'une seule fenêtre, au rez-de-chaussée. Les murs étaient recouverts d'un enduit de couleur blanche. Il pourrait s'agir de la maison Séguin. Cette maison a aujourd'hui disparue. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b. | |
C001/A2,04.19 | Maison située au 4592, boulevard Lévesque Est, Saint-de-Vincent-de-Paul. Vue d'ensemble de la façade arrière et du côté gauche d'une maison traditionnelle québécoise, probablement érigée au milieu du 19e siècle par Joseph Chartrand, menuisier et entrepreneur de Saint-Vincent-de-Paul, il a bâti la sacristie de l'église actuelle, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. C'est dans cette maison que naquit Joseph-Damase Chartrand, dit Chartrand des Écores (1852-1905), fils de Joseph, personnage coloré, à la fois militaire, écrivain, comptable et éditeur. Cette habitation est connue comme la maison des Chartrand. Décor hivernal. Tirage photographique, n&b. Il s'agit d'une maison ancestrale de plan rectangulaire d'un étage et demi portant un toit à deux versants retroussés en bardeaux d'asphalte. La maçonnerie en moellons a fait l'objet de réparations et est recouvert d'un crépi sommaire par endroits. La façade arrière ne comporte qu'une seule fenêtre alors que sur le côté gauche on devine une porte bouchée et une petite fenêtre sous les combles. Une cheminée construite à même le mur, s'élève au-dessus du faîte.La maison est sise directement le long de la route et fait dos à celle-ci. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Saint-Vincent-de-Paul LEVE_4592). | |
C001/A2,04.20 | Maison située au 4706, boulevard Lévesque Est, Saint-Vincent-de-Paul. Vue de la façade d'une maison traditionnelle québécoise, construite en 1832, selon certains, ou 1863, selon d'autres, par le maçon Joseph Mayé (Maillé), dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Dans les années 1970, la maison appartient à la famille V. Dion Griska (Yvette et Jeannine). Ce bâtiment est connue cmme la maison Joseph-Mayé. Décor hivernal. Tirage photographique, n&b. Il s'agit d'une maison de plan rectangulaire d'un étage et demi. La construction, en moellons, porte un toit en bardeaux d'asphalte à deux versants retroussés et qui se projette au-delà de la façade. La bâtisse est pouvue de d'une cheminée à chque extrémité. La façade est percée d'une porte flanquée d'une fenêtre de part et d'autre. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Saint-Vincent-de-Paul LEVE_4706). | |
C001/A2,04.21 | Maison située au 4855, boulevard Lévesque Est, Saint-Vincent-de-Paul. Vue d'ensemble du côté gauche et de la façade arrière d'une maison en pierre, probablement construite en 1834 ou peu après, qui témoigne du courant néoclassique qui est issu de l'architecture britannique au 19e siècle. Le docteur Pratte, qui fait ériger cette résidence, la vend à Alphonsine Loignon, épouse du notaire Césaire-Ernest Germain, vers 1876. En 1884, cette dernière, vend la maison à Édouard Lareau. Mme Nicole Lapointe Delorme, épouse de Roger Delorme, en est la propriétaire dans les années 1970. Cette maison est connue comme la résidence Les acacias. Décor dépouillé. Tirage photographique, n&b. Il s'agit d'une maison en moellons de plan carré de deux étages portant un toit à croupe d'oû s'élèvent deux cheminés. Le mur de gauche compte trois larges fenêtres par étage, alors que la façade arrière n'est percée que d'une petite fenêtre au rez-de-chaussée. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Saint-Vincent-de-Paul LEVE_4855_01). | |
C001/A2,04.22 | Maison située au 4855, boulevard Lévesque Est, Saint-Vincent-de-Paul. Vue d'ensemble du côté gauche et de la façade d'une maison en pierre, probablement construite en 1834 ou un peu après, qui témoigne du courant néoclassique qui est issu de l'architecture britannique au 19e siècle. Le docteur Pratte, qui fait ériger cette résidence, la vend à Alphonsine Loignon, épouse du notaire Césaire-Ernest Germain, vers 1876. En 1884, cette dernière, vend la maison à Édouard Lareau. Mme Nicole Lapointe Delorme, épouse de Roger Delorme, en est la propriétaire dans les années 1970. Cette maison est connue comme la résidence Les acacias. Tirage photographique, coul. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Saint-Vincent-de-Paul LEVE_4855_01). | |
C001/A2,04.23 | Maison autrefois située au 8036, boulevard Lévesque Est, Saint-Vincent-de-Paul. Vue d'ensemble de la façade et du côté gauche d'une maison de type Boomtown, probablement construite entre 1890 et 1920. De plan carré, cette maison de deux étages porte un parement en planche à clins et un toit plat en gradins. En façade, le rez-de-chaussée est percé d'une porte flanquée de deux fenêtres. Le même arrangement est reproduit à l'étage avec balcon à toit conique empiétant sur un toit en appentis surplombant la galerie qui court le long de la façade. Le mur de droite est percée d'une fenêtre par étage. Cette maison a été démolie. Décor dépouillé. Tirage photographique, n&b. | |
C001/A2,04.24 | Chalet à Laval. Vue de la façade d'un chalet en planche à clins d'un étage et demi, de plan carré, surmonté d'un toit en pavillon percé d'une lucarne rampante. Une volée de six marches mène à l'entrée principale protégée par une avancée du toit. Deux fenêtres, à droite de la porte, ornent cette façade. Une cheminée se profile sur la gauche du bâtiment. Décor automnal. Tirage photographique, coul. | |
C001/A2,04.25 | Maison située au 4928, boulevard Lévesque Est, Saint-Vincent-de-Paul. Vue de la façade et du côté gauche d'une maison à mansarde de style Second Empire, construite vers 1892, un style est très en vogue en milieu rural au Québec entre 1875 et 1920. Décor automnal. Tirage photographique, coul. Il s'agit d'une maison de plan rectangulaire de deux étages en planches à clin portant un toit mansardé à deux versants, le versant supérieur en bardeau d'asphale et le second en tôle. Une galerie qui court en façade et sur le côté gauche est abritée par un toit de bardeaux d'asphale en appentis. En façade, le rez-de-chausssée est percée d'une porte flanquée de deux fenêtres. La mansarde est également percée de deux fenêtres. Le mur de gauche comporte une fenêtre et une extension munie d'une porte. L'étage supérieur, lui, est percé de deux fenêtres. Le bâtiment est aussi doté d'une cheminée à son extrémité gauche. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Saint-Vincent-de-Paul LEVE_4928). | |
C001/A2,04.26 | Maison située au 4842, boulevard Lévesque Est, Saint-Vincent-de-Paul. Vue de la façade d'une maison de plan rectangulaire à deux étages. Le rez-de-chausée possède un parement de briques rouges, une entrée hors-oeuvre flanquée deux larges fenêtres. L'étage supérieur, en planches à clin, en écho au rez-de-chaussée, présente une fenêtre centrale dans l'axe de l'entrée, flanquée d'une fenêtre double de part et d'autre. Le toit, en bardeaux d'asphalte, est à deux versants droits. Une projection en appentis surplombe la façade sur toute sa largeur. On distingue, en arrière-plan, une cheminée à son extrémité gauche. Une allée pavée mène à l'entrée dans un décor verdoyant. Tirage photographique, coul. | |
C001/A2,04.27 | Maison située au 4469, boulevard Lévesque Est, Saint-Vincent-de-Paul. Vue de la façade d'une maison construite entre 1900 et 1940, représentative d'un type de résidences issu de l'architecture vernaculaire industrielle, la maison cubique (Four Square House), modèle créé aux États-Unis en 1891 par l'architecte Frank Kidder. Dans l'inventaire de 1981, le bâtiment portait l'adresse 4467-4469. Décor estival. Tirage photographique, coul. Il s'agit d'une maison de plan carré avec oriel, à deux étages et demi, en maçonnerie de brique avec une fondation en moellons. Un toit à croupe en bardeau d'asphalte et percé d'une lucarne rampante, se prolonge en appentis au-dessus de la galerie de l'étage supérieur. L'oriel est pourvu de trois fenêtres sur deux étages, chaque étage étant également pourvue d'une porte et d'une fenêtre. En arrière-plan, on peut voir un garage et un conteneur. Cette maison est située sur la ferme appartenant aux Soeurs de la Providence. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Saint-Vincent-de-Paul LEVE_4469). | |
C001/A2,04.28 | Granges situées au 4469, boulevard Lévesque Est, Saint-Vincent-de-Paul. Vue de l'arrière de deux granges en bois, de plan rectangulaire, placées bout à bout. Le bâtiment de gauche est pourvu d'un toit mansardé à deux versants, celui de droite, d'un toit à deux versant droits, tous deux de tôle. En avant-plan, le boulevard de la Concorde Est. La grange est située derrière la maison sur la ferme qui appartient aux Soeurs de la Providence. Tirage photographique, coul. | |
C001/A2,05.02 | Maison autrefois située sur le boulevard Bellerose Ouest, Vimont. Vue de la façade d'une maison des années 1950-1960, et d'un bâtiment commercial. En avant-plan, on distingue des affiches du restaurant McDonald's. Cette maison fut démolie pour faire place au stationnement du McDonald's de Vimont. Située sur le boulevard Bellerose à l'est du boulevard des Laurentides., cette maison était la voisine immédiate du 9, boulevard Bellerose Ouest. 19 décembre 1999. Tirage photographique, coul. | |
C001/A2,05.03 | Maison située au 9, boulevard Bellerose Ouest, Vimont. Vues d'ensemble du côté droit et de la façade d'une maison au toit mansardé à deux versant, en vogue de 1880 à 1920. Décor dépouillé. 19 décembre 1999. Tirage photograhique, coul. | |
C001/A2,05.06 | Maisons autrefois situées au 136 et 143, boulevard Saint-Elzéar, Vimont. 136, boulevard Saint-Élzéar Ouest : Trois vues d'une maison de ferme de style néo-classique aujourd'hui disparue. Une inscription peinte sur le pignon de façade indique «CE 19-61», suggérant une date de transformation. Décor dépouillé. 13 mai 1978. Négatifs # 31 à 33. 143, boulevard Saint-Elzéar Ouest : Trois vues d'une maison traditionnelle québécoise en bois et des bâtiments de ferme. Tous ces bâtiments ont aujourd'hui disparu. Décor dépouillé. 13 mai 1978. Négatifs # 34 à 36. Planche contact (Id. : 78-35-5; 6 négatifs numérotés de 31 à 36), n&b. | |
C001/A2,05.07a | Maisons situées au 205, 220, 230, 232 et 235, boulevard Saint-Elzéar, Vimont. 205, Saint-Elzéar Ouest : Deux vues de la façade d'une habitation représentative de la maison franco-québécoise construite vers 1865, ou peut-être avant. Ce style est le résultat de l'intégration de l'architecture néoclassique anglaise importée par les Britanniques à la fin du 18e siècle aux façons traditionnelles de construire en Nouvelle-France. Elle constitue un modèle de transition entre la maison d'esprit français et la maison traditionnelle québécoise. On remarque le toit en tôle à la canadienne et la galerie qui court sur deux côtés. Décor dépouillé.13 mai 1978. Négatifs # 35 et 36. 220, Saint-Elzéar Ouest : Trois vues d'une maison québécoise en briques, de plan rectangulaire et au toit en demi-croupe. Cette maison a aujourd'hui disparue. On peut également voir, devant la maison, une sculpture rappelant une autruche. Décor dépouillé.13 mai 1978. Négatifs # 32 et 34. 230 et 232, Saint-Elzéar Ouest : Trois vues d'une maison de type Boomtown en briques, aujourd'hui disparue, un type de bâtiment surtout érigé entre 1880 et 1920. On note la galerie qui court sur deux côtés et l'extension dans le même style. Décor dépouillé.13 mai 1978. Négatifs # 29 à 31. 235 Saint-Elzéar Ouest : Deux vues d'une maison québécoise traditionnelle en moellons, aujourd'hui disparue. Décor dépouillé.13 mai 1978. Négatifs # 27 et 28. Planche contact avec annotations (Id. : 78-35-4; 10 négatifs numérotés de 27 à 36), n&b. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Vimont SELO_0205). | |
C001/A2,05.07b | Maisons situées au 185, 195 et 205 boulevard Saint-Elzéar Ouest, Vimont. 185, Saint-Elzéar Ouest : Deux vues de la façade et du côté gauche d'une maison de style Second Empire et maison à mansarde, construite vers 1910. Ce style est très en vogue en milieu rural au Québec entre 1875 et 1920. Cette habitation est connue comme la Maison Beaulieu. Décor dépouillé. 13 mai 1978. Négatifs # 9 et 10. 195, Saint-Elzéar Ouest : Cinq vues de la façade et du côté gauche d'une maison à mansarde à deux versants retroussés et extension, aujourd'hui disparue. Décor dépouillé. 13 mai 1978. Négatifs # 4 à 8. 205, Saint-Elzéar Ouest : Deux vues d'une maison construite vers 1865, ou peut-être avant, qui constitue un modèle de transition entre la maison d'esprit français et la maison traditionnelle québécoise. Cette maison franco-québécoise est le résultat de l'intégration de l'architecture néoclassique anglaise importée par les Britanniques à la fin du 18e siècle aux façons traditionnelles de construire en Nouvelle-France. Décor dépouillé. 13 mai 1978. Négatifs # 2 et 3. Planche contact avec annotations (Id. : 78-35-5; 10 négatifs numérotés de 1 à 10), n&b. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Vimont SELO_0185 et SELO_0205). | |
C001/A2,05.08a | Maisons situées au 11, 16, 25 et 185, boulevard Saint-Elzéar Ouest, Vimont. 11, boul. Saint-Elzéar Ouest : Trois vues d'une maison de plan rectangulaire, au revêtement de briques, portant un toit en croupe recouvert de bardeaux d'asphalte. Un pignon-lucarne orne la façade dont la galerie du rez-de-chaussée est abritée par un toit en appentis. Aujourd'hui disparue. Décor dépouillé. 13 mai 1978. Négatifs # 17, 18 et 19. 16, boul. Saint-Elzéar Ouest : Quatre vues d'une maison traditionnelle québécoise au parement de crépi et chaînage, portant un toit à deux versants retroussés. La façade est percée d'une porte flanquée de deux fenêtres. Une extension d'un étage en planche à clins avec toit en pente jouxte la maison sur la gauche. À gauche de la maison se trouve un bâtiment cubique, de plan rectangulaire, de deux étages pourvu deux portes de garage en façade. Aujourd'hui disparue. Décor dépouillé. 13 mai 1978. Négatifs # 13 à 16. 25, boul. Saint-Elzéar Ouest : Maison de style Boomtown, probablement construite entre 1890 et les années 1930, un style qui est en vogue au Québec de 1880 à 1930. Il s'agit d'une maison de plan rectangulaire, au revêtement de briques, au toit à fausse mansarde, et pourvue d'une galerie couverte par un toit en appentis sur la façade et et qui aboutit sur le côté gauche à une entrée en saillie. Coin nord-ouest de Le Royer. Décor dépouillé. 13 mai 1978. Négatif # 20. 185, boul. Saint-Elzéar Ouest : Deux vues d'une maison à mansarde, construite vers 1910, un style très en vogue en milieu rural au Québec entre 1875 et 1920. Il s'agit d'une maison en pierre de taille, au toit mansardé à deux versants retroussés en tôle à baguette, et percé de lucarnes à pignon. Ce bâtiment jouxte une maison traditionnelle québécoise à l'arrière. Connue comme la maison Beaulieu. Décor dépouillé. 13 mai 1978. Négatifs # 11 et 12. Planche contact avec annotations (Id: 78-35-5; 12 négatifs numérotés de 11 à 20), n&b. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Vimont SELO_0025 et SELO_0185). | |
C001/A2,05.08b | Maisons situées au 25, 82, 125 et 135 boulevard Saint Elzéar Ouest, Vimont. 25, boul. Saint-Elzéar Ouest : Maison de style Boomtown, probablement construite entre 1890 et les années 1930, un style qui est en vogue au Québec de 1880 à 1930. Il s'agit d'une maison de plan rectangulaire, au revêtement de briques, au toit à fausse mansarde, et pourvue d'une galerie couverte par un toit en appentis sur la façade et et qui aboutit sur le côté gauche à une entrée en saillie. Coin nord-ouest de Le Royer. Voir aussi: C001/A2,05.08a. Décor dépouillé. 13 mai 1978. Négatifs # 21 à 24. 82, Saint-Elzéar Ouest : Maison traditionnelle québécoise, au revêtement en planche verticales en tôle ou vinyle, au toit à deux versants droits percée d'une lucarne continue, et pourvue d'une porte flanquées de deux fenêtres. Une extension jouxte la maison sur la gauche. Cette habitation, aujourd'hui disparue, était située au coin sud-est de la rue André. Décor dépouillé. 13 mai 1978. Négatif # 25. 125, Saint-Elzéar Ouest : Deux vues d'une maison de style Boomtown, probablement construite entre 1890 et les années 1930, un style en vogue au Québec de 1880 à 1930. Il s'agit ici de la variante avec toit plat, fausse mansarde et lucarnes pendantes. Le revêtement est en papier-brique. Une extension formant tambour se trouve sur la gauche à l'arrière de l'habitation. Un bâtiment pourvu de deux portes de garage voisine la maison sur la gauche. Décor dépouillé. 13 mai 1978. Négatifs # 26 et 27. 135, Saint-Elzéar Ouest : Trois vues d'une maison de style Boomtown, construite vers 1934, Il s'agit ici de la variante avec toit plat, fausse mansarde et lucarnes pendantes. Revêtement de briques. Décor dépouillé. 13 mai 1978. Négatifs # 28 à 30. Planche contact avec annotations (Id: 78-35-5; 10 négatifs numérotés de 21 à 30), n&b. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Vimont SELO_0025, SELO_0125 et SELO_0135). | |
C001/A2,05.09a | Maisons autrefois situées au 1054, 1149, 1275 et 1381, boulevard Saint-Elzéar Ouest, Vimont. 1054, boul. Saint-Elzéar Ouest : Maison d'un étage et demi à toit mansardé à deux versants, au revêtement de papier-brique, et au toit recouvert de tôle en plaques. En façade, une porte est lanquée de deux fenêtres. Une extension de même style jouxte la maison sur la droite, et une extension plus petite jouxte l'extension. On distingue également quelques petits bâtiments de ferme en planches de bois. Ces bâtiments, situés sur le coin nord-est des boulevards Saint-Elzéar et Industriel, ont aujourd'hui disparu. Décor dépouillé. 13 mai 1978. Négatifs # 13 à 16. 1149, boul. Saint-Elzéar Ouest : Maison traditionnelle québécoise d'un étage et demi, en pierre de taille, chaînage, toit à deux versants droits et lucarnes à pignon. On distingue une extension sur la droite et des bâtiments de ferme à l'arrière. Ces bâtiments ont aujourd'hui disparu. Décor dépouillé. 13 mai 1978. Négatifs # 10, 11 et 12. 1275, boul. Saint-Elzéar Ouest : Maison de style Boomtown, un style en vogue au Québec de 1880 à 1930. Il s'agit ici de la variante avec toit plat, fausse mansarde et lucarnes pendantes. Le revêtement est de briques. cette maison a aujourd'hui disparu. Décor dépouillé. 13 mai 1978. Négatifs # 7 et 8. 1381, boul. Saint-Elzéar Ouest : Maison de style bungalow, d'un étage, au toit assymétrique et aux larges fenêtres. Contruit dans les 1950-1960. Cette maison a aujourd'hui disparu. Décor dépouillé. 13 mai 1978. Négatifs # 9. Planche contact avec annotations (Id.: 78-35-4; 10 négatifs numérotés de 7 à 16), n&b. | |
C001/A2,05.09b | Maisons autrefois situées au 235, 285 et 1054, boulevard Saint-Elzéar Ouest, Vimont. 235, boul. Saint-Elzéar Ouest : Deux vues du côté gauche et de la façade d'une maison traditionnelle québécoise d'un étage et demi, en moellons et toit à deux versants retroussés abritant une galerie ouverte en façade. Décor dépouillé. 13 mai 1978. Négatifs # 25 et 26. 285, boul. Saint-Elzéar Ouest : Vue du côté gauche et de la façade d'une maison traditionnelle québécoise de plan rectangulaire en moellons d'un étage et demi. Le toit à deux versants retroussés recouvert de tôle pincée est percé de deux cheminées construites à même les murs à chaque extrémité de la maison. La façade montre une porte flanquée de deux fenêtres. Le mur droit est percée de deux petites fenêtres sous les combles. Cette maison aurait été acquise par Paul Trifiro (professeur d'arts plastiques) et date du milieu du 19e siècle. Connue comme la maison Chartrand (?). Cette maison est aujourd'hui disparue. 13 mai 1978. Négatifs # 19 à 24. 1054, boul. Saint-Elzéar Ouest : Maison d'un étage et demi à toit mansardé à deux versants, au revêtement de papier-brique, et au toit recouvert de tôle en plaques. En façade, une porte est lanquée de deux fenêtres. Une extension de même style jouxte la maison sur la droite, et une extension plus petite jouxte l'extension. On distingue également quelques petits bâtiments de ferme en planches de bois. Ces bâtiments, situés sur le coin nord-est des boulevards Saint-Elzéar et Industriel, ont aujourd'hui disparu. Décor dépouillé. 13 mai 1978. Négatif # 17. Planche contact avec annotations (Id. : 78-35-4; 10 négatifs numérotés de 17 à 26), n&b. | |
C001/A2,05.10a | Maisons situées au 1675, 1845, et 1905, boulevard Saint-Elzéar Ouest, Chomedey. 1675, boul. Saint-Elzéar Ouest : Quatre vues d'une imposante maison en briques issue du style Boomtown de deux étages avec fausse mansarde, annexe et porche à auto dans le même style, et garages à l'arrière. Cette maison, probablement construite dans les années 1920 et aujourd'hui disparue, était située face à la rue Bergman. Décor dépouillé. 13 mai 1978. Négatifs # 28 à 31. 1845, boul. Saint-Elzéar Ouest : Quatre vues d'une imposante maison en briques issue du style Boomtown de deux étage avec fausse mansarde, extension dans le même style, et garage d'un étage et demi en pierre de taille à bossage. Cette maison, probablement construite dans les années 1920 ou 1930, aujourd'hui disparue, était située sur le coin nord-est du boulevard Le Corbusier. Décor dépouillé. 13 mai 1978. Négatifs # 24 à 27. 1905, boul. Saint-Elzéar Ouest : Deux vues d'une maison imposante maison en briques issue du style Boomtown de deux étage avec fausse mansarde, extension dans le même style, et bâtiments de ferme à l'arrière. Cette maison, probablement construite entre 1900 et 1940, vers 1927 selon le rôle d'évaluation, est situé sur le coin nord-ouest du boulevard Le Corbusier. Décor dépouillé. 13 mai 1978. Négatifs # 22 et 23. Planche contact avec annotations (Id. : 78-35-3; 10 négatifs numérotés de 22 à 31). Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Chomedey SELO_1905). | |
C001/A2,05.10b | Maisons situées au 1275, 1422, 1453, et 1481, boulevard Saint-Elzéar Ouest, Chomedey 1275, boul. Saint-Elzéar Ouest : Maison en briques de style Boomtown qui fut populaire au Québec de 1880 à 1930. Il s'agit ici de la variante en briques avec toit plat, fausse mansarde et lucarnes pendantes. Décor dépouillé. 13 mai 1978. Négatif # 6 (78-35-4). 1422, boul. Saint-Elzéar Ouest : Maison traditionnelle québécoise d'un étage et demi au toit à deux versants droits et quatre fenêtres en façade. Aujourd'hui disparue. Décor dépouillé. 13 mai 1978. Négatifs # 4 et 5 (78-35-4). 1453, boul. Saint-Elzéar Ouest : Maison de style Boomtown, populaire au Québec de 1880 à 1930, au revêtement en pierre de taille à bossage et au toit en croupe. Aujourd'hui disparue. Décor dépouillé. 13 mai 1978. Négatifs # 35 et 36 (78-35-3) et négatifs # 2 et 3 (78-35-3). 1481, boul. Saint-Elzéar Ouest : Maison de style Boomtown, populaire au Québec de 1880 à 1930, au revêtement en pierre de taille à bossage et au toit en croupe. À l'arrière, on distingue un bâtiment de ferme. Aujourd'hui disparue. Décor dépouillé. 13 mai 1978. Négatifs # 32 à 34 (78-35-3). Planche contact avec annotations (Id. : 78-35-3; 6 négatifs numérotés de 2 à 6, et 78-35-4; 4 négatifs numérotés de 2 à 6), n&b. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Chomedey SELO_1275). | |
C001/A2,05.11a | Maisons autrefois situées au 2091, 2155, 2920, et 3000, boulevard Saint-Elzéar Ouest, Chomedey. 2091, boul. Saint-Elzéar Ouest : Deux vues d'une maison d'un étage au revêtement de pierre de taille, au toit à multiples versants et à la fenestration abondante. Cette maison, aujourd'hui disparue, a probablement été construite dans les années 1950. Décor dépouillé. 13 mai 1978. Négatifs # 10 et 11. 2155, boul. Saint-Elzéar Ouest : Quatre vues d'une maison traditionnelle québécoise en moellons, au toit à deux versants retroussés pourvu de lucarnes et abritant une galerie surélevée. Cette maison est aujourd'hui disparue. Décor dépouillé. 13 mai 1978. Négatifs # 2, 4, 5 et 7. 2920, boul. Saint-Elzéar Ouest : Deux vues d'une maison de plan rectangulaire avec extension, en briques, au toit à double pente à deux versants retroussés, et façade sur l'un des murs pignons. Cette maison, aujourd'hui disparue, était située sur le coin sud-ouest de la montée Saint-Aubin. Décor dépouillé. 13 mai 1978. Négatifs # 8 et 9. 3000, boul. Saint-Elzéar Ouest : Deux vues d'une maison mansardée en briques au toit à deux versant retroussés. Un toit en appentis abrite une galerie courant sur deux côtés de cette maison aujourd'hui disparue. La maison mansardée était populaire au Québec surtout de 1880 à 1920. Décor dépouillé. 13 mai 1978. Négatifs # 3 et 6. Planche contact avec annotations (Id. : 78-35-3; 10 négatifs numérotés de 2 à 11), n&b. | |
C001/A2,05.11b | Maisons situées au 1905, 1969, et 2055, boulevard Saint-Elzéar Ouest, Chomedey. 1905, boul. Saint-Elzéar Ouest : Trois vues d'une maison imposante maison en briques issue du style Boomtown de deux étage avec fausse mansarde, extension dans le même style, et bâtiments de ferme à l'arrière. Cette maison, probablement construite entre 1900 et 1940, vers 1927 selon le rôle d'évaluation, est situé sur le coin nord-ouest du boulevard Le Corbusier. Décor dépouillé. 13 mai 1978. Négatifs # 19 à 21. 1969, boul. Saint-Elzéar Ouest : Trois vues dune maison traditionnelle québécoise en briques avec toit à deux versants retroussés et lucarnes, et extension dans le même style. Sur la gauche, on distingue un garage à deux portes. Tous les bâtiments ont aujourd'hui disparu. Décor dépouillé. 13 mai 1978. Négatifs # 16 à 18. 2055, boul. Saint-Elzéar Ouest : Trois vues d'une maison traditionnelle québécoise en moellons recouvert d'un crépi, avec toit à deux versants en tôle à la canadienne, lucarnes, chambranle en pierre pour la façade, et extension dans le même style. Un toit en appentis abrite une galerie en façade. Cette maison, construite vers 1862, est un exemple du style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Décor dépouillé. 13 mai 1978. Négatifs # 13 à 15. Entre le 2091 et le 2055, boul. Saint-Elzéar Ouest : Bâtiments de ferme. Décor dépouillé. 13 mai 1978. Négatif # 12. Planche contact avec annotations (Id. : 78-35-3; 10 négatifs numérotés de 12 à 21), n&b. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Chomedey SELO_1905 et SELO_2055). | |
C001/A2,05.12 | Entrepôt à légumes sur le boulevard Saint-Elzéar, Vimont. Vue de la façade et du côté droit d'une maison traditionnelle québécoise de plan rectangulaire à un étage et demi surmonté d'un toit à deux versants retroussés percé de deux lucarnes à pignon. Le toit comporte également une cheminée à son extrémité droite. La façade présente trois fenêtres et une porte, alors que le côté droit est percé de trois petites ouvertures. Les murs blancs laissent penser qu'ils étaient recouverts d'un crépi. En avant-plan, on distingue la margelle d'un puits. Maison utilisée comme entrepôt à légumes. La bâtisse était située sur le côté nord du boulevard Saint-Elzéar. Décor verdoyant. Artiste: Maurice Prévost. 1945. Gouache, coul. | |
C001/A2,05.13 | Maison autrefois située sur le boulevard Bellerose Ouest, Vimont. Vue d'ensemble de la façade et du côté droit une maison des années 1950-1960. Cette maison, voisine immédiate du 9, boulevard Bellerose Ouest (à gauche), fut démolie pour faire place au stationnement du McDonald's de Vimont. , dont peut voir une affiche. 19 décembre 1999. Tirage photographique, coul. | |
C001/A2,06.001 | Maison ancestrale en bois à Sainte-Rose. Vue de la façade et du côté gauche d'une maison à mansarde, de plan rectangulaire d'un étage et demi recouvert de papier-brique et portant un toit mansardé à deux versants percé de deux lucarnes à pignon. À droite, une cheminée s'élève au-dessus du faîte. La façade est percée de deux portes flanquées de deux fenêtres protégée par un avant-toit. Le côté gauche est percé d'une fenêtre au ez-de-chaussée et de deux à l'étage. Sur la droite, on distingue deux bâtiments de ferme qui semblent jouxter la maison. Cette maison aurait appartenu à Hector Dagenais en 1898. Décor verdoyant. Dare inconnue. Voir aussi: C001/A2,06.004. Tirage photographique, n&b. | |
C001/A2,06.002 | Maison située au 60, avenue des Terrasses, Sainte-Rose. Vue d'ensemble du côté droit et de la façade d'une maison traditionnelle québécoise en moellons, auparavant le 6 chemin de la Grande Côte. Décor estival. [Années 1970]. Tirage photographique, coul. | |
C001/A2,06.004 | Maison ancestrale en bois à Sainte-Rose. Vue de la façade et du côté gauche d'une maison de plan rectangulaire d'un étage et demi en planches verticales portant un toit mansardé à deux versants fait de bardeau de bois et percé de deux lucarnes à pignon. À droite, une cheminée s'élève au-dessus du faîte. La façade est percée d'une porte flanquée de deux fenêtres protégée par un avant-toit. Le côté gauche est percé d'une fenêtre au ez-de-chaussée et de deux à l'étage. Sur la droite, on distingue un bâtiment de ferme. Cette maison aurait appartenue à Joseph Dagenais en 1852 et ensuite à Hector Dagenais en 1898. Voir aussi: C001/A2,06.001. Tirage photographique, n&b. | |
C001/A2,06.005 | Maison située au 60, avenue des Terrasses, Sainte-Rose. Vue d'ensemble du côté droit et de la façade d'une maison traditionnelle québécoise en moellons, auparavant le 6 chemin de la Grande Côte. Décor automnal. 8 novembre 2001. Tirage photographique, coul. | |
C001/A2,06.006 | Maison située au 178 rue Lepage, Sainte-Rose. Vue de la façade d'une maison à mansarde, construite vers 1880, un style très en vogue en milieu rural au Québec entre 1875 et 1920. Cette maison au parement de briques, de deux étages et demi, porte un toit mansardé à deux versants. Une extension de deux étages dans le même style jouxte le bâtiment principal sur la droite. Décor verdoyant. Années 1970. Tirage photographique, coul. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose LEPA_0178). | |
C001/A2,06.007 | Maison située au 321, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue de la façade et du côté droit d'une maison, construite entre 1757 et 1817, apparentée à la maison d'esprit français. Bien qu'une pierre de date sur la maison indique 1757, la première mention d'une maison en pierre sur cette terre se trouve dans un acte de donation du 28 septembre 1817 de Michel Desjardins à ses enfants. En 1731, Pierre Labelle fils entre en possession de la terre. Elle est ensuite vendue en 1745 à son frère, Claude Labelle, qui l'habite avec son épouse Marie-Anne Quéneville, pendant 30 ans. Celle-ci la revend en 1775, suite à la mort de son mari. En 1757, année de la pierre de date, c'est Claude Labelle qui possède la terre. La maison aurait été rénovée en 1922. Elle fut la demeure de Yves Allard. Décor automnal. [Années 1970]. Tirage photographique, coul. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Auteuil SROS_0321). | |
C001/A2,06.009 | Maison située au 218, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue de la façade d'une maison traditionnelle québécoise, construite en 1859, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Cette maison est l'ancienne demeure du bedeau qui a été construite en 1859 avec la pierre et le bois réutilisés suite à la démolition de la deuxième église construite en 1788 et démantelée dans les années 1850 avec l'édification du lieu de culte actuel. Depuis 1840, la maison du bedeau était située à l'ouest de l'église, sur le terrain actuel de l'ancien couvent des Soeurs de Sainte-Croix. En mauvais état, cette maison est remplacée par une nouvelle demeure en 1859, toujours pour loger le bedeau de la paroisse et sa famille. De 1952 à 1956, la Caisse Desjardins y loue une pièce et y ouvre un comptoir. À partir de 1960, plusieurs commerces s'y succèdent, dont Boutique Coiffure Christine dont on peut ici distinguer l'affiche. Depuis 1985, le bâtiment a uniquement une fonction commerciale (Le Berlingot - Bar laitier). Décor estival. Années 1970. Tirage photographique, coul. Informations tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose (SROS_0218). | |
C001/A2,06.010 | Maison située au 363, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue de la façade et du côté gauche d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1830, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Connue comme la maison Arnoldi. Décor verdoyant. Années 1970. Tirage photographique, coul. Il s'agit d'une maison d'un étage et demi construite en moellons. De plan rectangulaire, cette maison possède un toit à deux versants retroussés en bardeaux de cèdre percé de deux lucarnes à pignon. La façade est dotée d'une porte, au seuil légèrement surélevé, et de trois fenêtres. Le côté gauche du bâtiment est percé d'une fenêtre au rez-de-chaussée et deux plus petites sous les combles. Une cheminée, construite à même le mur de droite, se dresse au-dessus du faîte. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0363). | |
C001/A2,06.011 | Maison située au 111, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue de la façade et du côté gauche d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1865, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Cette maison aurait été habitée par Frederic Back. Décor verdoyant.Tirage photographique, n&b. Il s'agit d'une maison de plan carré d'un étage et demi faite en planche à clins portant un toit à deux versants retroussés en tôle à baguette percé de deux lucarnes à pignon. Une cheminée se trouve à l'extrémité droite du toit. La façade est percée d'une porte flanquée de deux fenêtres que surplombe l'avant-toit. Le mur du côté gauche est percé d'une fenêtre par niveau. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0111). | |
C001/A2,06.012 | Maison située au 328 et 330, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue de la façade et du côté droit d'une maison traditionnelle québécoise construite vers 1880 avec influence du courant victorien de l'époque Cette maison a été la résidence de la famille du peintre Clarence Gagnon pendant un certain temps, probablement entre le début des années 1880 jusqu'à la fin des années 1880 ou au début des années 1890. Clarence Gagnon a vécu dans le village de Sainte-Rose de l'âge de deux à dix ans. Cette maison fut également la demeure de monsieur Jean-Pierre Bolduc. Décor automnal. Tirage photographique, coul. Il s'agit d'une maison de plan rectangulaire d'un étage et demie en planche à clins portant un toit à deux versants droits en tôle à la canadienne percé de quatre lucarnes à fenêtre pendante. Une cheminée s'élève à chacune de ses extrémités. En façade, le rez-de-chaussée est percé de deux portes et de deux fenêtres abritées par un toit en appentis surplombant une galerie qui court sur tout sa largeur et une partie du côté droit. Le mur droit est percé d'une petite fenêtre par étage alors qu'une porte abritée le jouxtant mène à la cave. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0328). | |
C001/A2,06.013 | Maison autrefois située au 19, rue Bellevue, Sainte-Rose. Vue d'ensemble du côté droit et de la façade d'une maison québécoise traditionnelle en bois avec extension et qui fut la demeure de madame Fortin. Cette maison, maintenant détruite, aurait été construite en 1846. Décor dépouillé. [Années 1970-1980]. Tirage photographique, coul. | |
C001/A2,06.014 | Maison située au 246, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue de la façade et du côté gauche d'une grande maison au toit mansardé construite ou résultat d'une transformation entre 1870 et 1900. Le site était auparavant occupé par une petite maison de bois en pièces sur pièces où est né le curé Antoine Labelle en 1833. Elle aurait été la demeure de famille Ouellette et Durocher dans les années 1930, et de M. Major. Décor automnal. Tirage photographique, n&b. Informations tirées de la base de données patromoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0246). | |
C001/A2,06.015a | Maison située au 246, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue de la façade et du côté gauche d'une grande maison ayant subi des transformations afin de ressembler aux immeubles de type plex (duplex, triplex, et autres), dérivés du style Boomtown, qui apparaissent au début du 20e siècle dans les grandes villes nord-américaines. Ce bâtiment, originalement au toit mansardé construit ou résultat d'une transformation entre 1870 et 1900 occupe le site où était sise une petite maison de bois en pièces sur pièces, maison natale du curé Antoine Labelle, en 1833. On d'ailleurs distinguer la plaque qui commémore cet événement. La maison aurait, plus tard, été la demeure de famille Ouellette et Durocher dans les années 1930, et de M. Major. Tirage photographique, n&b. Informations tirées de la base de données patromoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0246). | |
C001/A2,06.015b | Maison située au 246, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue de la façade et du côté gauche d'une grande maison ayant subi des transformations afin de ressembler aux immeubles de type plex (duplex, triplex, et autres), dérivés du style Boomtown, qui apparaissent au début du 20e siècle dans les grandes villes nord-américaines. Ce bâtiment, originalement au toit mansardé construit ou résultat d'une transformation entre 1870 et 1900 occupe le site où était sise une petite maison de bois en pièces sur pièces, maison natale du curé Antoine Labelle, en 1833. On d'ailleurs distinguer la plaque qui commémore cet événement. La maison aurait, plus tard, été la demeure de famille Ouellette et Durocher dans les années 1930, et de M. Major. Tirage photographique, n&b. Informations tirées de la base de données patromoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0246). | |
C001/A2,06.017 | Plaque commémorant le curé Antoine-Labelle à Sainte-Rose. Plaque commémorant le curé Antoine-Labelle, située sur le mur de sa maison natale au 246, boulevard Sainte-Rose. On peut lire : «Ici est né, le 24 novembre 1833, Mgr Antoine Labelle, curé de Saint-Jérome, apôtre de la colonisation. / In this house was born, November the 23th, 1833, Mgr Antoine Labelle, Paris priest of Saint-Jérome, Active fosterer of colonization.». La plaque est festonnée et porte les armoiries et la devise de la province de Québec «Je me souviens». | |
C001/A2,06.018 | Maison située au 129, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue d'ensemble d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1869, ayant subie des modifications. Cette maison fut habitée par la famille Poirier. On y retrouve les adrsses civiques 129, 129A et 131. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b. Informations tirées de la base de données patromoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0129). | |
C001/A2,06.020 | Plague d'inauguration de la première usine de filtration. de Sainte-Rose Plaque commémorant l'inauguration de la première usine de filtration du village de Sainte-Rose en 1915. Sur la plaque, on peut lire : «E. Desjardins, C.Léveillée, F.Labelle, A.Sicotte, J.Chartrand, P.H.Dufresne, J.B.Latour, F.Bélanger, N.Desroches, A.Grenier (conseillers), J.Émile Léonard (maire), J.A.Joly (secrétaire-trésorier), Ouimet et Lesage (ingénieur-conseil). Préparée et exécutée par The New York Continental Jeweil Company (Montréal-New-York-Chicago)». | |
C001/A2,06.021 | Maison située au 354, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue de la façade d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1905 ou avant, vers 1890, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Cette maison fut la demeure de monsieur Pierre Sparks. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0354). | |
C001/A2,06.023 | Maison située au 367, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue de la façade d'une maison québécoise d'influence américaine, construite en 1892. Au début du 20e siècle, on connaissait ce bâtiment comme le Cedar Tea Lodge Cottage, un salon de thé pour vacanciers. Il aurait été la demeure de Solamon Schipper. Le lot a été acquis en 1986 par les Soeurs de Sainte-Croix, dernières détentrices avant l'achat par Olymbec en 2019. La maison est maintenant connue comme la maison Cap Vie. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b. Les informations proviennent en partie d'un article paru dans le CourrierLaval.com par Alexis Gohier-Drolet, le 23 juillet 2019. | |
C001/A2,06.024 | Maison à Sainte-Rose. Vue d'ensemble d'une maison de deux étages portant un toit à deux versants droits. Décor verdoyant. [Années 1970]. Tirage photographique, n&b. | |
C001/A2,06.025 | Maison située au 323, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue de la façade et du côté droit d'une maison à mansarde en briques qui aurait été construite vers 1900, un style très en vogue en milieu rural au Québec entre 1875 et 1920. Toutefois, cette date pourrait être revue à la baisse. On mentionne qu'elle aurait été édifiée vers 1870, date qui apparaît très plausible. Les briques auraient été moulées à la main. Elle fut la demeure de Raynald Boucher. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Auteuil SROS_0323). | |
C001/A2,06.026a | Maison autrefois située au 19 rue Bellevue, Sainte-Rose. Vue d'ensemble de la façade et du côté droit d'une maison québécoise traditionnelle en bois avec extension et qui fut la demeure de madame Fortin. Cette maison, maintenant détruite, aurait été construite en 1846. Tirage photographique, n&b. | |
C001/A2,06.028 | Maison Ouimet située au 105, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue de la façade et du côté droit d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1901, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Cette maison fut la demeure de madame Aline Ouimet. Décor estival. Tirage photographique, n&b. Il s'agit d'une maison de plan rectangulaire d'un étage et demi en planche à clins portant un toit à deux versants retroussés en tôle à baguette et percé de deux lucarnes à pignons. Une cheminée s'élève à son extrémité droite. En façade, le rez-de-chaussée est percé d'une porte flanquée de deux fenêtres abritées par une avancée du toit. Une extension d'un étage en planche à clins portant un toit en appentis et percée d'une porte et deux fenêtres jouxte le côté droit. lus haut, sous les combles, on aperçoit une petite fenêtre. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0105). | |
C001/A2,06.029 | Maison de pension de la famille Barbe à Sainte-Rose Ouest. Vue de l'arrière d'une maison en bois d'un étage et demi ayant servie de pension. On peut lire «FEB 57» sur la bordure de la photographie. Décor verdoyant. [1956]. Tirage photographique, n&b. | |
C001/A2,06.030 | Maison située au 60, avenue des Terrasses, Sainte-Rose Vue d'ensemble du côté droit d'une maison traditionnelle québécoise en moellons, auparavant le 6 chemin de la Grande Côte. Décor verdoyant.Tirage photographique, n&b. | |
C001/A2,06.031 | Maison située au 109, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue de la façade et du côté droit d'une maison tradditionnelle québécoise, en planche à clins, un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Cette maison aurait aurait été construite vers 1885. La famille Charbonneau y aurait résidé. Décor estival. Tirage photographique, n&b. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0109). | |
C001/A2,06.032 | Maison située au 765 et 775, rue des Patriotes, Sainte-Rose. Vue d'ensemble de la façade d'une maison, construite vers 1740 ou 1750, apparentée à la maison d'esprit français. Ce courant architectural naît en Nouvelle-France dès le 17e siècle avec l'établissement des premiers colons français qui importent de leur contrée natale leurs façons traditionnelles de construire. Il se prolonge un peu après l'arrivée des Britanniques à la fin du 18e siècle. Cette maison est l'une des plus vieilles de Sainte-Rose. Elle a d'abord appartenu à la famille Filiatrault puis a été habitée pendant 200 ans par la famille Desjardins. En 1936, elle est achetée par des Anglophones d'Outremont. En 1972, le peintre Marcel Saint-Pierre s'en porte acquéreur et la restaure entièrement. Connue comme la maison Desjardins. Décor verdoyant.Tirage photographique, coul. Il s'agit d'une maison de plan rectangulaire d'un étage et demi en moellons portant un toit à deux versants retroussés en tôle à baguettes et percé de deux lucarnes à pignon. Une cheminée s'élève à chacune de ses extrémités. En façade, le rez-de-chaussée est percé de deux portes et de deux fenêtres disposées symétriquement. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose PATR_0765). | |
C001/A2,06.033 | Maison située au 1160 rue des Patriotes, Sainte-Rose. Vue d'ensemble d'une maison à toit mansardé construite entre 1880 et 1920. Elle fut la demeure de madame Eva Beauchamp. Décor dépouillé. Tirage photographique, coul. | |
C001/A2,06.034 | Maison située au 1865, rue des Patriotes, Sainte-Rose. Vue de la façade arrière et du côté gauche d'une maison traditionnelle québécoise, probablement construite entre 1800 et 1865, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Cette maison est l'ancienne résidence de la famille David qui a vendu son terrain à la Fabrique de Sainte-Rose pour ériger le nouveau cimetière. Certaines sources indiquent qu'elle aurait été construite dans la première tranche du 19e siècle, alors que d'autres arguent qu'elle aurait été construite vers 1865 avec la pierre de la deuxième église de la paroisse de Sainte-Rose. La tradition orale rapporte aussi que cette maison aurait servi de dépôt d'armes pour les Patriotes. Décor hivernal. Années 1970. Tirage photographique, coul. Il s'agit d'une maison de plan rectangulaire à un étage et demi en moellons portant un toit à deux versants droits en bardeaux d'asphalte. Une cheminée construite à même les murs s'élève à chaque extrémité. Le mur avant est percé d'une porte et de deux fenêtres abritées par un toit en appentis surplombant une galerie qui court en façade et sur le côté droit. Le mur gauche est percé d'une fenêtre au rez-de-chaussée et de deux sous les combles. Des chaînes d'angle ornent la maçonnerie de cette maison. Cette construction utilise également plusieurs types de pierre dont la dolomie de Beekmantown qui se trouve uniquement dans l'ouest de l'île Jésus. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose PATR_1865). | |
C001/A2,06.035 | Maison située au 1865, rue des Patriotes, Sainte-Rose. Vue de la façade et du côté gauche d'une maison traditionnelle québécoise, probablement construite entre 1800 et 1865, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Cette maison est l'ancienne résidence de la famille David qui a vendu son terrain à la Fabrique de Sainte-Rose pour ériger le nouveau cimetière. Certaines sources indiquent qu'elle aurait été construite dans la première tranche du 19e siècle, alors que d'autres arguent qu'elle aurait été construite vers 1865 avec la pierre de la deuxième église de la paroisse de Sainte-Rose. La tradition orale rapporte aussi que cette maison aurait servi de dépôt d'armes pour les Patriotes. Décor dépouillé. Années 1970. Tirage photographique, n&b. Il s'agit d'une maison de plan rectangulaire à un étage et demi en moellons portant un toit à deux versants droits en bardeaux d'asphalte. Une cheminée construite à même les murs s'élève à chaque extrémité. Le mur avant est percé d'une porte et de deux fenêtres abritées par un toit en appentis surplombant une galerie qui court en façade et sur le côté droit. Le mur gauche est percé d'une fenêtre au rez-de-chaussée et de deux sous les combles. Des chaînes d'angle ornent la maçonnerie de cette maison. Cette construction utilise également plusieurs types de pierre dont la dolomie de Beekmantown qui se trouve uniquement dans l'ouest de l'île Jésus. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose PATR_1865). | |
C001/A2,06.036 | Maison située au 26 boulevard Curé-Labelle, Sainte-Rose. Vue de la façade et du côté gauche d'une maison traditionnelle québécoise construite vers 1840. Elle apparaît notamment sur une carte postale produite en 1905-1906 par le photographe-éditeur Pinsonneault de Trois-Rivières. La famille Locas-Dutrisac-Miller y vécut de 1900 à 1986. En 1900, Anselme Locas, menuisier de Sainte-Rose, acquiert cette maison de pierre de Jovide Desjardins. Anselme Locas possédait du côté est de sa maison un atelier de menuiserie. Il louait également des annexes de sa maison aux estivants. De 1905 à 1908, il loua une partie de sa maison à des Montréalais qui y établirent un club baptisé Niscona probablement destiné à réunir des amateurs d'activités nautiques. Tous ceux qui se rendaient au chalet du SteRose Boating Club (aujourd'hui le site de la résidence Thérèse-Casgrain) devaient emprunter le chemin qui passait autrefois devant la maison. Cette maison fut plus tard utilisé par le restaurant AlexSim. Décor dépouillé. Tirage photographique, coul. Il s'agit d'une maison de plan rectangulaire d'un étage et demi en moellons portant un toit à deux versants retroussés en bardeaux d'asphalte et percé de deux lucarnes à pignon. Une cheminée s'élève à son extrémité droite. En façade, le rez-de-chaussée est percé d'une porte flanquées de deux fenêtres. Le côté gauche est percé de deux fenêtres au rez-de-chaussée et d'une seule sous les combles. Un bâtiment jouxte la maison sur la droite. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose CULA_0026). | |
C001/A2,06.037 | Maison située au 28 et 30, boulevard Curé-Labelle, Sainte-Rose. Vue du côté gauche et de la façade d'une bâtisse, construite vers 1889, représentative de la maison à mansarde. Ce style est très en vogue en milieu rural au Québec entre 1875 et 1920. Elle fut la demeure de A. Prévost. Elle a maintenant une vocation commerciale (Le Boating Club). Décor dépouillé. [Années 1980]. Tirage photographique, coul. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose CULA_0030). | |
C001/A2,06.038 | Maison située au 28 et 30, boulevard Curé-Labelle, sainte-Rose. Vue du côté gauche et de la façade d'une bâtisse, construite vers 1889, représentative de la maison à mansarde. Ce style est très en vogue en milieu rural au Québec entre 1875 et 1920. Elle fut la demeure de A. Prévost. Elle a maintenant une vocation commerciale (Le Boating Club). Décor dépouillé. [Années 1980]. Tirage photographique, coul. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose CULA_0030). | |
C001/A2,06.039 | Maison située au 328 et 330, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue de la façade et du côté droit d'une maison traditionnelle québécoise construite vers 1880 avec influence du courant victorien de l'époque Cette maison a été la résidence de la famille du peintre Clarence Gagnon pendant un certain temps, probablement entre le début des années 1880 jusqu'à la fin des années 1880 ou au début des années 1890. Clarence Gagnon a vécu dans le village de Sainte-Rose de l'âge de deux à dix ans. Cette maison fut également la demeure de monsieur Jean-Pierre Bolduc. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b. Maison de plan rectangulaire d'un étage et demie en planche à clins portant un toit à deux versants droits en tôle à la canadienne percé de quatre lucarnes à fenêtre pendante. Une cheminée s'élève à chacune de ses extrémités. En façade, le rez-de-chaussée est percé de deux portes et de deux fenêtres abritées par un toit en appentis surplombant une galerie qui court sur tout sa largeur et une partie du côté droit. Le mur droit est percé d'une petite fenêtre par étage alors qu'une porte abritée le jouxtant mène à la cave. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0328). | |
C001/A2,06.040 | Maison située au 262, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Construite vers 1924, cette maison témoigne de l'éclectisme victorien qui se caractérise par des volumes complexes, articulés par de nombreuses saillies, des tours et des pignons multiples qui accueillent une ornementation aussi diverse qu'abondante où l'asymétrie est la règle. Aujourd'hui, ce bâtiment a vocation commerciale (Clinique du corps Vivre). Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0262). | |
C001/A2,06.041 | Maison située au 264, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue d'ensemble de la façade d'un cottage de style vernaculaire américain construit vers 1938, style qui remplace progressivement la maison traditionnelle québécoise à partir de la fin du 19e siècle. Cette maison fur la demeure de Marcelle Ouimet. Elle a aujourd'hui une vocation commerciale (Au coeur de Chantaline). Décor verdoyant. Tirage photographique, coul. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0264). | |
C001/A2,06.042 | Maison située au 268, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue de la façade et du côté droit d'une maison construite vers 1900, issue du style Second Empire, fort prisé par la bourgeoisie entre le milieu et la fin du 19e siècle. Opulente et bourgeoise, cette maison témoigne de l'aisance de son premier propriétaire. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0268). | |
C001/A2,06.043 | Maison située au 218, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue de la façade d'une maison traditionnelle québécoise, construite en 1859, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Cette maison est l'ancienne demeure du bedeau qui a été construite en 1859 avec la pierre et le bois réutilisés suite à la démolition de la deuxième église construite en 1788 et démantelée dans les années 1850 avec l'édification du lieu de culte actuel. Depuis 1840, la maison du bedeau était située à l'ouest de l'église, sur le terrain actuel de l'ancien couvent des Soeurs de Sainte-Croix. En mauvais état, cette maison est remplacée par une nouvelle demeure en 1859, toujours pour loger le bedeau de la paroisse et sa famille. De 1952 à 1956, la Caisse Desjardins y loue une pièce et y ouvre un comptoir. À partir de 1960, plusieurs commerces s'y succèdent, dont Boutique Coiffure Christine dont on peut ici distinguer l'affiche. Depuis 1985, le bâtiment a uniquement une fonction commerciale (Le Berlingot - Bar laitier). Décor estival. Tirage photographique, n&b. Informations tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose (SROS_0218). | |
C001/A2,06.044 | Maison située au 218 boulevard Sainte-Rose. Maison située au 218 boulevard Sainte-Rose. Elle fut bâtie en 1859. Elle fut également la maison du bedeau, la maison du sacristain et la Boutique Coiffure Christine. Présentement, c'est un bar laitier, Le Berlingot. Vue de face. | |
C001/A2,06.045 | Maison située au 99, avenue des Terrasses, Auteuil. Vue d'ensemble de la façade et du côté droit d'une maison d'esprit français en moellons, construite entre 1788 et 1839. Ce courant architectural naît en Nouvelle-France dès le 17e siècle avec l'établissement des premiers colons français qui importent de leur contrée natale leurs façons traditionnelles de construire. Il se prolonge un peu après l'arrivée des Britanniques à la fin du 18e siècle. Décor automnal. 8 novembre 2001. Tirage photographique, coul. Cette maison appartient à la famille Joly depuis plusieurs générations. En 1978, la propriétaire, Louise Joly affirmait que la maison avait été construite vers 1729. Selon la chaîne de titre, il est fait mention d'une maison sur l'acte de donation de 1753. Cependant en 1788, il est mentionné dans un acte que la maison est en bois. La première mention d'une maison en pierre apparaît dans un acte de 1839 où Jean-Baptiste Joly sépare la terre en deux (lots 42 et 43) et en donne une moitié à ses fils Jean-Baptiste fils et Michel. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Auteuil TERR_0099). | |
C001/A2,06.046 | Maison Vital-Ouimet située au 291, avenue des Terrasses, Auteuil. Vue du côté droit et de la façade d'une maison en pierre construite vers 1841, demeure représentative de la maison traditionnelle québécoise qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Il se peut que la maison date d'avant 1811 car on sait que la terre fut subdivisée et réunifiée plusieurs fois et que Joseph Cadieux reçoit la terre en 1811 en donation de son cousin Jean Cadieux avec une maison en pierre dessus. La terre appartient à Vital Ouimet en 1875 et à Séraphin Archambault en 1911. Mme Jeannine Bastien en est propriétaire en 1978. Décor verdoyant. 8 novembre 2001. tirage photographique, n&b. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Auteuil TERR_0291). | |
C001/A2,06.047 | Ferme située au 2985, avenue des Perron, Auteuil. Vue d'ensemble d'une maison et de bâtiments de ferme. Au centre, un chemin de gravier mène à une maison de ferme, au plan carré et au toit à croupe, construite en 1888 par la famille Young, l'une des rares familles d'origine anglophone du secteur. Cette demeure Sur la gauche, on distingue deux granges en bois placées bout à bout. L'une est porte un toit à doubles versants droits, alors que la deuxième porte un toit à un seul versant. Sur la droite, un troisième bâtiment de bois au toit à deux versant droits, de dimension plus modeste occupe le centre. Connue comme la maison Young. 7 novembre 2011. Tirage photographique, coul. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Auteuil PERR_2985). | |
C001/A2,06.048 | Panneau d'interprétation historique, Sainte-Rose. Photo du panneau historique explicatif de la place publique du village de Sainte-Rose-de-Lima qui se trouve à l'Église de Sainte-Rose. | |
C001/A2,06.049 | Maison située au 55, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue partielle de la façade d'une maison à mansarde, construite vers 1868, dans un style très en vogue en milieu rural au Québec entre 1875 et 1920. Cette maison en pierre de Dolomie de Beekmantown possède une mansarde aux formes inhabituelles. Elle a appartenu à monsieur Hormidas Joly, puis à W.T. Stace. Décor verdoyant. Tirage photographique n&b. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_005). | |
C001/A2,06.050 | Maison située au 218, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue d'ensemble de la façade d'une maison traditionnelle québécoise, construite en 1859, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Cette maison est l'ancienne demeure du bedeau qui a été construite en 1859 avec la pierre et le bois réutilisés suite à la démolition de la deuxième église construite en 1788 et démantelée dans les années 1850 avec l'édification du lieu de culte actuel. Depuis 1840, la maison du bedeau était située à l'ouest de l'église, sur le terrain actuel de l'ancien couvent des Soeurs de Sainte-Croix. En mauvais état, cette maison est remplacée par une nouvelle demeure en 1859, toujours pour loger le bedeau de la paroisse et sa famille. De 1952 à 1956, la Caisse Desjardins y loue une pièce et y ouvre un comptoir. À partir de 1960, plusieurs commerces s'y succèdent, dont Boutique Coiffure Christine dans les années 1970. Depuis 1985, le bâtiment a uniquement une fonction commerciale (Le Berlingot - Bar laitier). Décor estival. 29 mars 2006. Tirage photographique, coul. Informations tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose (SROS_0218). | |
C001/A2,06.051 | Maison située au 2985, avenue des Perron, Auteuil. Vue d'ensemble du côté gauche et de la façade d'une maison à mansarde en pierre, construite en 1888, un style est très en vogue en milieu rural au Québec entre 1875 et 1920. En 1858, James Young cultive une terre de 88 arpents dans la Côte des Perron et en 1888, la famille Young fait construire une solide maison en pierre, aujourd'hui désignée «maison Young». Cette demeure fut celle de la famille Young, l'une des rares familles d'origine anglophone du secteur. Décor automnal. 7 novembre 2001. Tirage photographique, coul. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Auteuil PERR_2985). | |
C001/A2,06.052 | Maison située au 3255, avenue des Perron, Auteuil. Vue du côté gauche et de la façade d'une maison franco-québécoise en pierre construite vers 1848, une demeure représentative de la maison franco-québécoise qui est le résultat de l'intégration de l'architecture néoclassique anglaise importée par les Britanniques à la fin du 18e siècle aux façons traditionnelles de construire en Nouvelle-France. Ce type de résidence constitue un modèle de transition entre la maison d'esprit français et la maison traditionnelle québécoise. Décor automnal. 7 novembre 2001. Tirage photographique, coul. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Auteuil PERR_3255). | |
C001/A2,06.053 | Maison située au 3575, avenue des Perron, Auteuil. Vue partielle de la façade du côté droit d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1890, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Une deuxième maison dans le même style est visible en arrière-plan. Décor estival. 7 novembre 2001. Tirage photographique, coul. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Auteuil PERR_3575). | |
C001/A2,06.054 | Maison située au 3575, avenue des Perron, Auteuil. Vue de la façade du côté gauche d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1890, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Décor estival. 7 novembre 2001. Tirage photographique, coul. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Auteuil PERR_3575). | |
C001/A2,06.055 | Maison située au 3575, avenue des Perron, Auteuil. Vue du côté gauche et de la façade d'une maison traditionnelle québécoise en moellons, construite vers 1890, dans un style qui domine les campagnes et les villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Décor automnal. Tirage photographique, coul. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Auteuil PERR_3575). | |
C001/A2,06.057 | Maison située au 208, boulevard Sainte-Rose Est, Auteuil. Vue d'ensemble du côté gauche d'une maison traditionnelle québécois, probablement construite entre la fin du 18e siècle et 1828. Cette résidence est apparentée à la maison d'esprit français, un courant architectural qui naît en Nouvelle-France dès le 17e siècle avec l'établissement des premiers colons français qui importent de leur contrée natale leurs façons traditionnelles de construire. Ce courant se prolonge un peu après l'arrivée des Britanniques à la fin du 18e siècle. Cette maison a déjà abrité un magasin d'antiquités. Décor hivernal. Mars 1977. Tirage photographique, coul. La concession de la terre de cette maison appartient successivement à Joseph Vaillancourt (1767), à Pierre Ouimet (1774), à Jean Ouimet (1807), son fils, puis, vraisemblabement à Antoine Merçant dit Lapierre (1828), à Joseph Moissan dit Lapierre (1875), à Émile Carbonneau (1911), et Jean Drapeau (1970). Il s'agit d'une habitation de plan rectangulaire d'un étage et demi en moellons portant un toit à deux versants retroussés en bardeaux de cèdre. Trois cheminées, dont l'une hors-oeuvre, s'élèvent à chaque extrémité. En façade, le rez-de-chaussée est percé d'une porte et de trois fenêtres. Le mur gauche est percé d'une fenêtre au rez-de-chaussée et de deux plus petites sous les combles. Une extension d'un étage et demi en bardeaux de cèdre jouxte l'arrière du bâtiment. Informations en bonne partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Auteuil SROE_0208). | |
C001/A2,06.058 | Maison située au 153, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue de la façade d'une maison traditionnelle québécoise qui fut bâtie vers 1839. Connue comme la maison S. Charbonneau. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Auteuil SROS_0153). | |
C001/A2,06.059 | Maison située au 166, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue de la façade et du côté droit d'une maison de style vernaculaire américain, plus précisément de la variante avec un corps de logis modeste surmonté d'une toiture à deux versants droits. Ce modèle remplace vers la fin du 19e siècle la maison traditionnelle québécoise dont elle partage certaines caractéristiques. Elle a probablement été construite entre 1890 et 1930. Devant la maison, on peut lire sur une affiche «Boutique Bill René 625-5901». Depuis au moins 2014, cette maison et le bâtiment adjacent construit dans les années 2000, constituent le Manoir du Vieux Sainte-Rose, une résidence pour aînés. Cette maison est connue comme la maison William Bourdin. Décor estival. Tirage photographique, n&b. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0166). | |
C001/A2,06.060 | Maison située au 184, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue de la façade d'une maison apparentée à la maison franco-québécoise qui est le résultat de l'intégration de l'architecture néoclassique anglaise importée par les Britanniques à la fin du 18e siècle aux façons traditionnelles de construire en Nouvelle-France. Elle constitue un modèle de transition entre la maison d'esprit français et la maison traditionnelle québécoise.Selon la pierre de date située au-dessus de la porte d'entrée principale, cette demeure aurait été construite en 1816. Cette maison fut la demeure de monsieur C. Poirier. Aujourd'hui, elle a une vocation commerciale (Centre ChiroPratique du Village). Décor hivernal. Années 1970. Tirage photographique, coul. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0184). | |
C001/A2,06.061 | Maison située au 184, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue de la façade d'une maison apparentée à la maison franco-québécoise qui est le résultat de l'intégration de l'architecture néoclassique anglaise importée par les Britanniques à la fin du 18e siècle aux façons traditionnelles de construire en Nouvelle-France. Elle constitue un modèle de transition entre la maison d'esprit français et la maison traditionnelle québécoise.Selon la pierre de date située au-dessus de la porte d'entrée principale, cette demeure aurait été construite en 1816. Cette maison fut la demeure de monsieur C. Poirier. Aujourd'hui, elle a une vocation commerciale (Centre ChiroPratique du Village). Décor hivernal. Tirage photographique, coul. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0184). | |
C001/A2,06.062 | Maison située au 184, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue de la façade d'une maison apparentée à la maison franco-québécoise qui est le résultat de l'intégration de l'architecture néoclassique anglaise importée par les Britanniques à la fin du 18e siècle aux façons traditionnelles de construire en Nouvelle-France. Elle constitue un modèle de transition entre la maison d'esprit français et la maison traditionnelle québécoise.Selon la pierre de date située au-dessus de la porte d'entrée principale, cette demeure aurait été construite en 1816. Cette maison fut la demeure de monsieur C. Poirier. Aujourd'hui, elle a une vocation commerciale (Centre ChiroPratique du Village). Années 1970. Décor estival. Tirage photographique, coul. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0184). | |
C001/A2,06.063 | Maison située au 193, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue de la façade et du côté gauche d'une maison traditionnelle québécoise, un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Cette maison, construite vers 1875, aurait été la propriété de J. Edouard Cloutier, distributeur de machinerie agricole. Décor dépouillé. Tirage photographique, n&b. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0193). | |
C001/A2,06.064 | Maison située au 193, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue de la façade et du côté gauche d'une maison traditionnelle québécoise, un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Cette maison, construite vers 1875, aurait été la propriété de J. Edouard Cloutier, distributeur de machinerie agricole. Décor dépouillé. Tirage photographique, n&b. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0193). | |
C001/A2,06.065 | Maison située au 194, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue d'ensemble de la façade et du côté droit d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1819, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Connue comme la maison G. Lavallée (?). Décor estival. Tirage photographique, n&b. Il s'agit d'une maison de plan carré d'un étage et demi en planche à clins portant un toit à deux versants retroussés en tôle à baguette et percé de deux lucarnes à fronton triangulaire. Une cheminée apparaît à son extrémité gauche. La façade est percée d'une porte flanquée de deux fenêtres. Le côté droit est percé de deux fenêtres par étage. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0194). | |
C001/A2,06.066 | Maison située au 202, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue d'ensemble d'une maison de type traditionnel en pierre de taille, construite vers 1816, représentative du courant néoclassique issu de l'architecture britannique au 19e siècle Cette demeure hébergea Pascal-Adélard Longpré, maire de 1918 à 1936, puis Joseph «Jos» Ouimet, également maire de Sainte-Rose (1936-1950). Au début du XXe siècle, la maison sert entre autres de local pour la Banque Provinciale (1913), puis pour la Caisse populaire de Sainte-Rose de 1959 à 1961. Elle fut ensuite occupée par le Dr. Michel Roy, optométriste (1942-2019) et héberge maintenant la Clinique Visuelle Sainte-Rose. Cette maison porte la dénomination Maison Longpré-Ouimet. Tirage photographique, n&b. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0202). | |
C001/A2,06.067 | Maison située au 202, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue d'ensemble d'une maison de type traditionnel en pierre de taille, construite vers 1816, représentative du courant néoclassique issu de l'architecture britannique au 19e siècle Cette demeure hébergea Pascal-Adélard Longpré, maire de 1918 à 1936, puis Joseph «Jos» Ouimet, également maire de Sainte-Rose (1936-1950). Au début du XXe siècle, la maison sert entre autres de local pour la Banque Provinciale (1913), puis pour la Caisse populaire de Sainte-Rose de 1959 à 1961. Elle fut ensuite occupée par le Dr. Michel Roy, optométriste (1942-2019) et héberge maintenant la Clinique Visuelle Sainte-Rose. Cette maison porte la dénomination Maison Longpré-Ouimet. Années 1970. Tirage photographique, coul. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0202). | |
C001/A2,06.068 | Maison située au 202, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue d'ensemble d'une maison de type traditionnel en pierre de taille, construite vers 1816, représentative du courant néoclassique issu de l'architecture britannique au 19e siècle Cette demeure hébergea Pascal-Adélard Longpré, maire de 1918 à 1936, puis Joseph «Jos» Ouimet, également maire de Sainte-Rose (1936-1950). Au début du XXe siècle, la maison sert entre autres de local pour la Banque Provinciale (1913), puis pour la Caisse populaire de Sainte-Rose de 1959 à 1961. Elle fut ensuite occupée par le Dr. Michel Roy, optométriste (1942-2019) et héberge maintenant la Clinique Visuelle Sainte-Rose. Cette maison porte la dénomination Maison Longpré-Ouimet. Années 1970. Tirage photographique, coul. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0202). | |
C001/A2,06.069 | Maison située au 204, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue d'ensemble d'une maison, construite vers 1900, représentative du style vernaculaire américain, plus particulièrement du modèle avec un plan en L qui est le résultat d'un croisement avec le courant dit «pittoresque». Cette maison fut bâtie en 1900 et fut la demeure du docteur M.J. Lambert. Connue comme la maison Lambert. Décor hivernal. Tirage photographique, n&b. Il s'agit d'une maison de plan irrégulier de deux étages en briques portant un toit versants droits en tôle canadienne. En façade, le rez-de-chaussée est percée d'une porte et deux fenêtres abritées par un toit en appentis surplombant une galerie qui court sur toute sa largeur et une partie du côté droit. L'étage est percé d'une porte donnant sur un balcon, et de deux fenêtres. Le côté droit est percé de deux fenêtres et d'une porte dans sa partie qui fait saillie, et d'une fenêtre à l'étage. Une petite fenêtre est placée sous chacun des deux pignons du toit. Ce type de maison est également doté d'une galerie couverte et d'une plus grande surface habitable. En arrière-plan, on aperçoit une maison plus modeste de plan rectangulaire à un étage et demi avec lucarne en pignon portant un toit en tôle. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0204). | |
C001/A2,06.070 | Maison située au 204, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue d'ensemble d'une maison, construite vers 1900, représentative du style vernaculaire américain, plus particulièrement du modèle avec un plan en L qui est le résultat d'un croisement avec le courant dit «pittoresque». Cette maison fut bâtie en 1900 et fut la demeure du docteur M.J. Lambert. Connue comme la maison Lambert. Décor hivernal. Années 1970. Tirage photographique, coul. Il s'agit d'une maison de plan irrégulier de deux étages en briques portant un toit versants droits en tôle canadienne. En façade, le rez-de-chaussée est percée d'une porte et deux fenêtres abritées par un toit en appentis surplombant une galerie qui court sur toute sa largeur et une partie du côté droit. L'étage est percé d'une porte donnant sur un balcon, et de deux fenêtres. Le côté droit est percé de deux fenêtres et d'une porte dans sa partie qui fait saillie, et d'une fenêtre à l'étage. Une petite fenêtre est placée sous chacun des deux pignons du toit. Ce type de maison est également doté d'une galerie couverte et d'une plus grande surface habitable. En arrière-plan, on aperçoit une maison plus modeste de plan rectangulaire à un étage et demi avec lucarne en pignon portant un toit en tôle. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0204). | |
C001/A2,06.071 | Maison située au 208, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue de la façade et du côté droit d'une maison traditionnelle québécoise, construite, peut-être vers 1830, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Une affiche au contenu illisible est accrochée près de la porte. Cette maison a accueilli le bureau d'enregistrement des municipalités de l'île Jésus, aménagé dans la résidence du notaire F.-X. Léonard (section avec la toiture à deux versants). En 1961, la Caisse Populaire de Sainte-Rose en quête de plus grands locaux déménage dans la bâtisse. Cette maison fut également la demeure de la famille Jean Drapeau. Depuis 2009, ou avant, la bâtisse est occupée par une étude de notaires. Parfois appellée maison Jean Drapeau. Décor dépouillé. Tirage photographique, n&b. Il s'agit d'une maison de plan rectangulaire d'un étage et demi en maçonnerie recouverte d,un crépi et portant un toit à deux versants retroussés en en tôle à baguette. En façade, le rez-de-chaussée est percé d'une porte flanquée de deux fenêtres. Le mur droit est percé de quatre fenêtres (dont trois sont visibles) au rez-de-chaussée et de deux sous les combles. Sur la gauche, un autre bâtiment jouxte la maison. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0208). | |
C001/A2,06.072 | Maison située au 111, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue de la façade et du côté gauche d'une maison traditionnelle québécoise d'un étage et demi en clin de bois. Le rez-de-chaussée est percé d'une porte flanquée de deux fenêtres. Deux lucarnes en façade percent un toit à deux versants retroussés recouvert de tôle à baguette. Cette maison a déjà été habitée par Frédéric Back. Décor estival. Date inconnue. Tirage photographique: n&b. | |
C001/A2,06.074 | Maison située au 132, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue de la façade et du côté droit d'une maison traditionnelle québécoise, construite en 1849, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pen,ant la majeure partie du 19e siècle. Connue comme la maison Desjardins, elle aurait été construite pour, et peut-être par, Michel Desjardins, propriétaire de la terre depuis 1832. La pierre au-dessus de la porte d'entrée principale témoigne de la date de construction et les initiales «M. D» qu'on y retrouve font probablement référence à Michel Desjardins. En 2020, le bâtiment est occupé par les bureaux de Christopher Skeetes, député de Sainte-Rose à l'Assemblée nationale du Québec, et avant lui, les bureaux de Jean Habel, également député. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b. Il s'agit d'une maison de plan rectangulaire d'un étage et demi en pierre de taille (façade) et en moellons (côtés) portant un toit à deux versants droits fait de tôle à baguettes et percé de quatre lucarnes à fronton triangulaire. Une cheminée s'élève à chacune de ses extrémités. Le rez-de-chaussée est percé d'une porte flanquée de quatre fenêtres abritées par l'avant-toit qui surplombe une galerie courant en façade. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0132). | |
C001/A2,06.075 | Maison située au 132, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue de la façade et du côté droit d'une maison traditionnelle québécoise, construite en 1849, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Connue comme la maison Desjardins, elle aurait été construite pour, et peut-être par, Michel Desjardins, propriétaire de la terre depuis 1832. La pierre au-dessus de la porte d'entrée principale témoigne de la date de construction et les initiales «M. D» qu'on y retrouve font probablement référence à Michel Desjardins. En 2020, le bâtiment est occupé par les bureaux de Christopher Skeetes, député de Sainte-Rose à l'Assemblée nationale du Québec, et avant lui, les bureaux de Jean Habel, également député. Décor dépouillé. Tirage photographique, n&b. Il s'agit d'une maison de plan rectangulaire d'un étage et demi en pierre de taille (façade) et en moellons (côtés) portant un toit à deux versants droits fait de tôle à baguettes et percé de quatre lucarnes à fronton triangulaire. Une cheminée s'élève à chacune de ses extrémités. Le rez-de-chaussée est percé d'une porte flanquée de quatre fenêtres abritées par l'avant-toit qui surplombe une galerie courant en façade. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0132). | |
C001/A2,06.076 | Maison située au 132, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue de la façade d'une maison traditionnelle québécoise, construite en 1849, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Connue comme la maison Desjardins, elle aurait été construite pour, et peut-être par, Michel Desjardins, propriétaire de la terre depuis 1832. La pierre au-dessus de la porte d'entrée principale témoigne de la date de construction et les initiales «M. D» qu'on y retrouve font probablement référence à Michel Desjardins. En 2020, le bâtiment est occupé par les bureaux de Christopher Skeetes, député de Sainte-Rose à l'Assemblée nationale du Québec, et avant lui, les bureaux de Jean Habel, également député. Décor dépouillé. Tirage photographique, n&b. Il s'agit d'une maison de plan rectangulaire d'un étage et demi en pierre de taille (façade) et en moellons (côtés) portant un toit à deux versants droits fait de tôle à baguettes et percé de quatre lucarnes à fronton triangulaire. Une cheminée s'élève à chacune de ses extrémités. Le rez-de-chaussée est percé d'une porte flanquée de quatre fenêtres abritées par l'avant-toit qui surplombe une galerie courant en façade. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0132). | |
C001/A2,06.077 | Maison située au 7120, boulevard des Laurentides, Auteuil. Vue d'ensemble du côté droit et de la façade d'une maison traditionnelle québécoise construite en 1838, comme l'indique la pierre de date placée au-dessus de la porte. Ce type de construction domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. On peut également voir les bâtiments de ferme de cette propriété. La terre aurait été concédée en 1700 à un dénommé Phaneuf. La maison fut acquise par Damase Ouimet et pendant longtemps elle sera habitée par une famille Ouimet. Elle est connue comme la maison Georges Ouimet. Décor verdoyant. date inconnue. Tirage photographique, n&b. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Auteuil LAUR_7120). | |
C001/A2,06.080 | Maison située au 204, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue d'ensemble d'une maison, construite vers 1900, représentative du style vernaculaire américain, plus particulièrement du modèle avec un plan en L qui est le résultat d'un croisement avec le courant dit «pittoresque». Cette maison fut bâtie en 1900 et fut la demeure du docteur M.J. Lambert. Connue comme la maison Lambert. Décor automnal. Années 1970. Tirage photographique, coul. Il s'agit d'une maison de plan irrégulier de deux étages en briques portant un toit versants droits en tôle canadienne. En façade, le rez-de-chaussée est percée d'une porte et deux fenêtres abritées par un toit en appentis surplombant une galerie qui court sur toute sa largeur et une partie du côté droit. L'étage est percé d'une porte donnant sur un balcon, et de deux fenêtres. Le côté droit est percé de deux fenêtres et d'une porte dans sa partie qui fait saillie, et d'une fenêtre à l'étage. Une petite fenêtre est placée sous chacun des deux pignons du toit. Ce type de maison est également doté d'une galerie couverte et d'une plus grande surface habitable. En arrière-plan, on aperçoit une maison plus modeste de plan rectangulaire à un étage et demi avec lucarne en pignon portant un toit en tôle. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0204). | |
C001/A2,06.085 | Maison située au 246, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue de la façade et d'une partie du côté gauche d'une grande maison ayant subi des transformations afin de ressembler aux immeubles de type plex (duplex, triplex, et autres), dérivés du style Boomtown, qui apparaissent au début du 20e siècle dans les grandes villes nord-américaines. Ce bâtiment, originalement au toit mansardé construit ou résultat d'une transformation entre 1870 et 1900 occupe le site où était sise une petite maison de bois en pièces sur pièces, maison natale du curé Antoine Labelle, en 1833. On peut d'ailleurs distinguer la plaque qui commémore cet événement. La maison aurait, plus tard, été la demeure de famille Ouellette et Durocher dans les années 1930, et de M. Major. Années 1970. Tirage photographique, coul. Informations tirées de la base de données patromoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0246). | |
C001/A2,06.086 | Maison située au 14, rue Cantin, Sainte-Rose. Vue du côté gauche et de la façade d'une maison, construite vers 1927, qui s'inscrit dans le courant victorien. De 1932 à 2002, cette maison appartient aux Soeurs de Sainte-Croix, qui possèdent le couvent situé juste derrière la propriété. Trois classes y sont aménagées. La cuisine est utilisée pour les cours d'art culinaire. Décor automnal. Années 1970. Tirage photographique, coul. Informations tirées de la base de données patromoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose CANT_0014). | |
C001/A2,06.088 | Couvent de Sainte-Rose, situé au 233, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue de la façade et d'une partie de la face droite de l'ancien couvent de Sainte-Rose construit en 1876 selon les plans de l'architecte Victor Bourgeau, et représentatif du style Second Empire, un courant architectural fort prisé entre le milieu et la fin du 19e siècle par l'élite religieuse et bourgeoise canadienne-française dans la construction de bâtiments institutionnels et de résidences opulentes. Le couvent est dirigé par les Soeurs de Sainte-Croix qui viennent s'installer à Sainte-Rose pour prendre en charge l'éducation des jeunes filles. Le couvent est agrandi en 1912 selon les plans de l'architecte Joseph Sawer et alors que l'entrepreneur est Félix Labelle. Le couvent, également connu sous le nom de Pensionnat Saint-Charles, est de nouveau agrandi en 1947. Le bâtiment remplit ces fonctions jusqu'en 1976 avant de servir de maison d'accueil pour les religieuses retraitées. De nos jours, l'ancien couvent a une vocation commerciale. Années 1970. Tirage photograhique, coul. Il s'agit d'un bâtiment rectangulaire de quatre étages au parement de pierre à bossage provenant des carrières de l'entrepreneur Félix Labelle. En façade, une volée de marches mène à un porche abritant l'entrée principale. Chaque étage s'orne de cinq ouvertures, l'étage supérieur, sous un toit mansardé à quatre versants, présentant deux lucarnes à pignon de part et d'autre d'une lucarne-pignon centrale. Le même ordonnement général est reproduit sur le côté droit du bâtiment sur lequel est fixé un escalier de secours en fer. En arrière-plan, on distingue le clocheton planté sur le toit. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0233). | |
C001/A2,06.091 | Maison située au 318 et 320, boulevard Sainte-Rose, Fabreville. Vue de la façade et du côté droit d'une maison de plan rectangulaire de deux étage aux fondations de moellons et au revêtement de briques portant un toit plat. En façade, le rez-de-chaussée est percé de deux portes et deux fenêtres abritées par un toit en appentis surplombe une galerie qui court sur toute la largeur. Sur le côté droit, on distingue une fenêtre à chaque étage. Décor verdoyant. La photograhie est trés sombre. Tirage photographique, n&b. | |
C001/A2,06.094 | Maison située au 329, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue de la façade et du côté droit d'une maison représentative du style vernaculaire américain qui remplace progressivement la maison traditionnelle québécoise à partir de la fin du 19e siècle. Elle aurait été construite vers 1892. Le peintre Marc-Aurèle Fortin a pensionné un certain temps dans cette maison et y serait peut-être né. Cette maison fut également la demeure de Laure Saint-Aubin. Décor automnal. Tirage photographique, coul. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0329). | |
C001/A2,06.095 | Maison située au 243, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue d'ensemble de la façade d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1868, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Connue comme la maison Hartmann. Décor automnal. [Années 1980]. Tirage photographique, coul. Il s'agit d'une maison de plan rectangulaire d'un étage et demi portant un toit à deux versants retroussés en tôle pincée et percé d'une lucarne rampante. Des cheminées s'élèvent à chaque extrémité. La façade, qui semble recouverte d'un enduit, est percée de deux portes et de trois fenêtres abritées par un toit en appentis qui surplombe la galerie sur toute sa largeur. Le côté droit est percé de deux fenêtres par étage et d'une plus petite au niveau du faîte. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0243). | |
C001/A2,06.096 | Maison ancestrale Vue de la façade d'une maison traditionnelle québécoise, aujourd'hui disparue. Emplacement inconnu. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b. | |
C001/A2,06.097 | Maison autrefois située au 3951, boulevard Sainte-Rose, Fabreville. Vue de la façade d'une maison traditionnelle québécoise, aujourd'hui disparue, démolie pour la construction de l'autoroute 13. Elle est connue comme la maison Viateur Lacroix. On peut voir un bâtiment de ferme sur la droite. Décor dépouillé. Tirage photographique, n&b. | |
C001/A2,06.098 | Maison autrefois située au 3951, boulevard Sainte-Rose, Fabreville. Vue de la façade d'une maison traditionnelle québécoise, aujourd'hui disparue, démolie pour la construction de l'autoroute 13. Elle est connue comme la maison Viateur Lacroix. Décor dépouillé. Tirage photographique, n&b. | |
C001/A2,06.099 | Maison autrefois située au 19, rue Émile, Sainte-Rose. Vue d'ensemble d'une maison de style néo-Queen Ann en bois, construite en 1896, et aujourd'hui disparue. Cette maison fut occupée par Zéphirin Gauthier, avocat établi à Montréal, pendant les années 1940. Elle fut également la demeure de Donat Landry à une époque inconnue. La rue Émile se nomme maintenant rue Émile-Léonard. Décor dépouillé. Tirage photographique, n&b. | |
C001/A2,06.101 | Maison située au 178, rue Lepage, Sainte-Rose. Vue de la façade d'une maison à mansarde, construite vers 1880, un style très en vogue en milieu rural au Québec entre 1875 et 1920. Cette maison au parement de briques, de deux étages et demi, porte un toit mansardé à deux versants. Une extension de deux étages dans le même style jouxte le bâtiment principal sur la droite. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose LEPA_0178). | |
C001/A2,06.102 | Maison située au 14, rue Cantin, Sainte-Rose Vue du côté gauche et de la façade d'une maison, construite vers 1927, qui s'inscrit dans le courant victorien. De 1932 à 2002, cette maison appartient aux Soeurs de Sainte-Croix, qui possèdent le couvent situé juste derrière la propriété. Trois classes y sont aménagées. La cuisine est utilisée pour les cours d'art culinaire. Décor estival. Date inconnue. Tirage photographique, n&b. Informations tirées de la base de données patromoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose CANT_0014). | |
C001/A2,06.104 | Maison située au 178, rue Lepage, Sainte-Rose. Vue de la façade d'une maison à mansarde, construite vers 1880, un style très en vogue en milieu rural au Québec entre 1875 et 1920. Cette maison au parement de briques, de deux étages et demi, porte un toit mansardé à deux versants. Une extension de deux étages dans le même style jouxte le bâtiment principal sur la droite. Décor verdoyant. Tirage photographique, coul. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose LEPA_0178). | |
C001/A2,06.106 | Maison située au 329, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue de la façade et du côté gauche d'une maison représentative du style vernaculaire américain qui remplace progressivement la maison traditionnelle québécoise à partir de la fin du 19e siècle. Elle aurait été construite vers 1892. Le peintre Marc-Aurèle Fortin a pensionné un certain temps dans cette maison et y serait peut-être né. Cette maison fut également la demeure de Laure Saint-Aubin. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0329). | |
C001/A2,06.107 | Maison située au 329, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue de la façade et du côté droit d'une maison représentative du style vernaculaire américain qui remplace progressivement la maison traditionnelle québécoise à partir de la fin du 19e siècle. Elle aurait été construite vers 1892. Le peintre Marc-Aurèle Fortin a pensionné un certain temps dans cette maison et y serait peut-être né. Cette maison fut également la demeure de Laure Saint-Aubin. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0329). | |
C001/A2,06.108 | Maison située au 329, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue rapprochée de la façade d'une maison représentative du style vernaculaire américain qui remplace progressivement la maison traditionnelle québécoise à partir de la fin du 19e siècle. Elle aurait été construite vers 1892. Le peintre Marc-Aurèle Fortin a pensionné un certain temps dans cette maison et y serait peut-être né. Cette maison fut également la demeure de Laure Saint-Aubin. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0329). | |
C001/A2,06.110a | Maison située au 342, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue du côté droit et de la façade d'une maison à mansarde, construite vers 1900, style très en vogue en milieu rural au Québec entre 1875 et 1920. Elle aurait été la demeure de monsieur Jacques Labelle. Tirage photographique, n&b. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0342). | |
C001/A2,06.110b | Maison située au 342, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue du côté droit d'une maison à mansarde, construite vers 1900, style très en vogue en milieu rural au Québec entre 1875 et 1920. Elle aurait été la demeure de monsieur Jacques Labelle. Tirage photographique, n&b. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0342). | |
C001/A2,06.110c | Maison située au 342, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue du côté droit d'une maison à mansarde, construite vers 1900, style très en vogue en milieu rural au Québec entre 1875 et 1920. Elle aurait été la demeure de monsieur Jacques Labelle. Tirage photographique, n&b. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0342). | |
C001/A2,06.110d | Maison située au 342, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Détail de la façade d'une maison à mansarde, construite vers 1900, style très en vogue en milieu rural au Québec entre 1875 et 1920. Elle aurait été la demeure de monsieur Jacques Labelle. Tirage photographique, n&b. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0342). | |
C001/A2,06.111 | Maison située au 342, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Détail de la façade et du côté droit d'une maison à mansarde, construite vers 1900, style très en vogue en milieu rural au Québec entre 1875 et 1920. Elle aurait été la demeure de monsieur Jacques Labelle. Tirage photographique, n&b. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0342). | |
C001/A2,06.112a | Maison située au 344, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue de la façade d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1900, qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Cette maison aurait été la demeure de monsieur Arthur Désormaux. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0344). | |
C001/A2,06.112b | Maison située au 344, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue de la façade et du côté droit d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1900, qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Cette maison aurait été la demeure de monsieur Arthur Désormaux. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0344). | |
C001/A2,06.112c | Maison située au 344, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Détail de la façade et du côté gauche d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1900, qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Cette maison aurait été la demeure de monsieur Arthur Désormaux. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0344). | |
C001/A2,06.115 | Maison située au 363, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue de la façade et du côté droit d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1830, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Connue comme la maison Arnoldi. En avant-plan, une haie longeant une clôture, un poteau et des fils électriques, un panneau Arrêt et une plaque de rue sur laquelle on peut lire boul. Ste-Rose. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b. Il s'agit d'une maison d'un étage et demi construite en moellons. De plan rectangulaire, cette maison possède un toit à deux versants retroussés en bardeaux de cèdre percé de deux lucarnes à pignon. La façade est dotée d'une porte, au seuil légèrement surélevé, et de trois fenêtres. Le côté droit du bâtiment est percé de deux fenêtres, plus petites sous les combles, à chaque étage. Une cheminée, construite à même le mur se dresse au-dessus du faîte. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0363). | |
C001/A2,06.116a | Maison située au 363, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue du côté droit d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1830, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Connue comme la maison Arnoldi. En avant-plan, une haie longeant une clôture, un panneau Arrêt et deux plaques de rue sur laquelle on peut lire boul. Ste-Rose et Albert. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b. Il s'agit d'une maison d'un étage et demi construite en moellons. De plan rectangulaire, cette maison possède un toit à deux versants retroussés en bardeaux de cèdre percé de deux lucarnes à pignon. La façade est dotée d'une porte, au seuil légèrement surélevé, et de trois fenêtres. Le côté droit du bâtiment est percé de deux fenêtres, plus petites sous les combles, à chaque étage. Une cheminée, construite à même le mur se dresse au-dessus du faîte. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0363). | |
C001/A2,06.116b | Maison située au 363, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue de la façade et du côté gauche d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1830, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. En avant-plan, une haie longeant une clôture, et une borne fontaine. Connue comme la maison Arnoldi. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b. Il s'agit d'une maison d'un étage et demi construite en moellons. De plan rectangulaire, cette maison possède un toit à deux versants retroussés en bardeaux de cèdre percé de deux lucarnes à pignon. La façade est dotée d'une porte, au seuil légèrement surélevé, et de trois fenêtres. Le côté gauche du bâtiment est percé d'une fenêtre au rez-de-chaussée et deux plus petites sous les combles. Une cheminée, envahie par la vigne, est construite à même le mur. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0363). | |
C001/A2,06.116c | Maison située au 363, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue du côté droit d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1830, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. En avant-plan, une haie longeant une clôture, et une borne fontaine. Connue comme la maison Arnoldi. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b. Il s'agit d'une maison d'un étage et demi construite en moellons. De plan rectangulaire, cette maison possède un toit à deux versants retroussés en bardeaux de cèdre percé de deux lucarnes à pignon. L'extension, sur la droite, au mur recouvert de crépi et au perron surélevé, est surmontée d'un toit à deux versants droits en bardeau de cèdre. Une cheminée en briques, hors-oeuvre, s'élève à l'angle formé par les deux constructions. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0363). | |
C001/A2,06.116d | Maison située au 363, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue de la façade d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1830, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. En avant-plan, une haie longeant une clôture et un cable électrique qui traverse le ciel. Connue comme la maison Arnoldi. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b. Il s'agit d'une maison d'un étage et demi construite en moellons. De plan rectangulaire, cette maison possède un toit à deux versants retroussés en bardeaux de cèdre percé de deux lucarnes à pignon. L'extension, sur la droite, au mur recouvert de crépi et au perron surélevé, est surmontée d'un toit à deux versants droits en bardeau de cèdre. Une cheminée en briques, hors-oeuvre, s'élève à l'angle formé par les deux constructions. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0363). | |
C001/A2,06.116e | Maison située au 363, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue de la façade d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1830, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. En avant-plan, une haie et un poteau auquel est fixé un panneau d'Arrêt, et deux plaques de rues sur lesquelles on peut lire Boul Ste-Rose et Albert. Connue comme la maison Arnoldi. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b. Il s'agit d'une maison d'un étage et demi construite en moellons. De plan rectangulaire, cette maison possède un toit à deux versants retroussés en bardeaux de cèdre percé de deux lucarnes à pignon. L'extension, sur la droite, au mur recouvert de crépi et au perron surélevé, est surmontée d'un toit à deux versants droits en bardeau de cèdre. Une cheminée en briques, hors-oeuvre, s'élève à l'angle formé par les deux constructions. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0363). | |
C001/A2,06.116f | Maison située au 363, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue du côté droit d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1830, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Connue comme la maison Arnoldi. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b. Il s'agit d'une maison d'un étage et demi construite en moellons. De plan rectangulaire, cette maison possède un toit à deux versants retroussés en bardeaux de cèdre percé de deux lucarnes à pignon. Le côté droit du bâtiment est percé de deux fenêtres, plus petites sous les combles, à chaque étage, et d'une porte aménagée dans le soubassement du bâtiment. L'extension est recouvert d'un crépi, est percée d'un soupirail et porte un toit en bardeaux de cèdre à deux versants. Une cheminée de brique, hors-ouoeuvre, s'élève à l'angle formé par les deux bâtiments. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0363). | |
C001/A2,06.116g | Maison située au 363, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue rapprochée de la façade d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1830, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Connue comme la maison Arnoldi. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b. Il s'agit d'une maison d'un étage et demi construite en moellons. De plan rectangulaire, cette maison possède un toit à deux versants retroussés en bardeaux de cèdre percé de deux lucarnes à pignon. La façade est dotée d'une porte, au seuil légèrement surélevé, et de trois fenêtres. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0363). | |
C001/A2,06.116h | Maison située au 363, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue rapprochée de la façade d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1830, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Connue comme la maison Arnoldi. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b. Il s'agit d'une maison d'un étage et demi construite en moellons. De plan rectangulaire, cette maison possède un toit à deux versants retroussés en bardeaux de cèdre percé de deux lucarnes à pignon. La façade est dotée d'une porte, au seuil légèrement surélevé, et de trois fenêtres. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0363). | |
C001/A2,06.116i | Maison située au 363, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue d'un détail du côté droit d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1830, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. On aperçoit une fenêtre du rez-de-chaussée, et une seconde, plus petite, sous les combles, vers l'avant du bâtiment. Connue comme la maison Arnoldi. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b. Il s'agit d'une maison d'un étage et demi construite en moellons. De plan rectangulaire, cette maison possède un toit à deux versants retroussés en bardeaux de cèdre percé de deux lucarnes à pignon. La façade est dotée d'une porte, au seuil légèrement surélevé, et de trois fenêtres. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0363). | |
C001/A2,06.117 | Maison située au 363, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue du côté droit d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1830, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Connue comme la maison Arnoldi. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b. Il s'agit d'une maisond 'un étage et demi construite en moellons. De plan rectangulaire, cette maison possède un toit à deux versants retroussés en bardeaux de cèdre percé de deux lucarnes à pignons. La façade est dotée d'une porte, au seuil légèrement surélevé, et de trois fenêtres. Le côté droit du bâtiment est percé de deux fenêtres, plus petites sous les combles, à chaque étage. Une cheminée, de briques et hors-oeuvre, s'élève à l'angle formé par la maison et une extension la jouxtan à l'arrière. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0363). | |
C001/A2,06.119 | Maison située au 367, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue de la façade d'une maison québécoise d'influence américaine, construite en 1892. Au début du 20e siècle, on connaissait ce bâtiment comme le Cedar Tea Lodge Cottage, un salon de thé pour vacanciers. Il aurait été la demeure de Solamon Schipper. Le lot a été acquis en 1986 par les Soeurs de Sainte-Croix, dernières détentrices avant l'achat par Olymbec en 2019. La maison est maintenant connue comme la maison Cap Vie. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b. Les informations proviennent en partie d'un article paru dans le CourrierLaval.com par Alexis Gohier-Drolet, le 23 juillet 2019. | |
C001/A2,06.120a | Maison située au 378, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue d'ensemble du côté gauche et de la façade d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1858, un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Décor verdoyant. Connue comme la maison Arthur Grenier. Tirage photographique, n&b. Il s'agit d'une maison de plan rectangulaire d'un un étage et demi, au toit à deux versants retroussés et percé de deux lucarnes à pignon. La façade du rez-de-chaussée possède une porte flanquée d'une fenêtre de part et d'autre. Le côté gauche est percé de deux fenêtres par étage. Le terrain, légèrement en pente, expose une fondation de béton. Le revêtement est de papier-brique et le toit, recouvert de tôle à baguette, surplombe la galerie qui court en façade. Une cheminée en brique, hors-oeuvre, s'élève le long du mur gauche jusqu'à son faîte. À l'arrière, le toit se prolonge en appentis au-dessus d'un tambour. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0378). | |
C001/A2,06.120b | Maison située au 378, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue du côté droit d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1858, un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Décor verdoyant. Connue comme la maison Arthur Grenier. Tirage photographique, n&b. Il s'agit d'une maison de plan rectangulaire d'un un étage et demi, au toit à deux versants retroussés et percé de deux lucarnes à pignon. La façade du rez-de-chaussée possède une porte flanquée d'une fenêtre de part et d'autre. Le côté droit est percé d'une fenêtre au rez-de-chaussée, et de deux sous les combles. Le terrain, légèrement en pente, expose une fondation de béton. Le revêtement est de papier-brique et le toit, recouvert de tôle à baguette, surplombe la galerie qui court en façade. À l'arrière, le toit se prolonge en appentis pour abriter une galerie dont on n'aperçoit que l'escalier qui y mène. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0378). | |
C001/A2,06.120c | Maison située au 378, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue du côté gauche d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1858, un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Décor verdoyant. Connue comme la maison Arthur Grenier. Tirage photographique, n&b. Il s'agit d'une maison de plan rectangulaire d'un un étage et demi, au toit à deux versants retroussés et percé de deux lucarnes à pignon. La façade du rez-de-chaussée possède une porte flanquée d'une fenêtre de part et d'autre. Le côté gauche est percé de deux fenêtres par étage. Le terrain, légèrement en pente, expose une fondation de béton. Le revêtement est de papier-brique et le toit, recouvert de tôle à baguette, surplombe la galerie qui court en façade. Une cheminée en brique, hors-oeuvre, s'élève le long du mur gauche jusqu'à son faîte. À l'arrière, le toit se prolonge en appentis au-dessus d'un tambour. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0378). | |
C001/A2,06.120d | Maison située au 378, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Détail de la façade d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1858, un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Décor verdoyant. Connue comme la maison Arthur Grenier. Tirage photographique, n&b. Il s'agit d'une maison de plan rectangulaire d'un un étage et demi, au toit à deux versants retroussés et percé de deux lucarnes à pignon. La façade du rez-de-chaussée possède une porte flanquée d'une fenêtre de part et d'autre. Le côté gauche est percé de deux fenêtres par étage. Le terrain, légèrement en pente, expose une fondation de béton. Le revêtement est de papier-brique et le toit, recouvert de tôle à baguette, surplombe la galerie qui court en façade. Une cheminée en brique, hors-oeuvre, s'élève le long du mur gauche jusqu'à son faîte. À l'arrière, le toit se prolonge en appentis au-dessus d'un tambour. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0378). | |
C001/A2,06.121 | Maison située au 408, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue de la façade et du côté droit d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1900, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Elle a été la demeure de Roland Labelle. Décor estival. Tirage photographique, n&b. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0408). | |
C001/A2,06.122a | Maison située au 328 et 330, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue de la façade et du côté droit d'une maison traditionnelle québécoise construite vers 1880 avec influence du courant victorien de l'époque. Cette maison a été la résidence de la famille du peintre Clarence Gagnon pendant un certain temps, probablement entre le début des années 1880 jusqu'à la fin des années 1880 ou au début des années 1890. Clarence Gagnon a vécu dans le village de Sainte-Rose de l'âge de deux à dix ans. Cette maison fut également la demeure de monsieur Jean-Pierre Bolduc. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b. Vue rapprochée de la façade d'une maison de plan rectangulaire d'un étage et demie en planche à clins portant un toit à deux versants droits en tôle à la canadienne percé de quatre lucarnes à fenêtre pendante. En façade, le rez-de-chaussée est percé de deux portes et de deux fenêtres abritées par un toit en appentis surplombant une galerie qui court sur tout sa largeur et une partie du côté droit. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0328). | |
C001/A2,06.122b | Maison située au 328 et 330, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue de la façade et du côté droit d'une maison traditionnelle québécoise construite vers 1880 avec influence du courant victorien de l'époque Cette maison a été la résidence de la famille du peintre Clarence Gagnon pendant un certain temps, probablement entre le début des années 1880 jusqu'à la fin des années 1880 ou au début des années 1890. Clarence Gagnon a vécu dans le village de Sainte-Rose de l'âge de deux à dix ans. Cette maison fut également la demeure de monsieur Jean-Pierre Bolduc. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b. Maison de plan rectangulaire d'un étage et demie en planche à clins portant un toit à deux versants droits en tôle à la canadienne percé de quatre lucarnes à fenêtre pendante. Une cheminée s'élève à chacune de ses extrémités. En façade, le rez-de-chaussée est percé de deux portes et de deux fenêtres abritées par un toit en appentis surplombant une galerie qui court sur tout sa largeur et une partie du côté droit. Le mur droit est percé d'une petite fenêtre par étage alors qu'une porte abritée le jouxtant mène à la cave. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0328). | |
C001/A2,06.124 | Maison située au 208, boulevard Sainte-Rose Est, Auteuil. Vue d'ensemble de la façade et du côté gauche d'une maison traditionnelle québécois, probablement construite entre la fin du 18e siècle et 1828. Cette résidence est apparentée à la maison d'esprit français, un courant architectural qui naît en Nouvelle-France dès le 17e siècle avec l'établissement des premiers colons français qui importent de leur contrée natale leurs façons traditionnelles de construire. Ce courant se prolonge un peu après l'arrivée des Britanniques à la fin du 18e siècle. Cette maison a déjà abrité un magasin d'antiquités. Décor automnal. Tirage photographique, coul. La concession de la terre de cette maison appartient successivement à Joseph Vaillancourt (1767), à Pierre Ouimet (1774), à Jean Ouimet (1807), son fils, puis, vraisemblabement à Antoine Merçant dit Lapierre (1828), à Joseph Moissan dit Lapierre (1875), à Émile Carbonneau (1911), et Jean Drapeau (1970). Il s'agit d'une habitation de plan rectangulaire d'un étage et demi en moellons portant un toit à deux versants retroussés en bardeaux de cèdre. Trois cheminées, dont l'une hors-oeuvre, s'élèvent à chaque extrémité. En façade, le rez-de-chaussée est percé d'une porte et de trois fenêtres. Le mur gauche est percé d'une fenêtre au rez-de-chaussée et de deux plus petites sous les combles. Une extension d'un étage et demi en bardeaux de cèdre jouxte l'arrière du bâtiment. Informations en bonne partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Auteuil SROE_0208). | |
C001/A2,06.125 | Maison Filiatrault-Latour située au 242, boulevard Sainte-Rose. Vue d'ensemble de la façade d'une maison traditionnelle québécoise, bâtie vers 1780 - 1790. Elle est représentative de la maison franco-québécoise qui est le résultat de l'intégration de l'architecture néoclassique anglaise importée par les Britanniques à la fin du 18e siècle aux façons traditionnelles de construire en Nouvelle-France. Elle constitue ainsi un modèle de transition entre la maison d'esprit français et la maison traditionnelle québécoise. L'un de ses propriétaires à la fin du 18e siècle, Joseph Filiatrault, a donné le terrain pour construire la deuxième église de Sainte-Rose en 1788. Le conseil du village a siégé dans cette maison au milieu du 19e siècle ainsi que le premier secrétariat du village de Sainte-Rose en 1858. Le notaire Jean-Benjamin Latour en sera ensuite propriétaire, puis son fils le notaire Jean-Paul Latour. Connue sous la dénomination Maison Filiatrault-Latour. Décor dépouillé. Tirage photographique, coul. Informations tirées de la base de données patromoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0242). | |
C001/A2,06.127 | Maison située au 243, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue d'ensemble de la façade et du côté droit d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1868, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Une pancarte acrochée au-dessus de l'entrée affiche «Artisanat». Connue comme la maison Hartmann. Décor hivernal. Années 1970. Tirage photographique, coul. Il s'agit d'une maison de plan rectangulaire d'un étage et demi portant un toit à deux versants retroussés en tôle pincée et percé d'une lucarne rampante. Des cheminées s'élèvent à chaque extrémité. La façade, qui semble recouverte d'un enduit, est percée de deux portes et de trois fenêtres abritées par un toit en appentis qui surplombe la galerie sur toute sa largeur. Le côté droit est percé de deux fenêtres par étage et d'une plus petite au niveau du faîte. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0243). | |
C001/A2,06.128 | Maison située au 246, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue de la façade et d'une partie du côté gauche d'une grande maison ayant subi des transformations afin de ressembler aux immeubles de type plex (duplex, triplex, et autres), dérivés du style Boomtown, qui apparaissent au début du 20e siècle dans les grandes villes nord-américaines. Ce bâtiment, originalement au toit mansardé construit ou résultat d'une transformation entre 1870 et 1900 occupe le site où était sise une petite maison de bois en pièces sur pièces, maison natale du curé Antoine Labelle, en 1833. On peut d'ailleurs distinguer la plaque qui commémore cet événement. La maison aurait, plus tard, été la demeure de famille Ouellette et Durocher dans les années 1930, et de M. Major. Tirage photographique, n&b. Informations tirées de la base de données patromoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0246). | |
C001/A2,06.129 | Maison située au 246, boulevard Sainte-Rose, sainte-Rose. Vue de la façade et d'une partie du côté gauche d'une grande maison ayant subi des transformations afin de ressembler aux immeubles de type plex (duplex, triplex, et autres), dérivés du style Boomtown, qui apparaissent au début du 20e siècle dans les grandes villes nord-américaines. Ce bâtiment, originalement au toit mansardé construit ou résultat d'une transformation entre 1870 et 1900 occupe le site où était sise une petite maison de bois en pièces sur pièces, maison natale du curé Antoine Labelle, en 1833. On peut d'ailleurs distinguer la plaque qui commémore cet événement. La maison aurait, plus tard, été la demeure de famille Ouellette et Durocher dans les années 1930, et de M. Major. Décor hivernal. Années 1970. Tirage photographique, coul. Informations en partie tirées de la base de données patromoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0246). | |
C001/A2,06.130 | Maison située au 246, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue de travaux de ravalement sur le côté gauche d'une grande maison ayant subi des transformations afin de ressembler aux immeubles de type plex (duplex, triplex, et autres), dérivés du style Boomtown, qui apparaissent au début du 20e siècle dans les grandes villes nord-américaines. Ce bâtiment, originalement au toit mansardé construit ou résultat d'une transformation entre 1870 et 1900 occupe le site où était sise une petite maison de bois en pièces sur pièces, maison natale du curé Antoine Labelle, en 1833. On peut d'ailleurs distinguer la plaque qui commémore cet événement. La maison aurait, plus tard, été la demeure de famille Ouellette et Durocher dans les années 1930, et de M. Major. Décor estival. Tirage photographique, n&b. Informations tirées de la base de données patromoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0246). | |
C001/A2,06.131 | Maison située au 255, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue d'ensemble du côté gauche et de la façade d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1856, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Il s'agit d'une maison de plan rectangulaire d'un étage et demi en moellons et chaînages portant un toit à deux versants retroussés en tôle à baguette et percé de trois lucarnes à pignon. Une cheminée (non visible) construite à même les murs s'élève sur son côté gauche. En façade, le rez-de-chaussée est percé d'une porte flanquée de deux fenêtres abritée par un avant-toit qui surplombe une galerie courant sur toute sa largeur. Le côté gauche est percé d'une fenêtre au rez-de-chaussée et de deux plus petites sous les combles. Sur la droite, on distingue une extension empiétant sur la galerie, et une affiche sur laquelle on lit «ANTIQUES». Cette maison est connue sous la dénomination Maison Ouimet. Décor dépouillé. Tirage photographique, n&b. Note historique : La terre appartient d'abord à la famille Filiatrault. Vers 1833, les Ouimet s'en portent acquéreurs. Elle est ensuite cédée à Michel Ouimet (frère de Paul Ouimet et Marguerite Foucault [Faucault], époux d'Élisabeth Filiatrault, qui construit ou fait construire cette demeure vers 1856 (d'autres sources avancent également 1845, 1852 et 1854). On rapporte que les pierres de la demeure proviennent de la démolition de la deuxième église de Sainte-Rose qui avait été érigée en 1788. Paul Ouimet donne sa terre à son fils Anselme (père de Séraphin Ouimet (d.1964), ingénieur, et de Charles Ouimet, surintendant de la ville de Sainte-Rose, qui y serait nés) qui y sont tous nés. En 1929, la maison fut vendue au fils d'Anselme, Charles Ouimet, et la maison fut habitée par ses deux filles, Anna et Rita Ouimet, musiciennes, qui ont tenu dans l'annexe vitrée, construite vers 1935, un petit commerce de mercerie, de tissus et de chapeaux. Parmi les résidents connus: les frères Séraphin Ouimet, arpenteur-géomètre, et Charles Ouimet, chef de la police et des pompiers, ainsi que Joseph-Aldéric Ouimet (1847-1916), avocat, député fédéral conservateur, lieutenant-colonel de la milice du 65e Régiment des Fusiliers Mont-Royal et ministre des Travaux publics (1892-1896). Anna Ouimet est la dernière de sa famille à posséder la maison. Celle-ci est vendue en 1977 à Manfred Dewies et C. D. Rekinger qui l'occupaient comme locataires depuis 1970. Une seconde annexe en pièce sur pièce est ajoutée vers la fin des années 1970 par Manfred Dewies. Cette maison était située immédiatement à l'est du château Normand (Ancien château Vanier). Informations en partie tirée de la base de données de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0255). | |
C001/A2,06.132 | Maison située au 235, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue d'ensemble d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1865, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Elle aurait été la résidence du docteur Avila Desrochers, dont la construction lui a été attribuée, ainsi que de monsieur Michel Roy. Ici, après avoir subie des modifications. Décor hivernal. Tirage photographique, n&b. Informations en partie tirée de la base de données de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0235). | |
C001/A2,06.133 | Maison située au 235, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue d'ensemble d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1865, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Elle aurait été la résidence du docteur Avila Desrochers, dont la construction lui a été attribuée, ainsi que de monsieur Michel Roy. Ici, après avoir subie des modifications. Décor hivernal. Années 1970. Tirage photographique, coul. Informations en partie tirée de la base de données de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0235). | |
C001/A2,06.134 | Maison Laroche située au 289, 291 et 291A, boulevard Sainte-Rose. Vue de la façade et du côté gauche d'une maison, construite vers 1904, représentative du style Boomtown qui est en vogue au Québec de 1880 à 1930. Il s'agit ici de la variante avec toit plat, fausse mansarde et lucarnes pendantes. date inconnue. Tirage photographique, n&b. Il s'agit d'une maison de plan rectangulaire de trois étages en briqes portant un toit en mansarde en plaques de tôle. En façade, le rez-de-chaussée est percé de trois portes et de deux fenêtres, le deuxiéme étage de deux portes et de deux fenêtres donnant sur un balcon courrant sur toute sa largeur et surplombant le rez-de-chaussée. Le dernier étage est percé de trois trois lucarnes à fenêtres pendantes. Deux autres fenêtres du même type sont visibles sur le côté gauche. Connue comme la maison Laroche (?). Informations en partie tirée de la base de données de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0289). | |
C001/A2,06.135a | Maison située au 315, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue de la façade d'une maison traditionnelle québécoise en bois construite en 1900. Elle fut la demeure de Marcel Deblois. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b. | |
C001/A2,06.135b | Maison située au 315, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue de la façade et du côté droit d'une maison traditionnelle québécoise en bois construite en 1900. Elle fut la demeure de Marcel Deblois. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b. | |
C001/A2,06.135c | Maison située au 315, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue d'un bâtiment situé derrière une maison traditionnelle québécoise en bois construite en 1900. Elle fut la demeure de Marcel Deblois. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b. | |
C001/A2,06.135d | Maison située au 315, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue de la façade det du côté gauche 'une maison traditionnelle québécoise en bois construite en 1900. Elle fut la demeure de Marcel Deblois. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b. | |
C001/A2,06.136 | Maison située au 321, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue de la façade et du côté gauche d'une maison construite entre 1757 et 1817 apparentée à la maison d'esprit français. Bien qu'une pierre de date sur la maison indique 1757, la première mention d'une maison en pierre sur cette terre se trouve dans un acte de donation du 28 septembre 1817 de Michel Desjardins à ses enfants. En 1731, Pierre Labelle fils entre en possession de la terre. Elle est ensuite vendue en 1745 à son frère, Claude Labelle, qui l'habite avec son épouse Marie-Anne Quéneville, pendant 30 ans. Celle-ci la revend en 1775, suite à la mort de son mari. En 1757, année de la pierre de date, c'est Claude Labelle qui possède la terre. La maison aurait été rénovée en 1922. Elle fut la demeure de Yves Allard. Décor verdoyant. 1940. Tirage photographique, n&b. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Auteuil SROS_0321). | |
C001/A2,06.137 | Maison située au 321, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue de la façade et du côté droit d'une maison construite entre 1757 et 1817 apparentée à la maison d'esprit français. Bien qu'une pierre de date sur la maison indique 1757, la première mention d'une maison en pierre sur cette terre se trouve dans un acte de donation du 28 septembre 1817 de Michel Desjardins à ses enfants. En 1731, Pierre Labelle fils entre en possession de la terre. Elle est ensuite vendue en 1745 à son frère, Claude Labelle, qui l'habite avec son épouse Marie-Anne Quéneville, pendant 30 ans. Celle-ci la revend en 1775, suite à la mort de son mari. En 1757, année de la pierre de date, c'est Claude Labelle qui possède la terre. La maison aurait été rénovée en 1922. Elle fut la demeure de Yves Allard. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Auteuil SROS_0321). | |
C001/A2,06.139 | Maison située au 323, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue de la façade et du côté droit d'une maison à mansarde en briques qui aurait été construite vers 1900, un style très en vogue en milieu rural au Québec entre 1875 et 1920. Toutefois, cette date pourrait être revue à la baisse. On mentionne qu'elle aurait été édifiée vers 1870, date qui apparaît très plausible. Les briques auraient été moulées à la main. Elle fut la demeure de Raynald Boucher. Décor verdoyant. [Années 1970]. Tirage photographique, n&b. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Auteuil SROS_0323). | |
C001/A2,06.140 | Maison située au 323, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue de la façade d'une maison à mansarde en briques qui aurait été construite vers 1900, un style très en vogue en milieu rural au Québec entre 1875 et 1920. Toutefois, cette date pourrait être revue à la baisse. On mentionne qu'elle aurait été édifiée vers 1870, date qui apparaît très plausible. Les briques auraient été moulées à la main. Elle fut la demeure de Raynald Boucher. Décor hivernal. Tirage photographique, n&b. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Auteuil SROS_0323). | |
C001/A2,06.141 | Maison située au 323, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue de la façade et du côté gauche d'une maison à mansarde en briques qui aurait été construite vers 1900, un style très en vogue en milieu rural au Québec entre 1875 et 1920. Toutefois, cette date pourrait être revue à la baisse. On mentionne qu'elle aurait été édifiée vers 1870, date qui apparaît très plausible. Les briques auraient été moulées à la main. Elle fut la demeure de Raynald Boucher. Décor dépouillé. Années 1970. Tirage photographique, coul. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Auteuil SROS_0323). | |
C001/A2,06.143 | Maison située au 328 et 330, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue de la façade d'une maison traditionnelle québécoise construite vers 1880 avec influence du courant victorien de l'époque Cette maison a été la résidence de la famille du peintre Clarence Gagnon pendant un certain temps, probablement entre le début des années 1880 jusqu'à la fin des années 1880 ou au début des années 1890. Clarence Gagnon a vécu dans le village de Sainte-Rose de l'âge de deux à dix ans. Cette maison fut également la demeure de monsieur Jean-Pierre Bolduc. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0328). | |
C001/A2,06.144a | Maison située au 328 et 330, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue d'ensemble de la façade d'une maison traditionnelle québécoise construite vers 1880 avec influence du courant victorien de l'époque Cette maison a été la résidence de la famille du peintre Clarence Gagnon pendant un certain temps, probablement entre le début des années 1880 jusqu'à la fin des années 1880 ou au début des années 1890. Clarence Gagnon a vécu dans le village de Sainte-Rose de l'âge de deux à dix ans. Cette maison fut également la demeure de monsieur Jean-Pierre Bolduc. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0328). | |
C001/A2,06.144b | Maison située au 328 et 330, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Détail de la façade d'une maison traditionnelle québécoise construite vers 1880 avec influence du courant victorien de l'époque Cette maison a été la résidence de la famille du peintre Clarence Gagnon pendant un certain temps, probablement entre le début des années 1880 jusqu'à la fin des années 1880 ou au début des années 1890. Clarence Gagnon a vécu dans le village de Sainte-Rose de l'âge de deux à dix ans. Cette maison fut également la demeure de monsieur Jean-Pierre Bolduc. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0328). | |
C001/A2,06.144c | Maison située au 328 et 330, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue partielle de la façade d'une maison traditionnelle québécoise construite vers 1880 avec influence du courant victorien de l'époque Cette maison a été la résidence de la famille du peintre Clarence Gagnon pendant un certain temps, probablement entre le début des années 1880 jusqu'à la fin des années 1880 ou au début des années 1890. Clarence Gagnon a vécu dans le village de Sainte-Rose de l'âge de deux à dix ans. Cette maison fut également la demeure de monsieur Jean-Pierre Bolduc. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0328). | |
C001/A2,06.144d | Maison située au 328 et 330, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue partielle de la façade d'une maison traditionnelle québécoise construite vers 1880 avec influence du courant victorien de l'époque Cette maison a été la résidence de la famille du peintre Clarence Gagnon pendant un certain temps, probablement entre le début des années 1880 jusqu'à la fin des années 1880 ou au début des années 1890. Clarence Gagnon a vécu dans le village de Sainte-Rose de l'âge de deux à dix ans. Cette maison fut également la demeure de monsieur Jean-Pierre Bolduc. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0328). | |
C001/A2,06.146 | Maison située au 765 et 775, rue des Patriotes, Sainte-Rose. Vue d'ensemble de la façade d'une maison, construite vers 1740 ou 1750, apparentée à la maison d'esprit français. Ce courant architectural naît en Nouvelle-France dès le 17e siècle avec l'établissement des premiers colons français qui importent de leur contrée natale leurs façons traditionnelles de construire. Il se prolonge un peu après l'arrivée des Britanniques à la fin du 18e siècle. Cette maison est l'une des plus vieilles de Sainte-Rose. Elle a d'abord appartenu à la famille Filiatrault puis a été habitée pendant 200 ans par la famille Desjardins. En 1936, elle est achetée par des Anglophones d'Outremont. En 1972, le peintre Marcel Saint-Pierre s'en porte acquéreur et la restaure entièrement. Connue comme la maison Desjardins. Décor verdoyant.Tirage photographique, n&b. Il s'agit d'une maison de plan rectangulaire d'un éta ge et demi en moellons portant un toit à deux versants retroussés en tôle en baguettes percé de deux lucarnes à pignon. Une cheminée s'élève à chacune de ses extrémités. En façade, le rez-de-chaussée est percé de deux portes et de deux fenêtres disposées symétriquement. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose PATR_0765). | |
C001/A2,06.147a | Maison située au 329, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue de la façade d'une maison représentative du style vernaculaire américain qui remplace progressivement la maison traditionnelle québécoise à partir de la fin du 19e siècle. Elle aurait été construite vers 1892. Le peintre Marc-Aurèle Fortin a pensionné un certain temps dans cette maison et y serait peut-être né. Cette maison fut également la demeure de Laure Saint-Aubin. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0329). | |
C001/A2,06.147b | Maison traditionnelle québécoise Vue de la façade d'une maison traditionnelle québécoise en bois comme on la voit souvent au 19e siècle. Emplacement inconnu. Tirage photographique, coul. | |
C001/A2,06.148 | Maison traditionnelle québécoise à Sainte-Rose. Vue de la façade d'une maison traditionnelle québécoise en moellons, bâtie en 1840 et qui aurait été située au 128 Chemin de la Petite Côte. Elle aurait été également été habitée par Réal (Athanase) Joly. Décor estival. Tirage photographique, n&b. | |
C001/A2,06.149 | Maison située au 765 et 775, rue des Patriotes, Sainte-Rose. Vue rapprochée de la façade d'une maison, construite vers 1740 ou 1750, apparentée à la maison d'esprit français. Ce courant architectural naît en Nouvelle-France dès le 17e siècle avec l'établissement des premiers colons français qui importent de leur contrée natale leurs façons traditionnelles de construire. Il se prolonge un peu après l'arrivée des Britanniques à la fin du 18e siècle. Cette maison est l'une des plus vieilles de Sainte-Rose. Elle a d'abord appartenu à la famille Filiatrault puis a été habitée pendant 200 ans par la famille Desjardins. En 1936, elle est achetée par des Anglophones d'Outremont. En 1972, le peintre Marcel Saint-Pierre s'en porte acquéreur et la restaure entièrement. Connue comme la maison Desjardins. Décor verdoyant. 1980. Tirage photographique, n&b. Il s'agit d'une maison de plan rectangulaire d'un étage et demi en moellons portant un toit à deux versants retroussés en tôle en baguettes percé de deux lucarnes à pignon. Une cheminée s'élève à chacune de ses extrémités. En façade, le rez-de-chaussée est percé de deux portes et de deux fenêtres disposées symétriquement. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose PATR_0765). | |
C001/A2,06.150 | Maison située au 26, boulevard Curé-Labelle, Sainte-Rose. Vue de la façade et du côté gauche d'une maison traditionnelle québécoise construite vers 1840. Elle apparaît notamment sur une carte postale produite en 1905-1906 par le photographe-éditeur Pinsonneault de Trois-Rivières. La famille Locas-Dutrisac-Miller y vécut de 1900 à 1986. En 1900, Anselme Locas, menuisier de Sainte-Rose, acquiert cette maison de pierre de Jovide Desjardins. Anselme Locas possédait du côté est de sa maison un atelier de menuiserie. Il louait également des annexes de sa maison aux estivants. De 1905 à 1908, il loua une partie de sa maison à des Montréalais qui y établirent un club baptisé Niscona probablement destiné à réunir des amateurs d'activités nautiques. Tous ceux qui se rendaient au chalet du SteRose Boating Club (aujourd'hui le site de la résidence Thérèse-Casgrain) devaient emprunter le chemin qui passait autrefois devant la maison. Cette maison fut plus tard utilisé par le restaurant AlexSim. Connue comme la maison Miller. Décor dépouillé. Tirage photographique, coul. Il s'agit d'une maison de plan rectangulaire d'un étage et demi en moellons portant un toit à deux versants retroussés en bardeaux d'asphalte et percé de deux lucarnes à pignon. Une cheminée s'élève à son extrémité droite. En façade, le rez-de-chaussée est percé d'une porte flanquées de deux fenêtres. Le côté gauche est percé de deux fenêtres au rez-de-chaussée et d'une seule sous les combles. Un bâtiment jouxte la maison sur la droite. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose CULA_0026). | |
C001/A2,06.151 | Maison située au 255, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue du côté gauche et de la façade d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1856, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Il s'agit d'une maison de plan rectangulaire d'un étage et demi en moellons et chaînages portant un toit à deux versants retroussés en tôle à baguette et percé de trois lucarnes à pignon. Une cheminée (non visible) construite à même les murs s'élève sur son côté gauche. En façade, le rez-de-chaussée est percé d'une porte flanquée de deux fenêtres abritée par un avant-toit qui surplombe une galerie courant sur toute sa largeur. Le côté gauche est percé d'une fenêtre au rez-de-chaussée et de deux plus petites sous les combles. Cette maison est connue sous la dénomination Maison Ouimet. Décor dépouillé. Tirage photographique, n&b. Note historique : La terre appartient d'abord à la famille Filiatrault. Vers 1833, les Ouimet s'en portent acquéreurs. Elle est ensuite cédée à Michel Ouimet (frère de Paul Ouimet et Marguerite Foucault [Faucault], époux d'Élisabeth Filiatrault, qui construit ou fait construire cette demeure vers 1856 (d'autres sources avancent également 1845, 1852 et 1854). On rapporte que les pierres de la demeure proviennent de la démolition de la deuxième église de Sainte-Rose qui avait été érigée en 1788. Paul Ouimet donne sa terre à son fils Anselme (père de Séraphin Ouimet (d.1964), ingénieur, et de Charles Ouimet, surintendant de la ville de Sainte-Rose, qui y serait nés) qui y sont tous nés. En 1929, la maison fut vendue au fils d'Anselme, Charles Ouimet, et la maison fut habitée par ses deux filles, Anna et Rita Ouimet, musiciennes, qui ont tenu dans l'annexe vitrée, construite vers 1935, un petit commerce de mercerie, de tissus et de chapeaux. Parmi les résidents connus: les frères Séraphin Ouimet, arpenteur-géomètre, et Charles Ouimet, chef de la police et des pompiers, ainsi que Joseph-Aldéric Ouimet (1847-1916), avocat, député fédéral conservateur, lieutenant-colonel de la milice du 65e Régiment des Fusiliers Mont-Royal et ministre des Travaux publics (1892-1896). Anna Ouimet est la dernière de sa famille à posséder la maison. Celle-ci est vendue en 1977 à Manfred Dewies et C. D. Rekinger qui l'occupaient comme locataires depuis 1970. Une seconde annexe en pièce sur pièce est ajoutée vers la fin des années 1970 par Manfred Dewies. Cette maison était située immédiatement à l'est du château Normand (Ancien château Vanier). Informations en partie tirée de la base de données de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0255). | |
C001/A2,06.152 | Maison située au 255, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue rapprochée du côté gauche et de la façade d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1856, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Il s'agit d'une maison de plan rectangulaire d'un étage et demi en moellons et chaînages portant un toit à deux versants retroussés en tôle à baguette et percé de trois lucarnes à pignon. Une cheminée (non visible) construite à même les murs s'élève sur son côté gauche. En façade, le rez-de-chaussée est percé d'une porte flanquée de deux fenêtres abritée par un avant-toit qui surplombe une galerie courant sur toute sa largeur. Le côté gauche est percé d'une fenêtre au rez-de-chaussée et de deux plus petites sous les combles. Sur la droite, on distingue une extension empiétant sur la galerie, et une affiche sur laquelle on lit «ANTIQUES». Cette maison est connue sous la dénomination Maison Ouimet. Décor dépouillé. Tirage photographique, n&b. Note historique : La terre appartient d'abord à la famille Filiatrault. Vers 1833, les Ouimet s'en portent acquéreurs. Elle est ensuite cédée à Michel Ouimet (frère de Paul Ouimet et Marguerite Foucault [Faucault], époux d'Élisabeth Filiatrault, qui construit ou fait construire cette demeure vers 1856 (d'autres sources avancent également 1845, 1852 et 1854). On rapporte que les pierres de la demeure proviennent de la démolition de la deuxième église de Sainte-Rose qui avait été érigée en 1788. Paul Ouimet donne sa terre à son fils Anselme (père de Séraphin Ouimet (d.1964), ingénieur, et de Charles Ouimet, surintendant de la ville de Sainte-Rose, qui y serait nés) qui y sont tous nés. En 1929, la maison fut vendue au fils d'Anselme, Charles Ouimet, et la maison fut habitée par ses deux filles, Anna et Rita Ouimet, musiciennes, qui ont tenu dans l'annexe vitrée, construite vers 1935, un petit commerce de mercerie, de tissus et de chapeaux. Parmi les résidents connus: les frères Séraphin Ouimet, arpenteur-géomètre, et Charles Ouimet, chef de la police et des pompiers, ainsi que Joseph-Aldéric Ouimet (1847-1916), avocat, député fédéral conservateur, lieutenant-colonel de la milice du 65e Régiment des Fusiliers Mont-Royal et ministre des Travaux publics (1892-1896). Anna Ouimet est la dernière de sa famille à posséder la maison. Celle-ci est vendue en 1977 à Manfred Dewies et C. D. Rekinger qui l'occupaient comme locataires depuis 1970. Une seconde annexe en pièce sur pièce est ajoutée vers la fin des années 1970 par Manfred Dewies. Cette maison était située immédiatement à l'est du château Normand (Ancien château Vanier). Informations en partie tirée de la base de données de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0255). | |
C001/A2,06.153 | Maison située au 255, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue du côté gauche et de la façade d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1856, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Il s'agit d'une maison de plan rectangulaire d'un étage et demi en moellons et chaînages portant un toit à deux versants retroussés en tôle à baguette et percé de trois lucarnes à pignon. Une cheminée (non visible) construite à même les murs s'élève sur son côté gauche. En façade, le rez-de-chaussée est percé d'une porte flanquée de deux fenêtres abritée par un avant-toit qui surplombe une galerie courant sur toute sa largeur. Le côté gauche est percé d'une fenêtre au rez-de-chaussée et de deux plus petites sous les combles. Sur la droite, on distingue une extension empiétant sur la galerie, et une affiche sur laquelle on lit «FLEURISTE 625-4393». Cette maison est connue sous la dénomination Maison Ouimet. Décor dépouillé. Tirage photographique, n&b. Note historique : La terre appartient d'abord à la famille Filiatrault. Vers 1833, les Ouimet s'en portent acquéreurs. Elle est ensuite cédée à Michel Ouimet (frère de Paul Ouimet et Marguerite Foucault [Faucault], époux d'Élisabeth Filiatrault, qui construit ou fait construire cette demeure vers 1856 (d'autres sources avancent également 1845, 1852 et 1854). On rapporte que les pierres de la demeure proviennent de la démolition de la deuxième église de Sainte-Rose qui avait été érigée en 1788. Paul Ouimet donne sa terre à son fils Anselme (père de Séraphin Ouimet (d.1964), ingénieur, et de Charles Ouimet, surintendant de la ville de Sainte-Rose, qui y serait nés) qui y sont tous nés. En 1929, la maison fut vendue au fils d'Anselme, Charles Ouimet, et la maison fut habitée par ses deux filles, Anna et Rita Ouimet, musiciennes, qui ont tenu dans l'annexe vitrée, construite vers 1935, un petit commerce de mercerie, de tissus et de chapeaux. Parmi les résidents connus: les frères Séraphin Ouimet, arpenteur-géomètre, et Charles Ouimet, chef de la police et des pompiers, ainsi que Joseph-Aldéric Ouimet (1847-1916), avocat, député fédéral conservateur, lieutenant-colonel de la milice du 65e Régiment des Fusiliers Mont-Royal et ministre des Travaux publics (1892-1896). Anna Ouimet est la dernière de sa famille à posséder la maison. Celle-ci est vendue en 1977 à Manfred Dewies et C. D. Rekinger qui l'occupaient comme locataires depuis 1970. Une seconde annexe en pièce sur pièce est ajoutée vers la fin des années 1970 par Manfred Dewies. Cette maison était située immédiatement à l'est du château Normand (Ancien château Vanier). Informations en partie tirée de la base de données de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0255). | |
C001/A2,06.154 | Maison située au 321, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue de la façade et du côté droit d'une maison construite entre 1757 et 1817 apparentée à la maison d'esprit français. Bien qu'une pierre de date sur la maison indique 1757, la première mention d'une maison en pierre sur cette terre se trouve dans un acte de donation du 28 septembre 1817 de Michel Desjardins à ses enfants. En 1731, Pierre Labelle fils entre en possession de la terre. Elle est ensuite vendue en 1745 à son frère, Claude Labelle, qui l'habite avec son épouse Marie-Anne Quéneville, pendant 30 ans. Celle-ci la revend en 1775, suite à la mort de son mari. En 1757, année de la pierre de date, c'est Claude Labelle qui possède la terre. La maison aurait été rénovée en 1922. Elle fut la demeure de Yves Allard. Décor hivernal. Tirage photographique, n&b. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Auteuil SROS_0321). | |
C001/A2,06.155 | Maison autrefois située au 326, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue d'ensemble de la façade et du côté gauche d'une maison en bois qui témoigne d'une influence de l'éclectisme victorien dans le Québec du 19e siècle. Ce fut la demeure du juge Thomas Fortin et la maison natale de Marc-Aurèle Fortin. Elle a été démolie en 1942. Décor hivernal. Photographe/don: José C. Limoges. Tirage photographique, n&b. | |
C001/A2,06.156 | Maison située au 328 et 330, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue de la façade et du côté gauche d'une maison traditionnelle québécoise construite vers 1880 avec influence du courant victorien de l'époque Cette maison a été la résidence de la famille du peintre Clarence Gagnon pendant un certain temps, probablement entre le début des années 1880 jusqu'à la fin des années 1880 ou au début des années 1890. Clarence Gagnon a vécu dans le village de Sainte-Rose de l'âge de deux à dix ans. Cette maison fut également la demeure de monsieur Jean-Pierre Bolduc. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b. Maison de plan rectangulaire d'un étage et demie en planche à clins portant un toit à deux versants droits en tôle à la canadienne percé de quatre lucarnes à fenêtre pendante. Une cheminée s'élève à chacune de ses extrémités. En façade, le rez-de-chaussée est percé de deux portes et de deux fenêtres abritées par un toit en appentis surplombant une galerie qui court sur tout sa largeur et une partie du côté gauche et droit. Le mur gauche est percé d'une petite fenêtre par étage alors qu'une porte abritée le jouxtant mène à la cave. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0328). | |
C001/A2,06.157 | Maison située au 329, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue de la façade et du côté droit d'une maison représentative du style vernaculaire américain qui remplace progressivement la maison traditionnelle québécoise à partir de la fin du 19e siècle. Elle aurait été construite vers 1892. Le peintre Marc-Aurèle Fortin a pensionné un certain temps dans cette maison et y serait peut-être né. Cette maison fut également la demeure de Laure Saint-Aubin. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0329). | |
C001/A2,06.158 | Maison située au 344, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue de la façade et du côté droit d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1900, qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Cette maison aurait été la demeure de monsieur Arthur Désormaux. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0344). | |
C001/A2,06.160 | Maison située au 363, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue de la façade et du côté droit d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1830, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Connue comme la maison Arnoldi. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b. Il s'agit d'une maisond 'un étage et demi construite en moellons. De plan rectangulaire, cette maison possède un toit à deux versants retroussés en bardeaux de cèdre percé de deux lucarnes à pignons. La façade est dotée d'une porte, au seuil légèrement surélevé, et de trois fenêtres. Le côté droit du bâtiment est percé de deux fenêtres, plus petites sous les combles, à chaque étage. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0363). | |
C001/A2,06.161 | Maison située au 3535, boulevard Sainte-Rose, Fabreville. Vue d'ensemble de la façade et du côté gauche d'une maison, construite vers 1818, représentative de la maison franco-québécoise qui est le résultat de l'intégration de l'architecture néoclassique anglaise importée par les Britanniques à la fin du 18e siècle aux façons traditionnelles de construire en Nouvelle-France. Elle constitue un modèle de transition entre la maison d'esprit français et la maison traditionnelle québécoise. Cette maison serait associée à la ferme Sainte-Thérèse. Connue comme la maison Gérard Lebel (?). Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b. Il s'agit d'une maison en moellons d'un étage et demi portant un toit à deux versants droits en bardeaux d'asphalte percé de deux lucarnes à pignon. Une cheminée, construite à même les murs, s'élève à chaque extrémité. La façade est percée de deux portes flanquées de deux fenêtres abritées par un toit de tôle en appentis qui surplombe la galerie qui court sur tout la largeur. Le côté gauche est percé d'une fenêtre au rez-de-chaussée et de deux plus petites sous les combles. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Fabreville SROS_3535). | |
C001/A2,06.162 | Maison située au 246, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue de la façade et d'une partie du côté gauche d'une grande maison ayant subi des transformations afin de ressembler aux immeubles de type plex (duplex, triplex, et autres), dérivés du style Boomtown, qui apparaissent au début du 20e siècle dans les grandes villes nord-américaines. Ce bâtiment, originalement au toit mansardé construit ou résultat d'une transformation entre 1870 et 1900 occupe le site où était sise une petite maison de bois en pièces sur pièces, maison natale du curé Antoine Labelle, en 1833. On peut d'ailleurs distinguer la plaque qui commémore cet événement, ainsi qu'une enseigne où l'on peut lire «Ste Rose Coupons Remnants». La maison aurait, plus tard, été la demeure de famille Ouellette et Durocher dans les années 1930, et de M. Major. Décor hivernal. Photographe/don: Maurice Roy. Tirage photographique, n&b. Informations tirées de la base de données patromoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0246). | |
C001/A2,06.163 | Maison située au 152 et 154, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue de la façade et du côté droit d'une maison traditionnelle québécoise, un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Cette maison aurait été construite entre 1750 et 1850. Elle est connue comme la maison Joly-Vaillancourt. Sur une affiche qui pend de l'avant-toit, on peut lire «It cirage - Cordonnerie A(?).Lanoue». Le menuisier-charpentier Jean-Baptiste Joly, qui a réalisé le décor intérieur de l'église de Sainte-Rose, y réside à une période indéterminée. À partir de 1932, le cordonnier-sellier Cyrille Vaillancourt loge dans cette demeure. La partie est de la maison, avec sa vitrine commerciale et sa porte, abrite la boutique du cordonnier-sellier alors que la partie ouest sert de logement à la famille. À cette époque, plusieurs attelages de chevaux s'y arrêtaient pour des réparations puisque M. Vaillancourt était spécialisé dans le travail de sellier. Cyrille Vaillancourt y exerce son métier pendant plus de quarante ans. Par la suite, l'ancien apprenti, M. Lanoue, devient propriétaire de la boutique. Celle-ci est encore en activités à la fin des années 1970. En 2020, Doris Saint-Germain, comptable agréé, en est l'occupant. Décor estival. Tirage photographique, n&b. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0152). | |
C001/A2,06.164 | Maison située au 174, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue de la façade d'une maison franco-québécoise, résultat de l'intégration de l'architecture néoclassique anglaise importée par les Britanniques à la fin du 18e siècle aux façons traditionnelles de construire en Nouvelle-France. Elle constitue un modèle de transition entre la maison d'esprit français et la maison traditionnelle québécoise. Cette résidence aurait été construite vers 1797. La firme Bougie Laframboise Avocats occupe le bâtiment depuis au moins 2009. Décor estival. La mention «D Léonard Montréal» apparaît sur la photographie. Date inconnue. Tirage photographique, n&b. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0174). Voir aussi C001/A2,06.063. | |
C001/A2,06.165 | Maison située au 202, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue d'ensemble d'une maison de type traditionnel en pierre de taille, construite vers 1816, représentative du courant néoclassique issu de l'architecture britannique au 19e siècle Cette demeure hébergea Pascal-Adélard Longpré, maire de 1918 à 1936, puis Joseph «Jos» Ouimet, également maire de Sainte-Rose (1936-1950). Au début du XXe siècle, la maison sert entre autres de local pour la Banque Provinciale (1913), puis pour la Caisse populaire de Sainte-Rose de 1959 à 1961. Elle fut ensuite occupée par le Dr. Michel Roy, optométriste (1942-2019) et héberge maintenant la Clinique Visuelle Sainte-Rose. Cette maison porte la dénomination Maison Longpré-Ouimet. Date inconnue. Tirage photographique, n&b. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0202). | |
C001/A2,06.167 | Maisons situées au 35, 55, 60, 77, 79 et 81, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. 35, boul. Sainte-Rose : Trois vues sur une maison traditionnelle québécoise en pierre, abritant un commerce. Sur une affiche, on arrive à lire «Chez Pépère - Salle à manger». Aujourd'hui disparue. Décor verdoyant. Années 1970. Négatifs # 1 à 3. 55, boul. Sainte-Rose : Vue partielle de la façade et du côté droit d'une maison à mansarde d'inspiration Second Empire, construite vers 1868, dans un style très en vogue en milieu rural au Québec entre 1875 et 1920. Cette maison en pierre de Dolomie de Beekmantown possède une mansarde aux formes inhabituelles. Elle a appartenu à monsieur Hormidas Joly, puis à W.T. Stace. Voir aussi C001/A2,06.049 et C001/A2,06.168. Décor verdoyant. Années 1970. Négatifs # 4 et 5. 60, boul. Sainte-Rose : Vue de la façade et du côté gauche d'une maison de ferme, construite vers 1890, représentative du style vernaculaire américain qui remplace progressivement la maison traditionnelle québécoise à partir de la fin du 19e siècle. Décor verdoyant. Années 1970. Négatif # 6. 73, boul. Sainte-Rose : Vue d'ensemble d'une maison de style Boomtown, populaire surtout de 1900 à 1920. Aujourd'hui disparue. Décor verdoyant. Annnées 1970. Négatif # 11. 77, boul. Sainte-Rose : Vues de la façade et des côtés gauche et droit d'une maison tradionnelle québécoise en planche à clins, avec tambour, galerie vitrée et modifications au toit. Aujourd'hui disparue. Décor verdoyant. Années 1970. Négatifs # 9 et 10. 79, boul. Sainte-Rose : Vues de la façade et des côtés gauche et droit d'une maison traditionnelle québécoise en bois avec revêtement de papier-brique. Ce type d'habitation domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Cette maison aurait été construite vers 1875. Décor verdoyant. Années 1970. Négatifs # 8 et 12. 81, boul. Sainte-Rose : Vue d'ensemble d'une maison traditionnelle québécoise en planche à clins avec lucarnes et galerie en façade. Décor verdoyant. Années 1970. Négatifs # 7 et 12. Planche contact (12 négatifs numérotés de 1 à 12), n&b. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0055, SROS_0060 et SROS_0079). | |
C001/A2,06.168 | Maisons situées au 55, 60, 64, 72, 80, 81, 88, 96 et 98, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. 55, boul. Sainte-Rose : Vue partielle d'une maison à mansarde d'inspiration Second Empire, construite vers 1868, dans un style très en vogue en milieu rural au Québec entre 1875 et 1920. Cette maison en pierre de Dolomie de Beekmantown possède une mansarde aux formes inhabituelles. Elle a appartenu à monsieur Hormidas Joly, puis à W.T. Stace. Voir aussi C001/A2,06.049 et C001/A2,06.168. Décor verdoyant. Années 1970. Négatif # 8. 60, boul. Sainte-Rose : Vue de la façade et du côté gauche d'une maison de ferme, construite vers 1890, représentative du style vernaculaire américain qui remplace progressivement la maison traditionnelle québécoise à partir de la fin du 19e siècle. Décor verdoyant. Années 1970. Négatif # 9. 64, boul. Sainte-Rose : Vue d'ensemble d'une maison tradittionnelle québécoise en planche à clins, construite vers 1869, représentative d'un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Décor verdoyant. Années 1970. Négatif # 7. 72, boul. Sainte-Rose : Vue de la façade et du côté gauche d'une maison de style cubique, populaire dans la première moitié du 20e siècle. Cette maison a nainteanant une vocation commerciale (Boni-Soir). Décor verdoyant. Années 1970. Négatif # 6. 80, boul. Sainte-Rose : Vue de la façade et du côté droit d'une maison, construite vers 1906, et représentative du style vernaculaire américain qui remplace progressivement la maison traditionnelle québécoise à partir de la fin du 19e siècle. Décor verdoyant. Années 1970. Négatifs # 4 et 5. 81, boul. Sainte-Rose : Vue du côté gauche d'une maison traditionnelle québécoise en planche à clins avec lucarnes et galerie en façade. Décor verdoyant. Années 1970. Négatif # 3. 88, boul. Sainte-Rose : Trois vues d'ensemble d'une maison à mansarde avec influense Second Empire, construite vers 1865, en pierre à bossage et dans un style est très en vogue en milieu rural au Québec entre 1875 et 1920. Décor verdoyant. Années 1970. Négatifs # 10, 11 et 12. 96 et 98, boul. Sainte-Rose : deux vues d'ensemble d'une maison à mansarde, construite vers 1881, en planche à clins, dans un style très en vogue en milieu rural au Québec entre 1875 et 1920. A maintenant une vocation commerciale (Bob Cyclo). Décor verdoyant. Années 1970. Négatifs # 1 et 2. Planche contact (12 négatifs numérotés de 1 à 12), n&b. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0055, SROS_0060, SROS_0064, SROS_0080, SROS_0088 et SROS_0096). | |
C001/A2,06.169 | Maisons situées au 91, 101A, 105, 109, 111, 113, 121 et 127, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. 91, boul. Sainte-Rose : Vue d'ensemble de la façade et du côté droit d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1878, un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Décor verdoyant. Années 1970. Négatif # 1. 101A, boul. Sainte-Rose : Vue d'ensemble d'une petite maison traditionnelle quécoise en planche à clins, aujourd'hui disparue. Décor verdoyant. Années 1970. Négatif # 3. 105, boul. Sainte-Rose : Vue d'ensemble de la façade et du côté droite d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1901, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Elle a été déplacée et installée sur ce site. Décor verdoyant. Années 1970. Négatif # 2. 109, boul. Sainte-Rose : Vue d'ensemble de la faâde et du côté droit d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1885, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Décor verdoyant. Années 1970. Négatifs # 4 et 5. 111, boul. Sainte-Rose : Trois vues d'ensemble d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1865, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Cette maison aurait été habitée par Frederic Back. Décor verdoyant. Années 1970. Négatifs # 6, 7 et 8. 113, boul. Sainte-Rose : Vue d'ensemble de la façade et du côté droit d'une maison de style Boomtown en planche à clins, construite entre 1880 et 1930, ou vers 1868 et ensuite complètement transformée, dans un style qui est en vogue au Québec entre la fin du 19e siècle et les trois premières décennies du 20e siècle. Décor verdoyant. Années 1970. Négatif # 9. 121, boul. Sainte-Rose : Deux vues d'ensemble d'une maison traditionnelle québécoise en bois, construite vers 1915, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Décor verdoyant. Années 1970. Négatifs # 10 et 12. 127, boul. Sainte-Rose : Vue d'ensemble de la façade d'une maison traditionnelle québécoise en planche à clins. Décor verdoyant. Années 1970. Négatif # 11. Planche-contact (12 négatifs numérotés de 1 à 12), n&b. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0091, SROS_0105, SROS_0109, SROS_0111, SROS_0113 et SROS_0121). | |
C001/A2,06.170 | Maisons situées su 110, 112-114, 118-120, 126, 128, 131, 132 et 138, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. 110 boul. Sainte-Rose : Vue d'ensemble de la façade et du côté droit d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1865, un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Une affiche suspendue au coin de l'extension, annonce « Michel Sports». Décor estival. Années 1970. Négatif # 12. 112 et 114, boul. Sainte-rose : Vue d'ensemble de la façade et du côté droit d'une maison traditionnelle québécoise en planche à clins, construite vers 1896, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Décor verdoyant. Années 1970. Négatif # 11. 118 et 120, boul. Sainte-Rose : Vue d'ensemble de la façade et du côté droit d'une maison traditionnelle québécoise en planche à clins, construite vers 1896, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Aujourd'hui disparue. Décor verdoyant. Années 1970. Négatif # 1. 126 boul. Sainte-Rose : Vue d'ensemble de la façade et du côté droit d'une maison à mansarde en planche à feuillures, construite vers 1891, dans un style très en vogue en milieu rural au Québec entre 1875 et 1920. Décor estival. Années 1970. Négatif # 2. 128, boul. Sainte-Rose : Vue d'ensemble de la façade et du côté droit d'une maison de style vernaculaire américain, construite vers 1891 ou peut-être après. Ici, le modèle avec toiture à demi-croupes assez populaire au Québec entre 1900 et 1950. Décor verdoyant. Années 1970. Négatif # 10. 129, 129A et 131, boul. Sainte-Rose : Trois vues d'ensemble d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1869, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Sur l'un des coins du bâtiment deux affiches annoncent CocaCola et 7UP. Ici, il s'agit d'un petit snackbar. La famille Poirier aurait demeurée dans cette maison. Décor dépouillé. Années 1970. Négatifs # 4, 5 et 8. 132, boul. Sainte-Rose : trois vues d'ensemble d'une maison traditionnelle québécoise, construite en 1849, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Elle aurait été construite par Michel Desjardins, propriétaire de la terre qu'il a héritée en 1832. La pierre au-dessus de la porte d'entrée principale témoigne de la date. On y trouve également les initiales M. D. qui semblent faire référence à Michel Desjardins. En 2020, le bâtiment est occupé par les bureaux de Christopher Skeetes, député de Sainte-Rose à l'Assemblée nationale du Québec, et avant lui, les bureaux de Jean Habel, également député. Décor dépouillé. Années 1970. Négatifs # 3, 7 et 9. 138, boul. Sainte-Rose : Vue d'ensemble de la f^çade et du côté droit d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1886, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Décor dépouillé. Années 1970. Négatif # 6. [12 photos sur planche contact] 110, 112-114, 118-120, 126, 128, 131, 132 et 138 boulevard Sainte-Rose. | |
C001/A2,06.171 | Maisons situées au 64, 219, 238, 240-242, 243, 244, 246-248, et 252, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. 64, boul. Sainte-Rose : Deux vue d'ensemble d'une maison tradittionnelle québécoise en planche à clins, construite vers 1869, représentative d'un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Décor verdoyant. Années 1970. Négatifs # 11 et 12. 219, boul. Sainte-Rose : Vue partielle de la façade de l'église de Sainte-Rose-de-Lima, construite de 1852 à 1856 selon les plans de l'architecte Victor Bourgeau. Années 1970. Négatif # 10. 238, 238A et 238B, boul. Sainte-Rose : Vue d'ensemble de la façade d'une maison qui témoigne de l'éclectisme victorien en vogue des années 1880 aux années 1920 au Québec. Celle-ci fut bâtie entre 1903 et 1911. Félix Labelle, contracteur et maire du village de Sainte-Rose, achète le terrain, vacant, en 1903 et 1904. Celui-ci est ensuite offert en cadeau de mariage à sa fille Augustine Labelle qui épouse le médecin Napoléon Plouffe en 1903. Une maison y est construite qui servira de résidence d'été à Augustine. En 1911, cette dernière, maintenant veuve de Napoléon Plouffe, vend la maison à Régine Gougeon, épouse de Joseph O. Trudel. Par la suite, plusieurs occupants se succèdent. En 1965, la maison est louée par les propriétaires actuels, les notaires Vaillancourt qui l'achètent en 1974 et l'occupent encore aujourd'hui (Vaillancourt, Vaillancourt et Bigras), en 2020. Décor hivernal. Années 1970. Négatifs # 1 et 9. 240 et 242 boul. Sainte-Rose : Quatre vue d'ensemble d'une maison traditionnelle québécoise, bâtie vers 1780 - 1790, connue comme la maison Filiatrault-Latour. Elle est représentative de la maison franco-québécoise qui est le résultat de l'intégration de l'architecture néoclassique anglaise importée par les Britanniques à la fin du 18e siècle aux façons traditionnelles de construire en Nouvelle-France. Elle constitue ainsi un modèle de transition entre la maison d'esprit français et la maison traditionnelle québécoise. L'un de ses propriétaires à la fin du 18e siècle, Joseph Filiatrault, a donné le terrain pour construire la deuxième église de Sainte-Rose en 1788. Le conseil du village a siégé dans cette maison au milieu du 19e siècle ainsi que le premier secrétariat du village de Sainte-Rose en 1858. Le notaire Jean-Benjamin Latour en sera ensuite propriétaire, puis son fils le notaire Jean-Paul Latour. Décor estival. Années 1970. Négatifs # 2, 3, 6, et 7. 243, boul. Sainte-Rose : Vue d'ensemble de la façade et du côté gauche d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1868, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Connue comme la maison Hartmann. Décor estival. Années 1970. Négatif # 4. 244, boul. Sainte-Rose : Vue éloignée et partielle d'une maison, construite vers 1926, représentative d'un type de résidences issu de l'architecture vernaculaire industrielle, la maison cubique ou Four Square House. Modèle créé aux États-Unis en 1891 par l'architecte Frank Kidder, il est rapidement diffusé au Canada par les catalogues de plans. Elle est devenue le restaurant Les Menus-Plaisirs depuis 1982. Elle est reliée à la maison voisine (246-248, boul. Sainte-Rose) dans laquelle on trouve aujourd'hui des studios et des chambres. Sur la gauche, on peut voir la maison Filiatrault-Latour, au 240 et 242 boul. Sainte-Rose Décor estival. Années 1970. Négatif # 7. 246 et 248, boul. Sainte-Rose : Trois vues éloignées d'une grande maison au toit mansardé construite ou résultat d'une transformation entre 1870 et 1900. Le site était auparavant occupé par une petite maison de bois en pièces sur pièces où est né le curé Antoine Labelle en 1833. Elle aurait été la demeure de famille Ouellette et Durocher dans les années 1930, et de M. Major. Décor estival. Années 1970. Négatifs # 6 , 7 et 8. 252, boul. Sainte-Rose : Vue d'ensemble d'une grande maison de type plex (duplex, triplex, et autres), dérivés du style Boomtown, qui apparaissent au début du 20e siècle dans les grandes villes nord-américaines. Située à l'intersection du boulevard Sainte-Rose et de la rue du Plateau-Ouimet, on trouve, au rez-de-chaussée, un petit commerce donnant sur le coin de la rue. Décor estival. Années 1970. Négatif # 5. Planche-Contact (12 négatifs numérotés de 1 à 12), n&b. Informations tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0064, SROS_0219, SROS_0238, SROS_0240, SROS_0243, SROS_0244, SROS_0246) | |
C001/A2,06.172 | Maisons situées au 202, 204, 208, 213, 214, 218, 233, 235, 237-239 et 241, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. 202, boul. Sainte-Rose : Deux vues d'ensemble d'une maison en pierre de taille, construite vers 1816, représentative du courant néoclassique issu de l'architecture britannique au 19e siècle Cette demeure hébergea Pascal-Adélard Longpré, maire de 1918 à 1936, puis Joseph «Jos» Ouimet, également maire de Sainte-Rose (1936-1950). Au début du XXe siècle, la maison sert entre autres de local pour la Banque Provinciale (1913), puis pour la Caisse populaire de Sainte-Rose de 1959 à 1961. Elle fut ensuite occupée par le Dr. Michel Roy, optométriste (1942-2019) et héberge maintenant la Clinique Visuelle Sainte-Rose. Décor estival. Années 1970. Négatifs # 3 et 4. 204, boul. Sainte-Rose : Vue d'ensemble d'une maison, construite vers 1900, représentative du style vernaculaire américain, plus particulièrement du modèle avec un plan en L qui est le résultat d'un croisement avec le courant dit «pittoresque». Ce type de maison est également doté d'une galerie couverte et d'une plus grande surface habitable. Connue comme la maison Lambert. Décor estival. Années 1970. Négatif # 2. 208, boul. Sainte-Rose : Vue de la façade et du côté droit d'une maison traditionnelle québécoise, construite, peut-être vers 1830, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Une affiche au contenu illisible est accrochée près de la porte. Cette maison a accueilli le bureau d'enregistrement des municipalités de l'île Jésus, aménagé dans la résidence du notaire F.-X. Léonard (section avec la toiture à deux versants). En 1961, la Caisse Populaire de Sainte-Rose en quête de plus grands locaux déménage dans la bâtisse. Cette maison fut également la demeure de la famille Jean Drapeau. Depuis 2009, ou avant, la bâtisse est occupée par une étude de notaires. Décor estival. Années 1970. Négatif # 1. 211 et 213, boul. Sainte-Rose : Vue en enfilade de l'ancienne Académie Sainte-Rose ou ancien collège des Frères de Saint-Gabriel qui viennent s'y installer vers 1910-1911 aussitôt que la construction de l'édifice se termine. Cet ancien collège est représentatif du courant Beaux-Arts, tendance fort prisée dans l'architecture commerciale et institutionnelle des premières décennies du 20e siècle. Le bâtiment est agrandi en 1935 selon les plans de la firme d'architectes Gascon & Parant, puis en 1958 pour dispenser le cours secondaire jusqu'à la onzième année. L'établissement est connu sous plusieurs désignations : le collège Sainte-Rose, l'Académie Sainte-Rose, l'école Latour et l'école Villemaire en 1958, en l'honneur de J.-Fernando Villemaire, président de la commission scolaire de 1949 à 1964. Depuis l'ouverture de l'école secondaire Curé-Antoine-Labelle en 1963, l'école Villemaire ne dispense que le cours primaire. Décor estival. Années 1970. Négatif # 6. 214, boul. Sainte-Rose : Vue d'ensemble de l'arrière d'une bâtisse de style second Empire ayant subie de nombreuses alérations. Cette bâtisse constitue la première école du village de Sainte-Rose. Depuis sa fermeture en 1910, le bâtiment a logé plusieurs fonctions dont une centrale téléphonique, un bureau de poste, un poste de police et d'incendie et un hôtel de ville. Après 1949, la mairie de Sainte-Rose s'installe à l'étage. Durant cette période, on procède à des rénovations qui rendent méconnaissable le bâtiment. Le toit mansardé, les lucarnes et le clocheton disparaissent au profit d'un toit plat. Des travaux effectués en 1986 redonnent au bâtiment son allure de 1901. Décor estival. Années 1970. Négatif # 5. 218, boul. Sainte-Rose : Deux vues d'une maison traditionnelle québécoise, construite en 1859, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Cette maison est l'ancienne demeure du bedeau qui a été construite en 1859 avec la pierre et le bois réutilisés suite à la démolition de la deuxième église construite en 1788 et démantelée dans les années 1850 avec l'édification du lieu de culte actuel. Depuis 1840, la maison du bedeau était située à l'ouest de l'église, sur le terrain actuel de l'ancien couvent des Soeurs de Sainte-Croix. En mauvais état, cette maison est remplacée par une nouvelle demeure en 1859, toujours pour loger le bedeau de la paroisse et sa famille. De 1952 à 1956, la Caisse Desjardins y loue une pièce et y ouvre un comptoir. À partir de 1960, plusieurs commerces s'y succèdent. Depuis 1985, le bâtiment a uniquement une fonction commerciale (Boutique Coiffure Christine, Le Berlingot - Bar laitier). Décor estival. Années 1970. Négatifs # 7 et 8. 233, boul. Sainte-Rose : Vue d'ensemble de l'ancien couvent de Sainte-Rose, construit en 1875-1876 selon les plans de l'architecte Victor Bourgeau, et représentatif du style Second Empire, un courant architectural fort prisé entre le milieu et la fin du 19e siècle par l'élite religieuse et bourgeoise canadienne-française dans la construction de bâtiments institutionnels et de résidences opulentes. Le couvent est dirigé par les Soeurs de Sainte-Croix qui viennent s'installer à Sainte-Rose pour prendre en charge l'éducation des jeunes filles. La pierre de maçonnerie provient des carrières de l'entrepreneur Félix Labelle. Le portail de la façade a été modifié au début des années 1900. Avec l'augmentation du nombre d'étudiantes, le couvent est agrandi en 1912. Cet agrandissement est effectué selon les plans de l'architecte Joseph Sawer et l'entrepreneur est Félix Labelle. L'espace du couvent s'en trouve ainsi doublé. Un autre agrandissement est réalisé en 1947. Le couvent est également connu sous le nom de Pensionnat Saint-Charles et dispense l'enseignement aux jeunes filles et à tous les enfants du niveau de la maternelle (jardin de l'enfance). Il sert d'école pour filles, de pensionnat et d'externat jusqu'en 1976. L'établissement servira de maison d'accueil pour les religieuses retraitées avant d'être utilisé à des fins commerciale. Décor estival. Années 1970. Négatif # 9. 235, boul. Sainte-Rose : Vue d'ensemble d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1865, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Elle aurait été la résidence du docteur Avila Desrochers, dont la construction lui a été attribuée, ainsi que de monsieur Michel Roy. Ici, après avoir subie des modifications. Décor estival. Années 1970. Négatif # 10. 237 et 239, boul. Sainte-Rose : Vue d'ensemble d'une maison cubique à deux étages, située à l'intersection du boulevard Sainte-Rose et de la rue Cantin. Décor estival. Années 1970. Négatif # 11. 241, boul. Sainte-Rose : Vue d'ensemble d'une maison cubique à deux étages, située à l'intersection du boulevard Sainte-Rose et de la rue Cantin. En devanture, une afffiche sur laquelle on peut lire «Épicerrie Charbonneau». Décor estival. Années 1970. Négatif # 12. Planche-contact (12 négatifs numérotés de 1 à 12), n&b. Informations tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose (SROS_0208, SROS_0202, SROS_0204, SROS_0211, SROS_0214, SROS_0218, SROS_0233, SROS_0235) | |
C001/A2,06.173 | Maison située au 625, boulevard des Mille-Îles, Auteuil. Vue de la façade et du côté gauche d'une maison franco-québécoise, construite vers 1790, et représentative de l'intégration de l'architecture néoclassique anglaise importée par les Britanniques à la fin du 18e siècle aux façons traditionnelles de construire en Nouvelle-France. Ce type de résidence constitue un modèle de transition entre la maison d'esprit français et la maison traditionnelle québécoise. Cette maison, autrefois située sur le Chemin de la Grande-Côte (maintenant boul. des Mille-Îles), fut la résidence de René-S Bouvrette. Décor estival. 1956. Tirage photographique, n&b. Il s'agit d'une maison de plan rectangulaire en moellons de un étage et demi portat un toit à deux versants droits en bardeaux d'asphalte. Le toit est doté et pourvu de deux larges cheminées placées aux extrémités. En façade, le rez-de-chaussée est percé d'une porte et de trois fenêtres auxquels fait écho sous les combles une lucarne continue. Le mur de gauche est percé d'une fenêtre au rez-de-chaussée et de deux autres à l'étage. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Auteuil MILI_0625). | |
C001/A2,06.175 | Maison autrefois située au 1098, boulevard Sainte-Rose Ouest, Laval-Ouest. Vue d'ensemble d'une maison traditionnelle québécoise en moellons, construite en 1830, et aujourd'hui disparue. Cette maison fut autrefois la demeure de René Ouimet. Décor estival. 1956. Tirage photographique, n&b. | |
C001/A2,06.176 | Maison ancestrale à Sainte-Rose. Vue de la façade et du côté gauche d'une maison traditionnelle québécoise. Emplacement non identifié à l'ouest du village de Sainte-Rose. Décor estival. Tirage photographique, n&b. Il s'agit d'une maison de plan rectangulaire d'un étage et demi en pierre de taille portant un toit à deux versants droits en bardeaux d'asphalte et percé d'une lucarne rampante. Trois cheminées sélèvent au-dessus du faîte, une à chacune de ses extrémités, construites à même les murs, et une en son milieu. La façade est percée de deux portes flanquées de trois fenêtres abritées par un toit en appentis qui surplombe une galerie qui court sur toute sa largeur. Le mur gauche est percé de deux fenêtres sous les combles. Une petite extension de deux étages avec porte et fenêtre jouxte le mur gauche. | |
C001/A2,06.177 | Maison autrefois située au 1098, boulevard Sainte-Rose Ouest, Laval-Ouest. Vue d'ensemble d'une maison traditionnelle québécoise en moellons, construite en 1830, et aujourd'hui disparue. Cette maison fut autrefois la demeure de René Ouimet. Décor estival. 1956. Tirage photographique, n&b. | |
C001/A2,06.180 | Maison traditionnelle québécoise à Sainte-Rose. Vue du côté gauche et de la façade d'une maison traditionnelle québécoise en moellons. Ici, la maison, située à l'ouest du village, est abandonnée. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b. | |
C001/A2,06.181 | Maison située au 202, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue d'ensemble d'une maison de type traditionnel en pierre de taille, construite vers 1816, représentative du courant néoclassique issu de l'architecture britannique au 19e siècle Cette demeure hébergea Pascal-Adélard Longpré, maire de 1918 à 1936, puis Joseph «Jos» Ouimet, également maire de Sainte-Rose (1936-1950). Au début du XXe siècle, la maison sert entre autres de local pour la Banque Provinciale (1913), puis pour la Caisse populaire de Sainte-Rose de 1959 à 1961. Elle fut ensuite occupée par le Dr. Michel Roy, optométriste (1942-2019) et héberge maintenant la Clinique Visuelle Sainte-Rose. Cette maison porte la dénomination Maison Longpré-Ouimet. Décor estival. Tirage photographique, n&b. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0202). | |
C001/A2,06.182 | Château Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue du Château Sainte-Rose depuis l'approche principale. On peut distinguer la partie droite du bâtiment principal qui s'élève sur deux étages et surmonté d'un toit à deux versants percé d'une lucarne à pignon. L'entrée est devancée par un porche à voiture, alors que la partie de droite est occupée par une galerie vitrée abritée par un toit en appentis. De part et d'autre du chemin d'approche, on peut voir des chaises et des parasols. Le Château, longtemps utilisé comme annexe de l'hôtel Robert, était situé au 305, boulevard Sainte-Rose, au coin nord-ouest de l'intersection des actuels boulevards Curé-Labelle et Sainte-Rose. Décor estival. Photographe: D. Léonard, Montréal. Tirage photographique, n&b. | |
C001/A2,06.183 | Maison située au 208, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose Vue de la façade et du côté droit d'une maison traditionnelle québécoise, construite, peut-être vers 1830, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Une affiche au contenu illisible est accrochée près de la porte. Cette maison a accueilli le bureau d'enregistrement des municipalités de l'île Jésus, aménagé dans la résidence du notaire F.-X. Léonard (section avec la toiture à deux versants). En 1961, la Caisse Populaire de Sainte-Rose en quête de plus grands locaux déménage dans la bâtisse. Cette maison fut également la demeure de la famille Jean Drapeau. Depuis 2009, ou avant, la bâtisse est occupée par une étude de notaires. Décor verdoyant. Photographe : D. Léonard, Montréal. Date inconnue. Tirage photographique, n&b. Il s'agit d'une maison de plan rectangulaire d'un étage et demi en maçonnerie recouverte d,un crépi et portant un toit à deux versants retroussés en en tôle à baguette. En façade, le rez-de-chaussée est percé d'une porte flanquée de deux fenêtres. Le mur droit est percé de quatre fenêtres (dont trois sont visibles) au rez-de-chaussée et de deux sous les combles. Sur la gauche, un autre bâtiment jouxte la maison. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0208). | |
C001/A2,06.184 | Maison Filiatrault-Latour située au 242, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue d'ensemble de la façade d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1780-1790, représentative de la maison franco-québécoise, résultat de l'intégration de l'architecture néoclassique anglaise importée par les Britanniques à la fin du 18e siècle aux façons traditionnelles de construire en Nouvelle-France. Elle constitue ainsi un modèle de transition entre la maison d'esprit français et la maison traditionnelle québécoise. Cette maison est connue sous la dénomination Maison Filiatrault-Latour. Décor dépouillé. Date inconnue. Photographe: Yvon ouimet. Tirage photographique, n&b. Notes: L'un de ses propriétaires à la fin du 18e siècle, Joseph Filiatrault, a donné le terrain pour construire la deuxième église de Sainte-Rose en 1788. Le conseil du village a siégé dans cette maison au milieu du 19e siècle ainsi que le premier secrétariat du village de Sainte-Rose en 1858. Le notaire Jean-Benjamin Latour en est ensuite propriétaire, puis son fils le notaire Jean-Paul Latour. Informations tirées de la base de données patromoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0242). | |
C001/A2,06.185 | Maison située au 255, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue de la façade et du côté gauche d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1856, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Il s'agit d'une maison de plan rectangulaire d'un étage et demi en moellons et chaînages portant un toit à deux versants retroussés en tôle à baguette et percé de trois lucarnes à pignon. Une cheminée (non visible) construite à même les murs s'élève sur son côté gauche. En façade, le rez-de-chaussée est percé d'une porte flanquée de deux fenêtres abritée par un avant-toit qui surplombe une galerie courant sur toute sa largeur. Le côté gauche est percé d'une fenêtre au rez-de-chaussée et de deux plus petites sous les combles. Sur la droite, on distingue une extension empiétant sur la galerie, et une affiche sur laquelle on lit «ANTIQUES». Cette maison est connue sous la dénomination Maison Ouimet. Décor dépouillé. Tirage photographique, coul. Note historique : La terre appartient d'abord à la famille Filiatrault. Vers 1833, les Ouimet s'en portent acquéreurs. Elle est ensuite cédée à Michel Ouimet (frère de Paul Ouimet et Marguerite Foucault [Faucault], époux d'Élisabeth Filiatrault, qui construit ou fait construire cette demeure vers 1856 (d'autres sources avancent également 1845, 1852 et 1854). On rapporte que les pierres de la demeure proviennent de la démolition de la deuxième église de Sainte-Rose qui avait été érigée en 1788. Paul Ouimet donne sa terre à son fils Anselme (père de Séraphin Ouimet (d.1964), ingénieur, et de Charles Ouimet, surintendant de la ville de Sainte-Rose, qui y serait nés) qui y sont tous nés. En 1929, la maison fut vendue au fils d'Anselme, Charles Ouimet, et la maison fut habitée par ses deux filles, Anna et Rita Ouimet, musiciennes, qui ont tenu dans l'annexe vitrée, construite vers 1935, un petit commerce de mercerie, de tissus et de chapeaux. Parmi les résidents connus: les frères Séraphin Ouimet, arpenteur-géomètre, et Charles Ouimet, chef de la police et des pompiers, ainsi que Joseph-Aldéric Ouimet (1847-1916), avocat, député fédéral conservateur, lieutenant-colonel de la milice du 65e Régiment des Fusiliers Mont-Royal et ministre des Travaux publics (1892-1896). Anna Ouimet est la dernière de sa famille à posséder la maison. Celle-ci est vendue en 1977 à Manfred Dewies et C. D. Rekinger qui l'occupaient comme locataires depuis 1970. Une seconde annexe en pièce sur pièce est ajoutée vers la fin des années 1970 par Manfred Dewies. Cette maison était située immédiatement à l'est du château Normand (Ancien château Vanier). Informations en partie tirée de la base de données de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0255). | |
C001/A2,06.186 | Maison située au 238, 238A et 238B, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue d'ensemble de la façade d'une maison qui témoigne de l'éclectisme victorien en vogue des années 1880 aux années 1920 au Québec. Celle-ci fut bâtie entre 1903 et 1911. Félix Labelle, contracteur et maire du village de Sainte-Rose, achète le terrain, vacant, en 1903 et 1904. Celui-ci est ensuite offert en cadeau de mariage à sa fille Augustine Labelle qui épouse le médecin Napoléon Plouffe en 1903. Une maison y est construite qui servira de résidence d'été à Augustine. En 1911, cette dernière, maintenant veuve de Napoléon Plouffe, vend la maison à Régine Gougeon, épouse de Joseph O. Trudel. Par la suite, plusieurs occupants se succèdent. En 1965, la maison est louée par les propriétaires actuels, les notaires Vaillancourt qui l'achètent en 1974 et l'occupent encore aujourd'hui, en 2020. Décor hivernal. Date inconnue. Tirage photographique n&b. Informations tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0238). | |
C001/A2,06.187 | Maison située au 238, 238A et 238B, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue d'ensemble de la façade d'une maison qui témoigne de l'éclectisme victorien en vogue des années 1880 aux années 1920 au Québec. Celle-ci fut bâtie entre 1903 et 1911. Félix Labelle, contracteur et maire du village de Sainte-Rose, achète le terrain, vacant, en 1903 et 1904. Celui-ci est ensuite offert en cadeau de mariage à sa fille Augustine Labelle qui épouse le médecin Napoléon Plouffe en 1903. Une maison y est construite qui servira de résidence d'été à Augustine. En 1911, cette dernière, maintenant veuve de Napoléon Plouffe, vend la maison à Régine Gougeon, épouse de Joseph O. Trudel. Par la suite, plusieurs occupants se succèdent. En 1965, la maison est louée par les propriétaires actuels, les notaires Vaillancourt qui l'achètent en 1974 et l'occupent encore aujourd'hui, en 2020. Décor automnal. Tirage photographique n&b. Informations tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0238). | |
C001/A2,06.188 | Maison située au 255, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue de la façade et du côté gauche d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1856, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Cette maison est connue sous la dénomination Maison Ouimet. Décor dépouillé. Tirage photographique, n&b. Il s'agit d'une maison de plan rectangulaire d'un étage et demi en moellons et chaînages portant un toit à deux versants retroussés en tôle à baguette et percé de trois lucarnes à pignon. Une cheminée (non visible) construite à même les murs s'élève sur son côté gauche. En façade, le rez-de-chaussée est percé d'une porte flanquée de deux fenêtres abritée par un avant-toit qui surplombe une galerie courant sur toute sa largeur. Le côté gauche est percé d'une fenêtre au rez-de-chaussée et de deux plus petites sous les combles. Note historique : La terre appartient d'abord à la famille Filiatrault. Vers 1833, les Ouimet s'en portent acquéreurs. Elle est ensuite cédée à Michel Ouimet (frère de Paul Ouimet et Marguerite Foucault [Faucault], époux d'Élisabeth Filiatrault, qui construit ou fait construire cette demeure vers 1856 (d'autres sources avancent également 1845, 1852 et 1854). On rapporte que les pierres de la demeure proviennent de la démolition de la deuxième église de Sainte-Rose qui avait été érigée en 1788. Paul Ouimet donne sa terre à son fils Anselme (père de Séraphin Ouimet (d.1964), ingénieur, et de Charles Ouimet, surintendant de la ville de Sainte-Rose, qui y serait nés) qui y sont tous nés. En 1929, la maison fut vendue au fils d'Anselme, Charles Ouimet, et la maison fut habitée par ses deux filles, Anna et Rita Ouimet, musiciennes, qui ont tenu dans l'annexe vitrée, construite vers 1935, un petit commerce de mercerie, de tissus et de chapeaux. Parmi les résidents connus: les frères Séraphin Ouimet, arpenteur-géomètre, et Charles Ouimet, chef de la police et des pompiers, ainsi que Joseph-Aldéric Ouimet (1847-1916), avocat, député fédéral conservateur, lieutenant-colonel de la milice du 65e Régiment des Fusiliers Mont-Royal et ministre des Travaux publics (1892-1896). Anna Ouimet est la dernière de sa famille à posséder la maison. Celle-ci est vendue en 1977 à Manfred Dewies et C. D. Rekinger qui l'occupaient comme locataires depuis 1970. Une seconde annexe en pièce sur pièce est ajoutée vers la fin des années 1970 par Manfred Dewies. Cette maison était située immédiatement à l'est du château Normand (Ancien château Vanier). Informations en partie tirée de la base de données de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0255). | |
C001/A2,06.189 | Maison de type Boomtown autrefois située à Sainte-Rose. Vue de la façade d'une maison de plan carré de type «Boomtown», probablement construite entre 1890 et 1920, de deux étages en planche à clins. En façade, le rez-de-chaussée est percé d'une porte flanquée de deux fenêtres, un arrangement reproduit à l'étage. Une galerie court sur les deux niveaux mais se poursuit sur le côté gauche au rez-de-chaussée. Décor hivernal. Date inconnue. Tirage photographique, n&b. | |
C001/A2,06.191 | Maison à mansarde autrefois située à Sainte-Rose. Vue d'ensemble de la façade et du côté droit d'une maison à mansarde de style Second Empire, particulièrement populaire entre 1880 et 1920. Il s'agit d'une maison de plan rectangulaire d'un étage et demi en planche à clins portant un toit mansardé à deux versants recouverts de bardeaux de cèdre. À chaque extrémité, une cheminée coiffe le faîte du toit. En façade, le rez-de-chaussée est percé d'une porte flanquée de deux fenêtres et à l'étage de deux fenêtres. Le côté droit est percé de deux fenêtres au rez-de-chaussée et d'une seule à l'étage. Une galerie abritée par un toit en appentis court le long de la façade et du mur droit, menant à une extension à toit plat et percé d'une porte et de deux fenêtres. Sur un écriteau on peut lire «Chaloupes à louer - Ménés à vendre», et sur la photo «Ste Rose 1927». Décor estival. 1927. Tirage photographique, n&b. . | |
C001/A2,06.192 | Maison autrefois située au 1115 et 1117, rue du Plateau-Ouimet, Sainte-Rose. Vue rapprochée de la façade d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1886, d'un étage et demi en planche à clins portant un toit à deux versants droits en tôle à baguettes et percé de deux lucarnes à pignon. Le rez-de-chaussée est percée de deux portes et de deux larges fenêtres disposée en miroir. Une galerie, abritée par un toit en appentis, courre le long de la façade. Une banderole sur laquelle on peut lire «Vive Jésus», des festons, des drapeaux du Québec ornés du Carillon-Sacré-Coeur et deux petites plaques portant le numéro 202 décorent la façade. Sur la galerie, on peut apercevoir Marie-Rose Désormeaux, première épouse de Charles Ouimet, et huit autres personnes non identifiées. Décor verdoyant. Années 1940. Tirage photographique, n&b. | |
C001/A2,06.193 | Maison située au 749, rang Saint-Antoine, Sainte-Dorothée. Vue du côté gauche et de la façade d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1832, assurément avant 1859, pour la famille Lachaine. Cette maison est apparentée à la maison franco-québécoise qui est le résultat de l'intégration de l'architecture néoclassique anglaise importée par les Britanniques à la fin du 18e siècle aux façons traditionnelles de construire en Nouvelle-France. Elle est un modèle de transition entre la maison d'esprit français et la maison traditionnelle québécoise. Décor estival. Cette maison porte la dénomination Maison Lachaine. [Années 1960-1970]. Tirage photographique, n&b. Note historique : Jean-Baptiste Lachaine obtient la terre en 1785. Jean-Baptiste Lachaine fils, enfant de Marie-Thérèse Clairoux et de Jean-Baptiste Lachaine père, épouse en 1832, Marie-Thérèse Clairoux, fille de Marie Angélique Lemieux et de Michel Clairoux. La maison pourrait se trouver sur la terre à ce moment. Le 3 janvier 1859, le couple fait donation de leur ferme à leur fils, aussi nommé Jean-Baptiste, et son épouse Olive Perrier. La mention d'une maison en pierre, est mentionnée pour une première fois dans l'acte de donation. Jean-Baptiste Lachaine décède en 1867. Par la suite, la maison demeure la propriété de la famille Lachaine jusqu'en 1871 lorsque Louis et François Plouffe achètent la ferme. Les Plouffe se départissent de la maison et de ses bâtiments de ferme en 1876. Martin Laurin, époux d'Esther Touchette, en devient propriétaire. En 1906, Esther Touchette, veuve depuis plusieurs années, vend sa propriété à Michée Dorion. Par la suite, plusieurs propriétaires se succèdent jusqu'à son achat par Suzanne Huot et Pierre Cormier en 1983. Le couple reçoit le premier prix du patrimoine de Laval en 2000 pour la restauration du bâtiment secondaire. Informations tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Dorothée SANT_0749). | |
C001/A2,06.194 | Maison située au 749, rang Saint-Antoine, Sainte-Dorothée. Vue rapprochée du côté gauche et de la façade d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1832, assurément avant 1859, pour la famille Lachaine. Cette maison est apparentée à la maison franco-québécoise qui est le résultat de l'intégration de l'architecture néoclassique anglaise importée par les Britanniques à la fin du 18e siècle aux façons traditionnelles de construire en Nouvelle-France. Elle est un modèle de transition entre la maison d'esprit français et la maison traditionnelle québécoise. Décor estival. Cette maison porte la dénomination Maison Lachaine. [Années 1960-1970]. Tirage photographique, n&b. Note historique : Jean-Baptiste Lachaine obtient la terre en 1785. Jean-Baptiste Lachaine fils, enfant de Marie-Thérèse Clairoux et de Jean-Baptiste Lachaine père, épouse en 1832, Marie-Thérèse Clairoux, fille de Marie Angélique Lemieux et de Michel Clairoux. La maison pourrait se trouver sur la terre à ce moment. Le 3 janvier 1859, le couple fait donation de leur ferme à leur fils, aussi nommé Jean-Baptiste, et son épouse Olive Perrier. La mention d'une maison en pierre, est mentionnée pour une première fois dans l'acte de donation. Jean-Baptiste Lachaine décède en 1867. Par la suite, la maison demeure la propriété de la famille Lachaine jusqu'en 1871 lorsque Louis et François Plouffe achètent la ferme. Les Plouffe se départissent de la maison et de ses bâtiments de ferme en 1876. Martin Laurin, époux d'Esther Touchette, en devient propriétaire. En 1906, Esther Touchette, veuve depuis plusieurs années, vend sa propriété à Michée Dorion. Par la suite, plusieurs propriétaires se succèdent jusqu'à son achat par Suzanne Huot et Pierre Cormier en 1983. Le couple reçoit le premier prix du patrimoine de Laval en 2000 pour la restauration du bâtiment secondaire. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Dorothée SANT_0749). | |
C001/A2,06.195 | Château Normand, Sainte-Rose. Vue d'ensemble d'un bâtiment imposant de trois étages et demi de plan en L ou en T. L'élément distinctif du bâtiment est une tourelle fenestrée pourvue d'un toit conique percé d'oeils-de-boeuf qui domine cette structure élaborée. Les toits, recouverts de bardeaux de bois, en croupe et en appentis, sont percés de lucarnes à fenêtre pendante ou d'un oeil-de-boeuf. Le rez-de-chaussée s'orne d'une abondante fenestration, d'une galerie livrant accès à l'entrée principale, et d'une véranda vitrée qui occupe le côté droit. Le décor est champêtre. Le bâtiment a brulé en 1959. Aujourd'hui, remplacé par le 257-261 boulevard Sainte-Rose. Inscrit en blanc au bas de l'image : Château Normand - Ste-Rose. Années 1950. Carte postale, n&b. | |
C001/A2,07.001.1 | Maison autrefois située au 273, boulevard Lévesque, Pont-Viau. Vue de la façade d'une maison traditionnelle québécoise, aujourd'hui disparue. Décor dépouillé. date inconnue. Tirage photographique, n&b. | |
C001/A2,07.001.2 | Maison autrefois située au 273, boulevard Lévesque, Pont-Viau. Vue du côté gauche et et la façade d'une maison traditionnelle québécoise, aujourd'hui disparue. Décor dépouillé. Date inconnue. Tirage photographique, n&b. | |
C001/A2,07.001.3 | Maison autrefois située au 273, boulevard Lévesque, Pont-Viau. Vue du côté droit et de la façade d'une maison traditionnelle québécoise, aujourd'hui disparue. Décor dépouillé. Date inconnue. Tirage photographique, n&b. | |
C001/A2,07.001.4 | Maison autrefois située au 273, boulevard Lévesque, Pont-Viau. Vue de la façade d'une maison traditionnelle québécoise, aujourd'hui disparue. Décor dépouillé. Date inconnue. Tirage photographique, n&b. | |
C001/A2,07.002.1 | Maison située au 180 boulevard Lévesque Est, Pont-Viau. Vue d'ensemble du côté gauche et de la façade d'une maison, construite vers 1870, qui témoigne du néoclassicisme issu de l'architecture britannique au 19e siècle. Décor dépouillé. Date inconnue. Tirage photographique, n&b. nformations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Pont-Viau LEVE_0180). | |
C001/A2,07.002.2 | Maison située au 180, boulevard Lévesque Est, Pont-Viau. Vue d'ensemble du côté gauche d'une maison d'une maison, construite vers 1870, qui témoigne du néoclassicisme issu de l'architecture britannique au 19e siècle. Décor dépouillé. Date inconnue. Tirage photographique, n&b. nformations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Pont-Viau LEVE_0180). | |
C001/A2,07.002.3 | Maison située au 180, boulevard Lévesque Est, pont-Viau. Vue d'ensemble du côté gauche et de la façade d'une maison, construite vers 1870, qui témoigne du néoclassicisme issu de l'architecture britannique au 19e siècle. Décor dépouillé. Date inconnue. Tirage photographique, n&b. nformations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Pont-Viau LEVE_0180). | |
C001/A2,07.002.4 | Maison située au 180, boulevard Lévesque Est, Pont-Viau. Vue d'ensemble du côté gauche d'une maison, construite vers 1870, qui témoigne du néoclassicisme issu de l'architecture britannique au 19e siècle. Décor dépouillé. Date inconnue. Tirage photographique, n&b. nformations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Pont-Viau LEVE_0180). | |
C001/A2,08.001 | Maison située au 127, boulevard des Prairies, Laval-des-Rapides. Connue comme l'ancienne maison du directeur du Mont-De-La Salle, elle avait auparavant été la résidence de l'aumônier, cette maison construite avant 1913, peut-être entre la fin du 19e siècle et le début du 20e siècle, s'inscrit dans le courant néoclassique qui est issu de l'architecture britannique au 19e siècle. Ici, la maison s'apparente plus particulièrement à la villa palladienne inspirée des demeures cossues conçues à la Renaissance par l'architecte italien Andrea Palladio. Cette résidence, d'abord occupée par Walter James Nelson, le fils de Wolfred Nelson, médecin, homme politique et célèbre Patriote, fut ensuite utilisée pour loger le directeur du pensionnat Mont-De-La Salle des Frères des Écoles chrétiennes. Entre 2002 et 2005. Tirage photographique, n&b. Il s'agit d'une imposante maison en pierre de taille à bossage de deux étages, de plan rectangulaire, surmontée d'un toit à croupe recouvert de tôles à baguettes. Cette façade est dotée d'un ensemble de 14 fenêtres (6 au rez-de-chaussée, 2 entre les deux étages et 6 à l'étage) et d'une porte centrale. Le bâtiment est flanqué de deux extensions, à gauche et à droite. Une cheminée surmonte la structure principale. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Laval-des-rapides PRAI_0127). | |
C001/A2,08.002 | Plaque commémorant le cinquetenaire de la Cité de Laval-des-Rapides. Plaque en bronze fixée sur une réplique miniature d'un moulin à vent érigé dans le parc Gagné le long du boulevard des Prairies. Sur la plaque, on peut lire : «Érigé à l'occasion du cinquantenaire de la fondation de la cité de Laval-des-Rapides. Maire Claude Gagné. Échevins : Marcel Bourdages, Noël Dubé, Rosario Filiatrault, Paul-Marcel Maheu, Rolland Nadon et Roland Roy. 1912-1962». 1962. Tirage photographique, n&b. | |
C001/A2,08.003 | Maison autrefois située au 36, avenue du Pacifique, Laval-des-Rapides. Vue de la façade arrière d'une maison issue du mouvement Arts & Crafts, construite vers 1930. En 1950, le botin de Laval-des-Rapides associe l'adresse de cette maison à Dame Joseph-Élie Brault, épouse du pharmacien et docteur Joseph-Élie Brault. Il s'agit d'une résidence de plan rectangulaire d'un étage et demi en planche à clins porte un toit à deux versants droits en bardeaux d'asphalte percé de quatre lucarnes à fenêtre pendante. Le rez-de-chaussée est percée de deux portes et deux fenêtres disposées en mirroir. Une petite extension pourvue d'une porte sépare en deux une galerie abritée par un toit en appentis. L'avant-plan est occupé par un jeu de croquet. Décor verdoyant. Cette maison fur démolie entre 2009 et 2012. [Vers 1950]. Tirage photographique, n&b. | |
C001/A2,08.004 | Maison autrefois située au 36, avenue du Pacifique, Laval-des-Rapides. Vue de la façade d'une maison issue du mouvement Arts & Crafts, construite vers 1930. En 1950, le botin de Laval-des-Rapides associe l'adresse de cette maison à Dame Joseph-Élie Brault, épouse du pharmacien et docteur Joseph-Élie Brault. La famille Brault utilise d'abord cette résidence comme maison de campagne, la famille résidant à Montréal. Plus tard, la famille Brault y emménagea pour de bon. Vue de la façade d'une maison issue du mouvement Arts & Crafts, construite vers 1930. Cette résidence de plan rectangulaire d'un étage et demi en planche à clins porte un toit à deux versants droits en bardeaux d'asphalte percé de deux lucarnes à fenêtre pendante placée de part et d'autre de deux portes ouvrant sur un petit balcon double. Le rez-de-chaussée est percé d'une porte flanquée de deux fenêtres abritées par un toit en appentis surplombant une galerie qui court en façade et sur les côtés. On accède à la propriété clôturée par un escalier muni d'une grille. Cette maison fut démolie entre 2009 et 2012. Décor verdoyant. [Vers 1950]. Tirage photographique, n&b. | |
C001/A2,10.002 | Maison située au 5475, boulevard Saint-Martin Ouest, Chomedey. Viue de la façade d'une maison de style Boomtown, probablement construite entre 1910 et 1940, un style surtout en vogue au Québec de 1880 à 1930. Cette maison abrita les anciens locaux de la Société Historique de l'Île Jésus, et sert aujourd'hui d'atelier pour le centre André-Benjamin-Papineau. Décor hivernal. 15 novembre 1975. Tirage photographique, coul. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Chomedey SMAO_5495). | |
C001/A2,10.003.1 | Maison située au 4291, rue Gatineau, Chomedey. Vue de la façade et du côté gauche d'une maison de style bungalow des années 1950 et 1960. Une voiture est stationnée dans l'entrée, devant le porche pour auto, alors qu'un homme se tient sur le perron. On peut lire «OCT 63» écrit à la main sur le rebord du tirage. 1963. Tirage photographique, n&b. | |
C001/A2,10.003.2 | Maison située au 4291, rue Gatineau, Chomedey. Vue de la façade et du côté gauche d'une maison de style bungalow des années 1950 et 1960. Une voiture est stationnée dans l'entrée, devant le porche pour auto. On peut lire «1963» écrit à la main sur le rebord du tirage. 1963. Tirage photographique, n&b. | |
C001/A2,10.003.3 | Maison située au 4291, rue Gatineau, Chomedey. Vue partielle du côté gauche et de la façade d'une maison de style bungalow des années 1950 et 1960. Une voiture meuble l'arrière-plan, alors qu'un homme se tient sur le perron. On peut lire «OCT 63» sur le rebord du tirage. 1963. Tirage photographique, n&b. | |
C001/A2,10.004 | Maison située au 4592, boulevard Lévesque Est, Saint-Vincent-de-Paul. Vue de l'arrière et du côté gauche d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1850, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Cette résidence en pierre a probablement été construite par Joseph Chartrand, entrepreneur et menuisier de Saint-Vincent-de-Paul qui a bâti, entre autres, la sacristie de l'église actuelle. Et c'est dans cette maison que naît Joseph-Damase Chartrand, dit Chartrand des Écores (1852-1905), fils de Joseph, personnage coloré à la fois militaire, écrivain, comptable et éditeur. Date inconnue. Décor hivernal. Négatif, n&b. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Saint-Vincent-de-Paul LEVE_4592). | |
C001/A2,10.016 | Maison autrefois située au 310, boulevard Saint-Martin, Chomedey. Vue de la façade et du côté droit d'une maison traditionnelle québécoise en moellons d'un étage et demi, aujourd'hui disparue. Décor hivernal. Tirage photographique: n&b. | |
C001/A2,10.017 | Maison située au 4040, boulevard Saint-Martin Ouest, Chomedey. Vue de la façade et du côté droit d'une maison très ancienne, située au coeur de l'ancien village de Saint-Martin, érigée entre la deuxième moitié du 18e siècle et les toutes premières décennies du 19e siècle. Portant la dénomination Maison Papineau-Cléroux, cette maison de tradition française ou franco-québécoise fut transformée en style Second Empire vers la fin du 19e siècle, en ajoutant une toiture à mansarde, pour plus d'espace habitable, et s'adaptant au goût du jour par une ornementation de style victorien. Une date de construction vers 1820 a déjà été avancée. À partir 1930, le rez-de-chaussée aurait servi de magasin général. En 1869, André-Benjamin Papineau, célèbre Patriote et premier maire de Saint-Martin, en fait le lieu de son étude notariale. Suite à un incendie, elle aurait été reconstruite à la fin du 19e siècle. La famille Cléroux l'acquiert au 19e siècle. Origène Cléroux, dont les grands-parents en ont aussi été propriétaires, y réside à partir de 1940, et sera habitée jusqu'en 1985 par la famille Cléroux. Elle est alors acquise par le CLSC du Ruisseau-Papineau mais nécessite plusieurs travaux afin de la rendre conforme à un usage public. Elle est placardée en 1992 et la ville en prend possession en 2004. Placardée pendant 16 ans,la firme Luc M. Allard Architecte y déménage ses bureaux en 2007. Ici, la maison est placardée. Décor hivernal. Février 1995. Tirage photographique, coul. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Chomedey SMAO_4040). | |
C001/A2,10.018 | Maison située au 4040, boulevard Saint-Martin Ouest, Chomedey. Vue de la façade arrière et du côté gauche d'une maison très ancienne, située au coeur de l'ancien village de Saint-Martin, érigée entre la deuxième moitié du 18e siècle et les toutes premières décennies du 19e siècle. Portant la dénomination Maison Papineau-Cléroux, cette maison de tradition française ou franco-québécoise fut transformée en style Second Empire vers la fin du 19e siècle, en ajoutant une toiture à mansarde, pour plus d'espace habitable, et s'adaptant au goût du jour par une ornementation de style victorien. Une date de construction vers 1820 a déjà été avancée. À partir 1930, le rez-de-chaussée aurait servi de magasin général. En 1869, André-Benjamin Papineau, célèbre Patriote et premier maire de Saint-Martin, en fait le lieu de son étude notariale. Suite à un incendie, elle aurait été reconstruite à la fin du 19e siècle. La famille Cléroux l'acquiert au 19e siècle. Origène Cléroux, dont les grands-parents en ont aussi été propriétaires, y réside à partir de 1940, et sera habitée jusqu'en 1985 par la famille Cléroux. Elle est alors acquise par le CLSC du Ruisseau-Papineau mais nécessite plusieurs travaux afin de la rendre conforme à un usage public. Elle est placardée en 1992 et la ville en prend possession en 2004. Placardée pendant 16 ans,la firme Luc M. Allard Architecte y déménage ses bureaux en 2007. Ici, la maison est placardée. Décor hivernal. Février 1995. Tirage photographique, coul. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Chomedey SMAO_4040). | |
C001/A2,10.019 | Maison située au 4040, boulevard Saint-Martin Ouest, Chomedey. Vue du côté droit et de la façade arrière d'une maison très ancienne, située au coeur de l'ancien village de Saint-Martin, érigée entre la deuxième moitié du 18e siècle et les toutes premières décennies du 19e siècle. Portant la dénomination Maison Papineau-Cléroux, cette maison de tradition française ou franco-québécoise fut transformée en style Second Empire vers la fin du 19e siècle, en ajoutant une toiture à mansarde, pour plus d'espace habitable, et s'adaptant au goût du jour par une ornementation de style victorien. Une date de construction vers 1820 a déjà été avancée. À partir 1930, le rez-de-chaussée aurait servi de magasin général. En 1869, André-Benjamin Papineau, célèbre Patriote et premier maire de Saint-Martin, en fait le lieu de son étude notariale. Suite à un incendie, elle aurait été reconstruite à la fin du 19e siècle. La famille Cléroux l'acquiert au 19e siècle. Origène Cléroux, dont les grands-parents en ont aussi été propriétaires, y réside à partir de 1940, et sera habitée jusqu'en 1985 par la famille Cléroux. Elle est alors acquise par le CLSC du Ruisseau-Papineau mais nécessite plusieurs travaux afin de la rendre conforme à un usage public. Elle est placardée en 1992 et la ville en prend possession en 2004. Placardée pendant 16 ans,la firme Luc M. Allard Architecte y déménage ses bureaux en 2007. Ici, la maison est placardée. Décor hivernal. Février 1995. Tirage photographique, coul. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Chomedey SMAO_4040). | |
C001/A2,10.020 | Maison située au 4040, boulevard Saint-Martin Ouest, Chomedey. Vue du côté gauche et de la façade d'une maison très ancienne, située au coeur de l'ancien village de Saint-Martin, érigée entre la deuxième moitié du 18e siècle et les toutes premières décennies du 19e siècle. Portant la dénomination Maison Papineau-Cléroux, cette maison de tradition française ou franco-québécoise fut transformée en style Second Empire vers la fin du 19e siècle, en ajoutant une toiture à mansarde, pour plus d'espace habitable, et s'adaptant au goût du jour par une ornementation de style victorien. Une date de construction vers 1820 a déjà été avancée. À partir 1930, le rez-de-chaussée aurait servi de magasin général. En 1869, André-Benjamin Papineau, célèbre Patriote et premier maire de Saint-Martin, en fait le lieu de son étude notariale. Suite à un incendie, elle aurait été reconstruite à la fin du 19e siècle. La famille Cléroux l'acquiert au 19e siècle. Origène Cléroux, dont les grands-parents en ont aussi été propriétaires, y réside à partir de 1940, et sera habitée jusqu'en 1985 par la famille Cléroux. Elle est alors acquise par le CLSC du Ruisseau-Papineau mais nécessite plusieurs travaux afin de la rendre conforme à un usage public. Elle est placardée en 1992 et la ville en prend possession en 2004. Placardée pendant 16 ans,la firme Luc M. Allard Architecte y déménage ses bureaux en 2007. Ici, la maison est placardée. Décor hivernal. Février 1995. Tirage photographique, coul. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Chomedey SMAO_4040). | |
C001/A2,10.021 | Maison située au 4040, boulevard Saint-Martin Ouest, Chomedey. Vue du côté droit et de la façade d'une maison très ancienne, située au coeur de l'ancien village de Saint-Martin, érigée entre la deuxième moitié du 18e siècle et les toutes premières décennies du 19e siècle. Portant la dénomination Maison Papineau-Cléroux, cette maison de tradition française ou franco-québécoise fut transformée en style Second Empire vers la fin du 19e siècle, en ajoutant une toiture à mansarde, pour plus d'espace habitable, et s'adaptant au goût du jour par une ornementation de style victorien. Une date de construction vers 1820 a déjà été avancée. À partir 1930, le rez-de-chaussée aurait servi de magasin général. En 1869, André-Benjamin Papineau, célèbre Patriote et premier maire de Saint-Martin, en fait le lieu de son étude notariale. Suite à un incendie, elle aurait été reconstruite à la fin du 19e siècle. La famille Cléroux l'acquiert au 19e siècle. Origène Cléroux, dont les grands-parents en ont aussi été propriétaires, y réside à partir de 1940, et sera habitée jusqu'en 1985 par la famille Cléroux. Elle est alors acquise par le CLSC du Ruisseau-Papineau mais nécessite plusieurs travaux afin de la rendre conforme à un usage public. Elle est placardée en 1992 et la ville en prend possession en 2004. Placardée pendant 16 ans,la firme Luc M. Allard Architecte y déménage ses bureaux en 2007. Ici, la maison est placardée. Décor hivernal. Février 1995. Tirage photographique, coul. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Chomedey SMAO_4040). | |
C001/A2,10.022 | Maison située au 169, boulevard Saint-Martin Ouest, Vimont. Vue d'ensemble de la façade d'une maison construite en 1900, comme l'indique la pierre de date au-dessus de la porte, représentative du style Boomtown en vogue au Québec de 1880 à 1930. Il s'agit ici de la variante avec toit plat, fausse mansarde et lucarnes pendantes qui est caractéristique de Laval. Cette maison, entièrement rénovée en 2008 à des fins commerciales, fut la demeure de Léo-Ernest Ouimet (1877-1972), qui créa le Ouimetoscope, premier cinéma de Montréal. Cette maison porte la dénomination Maison Ouimet. Décor verdoyant. Tirage photographique, coul. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Vimont SMAO_0169). | |
C001/A2,10.023 | Maison autrefois située au 5041, boulevard Saint-Martin Ouest, Chomedey. Vue d'ensemble de la façade et du côté gauche d'une maison traditionnelle québécoise. La maison est dans un état de décrépitude avancée. Une pancarte indique qu'elle est à vendre. Elle est aujourd'hui démolie. Octobre 2001. Tirage photographique, coul. Il s'agit d'une maison de plan rectangulaire d'un étage et demi portant un toit à deux versants droits en bardeau d'asphalte. Les murs sont en moellons recouverts d'un crépi et d'un enduit reproduisant un motif de pierre de taille. Une cheminée s'élève à chaque extrémité du bâtiment. La façade est percée d'une porte et de trois fenêtres, et de trois lucarnes à pignons sous les combles. Le côté gauche de la maison est percé d'une fenêtre au rez-de-chaussé et de deux dans le pignon. | |
C001/A2,10.024 | Maison autrefois située au 5041, boulevard Saint-Martin Ouest, Chomedey. Vue d'ensemble de la façade et du côté droit d'une maison traditionnelle québécoise. La maison est dans un état de décrépitude avancée. Une pancarte indique qu'elle est à vendre. Elle est aujourd'hui démolie. Octobre 2001. Tirage photographique, coul. Il s'agit d'une maison de plan rectangulaire d'un étage et demi portant un toit à deux versants droits en bardeau d'asphalte. Les murs sont en moellons recouverts d'un crépi et d'un enduit reproduisant un motif de pierre de taille. Une cheminée s'élève à chaque extrémité du bâtiment. La façade est percée d'une porte et de trois fenêtres, et de trois lucarnes à pignons sous les combles. Le côté gauche de la maison est percé d'une fenêtre au rez-de-chaussé et de deux dans le pignon. | |
C001/A2,10.025 | Maison située au 3859, chemin du Souvenir, Chomedey. Vue de la façade et du côté droit d'une ancienne maison de ferme en bois, probablement érigée vers ou avant 1823, peut-être en 1807, témoin du passé rural de ce secteur de la ville. Cette maison constitue un modèle de transition entre la maison d'esprit français et la maison traditionnelle québécoise. Décor dépouillé. Tirage photographique, coul. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Chomedey SOUV_3859). | |
C001/A2,10.026 | Maison autrefois située au 235, boulevard Saint-Elzéar Ouest, Vimont. Vue d'ensemble du côté gauche d'une maison québécoise traditionnelle en moellons, aujourd'hui démolie. Décor verdoyant. [Années 1970]. Tirage photographique, n&b. | |
C001/A2,10.027 | Maison située au 185, boulevard Saint-Elzéar Ouest, Vimont. Vue du côté droit et de la façade d'une maison à toit mansardé de style Second Empire, construite vers 1910. Ce style est très en vogue en milieu rural au Québec entre 1875 et 1920. Cette habitation est connue comme la Maison Beaulieu. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Vimont SELO_0185). | |
C001/A2,10.028 | Maison située au 185 boulevard Saint-Elzéar Ouest, Vimont. Vue du côté gauche et de la façade d'une maison à toit mansardé de style Second Empire, construite vers 1910. Ce style est très en vogue en milieu rural au Québec entre 1875 et 1920. Cette habitation est connue comme la Maison Beaulieu. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Vimont SELO_0185). | |
C001/A2,10.029 | Maison autrefois située au 195, boulevard Saint-Elzéar Ouest, Vimont. Vue d'ensemble d'une maison à mansarde à deux versants retroussés et extension, aujourd'hui disparue. La maison, qui n'existe plus, fut probablement construite entre 1880 et 1920. Décor verdoyant. Date inconnue. Tirage photographique, n&b. | |
C001/A2,10.030 | Maison autrefois située au 195, boulevard Saint-Elzéar Ouest, Vimont. Vue d'ensemble d'une maison à mansarde à deux versants retroussés et extension, aujourd'hui disparue. La maison, qui n'existe plus, fut probablement construite entre 1880 et 1920. Décor verdoyant. Date inconnue. Tirage photographique, n&b. | |
C001/A2,10.031 | Maison située au 205, boulevard Saint-Elzéar Ouest, Vimont. Vue de la façade et du côté droit d'une maison québécoise traditionnelle en moellons et de son textension. Décor verdoyant. Date inconnue. Tirage photographique, n&b. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Vimont SELO_0205). | |
C001/A2,10.032 | Maison située au 205, boulevard Saint-Elzéar Ouest, Vimont. Vue de la façade d'une maison québécoise traditionnelle en moellons et de son textension. Décor verdoyant. Date inconnue. Tirage photographique, n&b. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Vimont SELO_0205). | |
C001/A2,10.033 | Maison située au 205 boulevard Saint-Elzéar ouest. Vue de la façade et de l'extension prenant l'apparence d'une petite maison québécoise traditionnelle en planche à clins. On distingue la façade de la maison québécoise en pierre qu'elle jouxte sur la gauche. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b. | |
C001/A2,10.034 | Maison située au 205 boulevard Saint-Elzéar ouest. Vue de la façade et du mur gauche d'une maison québécoise traditionnelle en pierre et d'une partie de l'extension aujourd'hui disparue qui la jouxtait sur la gauche. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b. | |
C001/A2,10.035 | Maison située au 235 boulevard Saint-Elzéar ouest. Vue d'ensemble du côté gauche d'une maison québécoise traditionnelle en moellons, aujourd'hui démolie. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b. | |
C001/A2,10.036.1 | Maison autrefois située au 235, boulevard Saint-Elzéar Ouest, Vimont. Vue d'ensemble du côté droit d'une maison québécoise traditionnelle en moellons, aujourd'hui démolie. Décor verdoyant. [Années 1970]. Tirage photographique, n&b. | |
C001/A2,10.036.3 | Maison autrefois située au 235, boulevard Saint-Elzéar Ouest, Vimont. Vue du côté droit d'une maison québécoise traditionnelle en moellons, aujourd'hui démolie. Décor verdoyant. [Années 1970]. Tirage photographique, n&b. | |
C001/A2,10.036.4 | Maison autrefois située au 235, boulevard Saint-Elzéar Ouest, Vimont. Vue d'ensemble du côté gauche d'une maison québécoise traditionnelle en moellons, aujourd'hui démolie. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b. | |
C001/A2,10.036.5 | Maison québécoise traditionnelle. Vue de du coin extérieur formé par la façade et le côté droit d'une maison québécoise traditionnelle en moellons. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b. | |
C001/A2,10.036.6 | Maison québécoise traditionnelle Vue rapprochée de la trappe menant à la cave d'une maison québécoise traditionnelle en moellons. Décor verdoyant. Tirage photographique n&b. | |
C001/A2,10.037 | Maison autrefois située au 285, boulevard Saint-Elzéar Ouest, Vimont. Vue partielle de la façade d'une maison traditionnelle québécoise de plan rectangulaire en moellons d'un étage et demi. Le toit à deux versants retroussés recouvert de tôle pincée est percé de deux cheminées construites à même les murs à chaque extrémité de la maison. La façade montre une porte flanquée de deux fenêtres. Le mur droit est percée de deux petites fenêtres sous les combles. Cette maison aurait été acquise par Paul Trifiro (professeur d'arts plastiques) et date du milieu du 19e siècle. Connue comme la maison Chartrand (?). Cette maison est aujourd'hui disparue. Décor automnal. Avant 1978. Tirage photographique, n&b. | |
C001/A2,10.038 | Maison autrefois située au 285, boulevard Saint-Elzéar Ouest, Vimont. Vue du côté gauche et d'une partie de la façade d'une maison traditionnelle québécoise de plan rectangulaire en moellons d'un étage et demi. Le toit à deux versants retroussés recouvert de tôle pincée est percé de deux cheminées construites à même les murs à chaque extrémité de la maison. La façade montre une porte flanquée de deux fenêtres. Le mur droit est percée de deux petites fenêtres sous les combles. Cette maison aurait été acquise par Paul Trifiro (professeur d'arts plastiques) et date du milieu du 19e siècle. Connue comme la maison Chartrand (?). Cette maison est aujourd'hui disparue. Décor automnal. Avant 1978. Tirage photographique, n&b. | |
C001/A2,10.039 | Maison autrefois située au 285 ,boulevard Saint-Elzéar Ouest, Vimont. Vue du côté gauche et de la façade d'une maison traditionnelle québécoise de plan rectangulaire en moellons d'un étage et demi. Le toit à deux versants retroussés recouvert de tôle pincée est percé de deux cheminées construites à même les murs à chaque extrémité de la maison. La façade montre une porte flanquée de deux fenêtres. Le mur droit est percée de deux petites fenêtres sous les combles. Cette maison aurait été acquise par Paul Trifiro (professeur d'arts plastiques) et date du milieu du 19e siècle. Connue comme la maison Chartrand (?). Cette maison est aujourd'hui disparue. Décor automnal. Avant 1978. Tirage photographique, n&b. | |
C001/A2,10.040 | Maison autrefois située au 285, boulevard Saint-Elzéar Ouest, Vimont. Vue de la façade et du côté droit d'une maison traditionnelle québécoise de plan rectangulaire en moellons d'un étage et demi. Le toit à deux versants retroussés recouvert de tôle pincée est percé de deux cheminées construites à même les murs à chaque extrémité de la maison. La façade montre une porte flanquée de deux fenêtres. Le mur droit est percée de deux petites fenêtres sous les combles. Cette maison aurait été acquise par Paul Trifiro (professeur d'arts plastiques) et date du milieu du 19e siècle. Connue comme la maison Chartrand (?). Cette maison est aujourd'hui disparue. Décor automnal. Avant 1978. Tirage photographique, n&b. | |
C001/A2,10.042 | Maison autrefois située au 1149 boulevard Saint-Elzéar ouest. Vue d'ensemble d'une maison traditionnelle québécoise en pierre. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b. | |
C001/A2,10.043.1 | Maison autrefois située au 2155, boulevard Saint-Elzéar Ouest, Chomedey. Vue d'ensemble de la façade et du mur gauche d'une maison de pierre québécoise traditionnelle, abandonnée et aujourd'hui disparue. On aperçoit, en arrière-plan, des bâtiments de ferme. Décor estival. Tirage photographique, n&b. | |
C001/A2,10.043.2 | Maison autrefois située au 2155, boulevard Saint-Elzéar, Chomedey. Vue de la façade et du côté gauche d'une maison traditionnelle québécoise en moellons d'un étage et demi, au toit à deux versants retroussés pourvu de lucarnes et abritant une galerie surélevée. Cette maison est aujourd'hui disparue. Décor dépouillé. Tirage photographique: n&b. | |
C001/A2,10.044 | Maison située au 2801, boulevard Saint-Elzéar, Chomedey. Vue d'ensemble d'une maison à mansarde avec extension, un style très en vogue en milieu rural au Québec entre 1875 et 1920. Décor estival. Tirage photographique, n&b. | |
C001/A2,10.045 | Maison autrefois située au 2972, boulevard Saint-Elzéar Ouest, Chomedey. Vue de la façade d'une maison traditionnelle québécoise en bois, aujourd'hui disparue. Décor verdoyant. Tirage photographique: n&b. | |
C001/A2,10.046 | Maison autrefois située au 3625, boulevard Saint-Elzéar Ouest, Chomedey. Vue d'ensemble du côté gauche d'une maison à mansarde, un style très en vogue en milieu rural au Québec entre 1875 et 1920. Cependant, il pourrait s'agir d'une maison à toit à deux versants dont la toiture a été transformée en mansarde. Cette maison, construite vers 1840, a aujourd'hui disparue. [Années 1970]. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Auteuil SELO_3625). | |
C001/A2,10.047 | Maison autrefois située au 3270, boulevard Saint-Elzéar Ouest, Chomedey. Vue d'ensemble d'une maison traditionnelle québécoise, aujourd'hui disparue, et du paysage environnant. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b. | |
C001/A2,10.048 | Maison autrefois située au 3270, boulevard Saint-Elzéar Ouest, Chomedey. Vue de la façade d'une maison traditionnelle québécoise, aujourd'hui disparue, et du paysage environnant. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b. | |
C001/A2,10.049 | Maison autrefois située au 3270, boulevard Saint-Elzéar Ouest, Chomedey. Vue de la façade d'une maison traditionnelle québécoise, aujourd'hui disparue. Décor verdoyant. Tirage photographique: n&b. | |
C001/A2,10.050 | Maison ancestrale autrefois située au 3270 (?), boulevard Saint-Elzéar Ouest, Chomedey. Vue de la façade et du côté droit d'une maison traditionnelle québécoise de plan rectangulaire en moellons d'un étage et demi. Le toit à deux versants retroussés est recouvert de bardeaux d'amiante et percé d'une lucarne à pignon. Une cheminée s'élève à chaque extrémité de la maison. En façade, le rez-de-chaussée est percé de d'une porte et de trois fenêtres. Une extension avec toit en appentis pourvue d'une porte jouxte le mur de gauche. Le mur de droite, recouvert de crépi, est percé d'une fenêtre à l'étage, alors qu'au niveau du sol, une deuxième extension en bois et au toit de tôle vient s'accoler au mur. Cette maison aurait été située au 3270 (?) boulevard Saint-Elzéar Ouest (Saint-Martin) et été la résidence de la famille Fortin. Décor estival. Tirage photographique, n&b. | |
C001/A2,10.051 | Maison située au 3755 boulevard Saint-Elzéar Ouest (Saint-Martin). Vue d'ensemble de la façade et du côté gauche d'une maison, construite vers 1832. Cette correspond à la maison franco-québécoise qui est le résultat de l'intégration de l'architecture néoclassique anglaise importée par les Britanniques à la fin du 18e siècle aux façons traditionnelles de construire en Nouvelle-France. Elle constitue un modèle de transition entre la maison d'esprit français et la maison traditionnelle québécoise en moellond d'un étage et demi. Le toit à deux versants droits est percé d'une lucarne double. Une extension jouxte la maison sur le côté gauche. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Chomedey SELO_3753). | |
C001/A2,10.052 | Maison située au 3935, boulevard Saint-Elzéar Ouest, Chomedey. Vue de la façade et du côté gauche d'une maison de ferme traditionnelle québécoise, construite vers 1840, qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Chomedey SELO_3935). | |
C001/A2,10.053 | Maison située au 3935, boulevard Saint-Elzéar Ouest, Chomedey. Vue de la façade et du côté droit d'une maison de ferme traditionnelle québécoise, construite vers 1840, qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Chomedey SELO_3935). | |
C001/A2,10.054a | Maison Papineau-Cléroux, située au 4040, boulevard Saint-Martin, Chomedey. Vue de la façade arrière et du côté gauche de cette maison construite dans les années 1820. Ancien magasin général au 19e siècle, cette maison a été la propriété du notaire André-Benjamin Papineau, cousin de Louis-Joseph Papineau. Au 20e siècle, la maison a été la propriété de la famille Cléroux de Saint-Martin et à la fin du 20e siècle, la maison est à l'abandon et est placardée pendant 16 ans. En 2007, la firme Luc M. Allard Architecte y déménage ses bureaux. Ici, la maison est placardée. Décor verdoyant. 2002. Tirage photographique, coul. | |
C001/A2,10.054b | Maison Papineau-Cléroux, située au 4040, boulevard Saint-Martin, Chomedey. Vue de la façade et du côté droit de cette maison construite dans les années 1820. Ancien magasin général au 19e siècle, cette maison a été la propriété du notaire André-Benjamin Papineau, cousin de Louis-Joseph Papineau. Au 20e siècle, la maison a été la propriété de la famille Cléroux de Saint-Martin et à la fin du 20e siècle, la maison est à l'abandon et est placardée pendant 16 ans. En 2007, la firme Luc M. Allard Architecte y déménage ses bureaux. Ici, la maison est placardée. Décor verdoyant. 2002. Tirage photographique, coul. | |
C001/A2,10.054c | Maison Papineau-Cléroux, située au 4040, boulevard Saint-Martin, Chomedey. Vue du côté gauche de cette maison construite dans les années 1820. Ancien magasin général au 19e siècle, cette maison a été la propriété du notaire André-Benjamin Papineau, cousin de Louis-Joseph Papineau. Au 20e siècle, la maison a été la propriété de la famille Cléroux de Saint-Martin et à la fin du 20e siècle, la maison est à l'abandon et est placardée pendant 16 ans. En 2007, la firme Luc M. Allard Architecte y déménage ses bureaux. Ici, la maison est placardée. Décor verdoyant. 2002. Tirage photographique, coul. | |
C001/A2,10.054d | Maison Papineau-Cléroux, située au 4040, boulevard Saint-Martin, Chomedey. Vue de la façade arrière de cette maison construite dans les années 1820. Ancien magasin général au 19e siècle, cette maison a été la propriété du notaire André-Benjamin Papineau, cousin de Louis-Joseph Papineau. Au 20e siècle, la maison a été la propriété de la famille Cléroux de Saint-Martin et à la fin du 20e siècle, la maison est à l'abandon et est placardée pendant 16 ans. En 2007, la firme Luc M. Allard Architecte y déménage ses bureaux. Ici, la maison est placardée. Décor verdoyant. 2002. Tirage photographique, coul. | |
C001/A2,10.054e | Maison Papineau-Cléroux, située au 4040, boulevard Saint-Martin, Chomedey Vue de la façade de cette maison construite dans les années 1820. Ancien magasin général au 19e siècle, cette maison a été la propriété du notaire André-Benjamin Papineau, cousin de Louis-Joseph Papineau. Au 20e siècle, la maison a été la propriété de la famille Cléroux de Saint-Martin et à la fin du 20e siècle, la maison est à l'abandon et est placardée pendant 16 ans. En 2007, la firme Luc M. Allard Architecte y déménage ses bureaux. Ici, la maison est placardée. Décor verdoyant. 2002. Photographe/don : Serge Gravel. Tirage photographique, coul. | |
C001/A2,10.056 | Maison Papineau-Cléroux, située au 4040, boulevard Saint-Martin, Chomedey. Vue de la façade et d'une partie du côté gauche de cette maison construite dans les années 1820. Ancien magasin général au 19e siècle, cette maison a été la propriété du notaire André-Benjamin Papineau, cousin de Louis-Joseph Papineau. Au 20e siècle, la maison a été la propriété de la famille Cléroux de Saint-Martin et à la fin du 20e siècle, la maison est à l'abandon et est placardée pendant 16 ans. En 2007, la firme Luc M. Allard Architecte y déménage ses bureaux. Ici, la maison n'est pas encore placardée. Décor hivernal. Tirage photographique, n&b. | |
C001/A2,10.057 | Maison Papineau-Cléroux, située au 4040, boulevard Saint-Martin, Chomedey. Vue de la façade et d'une partie du côté droit de cette maison construite dans les années 1820. Ancien magasin général au 19e siècle, cette maison a été la propriété du notaire André-Benjamin Papineau, cousin de Louis-Joseph Papineau. Au 20e siècle, la maison a été la propriété de la famille Cléroux de Saint-Martin et à la fin du 20e siècle, la maison est à l'abandon et est placardée pendant 16 ans. En 2007, la firme Luc M. Allard Architecte y déménage ses bureaux. Ici, la maison n'est pas encore placardée. Décor hivernal. Tirage photographique, n&b. | |
C001/A2,10.058 | Maison Papineau-Cléroux, située au 4040 boulevard Saint-Martin. Maison Papineau-Cléroux, située au 4040 boulevard Saint-Martin. Elle a été construite dans les années 1820. Ancien magasin général au 19e siècle, cette maison a été la propriété du notaire André-Benjamin Papineau, cousin de Louis-Joseph Papineau. Au 20e siècle, la maison a été la propriété de la famille Cléroux de Saint-Martin. À la fin du 20e siècle, la maison est à l'abandon et est placardée pendant 16 ans. En 2007, la firme Luc M. Allard Architecte y déménage ses bureaux. Sur la photo, on voit le bâtiment de biais du côté droit, en bon état avant qu'il soit placardé. Photo d'avril 1984. | |
C001/A2,10.059.1 | Maison Papineau-Cléroux, située au 4040, boulevard Saint-Martin, Chomedey. Vue de la façade et d'une partie du côté droit de cette maison construite dans les années 1820. Ancien magasin général au 19e siècle, cette maison a été la propriété du notaire André-Benjamin Papineau, cousin de Louis-Joseph Papineau. Au 20e siècle, la maison a été la propriété de la famille Cléroux de Saint-Martin et à la fin du 20e siècle, la maison est à l'abandon et est placardée pendant 16 ans. En 2007, la firme Luc M. Allard Architecte y déménage ses bureaux. Ici, la maison est placardée. Décor hivernale. Janvier 1996. Tirage photographique, coul. | |
C001/A2,10.059.2 | Maison Papineau-Cléroux, située au 4040, boulevard Saint-Martin, Chomedey. Vue de la façade arrière de cette maison construite dans les années 1820. Ancien magasin général au 19e siècle, cette maison a été la propriété du notaire André-Benjamin Papineau, cousin de Louis-Joseph Papineau. Au 20e siècle, la maison a été la propriété de la famille Cléroux de Saint-Martin et à la fin du 20e siècle, la maison est à l'abandon et est placardée pendant 16 ans. En 2007, la firme Luc M. Allard Architecte y déménage ses bureaux. Ici, la maison est placardée. Décor hivernale. Janvier 1996. Tirage photographique, coul. | |
C001/A2,10.059.3 | Maison Papineau-Cléroux, située au 4040, boulevard Saint-Martin, Chomedey. Détail du côté droit de cette maison construite dans les années 1820. Ancien magasin général au 19e siècle, cette maison a été la propriété du notaire André-Benjamin Papineau, cousin de Louis-Joseph Papineau. Au 20e siècle, la maison a été la propriété de la famille Cléroux de Saint-Martin et à la fin du 20e siècle, la maison est à l'abandon et est placardée pendant 16 ans. En 2007, la firme Luc M. Allard Architecte y déménage ses bureaux. Ici, la maison est placardée. Décor hivernal. Janvier 1996. Photographe/don Jean-Jacques Lapierre. Tirage photographique, coul. | |
C001/A2,10.060 | Maison autrefois située au 5041, boulevard Saint-Martin Ouest, Chomedey. Vue d'ensemble du côté gauche d'une maison traditionnelle québécoise de plan rectangulaire d'un étage et demi portant un toit à deux versants droits en bardeau d'asphalte. Les murs sont en moellons recouverts d'un crépi et d'un enduit reproduisant un motif de pierre de taille. Une cheminée s'élève à chaque extrémité du bâtiment. La façade est percée d'une porte et de trois fenêtres, et de trois lucarnes à pignons sous les combles. Le côté gauche de la maison est percé d'une fenêtre au rez-de-chaussée et de deux dans le pignon. La maison est dans un état de décrépitude avancée. Elle est aujourd'hui démolie. Octobre 2001. Tirage photographique, coul. | |
C001/A2,10.061 | Maison autrefois située au 310, boulevard Saint-Martin, Chomedey. Vue de la façade et du côté droit d'une maison traditionnelle québécoise en pierre, aujourd'hui disparue. Décor hivernal. Tirage photographique, n&b. | |
C001/A2,10.062 | Maison autrefois située au 310, boulevard Saint-Martin, Chomedey. Vue de la façade et du côté gauche d'une maison traditionnelle québécoise en pierre, aujourd'hui disparue. Décor hivernal. Tirage photographique, n&b. | |
C001/A2,10.063 | Maison autrefois située au 1648 rue Principale, Chomedey. Vue d'ensemble d'une maison québécoise traditionnelle en bois, sur laquelle empiète une maison de type Boomtown abandonnée et dont elle est l'extension. Ces deux constructions du 19e siècle sont aujourd'hui disparues. Décor estival. Années 1950-1960. Tirage photographique, n&b. | |
C001/A2,10.064 | Maison Papineau-Cléroux, située au 4040, boulevard Saint-Martin, Chomedey. Vue de la façade et du côté droit de cette maison construite dans les années 1820. Ancien magasin général au 19e siècle, cette maison a été la propriété du notaire André-Benjamin Papineau, cousin de Louis-Joseph Papineau. Au 20e siècle, la maison a été la propriété de la famille Cléroux de Saint-Martin et à la fin du 20e siècle, la maison est à l'abandon et est placardée pendant 16 ans. En 2007, la firme Luc M. Allard Architecte y déménage ses bureaux. Ici, la maison n'est pas encore placardée. Décor hivernal. Tirage photographique, n&b. | |
C001/A2,10.065 | Maison Papineau-Cléroux, située au 4040, boulevard Saint-Martin, Chomedey. Vue de la façade et du côté gauche de cette maison construite dans les années 1820. Ancien magasin général au 19e siècle, cette maison a été la propriété du notaire André-Benjamin Papineau, cousin de Louis-Joseph Papineau. Au 20e siècle, la maison a été la propriété de la famille Cléroux de Saint-Martin et à la fin du 20e siècle, la maison est à l'abandon et est placardée pendant 16 ans. En 2007, la firme Luc M. Allard Architecte y déménage ses bureaux. Ici, la maison n'est pas encore placardée. Décor hivernal. Tirage photographique, n&b. | |
C001/A2,10.069 | Maison située au 2155 boulevard Saint-Elzéar. Maison de pierre à double lucarne, située au 2155 boulevard Saint-Elzéar. Elle a été démolie. Vue du côté droit. Double de C001/A2,10.046. | |
C001/A2,10.072 | Maison canadienne située sur le boulevard Saint-Elzéar, Chomedey. Vue d'ensemble de la façade arrière et du côté gauche d'une maison de plan rectangulaire en moellons d'un étage et demi portant un toit à deux versants droits recouverts d'ardoise et percé deux lucarnes à pignon. Deux cheminées, construites à même les murs, sont placées à chaque extrémité du bâtiment. La façade arrière est percée de trois ouvertures et de deux soupiraux. Le côté gauche est percé d'une fenêtre au rez-de-chaussée et de deux plus petites à l'étage. La maison est à l'abandon. Décor hivernal. Janvier 1996. Voir aussi: C001/A2,06.073. Tirage photographique, coul. | |
C001/A2,10.073 | Maison ancestrale autrefois située sur le boulevard Saint-Elzéar, Chomedey. Vue d'ensemble de la façade et du côté droit d'une maison de plan rectangulaire en moellons d'un étage et demi portant un toit à deux versants droits recouverts d'ardoise et percé deux lucarnes à pignon. Deux cheminées, construites à même les murs, sont placées à chaque extrémité du bâtiment. La façade est percée de deux portes surélevées flanquées et de deux fenêtres disposées en miroir, et d'une galerie maintenant disparue. Le côté gauche n'est percé que d'une petite fenêtre à l'étage. La maison est à l'abandon. Décor hivernal. Janvier 1996. Voir aussi: C001/A2,06.072. Tirage photographique, coul. | |
C001/A2,10.075.1 | Maison autrefois située au 1648, rue Principale, Chomedey. Vue d'ensemble d'une maison traditionnelle québécoise en bois d'un étage et demi que jouxte, sur le côté droit, une maison cubique en bois de type Boomtown, ici abandonnée. Ces deux constructions du 19e siècle ont été démolies. Décor estival. Années 1950-1960. Tirage photographique n&b. | |
C001/A2,10.075.2 | Maison autrefois située au 1648, rue Principale, Chomedey. Vue d'ensemble d'une maison cubique en bois de type Boomtown, ici abandonnée. Cette construction jouxte une maison traditionnelle québécoise dont elle est l'extension. Ces deux constructions du 19e siècle ont été démolies. Décor estival. Années 1950-1960. Tirage photographique n&b. | |
C001/A2,10.075.3 | Maison autrefois située au 1648 rue Principale, Chomedey. Vue d'ensemble de la façade arrière d'une maison québécoise traditionnelle en bois sur laquelle empiète une maison cubique de type Boomtown qui en est l'extension. Ces deux constructions du 19e siècle ont été démolies. Décor estival. Années 1950-1960. Tirage photographique, n&b. | |
C001/A2,10.076 | Maison autrefois située au 3925, chemin du Souvenir, Chomedey. Vue de la façade et du côté gauche d'une maison traditionnelle québécoise en bois, aujourd'hui disparue. Tirage photographique, n&b. | |
C001/A2,10.077 | Maison autrefois située au 3849, chemin du Souvenir, Chomedey. Vue d'ensemble d'une maison traditionnelle québécoise et de bâtiments de ferme, aujourd'hui disparus. Décor verdoyant. Tirage photographique: n&b. | |
C001/A2,10.078 | Maison québécoise., Chomedey Vue d'ensemble d'une maison québéquoise d'influence américaine avec plan en L et galerie couverte. Contruite entre 1900 et 1930. Décor hivernal. Tirage photographique, n&b. | |
C001/A2,10.079 | Maison située au 4304, boulevard Saint-Martin, Chomedey. Vue d'ensemble d'une maison canadienne. Décor hivernal. Tirage photographique: n&b. | |
C001/A2,10.080 | Maison autrefois située au 1435 et 1437, boulevard Saint-Martin, Chomedey. Vue d'ensemble d'une maison québécoise traditionnelle avec extension. Cette maison fut démolie en 1975. Décor hivernal. Années 1970. Tirage photographique, coul. | |
C001/A2,10.081 | Maison située au 3958, boulevard Saint-Martin, Chomedey. Vue de la façade et du côté droit d'une maison traditionnelle québécoise ayant subie des modifications. En 2019, cette maison abrite le salon de coiffure Mychel Brisebois. Décor dépouillé. Tirage photographique: n&b. | |
C001/A2,10.082 | Presbytère de l'église située au 4080 boulevard Saint-Martin Ouest, Chomedey.. Le presbytère de Saint-Martin est érigé en 1882 par l'entrepreneur Odille Lafleur. Ce bâtiment est représentatif du courant néoclassique issu de l'architecture britannique au 19e siècle. Il se démarque par son carré de pierre de deux étages et demi, ses chaînes d'angle et sa vaste galerie couverte. Décor hivernal. Date inconnue. Tirage photographique: n&b. Note historique : Le curé Maxime Leblanc arrive à Saint-Martin en 1881. L'année suivante, il fait construire un nouveau presbytère. Odille Lafleur, entrepreneur originaire de la paroisse de Saint-Jean-de-Jérusalem d'Argenteuil, conçoit les plans de la bâtisse avec, comme modèle, le presbytère de Saint-Thomas-de-Joliette qu'il a construit en 1879. La construction du presbytère de Saint-Martin ainsi que la surveillance des travaux sont également assurées par Lafleur. Le curé Leblanc se réserve l'aménagement paysager de la nouvelle maison curiale en prévoyant un espace de verdure et la plantation d'arbres. Par la suite, plusieurs additions et modifications sont apportées au bâtiment notamment une annexe au toit mansardé et un garage. Informations tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Chomedey SMAO_4080_P). | |
C001/A2,10.083 | Maison autrefois située sur le boulevard Saint-Martin, Chomedey Vue du côté gauche et de la façade d'une maison traditionnelle québécoise en moellons, aujourd'hui disparue. Elle aurait été située au 4124 ou 4132 boulevard Saint-Martin. [Années 1950]. Décor hivernal. Tirage photographique, n&b. | |
C001/A2,10.084 | Maison autrefois située sur le boulevard Saint-Martin, Chomedey. Vue du côté gauche et de la façade d'une maison traditionnelle québécoise en moellons, aujourd'hui disparue. Elle aurait été située au 4124 ou 4132 boulevard Saint-Martin. [Années 1950]. Décor hivernal. Tirage photographique, n&b. | |
C001/A2,10.085 | Maison ancestrale autrefois située à Chomedey. Vue d'ensemble de la façade et du côté droit d'une maison ancestrale en pierre de plan rectangulaire de deux étages et demi portant un toit à deux versants retroussés percé de trois lucarnes à pignon. En façade, le rez-de-chaussée est percé d'une porte flanquée de quatre fenêtres, et de cinq fenêtres à l'étage. Le côté droit est percé d'une fenêtre et d'une porte au rez-de-chausssée, de deux fenêtres et d'une porte à l'étage à laquelle mène un escalier de fer, et d'une fenêtre sous les combles. Une galerie abritée par un toit en appentis court en façade. Cette maison à l'abandon, hypothétiquement située sur le boulevard Saint-Martin, est maintenant démolie. Décor hivernal.1968. Voir aussi: C001/A2,10.086, C001/A2,10.087 et C001/A2,10.089. Tirage photographique, n&b. | |
C001/A2,10.086 | Maison ancestrale autrefois située à Chomedey Vue d'ensemble de la façade et du côté droit d'une maison ancestrale en pierre de plan rectangulaire de deux étages et demi portant un toit à deux versants retroussés percé de trois lucarnes à pignon. En façade, le rez-de-chaussée est percé d'une porte flanquée de quatre fenêtres, et de cinq fenêtres à l'étage. Le côté droit est percé d'une fenêtre et d'une porte au rez-de-chausssée, de deux fenêtres et d'une porte à l'étage à laquelle mène un escalier de fer, et d'une fenêtre sous les combles. Une galerie abritée par un toit en appentis court en façade. Cette maison à l'abandon, hypothétiquement située sur le boulevard Saint-Martin, est maintenant démolie. Décor hivernal.1968. Voir aussi: C001/A2,10.085, C001/A2,10.087 et C001/A2,10.089. Tirage photographique, n&b. | |
C001/A2,10.087 | Maison ancestrale autrefois située à Chomedey. Vue d'ensemble du côté gauche d'une maison ancestrale en pierre de plan rectangulaire de deux étages et demi portant un toit à deux versants retroussés percé de trois lucarnes à pignon (non visibles). Le rez-de-chaussée est percé d'une porte et d'une fenêtre abritées par un toit en appentis construit dans le prolongement de la galerie en façade. À l'étage, le mur est percé de trois fenêtres, et d'une seule sous les combles. Une extension jouxte l'arrière du bâtiment. Cette maison à l'abandon, hypothétiquement située sur le boulevard Saint-Martin, est maintenant démolie. Décor hivernal.1968. Voir aussi: C001/A2,10.085, C001/A2,10.086 et C001/A2,10.089. Tirage photographique, n&b. | |
C001/A2,10.088 | Maison autrefois située sur le boulevard Saint-Martin, Chomedey. Vue de la façade et du côté gauche d'une maison traditionnelle québécoise en moellons et au toit en tôle à la canadienne. Ici, la maison, abandonnée, est en mauvais état et présente des ouvertures béantes. Elle est maintenant démolie. Décor hivernal. 1968. Tirage photographique, n&b. | |
C001/A2,10.089 | Maison ancestrale autrefois située à Chomedey. Vue d'ensemble de la façade et du côté gauche d'une maison ancestrale en pierre de plan rectangulaire de deux étages et demi portant un toit à deux versants retroussés percé de trois lucarnes à pignon. En façade, le rez-de-chaussée est percé d'une porte flanquée de quatre fenêtres, et de cinq fenêtres à l'étage. Sur le côté gauche, le rez-de-chaussée est percé d'une porte et d'une fenêtre abritées par un toit en appentis construit dans le prolongement de la galerie en façade. À l'étage, le mur est percé de trois fenêtres, et d'une seule sous les combles. Une extension jouxte l'arrière du bâtiment. Cette maison à l'abandon, hypothétiquement située sur le boulevard Saint-Martin, est maintenant démolie. Décor hivernal.1968. Voir aussi: C001/A2,10.085, C001/A2,10.086 et C001/A2,10.087. Tirage photographique, n&b. | |
C001/A2,10.090 | Maison ancestrale autrefois située à Saint-Martin, Chomedey. Vue de la façade d'une maison, probablement en bois, de plan rectangulaire et de deux étages portant un toit plat à fausse mansarde recouverte de tôle à baguette. La façade est percée d'une porte flanquée de deux fenêtres alors que l'étage est percé de deux lucarnes à fenêtres pendantes. Une galerie abritée par un toit en appentis courre le long de la façade et du mur droit, menant à un extension de deux étages du même style que le corps principal. La maison, qu'on situe hypothétiquement au nord du boulevard Saint-Martin, près de la rue Robinson et à l'ouest du boulevard Labelle, fut démolie en 1965. Décor dépouillé. Tirage photograhique, n&b. | |
C001/A2,10.091 | Ancien couvent des Soeurs de Sainte-Croix, Saint-Martin. Vue d'ensemble d'un bâtiment de style Second Empire, construit en 1816, dans un style fort prisé par les institutions entre le milieu et la fin du 19e siècle. D'abord utilisé comme école de la fabrique pour les garçons, les Frères de Sainte-Croix s'y installent en 1851 et occupent les lieux jusqu'en 1862. Puis, les Soeurs de Sainte-Croix s'y installent en 1881 et y demeurent jusqu'en 1979. L'immeuble, aujourd'hui le CLSC du Ruisseau-Papineau, est situé au 1665-1675, rue du Couvent. Décor hivernal. Tirage photographique, coul. Il s'agit d'un imposant bâtiment de plan rectangulaire de deux étages et demi surmonté d'un toit mansardé à deux versants en tôle à baguette. L'entrée est décentrée sur la gauche et prend la forme d'un perron fermé auquel on accède par un escalier. Cet étage est percée de six fenêtres surplombant les soupiraux situés au niveau de la rue. La mansarde est percée de huit lucarnes à fenêtres pendantes et le toit couronné d'un clocheton placé dans l'axe de l'entrée principale. Une imposante extension de forme rectangulaire en pierre à bossage de deux étages jouxte le bâtiment sur la droite. Sur la gauche, une volée de marche donne accès à un perron abrité et l'entrée principale. Deux fenêtres complètent cet étage surélevé, alors que trois fenêtres ornent l'étage supérieur surmonté d'un toit en pavillon. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Chomedey COUV_1665). | |
C001/A2,10.092 | Ancien couvent des Soeurs de Sainte-Croix, Chomedey. Vue d'ensemble d'un bâtiment de style Second Empire, construit en 1816, dans un style fort prisé par les institutions entre le milieu et la fin du 19e siècle. D'abord utilisé comme école de la fabrique pour les garçons, les Frères de Sainte-Croix s'y installent en 1851 et occupent les lieux jusqu'en 1862. Puis, les Soeurs de Sainte-Croix s'y installent en 1881 et y demeurent jusqu'en 1979. L'immeuble, aujourd'hui le CLSC du Ruisseau-Papineau, est situé au 1665-1675, rue du Couvent. Décor hivernal. [Années 1950-1960]. Tirage photographique, n&b. Il s'agit d'un imposant bâtiment de plan rectangulaire de deux étages et demi surmonté d'un toit mansardé à deux versants en tôle à baguette. L'entrée est décentrée sur la gauche et prend la forme d'un perron fermé auquel on accède par un escalier. Cet étage est percée de six fenêtres surplombant les soupiraux situés au niveau de la rue. La mansarde est percée de huit lucarnes à fenêtres pendantes et le toit couronné d'un clocheton placé dans l'axe de l'entrée principale. Une imposante extension de forme rectangulaire en pierre à bossage de deux étages jouxte le bâtiment sur la droite. Sur la gauche, une volée de marche donne accès à un perron abrité et l'entrée principale. Deux fenêtres complètent cet étage surélevé, alors que trois fenêtres ornent l'étage supérieur surmonté d'un toit en pavillon. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Chomedey COUV_1665). | |
C001/A2,10.093 | Ancien couvent des Soeurs de Sainte-Croix, Chomedey. Vue de la face gauche d'un bâtiment de style Second Empire, construit en 1816, dans un style fort prisé par les institutions entre le milieu et la fin du 19e siècle. D'abord utilisé comme école de la fabrique pour les garçons, les Frères de Sainte-Croix s'y installent en 1851 et occupent les lieux jusqu'en 1862. Puis, les Soeurs de Sainte-Croix s'y installent en 1881 et y demeurent jusqu'en 1979. L'immeuble, aujourd'hui le CLSC du Ruisseau-Papineau, est situé au 1665-1675, rue du Couvent. Décor hivernal. [Années 1950-1960]. Tirage photographique, n&b. Il s'agit d'un bâtiment de plan rectangulaire de deux étages et demi surmonté d'un toit mansardé à deux versants. La facçade gauche, recouverte d'un crépi, est percée de deux entrées secondaires placées côte-à-côte au niveau du sol. Une petite fenêtre perce l'étage principal alors que deux autres se situent au niveau de la mansarde. Sur la droite, on aperçoit la partie gauche de la façade avant du bâtiment, son parement en pierre de taille, ses lucarnes à fenêtres pendantes, et son clocheton. Une cheminée s'élève en arrière-plan. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Chomedey COUV_1665). | |
C001/A2,10.094 | Maison de type bungalow à Chomedey. Vue de la façade d'une maison de style bungalow de plan rectangulaire d'un étage sur fondation de pierre et revêtement de briques. La maison porte un toit à deux versants droits assymétriques d'où émerge une cheminée. La façade est percée d'une porte flanquée de deux grandes fenêtres, celle de gauche s'élevant jusqu'au toit. Cette maison est hypothétiquement située là où était autrefois le 1199, Terrasse Aubut. Octobre 1960. Tirage photographique, n&b. | |
C001/A2,10.095 | Maison autrefois située au 1529, rue Robinson, à Saint-Martin. Vue du profil droit et de la façade d'une maison traditionnelle québécoise autrefois située sur la rue Principale (maintenant Robinson), tout près de l'intersection de la rue du Souvenir. Il s'agit d'une maison d'inspiration française en transition vers la maison traditionnelle québécoise construite en 1878. Le bâtiment d'un étage et demi présentait une porte flanquée de deux fenêtres en façade et était pourvu d'un toit à deux versants retroussés. Elle aurait été démolie après ou vers 2013 pour faire place à un stationnement. Le Pré-inventaire du patrimoine architectural de la Ville de Laval dans son Rapport de synthèse daté de février 2015 ne fait pas mention de ce bâtiment qui fut rasé entre septembre 2015 et octobre 2016. Décor hivernal. 1994. Photographe: Louis-Philippe Lamy. Tirage photographique, coul. Don de Louis-Philippe Lamy. Notes historiques: D'après le Lowell de 1968, cette demeure était habitée par Napoléon Guinois (1914-1971) et Rolande Desrochers-Guinois (1917-2017). Monsieur Louis-Philippe Lamy, dont Rolande était la cousine germaine de sa mère, raconte : «Pendant très longtemps le propriétaire de la clinique médicale située à l'arrière de la maison des Guinois (1536 Curé-Labelle) promettait à Rolande de lui construire une maison neuve si elle lui vendait sa propriété, ce qu'elle a toujours refusé. Elle aimait beaucoup sa petite maison. Après la mort de son époux en 1971, elle avait fait rénover l'extérieur de la maison et même fait creuser le sous-sol sans soulever la demeure. À l'intérieur les murs étaient couverts de lattes de bois verticales, aucun plâtre. Elle avait largement dépassé les 90 ans lorsqu'elle a dû quitter sa maison pour le CHSLD Saint-Judes sur le boulevard Saint-Martin où elle est décédée en juillet 2017 à 100 ans. Elle était arrière-arrière-grand-mère ce qui est plutôt exceptionnel! Elle repose dans le lot des Guinois au cimetière Saint-Martin. Je n'ai pas vraiment connu ses enfants sauf son plus jeune, Claude, qui était dans ma classe à l'école Leblanc à Saint-Martin. Claude est décédé tragiquement dans un accident de moto en 1978, il avait 19 ans...Napoléon s'était autrefois construit un garage car selon ma mère il aimait les beaux «chars»! Il travaillait pour la Ville de Montréal mais comme à l'époque il fallait habiter la ville pour avoir un emploi de fonctionnaire municipal il donnait l'adresse de ses beaux-parents à Cartierville... mon grand-père maternel et la mère de Rolande étaient frère et soeur. Ils étaient nés à Bordeaux (paroisse du Sault-au-Récollet)... Rollande a habité la maison à partir des années 1940 jusque vers 2010.» | |
C001/A2,10.096 | Maison autrefois située au 1529, rue Robinson, à Saint-Martin. Vue de l'arrière d'une maison traditionnelle québécoise.Maison située sur la rue Robinson (anciennement Principale), tout près de l'intersection de la rue du Souvenir. Il s'agit d'une maison d'inspiration française en transition vers la maison traditionnelle québécoise construite en 1878. Le bâtiment d'un étage et demi présentait une porte flanquée de deux fenêtres en façade et était pourvu d'un toit à deux versants retroussés. Elle aurait été démolie après ou vers 2013 pour faire place à un stationnement. Le Pré-inventaire du patrimoine architectural de la Ville de Laval dans son Rapport de synthèse daté de février 2015 ne fait pas mention de ce bâtiment qui fut rasé entre septembre 2015 et octobre 2016. Décor hivernal. 1994. Photographe: Louis-Philippe Lamy. Tirage photographique, coul. Don de Louis-Philippe Lamy Notes historiques: D'après le Lowell de 1968, cette demeure était habitée par Napoléon Guinois (1914-1971) et Rolande Desrochers-Guinois (1917-2017). Monsieur Louis-Philippe Lamy, dont Rolande était la cousine germaine de sa mère, raconte : «Pendant très longtemps le propriétaire de la clinique médicale située à l'arrière de la maison des Guinois (1536 Curé-Labelle) promettait à Rolande de lui construire une maison neuve si elle lui vendait sa propriété, ce qu'elle a toujours refusé. Elle aimait beaucoup sa petite maison. Après la mort de son époux en 1971, elle avait fait rénover l'extérieur de la maison et même fait creuser le sous-sol sans soulever la demeure. À l'intérieur les murs étaient couverts de lattes de bois verticales, aucun plâtre. Elle avait largement dépassé les 90 ans lorsqu'elle a dû quitter sa maison pour le CHSLD Saint-Judes sur le boulevard Saint-Martin où elle est décédée en juillet 2017 à 100 ans. Elle était arrière-arrière-grand-mère ce qui est plutôt exceptionnel! Elle repose dans le lot des Guinois au cimetière Saint-Martin. Je n'ai pas vraiment connu ses enfants sauf son plus jeune, Claude, qui était dans ma classe à l'école Leblanc à Saint-Martin. Claude est décédé tragiquement dans un accident de moto en 1978, il avait 19 ans...Napoléon s'était autrefois construit un garage car selon ma mère il aimait les beaux «chars»! Il travaillait pour la Ville de Montréal mais comme à l'époque il fallait habiter la ville pour avoir un emploi de fonctionnaire municipal il donnait l'adresse de ses beaux-parents à Cartierville... mon grand-père maternel et la mère de Rolande étaient frère et soeur. Ils étaient nés à Bordeaux (paroisse du Sault-au-Récollet)... Rollande a habité la maison à partir des années 1940 jusque vers 2010.» | |
C001/A2,10.096a | Maison autrefois située au 1529, rue Robinson, à Saint-Martin. Vue du profil gauche et de la façade d'une maison traditionnelle québécoise autrefois située sur la rue Principale (maintenant Robinson), tout près de l'intersection de la rue du Souvenir. Il s'agit d'une maison d'inspiration française en transition vers la maison traditionnelle québécoise construite en 1878. Le bâtiment d'un étage et demi présentait une porte flanquée de deux fenêtres en façade et était pourvu d'un toit à deux versants retroussés. Un petit garage jouxte le côté droit du bâtiment. La maison aurait été démolie après ou vers 2013 pour faire place à un stationnement. Le Pré-inventaire du patrimoine architectural de la Ville de Laval dans son Rapport de synthèse daté de février 2015 ne fait pas mention de ce bâtiment qui fut rasé entre septembre 2015 et octobre 2016. Décor hivernal. 1994. Photographe: Louis-Philippe Lamy. Tirage photographique, coul. Don de Louis-Philippe Lamy. Notes historiques: D'après le Lowell de 1968, cette demeure était habitée par Napoléon Guinois (1914-1971) et Rolande Desrochers-Guinois (1917-2017). Monsieur Louis-Philippe Lamy, dont Rolande était la cousine germaine de sa mère, raconte : «Pendant très longtemps le propriétaire de la clinique médicale située à l'arrière de la maison des Guinois (1536 Curé-Labelle) promettait à Rolande de lui construire une maison neuve si elle lui vendait sa propriété, ce qu'elle a toujours refusé. Elle aimait beaucoup sa petite maison. Après la mort de son époux en 1971, elle avait fait rénover l'extérieur de la maison et même fait creuser le sous-sol sans soulever la demeure. À l'intérieur les murs étaient couverts de lattes de bois verticales, aucun plâtre. Elle avait largement dépassé les 90 ans lorsqu'elle a dû quitter sa maison pour le CHSLD Saint-Judes sur le boulevard Saint-Martin où elle est décédée en juillet 2017 à 100 ans. Elle était arrière-arrière-grand-mère ce qui est plutôt exceptionnel! Elle repose dans le lot des Guinois au cimetière Saint-Martin. Je n'ai pas vraiment connu ses enfants sauf son plus jeune, Claude, qui était dans ma classe à l'école Leblanc à Saint-Martin. Claude est décédé tragiquement dans un accident de moto en 1978, il avait 19 ans...Napoléon s'était autrefois construit un garage car selon ma mère il aimait les beaux «chars»! Il travaillait pour la Ville de Montréal mais comme à l'époque il fallait habiter la ville pour avoir un emploi de fonctionnaire municipal il donnait l'adresse de ses beaux-parents à Cartierville... mon grand-père maternel et la mère de Rolande étaient frère et soeur. Ils étaient nés à Bordeaux (paroisse du Sault-au-Récollet)... Rollande a habité la maison à partir des années 1940 jusque vers 2010.» | |
C001/A2,10.097 | Maison située au 1677, boulevard Saint-Martin Ouest, Chomedey. Vue d'ensemble d'une maison à toit mansardé, construite vers 1854, ou peut-être quelques décennies après. Ce style est très en vogue en milieu rural au Québec entre 1875 et 1920. Cette maison fut la demeure d'Émile Fortin et Henriette Bigras. Le bâtiment a par la suite connu une vocation commerciale (dont un Café-Dépot). Décor verdoyant. 1958. Tirage photographique, n&b. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Vimont SMAO_1677). | |
C001/A2,10.098 | Maison située au 1677, boulevard Saint-Martin Ouest, Chomedey. Vue éloignée du côté gauche d'une maison à toit mansardé, construite vers 1854, ou peut-être quelques décennies après. Ce style est très en vogue en milieu rural au Québec entre 1875 et 1920. Cette maison fut la demeure d'Émile Fortin et Henriette Bigras. Le bâtiment a par la suite connu une vocation commerciale (dont un Café-Dépot). Décor verdoyant. 1958. Tirage photographique, n&b. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Vimont SMAO_1677). | |
C001/A2,10.100 | Maison située au 1677 Saint-Martin Ouest, Chomedey. Vue d'ensemble d'une maison à toit mansardé, construite vers 1854, ou peut-être quelques décennies après. Ce style est très en vogue en milieu rural au Québec entre 1875 et 1920. Cette maison fut la demeure d'Émile Fortin et Henriette Bigras. Le bâtiment a par la suite connu une vocation commerciale (dont un Café-Dépot). Décor verdoyant. 1958. Tirage photographique, n&b. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Vimont SMAO_1677). | |
C001/A2,10.102 | Doublon de C001/A2,10.099 | |
C001/A2,11.01 | Maison Waxman, Sainte-Dorothée. Vue éloignée d'une maison traditionnelle quécoise connue comme la Maison Waxman. En avant-plan, la rivière des Prairies. Décor automnal. Tirage photographique, coul. | |
C001/A2,11.02 | Maison Waxman, Sainte-Dorothée. Vue éloignée d'une maison traditionnelle quécoise connue comme la Maison Waxman. En avant-plan, la rivière des Prairies. Décor hivernal. Tirage photographique, coul. | |
C001/A2,11.03 | Maison autrefois située au 673, rang Saint-Antoine, Sainte-Dorothée. Vue d'ensemble de la façade et du côté droit d'une maison à toit mansardé à deux versants, un style en vogue de 1880 à 1920. Sur la gauche, on distingue un bâtiment de ferme. Cette maison a aujoud'hui disparue. Décor hivernal. Années 1920-1921. Tirage photographique, n&b. | |
C001/A2,11.05 | Maison Champagne située au 89 rue Principale, Sainte-Dorothée Vue de la façade d'une résidence érigée au 19e siècle, peut-être en 1812, représentative de la maison traditionnelle québécoise qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Certaines sources mentionnent que la maison Champagne d'origine aurait été incendiée et que la maison actuelle ne serait pas aussi ancienne. Le batiment fut détruit dans un incendie, le 16 mars 1983. Décor dépouillé. Date inconnue. Tirage photographique: n&b. Il s'agit d'une maison de plan rectangulaire d'un étage et demi faite en planches verticales, portant un toit à deux versants retroussés en tôle à baguette et percé d'une double lucarne rampante. Sur la gauche, une cheminée s'élève au-dessus du toit. La façade est percée d'une porte flanquée de deux fenêtres. Une extension d'un étage, utlisant les mêmes matériaux, et pourvue d'une porte et d'une fenêtre, jouxte le mur gauche. Sur la droite, on distingue une partie de la grange dans un décor dépouillé. Note historique; La maison appartenait à monsieur Paul-Émile Roger, mais était habitée par monsieur Jean-Paul Pépin (artiste-peintre). On raconte que la maison et les dépendances furent sauvées par M.J. Champagne, qui aurait donné ses animaux pour y arriver, la veille de l'attaque des patriotes de Saint-Eustache le 14 décembre 1837. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Dorothée PRIN_0089) | |
C001/A2,11.06 | Maison située au 625, rue Principale, Sainte-Dorothée. Vue de la façade et du côté gauche d'une maison traditionnelle québécoise en pierres de taille avec deux extensions dans le même style. Sur le panneau planté face au bâtiment on peut lire «J.D. Deslauriers - Salons funéraires». Aujourd'hui, on y retrouve le centre de la petite enfance : Les trésors de Démosthène. Décor estival. [196?]. Tirage photographique, n&b. Note: Cette maison est celle de Louis Laurin, donateur de la moitié du terrain de la fabrique (de la Place Publique et de l'emplacement de l'église et d'une partie du cimetière). Cette maison fut aussi, pendant bien des années, le salon funéraire F. Brisebois, puis achetée par Urgel Bourgie dans les années 1990. | |
C001/A2,13.01 | Maison située au 4201 50e rue. Il s'agirait d'un chalet converti en maison unifamiliale. Photo prise lors d'une visite guidée, offerte aux employés et bénévoles du CAL et de la SHGIJ. Le tour était animé par François Pilon le 6 juin 2024. Décor estival. 2024. Photographe : Ophélie Debien-Lupien. Fichier numérique JPEG : photographie coul; 2048 x 1536p; 72ppp; 1,91 Mo. | |
C001/A2,13.02 | Chalet situé au 45.552607, -73.881176 sur une petite île au sud-ouest du pont Arthur-Sauvé, accessible depuis le 4450 rue Riviera. Le chalet est accessible grâce à un radeau rattaché à une corde, le tout confectionné par le propriétaire. Photo prise lors d'une visite guidée, offerte aux employés et bénévoles du CAL et de la SHGIJ. Le tour était animé par François Pilon le 6 juin 2024. Décor estival. 2024. Photographe : Ophélie Debien-Lupien. Fichier numérique JPEG : photographie coul; 2048 x 1536p; 72ppp; 1,56 Mo. | |
C001/A2,13.03 | Chalet situé au 45.552607, -73.881176 sur une petite île au sud-ouest du pont Arthur-Sauvé, accessible depuis le 4450 rue Riviera. Le chalet est accessible grâce à un radeau rattaché à une corde, le tout confectionné par le propriétaire. Photo prise lors d'une visite guidée, offerte aux employés et bénévoles du CAL et de la SHGIJ. Le tour était animé par François Pilon le 6 juin 2024. Décor estival. 2024. Photographe : Pierre Lacroix. Fichier numérique JPEG : photographie coul; 4288 x 2848p; 300ppp; 6,31 Mo. | |
C001/A2,13.04 | Chalet situé au 45.552607, -73.881176 sur une petite île au sud-ouest du pont Arthur-Sauvé, accessible depuis le 4450 rue Riviera. Le chalet est accessible grâce à un radeau rattaché à une corde, le tout confectionné par le propriétaire. Photo prise lors d'une visite guidée, offerte aux employés et bénévoles du CAL et de la SHGIJ. Le tour était animé par François Pilon le 6 juin 2024. Décor estival. 2024. Photographe : Pierre Lacroix. Fichier numérique JPEG : photographie coul; 4288 x 2848p; 300ppp; 6,66 Mo. | |
C001/A2,14.01 | Maison située au 844, rue Saint-François-Xavier, Terrebonne. Vue d'ensemble des restes calcinés d'une maison traditionnelle québécoise, construite à l'été 1760 par Jacques Perras. Il s'agit d'une maison d'un étage et demi, en moellons, dont on distingue encore la façade du rez-de-chausée et le mur droit. Les murs sont recouvert d'un crépi à motif de pierre de taille en façade et sommaire sur le côté. Les deux cheminées sont intégrées aux murs latéraux encore visibles qui supportaient un toit à deux versants droits. Le rez-de-chaussée était percé de quatre fenêtres, la face latérale de deux à chaque étage. L'entrée est situé dans un renfoncement de l'angle gauche du bâtiment. Porte et fenêtres sont placardées, un conteneur bleu est placé le long de la façade, et un cordon jaune et des barricades limitent l'accès au bâtiment. Connue comme la maison Jacques Perras. 4 février 1999. Décor hivernal. Tirage photographique, coul. Dans ses premières heures, cette maison servie de caserne au régiment de La Sarre, alors cantonné à Terrebonne. Elle appartenait notamment aux deux premiers députés du comté, Joseph-Hubert Lacroix et Jacob Jordan (seigneur de Terrebonne et Lachenaie). Les contemporains de Terrebonne la désignent sous le nom de la maison Bélisle, propriété de cette famille de forgerons au 20e siècle. Depuis, l'endroit avait été vendu à un tiers. En février 1999, un incendie ravageait la maison, abandonnée. Elle fut ensuite rachetée et rénovée par une corporation municipale, et est maintenant la Maison de Pays de Lanaudière qui offre des produits et de l'artisanat de la région. Une partie des informations est tirée de : http://www.shrt.qc.ca/documents/terrebonnetournee.pdf | |
C001/A2,14.02 | Maison située au 844, rue Saint-François-Xavier, Terrebonne. Vue d'ensemble des restes calcinés d'une maison traditionnelle québécoise, construite à l'été 1760 par Jacques Perras. Il s'agit d'une maison d'un étage et demi, en moellons, dont on distingue encore la façade arrière du rez-de-chausée recouverte d'un crépi, les deux cheminées intégrées aux murs latéraux encore visibles qui supportaient un toit à deux versants droits. Cette façade de maison de plan rectangulaire, possédait au rez-de-chaussée, trois fenêtres et deux portes dont l'une légèrement surélevée. Portes et fenêtres sont placardées et des débris jonchent le sol. Connue comme la maison Jacques Perras. 4 février 1999. Décor hivernal. Tirage photographique, coul. Dans ses premières heures, cette maison servie de caserne au régiment de La Sarre, alors cantonné à Terrebonne. Elle appartenait notamment aux deux premiers députés du comté, Joseph-Hubert Lacroix et Jacob Jordan (seigneur de Terrebonne et Lachenaie). Les contemporains de Terrebonne la désignent sous le nom de la maison Bélisle, propriété de cette famille de forgerons au 20e siècle. Depuis, l'endroit avait été vendu à un tiers. En février 1999, un incendie ravageait la maison, abandonnée. Elle fut ensuite rachetée et rénovée par une corporation municipale, et est maintenant la Maison de Pays de Lanaudière qui offre des produits et de l'artisanat de la région. Une partie des informations est tirée de : http://www.shrt.qc.ca/documents/terrebonnetournee.pdf | |
C001/A2,14.03 | Maison située au 844, rue Saint-François-Xavier, Terrebonne. Vue d'ensemble des restes calcinés d'une maison traditionnelle québécoise, construite à l'été 1760 par Jacques Perras. Il s'agit d'une maison d'un étage et demi, en moellons, dont on distingue encore la façade du rez-de-chausée et le mur droit. Les murs sont recouvert d'un crépi à motif de pierre de taille en façade et sommaire sur le côté. Les deux cheminées sont intégrées aux murs latéraux encore visibles qui supportaient un toit à deux versants droits. Le rez-de-chaussée était percé de quatre fenêtres, la face latérale de deux à chaque étage. L'entrée est situé dans un renfoncement de l'angle gauche du bâtiment. Porte et fenêtres sont placardées, un conteneur bleu est placé le long de la façade, et un cordon jaune et des barricades limitent l'accès au bâtiment. Connue comme la maison Jacques Perras. 4 février 1999. Décor hivernal. Tirage photographique, coul. Dans ses premières heures, cette maison servie de caserne au régiment de La Sarre, alors cantonné à Terrebonne. Elle appartenait notamment aux deux premiers députés du comté, Joseph-Hubert Lacroix et Jacob Jordan (seigneur de Terrebonne et Lachenaie). Les contemporains de Terrebonne la désignent sous le nom de la maison Bélisle, propriété de cette famille de forgerons au 20e siècle. Depuis, l'endroit avait été vendu à un tiers. En février 1999, un incendie ravageait la maison, abandonnée. Elle fut ensuite rachetée et rénovée par une corporation municipale, et est maintenant la Maison de Pays de Lanaudière qui offre des produits et de l'artisanat de la région. Une partie des informations est tirée de : http://www.shrt.qc.ca/documents/terrebonnetournee.pdf | |
C001/A2,14.04 | Maison située au 844, rue Saint-François-Xavier, Terrebonne. Vue d'ensemble des restes calcinés d'une maison traditionnelle québécoise, construite à l'été 1760 par Jacques Perras. Il s'agit d'une maison d'un étage et demi, en moellons, dont on distingue encore la façade du rez-de-chausée et le mur droit. Les murs sont recouvert d'un crépi à motif de pierre de taille en façade et sommaire sur le côté. Les deux cheminées sont intégrées aux murs latéraux encore visibles qui supportaient un toit à deux versants droits. Le rez-de-chaussée était percé de quatre fenêtres, la face latérale de deux à chaque étage. Porte et fenêtres sont placardées, un conteneur bleu est placé le long de la façade, et un cordon jaune et des barricades limitent l'accès au bâtiment. Connue comme la maison Jacques Perras. 4 février 1999. Décor hivernal. Tirage photographique, coul. Dans ses premières heures, cette maison servie de caserne au régiment de La Sarre, alors cantonné à Terrebonne. Elle appartenait notamment aux deux premiers députés du comté, Joseph-Hubert Lacroix et Jacob Jordan (seigneur de Terrebonne et Lachenaie). Les contemporains de Terrebonne la désignent sous le nom de la maison Bélisle, propriété de cette famille de forgerons au 20e siècle. Depuis, l'endroit avait été vendu à un tiers. En février 1999, un incendie ravageait la maison, abandonnée. Elle fut ensuite rachetée et rénovée par une corporation municipale, et est maintenant la Maison de Pays de Lanaudière qui offre des produits et de l'artisanat de la région. Une partie des informations est tirée de : http://www.shrt.qc.ca/documents/terrebonnetournee.pdf | |
C001/A2,14.05 | Chalet sur l'île Malouin, Boisbriand. Vue de la façade principale et de la face droite d''un petit chalet d'un étage à parement de planche à clins. De plan rectangulaire, le chalet sur pilotis est surmonté d'un toit à deux versants droits. Une véranda à moustiquaire occupe le coin du bâtiment et se projette au-delà de ces deux faces. Avril 2001. Tirage photographique, coul. | |
C001/A2,14.06 | Maison Cazal située au 4765 boulevard Gouin Est, Montréal. Vue du côté gauche et de la façade d'une maison de pierre canadienne construite vers 1755. mur du côté gauche. Décor dépouillé. 21 mars 2000. Titage photographique, coul. | |
C001/A2,14.07 | Maison Brignon-dit-Lapierre située au 4251, boulevard Gouin Est, Montréal. Vue d'ensemble de la façade d'une maison de plan rectangulaire en pierre de taille d'un étage et demi portant un toit à deux versants droits en bardeaux d'asphalte percé de quatre fenêtres abritées par un toit en appentis. Des cheminées doubles, bâties à même les murs, sont placées à chaque extrémité. En façade, le rez-de-chaussée est percé de deux portes et de deux fenêtres disposées en mirroir. Une extension en moellons d'un étage jouxte le mur de droite. Cette maison située à Montréal-Nord a été classée «monument historique» par la ville de Montréal en 2007 et a été habitée par le maçon Pierre Guilbault. La maison fut construite en 1770. Des travaux de restauration ont été faits de 2009 à 2011. Décor hivernal. Tirage photographique, coul. | |
C001/A2,14.08 | Maison située au 4005, boulevard Gouin Est, Montréal. Vue partielle de la façade et du côté gauche d'une maison traditionnelle québécoise. Décor dépouillé. 21 mars 2000. Tirage photographique, n&b. | |
C001/A2,15.13 | Maison traditionnelle québécoise Vue de la façade et du côté droit d'une maison traditionnelle québécoise en moellons. Adresse inconnue. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b. | |
C001/A3,01.01 | Restaurant l'Ancestral, à Pont-Viau. Autrefois situé au 625, boulevard Saint-Martin Ouest, le bâtiment a été rasé par un incendie le 18 janvier 2006. Ici, les décombres apparaissent à l'arrière-plan et l'affiche principale à l'avant-plan. 2006. Décor dépouillé. Tirage photographique: coul. | |
C001/A3,01.02 | Restaurant McDonald, à Vimont. Vue d'ensemble de l'établissement situé au 2180, boulevard des Laurentides Ouest, avant les rénovations. Décor dépouillé. 19 décembre 1999. Tirage photographique: coul. | |
C001/A3,01.03 | Restaurant et épicerie J.O. Labelle, à Sainte-Rose. Une femme se tient à l'entrée de la propriété sur laquelle se trouve le commerce. Des panneaux et affiches publicitaires annoncent : Crème glacée Montreal Dairy, Cigarettes Turret, Coca-Cola, Old Chum. Décor estival. [Années 1920-1930]. Tirage photographique: n&b. | |
C001/A3,01.04 | Restaurant et épicerie J.O. Labelle, à Sainte-Rose. Vue de la façade d'un bâtiment de deux étages de style boomtown en clins de bois dont le rez-de-chaussée est occupé par le restaurant et l'épicerie. Des panneaux et affiches publicitaires annoncent : Coca-Cola, Orange Crush, Orange Montreal, Cigarettes Turret, Oxo. Sur une pancarte clouée à un arbre on peut lire «Maison à louer». Décor estival. Vers 1920. Tirage photographique: n&b. | |
C001/A3,01.05 | Clark's Snack Bar, restaurant Chez Gaby. Vue de l'angle d'un bâtiment d'un étage et demi recouvert de papier brique qui abritait le casse-croute Clark's Snack Bar (Restaurant Clark), Chez Gaby. Une voiture de marque Pontiac 1960 stationne devant l'établissement alors que des enfants, dont deux sont identifiés (Lianne et Nancy), se tiennent près de l'entrée en coin. Panneaux et affiches publicitaires annoncent Coca-Cola, Hires, Denis, Cott, 7up, Kik Cola et Pepsi. Décor estival. [Années 1960]. Tirage photographique: n&b. | |
C001/A3,01.06 | Friterie ambulante. Monsieur Archambault, vendeur ambulant de frites chaudes, pose au guichet de service d'une cabine vitrée montée sur quatre roues et tirée par un cheval. Décor estival. Date inconnue. Tirage photographique (reproduction): n&b. | |
C001/A3,01.07 | Restaurant Bogart et son propriétaire, à Chomedey. Le propriétaire de l'établissement, autrefois situé au 3535, Autoroute Laval Ouest, pose devant l'entrée au-dessus de laquelle une pancarte annonce «Bogart restaurant bar - Danse - Salon cigares». Décor dépouillé. Date inconnue. Tirage photographique: coul. | |
C001/A3,01.08 | Portrait du propriétaire du restaurant Bogart, à Chomedey. Portrait du propriétaire de l'établissement, autrefois situé au 3535, Autoroute Laval Ouest. Date inconnue. Tirage photographique: coul. | |
C001/A3,01.09 | Portrait du propriétaire du restaurant Bogart, à Chomedey. Portrait du propriétaire de l'établissement, autrefois situé au 3535, Autoroute Laval Ouest. Date inconnue. Tirage photographique: coul. | |
C001/A3,01.11 | Crémerie La Marquise située au 5465 Bd Sainte-Rose, Laval, QC H7R 1W3. Photo prise lors d'une visite guidée, offerte aux employés et bénévoles du CAL et de la SHGIJ. Le tour était animé par François Pilon le 6 juin 2024. Décor estival. 2024. Photographe: Ophélie Debien-Lupien. Fichier numérique JPEG : photographie coul; 2048 x 1536p; 72pp; 1,31 Mo. | |
C001/A3,01.12 | Crémerie La Marquise située au 5465 Bd Sainte-Rose, Laval, QC H7R 1W3. Photo prise lors d'une visite guidée, offerte aux employés et bénévoles du CAL et de la SHGIJ. Le tour était animé par François Pilon le 6 juin 2024. Décor estival. 2024. Photographe: Pierre Lacroix. Fichier numérique JPEG : photographie coul; 4288 x 2848p; 300pp; 6,88 Mo. | |
C001/A3,01.13 | Crémerie La Marquise située au 5465 Bd Sainte-Rose, Laval, QC H7R 1W3. Photo prise lors d'une visite guidée, offerte aux employés et bénévoles du CAL et de la SHGIJ. Le tour était animé par François Pilon le 6 juin 2024. Décor estival. 2024. Photographe: Pierre Lacroix. Fichier numérique JPEG : photographie coul; 4288 x 2848p; 300pp; 6,88 Mo. | |
C001/A3,02.01 | Le commerce de machines à coudre d'Aldéric Désautels, à Saint-Vincent-de-Paul. Dans cette ancienne cuisine d'été, Aldéric Desautels a établit son commerce de machines à coudre. Sur la pancarte suspendue au coin du bâtiment on peut lire «Machines à coudre Désautels Vente et Réparation». Aldéric Désautels fut également propriétaire d'une magasin général - épicerie au même endroit quelques années auparavant. Décor estival. [Années 1950-1960]. Tirage photographique: coul. Cette maison, située au 5258, 5260 et 5262, boulevard Lévesque Est, est un bâtiment mansardé d'un étage et demi au parement en clins de bois et au toit recouvert de tôles décoratives. L'étage est percé de lucarnes jumelées et une galerie couverte court sur la façade et le côté droit. Une extension jouxte le côté gauche du bâtiment. Aldéric Desautels habitait au 5258, alors que le 5262, l'extension, était utilisée à des fins commerciales. Note : Aldéric Désautels (1884-1970) a également été échevin de Saint-Vincent-de-Paul dans les années 1950. | |
C001/A3,02.02 | Le magasin général Victoria d'Aldéric Désautels, à Saint-Vincent-de-Paul. Dans une extension jouxtant une maison mansardée située au 5262, boulevard Lévesque Est, Aldéric Désautels (1884-1970) a établit son magasin général Victoria. Ici, une vue de l'intérieur du magasin. Un homme (Aldéric Desautels ?) se tient derrière le comptoir. Tout autour, des produits sur les tablettes et quelques publicités comme «La Salle Tabac à Cigarettes» et «Coca-Cola». 1938. Tirage photographique: n&b. Notes : Aldéric Desautels, qui fut également échevin de Saint-Vincent-de-Paul dans les années 1950, habitait au 5258, boul. Lévesque Est, alors que le 5262, l'extension, était utilisée à des fins commerciales. | |
C001/A3,02.03 | Le commerce Chomedey Fabrics. Le commerce est établi au rez-de-chaussée d'un bâtiment de deux étages de type Boomtown. Sur l'enseigne du magasin on peut lire «Chomedey Fabrics». Une voiture stationne devant le bâtiment. Décor estival. Années 1970. Tirage photographique: n&b. Note : La photographie est sombre et floue. | |
C001/A3,02.04 | Le Marché Vézina, à Saint-François-de-Sales Cette épicerie était située au rez-de-chaussée du 6980 boulevard des Mille-Îles, un bâtiment de deux étages en brique de style Boomtown. Active des années 1950 jusqu'au milieu des années 1970, elle était la propriété de Michel Vézina. Plus tard devenu le Marché Saint-François, le fils de Michel, Pierre Vézina, déménage le commerce sur la montée Masson et devient le Marché Axep. Décor estival. Vers 1995. Tirage photographique: coul. | |
C001/A3,02.05 | Le magasin de Ludger Bélanger, à Sainte-Rose. Ludger Bélanger tenait un magasin général - boucherie - épicerie situé au rez-de-chaussée du 142, 142A, 144, 146, 146A et 146B, boulevard Saint-Rose dans un bâtiment en brique de deux étages de style Boomtown. Ici, les employés (dont deux jeunes garçons), en uniforme, et les propriétaires posent pour la caméra à l'intérieur du magasin. Les étagères et les présentoirs sont chargés de boîtes de conserve, de bouteilles de bière, de produits non périssables, alors qu'un comptoir réfrigéré abritent charcuterie et fromages. Années 1940. Tirage photographique: n&b. | |
C001/A3,02.06 | Tabagie. Alphonse Legris, son épouse, Maurice, Télésphore, Gérard et Fernand Richard posent devant un bâtiment en bois d'un seul étage. Sur la façade, des panneaux publicitaires annoncent Pepsi-Cola, KIK Cola, Tabac à Cigarettes La Salle, Sweet Caporal Cigarettes et Coca-Cola. Décor estival. Septembre 1942. Tirage photographique: n&b. | |
C001/A3,02.07 | Mercerie. Ce commerce, dont les vitrines laissent voir chapeaux, chaussure et tissus, occupe le rez-de-chausée d'un bâtiment en brique de deux étages. Sur une affiche suspendue au-dessus de l'entrée on peut lire «Bankrupt Stock at Half Price». Des affiches collées sur les vitrines reproduisent les mêmes mots alors qu'un homme et deux femmes posent sur le trottoir de bois qui longe le bâtiment. Décor estival. Lieu non identifié. Vers 1900. Tirage photographique: n&b. | |
C001/A3,02.08 | Mercerie. Ce commerce, dont les vitrines laissent voir chapeaux et chemises, occupe le rez-de-chausée d'un bâtiment sur les vitrines duquel on a collé des affiches portantles mots «Bankrupt Stock at Half Price». Deux hommse et une femme posent sur le trottoir de bois qui longe le bâtiment. Sur la droite, un autre commerce annonce les services de la «G.N.W Telegraph Co». Décor estival. Lieu non identifié. Vers 1900. Voir aussi C001/A3,02.09. Tirage photographique: n&b. | |
C001/A3,02.09 | Le Marché H. Barbe et Fils, à Saint-Martin. Cette épicerie, qui affiche la bannière Métro, occupait le rez-de-chausée d'un bâtiment en brique de deux étages situé sur la rue Robinson (anciennement rue Principale). Le bâtiment fut démoli en 1985. Décor estival. 1985. Tirage photographique: coul. | |
C001/A3,02.11 | Bannière d'un marché Provigo, à Laval. Le logo de cette chaîne alimentaire s'affiche ici sur une enseigne de forme cubique. Lieu non identifié. Date inconnue. Tirage photographique: coul. | |
C001/A3,02.12 | Bannière d'un marché Loblaws, à Laval. Le logo et le nom de cette chaîne alimentaire s'affichent ici sur le devant du commerce. Lieu non identifié. Date inconnue. Tirage photographique: coul. | |
C001/A3,02.13 | Bannière d'un marché Maxi, à Laval. Le nom de cette chaîne alimentaire s'affiche ici sur le devant du commerce. Lieu non identifié. Date inconnue. Tirage photographique: coul. | |
C001/A3,02.14 | Bannière d'un marché Loblaws, à Laval. Le logo et le nom de cette chaîne alimentaire s'affichent ici sur une enseigne autoportante. Lieu non identifié. Date inconnue. Tirage photographique: coul. | |
C001/A3,02.15 | Bannière d'un marché Maxi, à Laval. Le nom de cette chaîne alimentaire s'affiche ici sur une structure autoportante. Le nom «Fabricville» apparaît sous l'affiche. Lieu non identifié. Date inconnue. Tirage photographique: coul. | |
C001/A3,02.16 | Le magasin général Victoria d'Aldéric Désautels, à Saint-Vincent-de-Paul. C'est dans une extension jouxtant une maison mansardée située au 5262, boulevard Lévesque Est, qu' Aldéric Désautels (1884-1970) établi son magasin général - épicerie. Sur la façade se trouve une enseigne sur laquelle on peut lire «Magasin général ''Victoria'' Store, G.E. Desautels». Sur la gauche, un panneau annonce «Entrez et buvez un CocaCola» alors que sur la droite deux hommes pose pour la caméra près de la porte. Décor hivernal. [Années 1940]. Tirage photographique: n&b. Notes : Aldéric Desautels, qui fut également échevin de Saint-Vincent-de-Paul dans les années 1950, habitait au 5258, boul. Lévesque Est, alors que le 5262, l'extension, était utilisée à des fins commerciales. | |
C001/A3,02.17 | Bureau de vente Terrasse Paquette, à Saint-François-de-Sales. Cette baraque en bois, située au 6547, boulevard Lévesque, servait de bureau de vente de terrains. Sur la façade on peut lire en lettre capitales «Terrasse Paquette - Terrains - 50 x 100 - Prix $50.00 et plus - Termes faciles». Une panneau fixé sur le toit annonce «Terrains à vendre - Termes faciles - Lots for sale - Easy Terms - HA 7868 - Soir CR 4419. Devant la bicoque, Lambert Paquette et Armand Paquette fils posent popur la caméra. Décor estival. [Années 1950-1960]. Titage photographique: n&b. | |
C001/A3,02.18 | Carte d'affaires «Terrasse Paquette». Sur cette carte on peut lire l'adresse «St-François de Sales 6547 Boulevard Lévesque», un numéro de téléphone «Soir CR. 4419» et un autre, pour le jour, «HA 7868», qui a été biffé. Et en bas, à droite, une mention de la «Montée du Domaine». 1951. N&b. | |
C001/A3,02.19 | Pharmacie Vue d'ensemble de l'intérieur d'une pharmacie dont les murs sont couverts d'étagères vitrées et le plancher de comptoirs contenant flacons et boîtes diverses. Sur la droite, un homme, derrière le comptoir, pose pour la caméra. Lieu non identifié. [Vers 1910]. Tirage photographique: n&b. | |
C001/A3,02.20 | Magasin général Alphonse Crevier, à Sainte-Dorothée. Le commerce qu'ouvrit Alphonse Crevier au début des années 1920 était situé au rez-de-chaussée d'une maison mansardée d'un étage et demi en clins de bois. Décor estival. Après 1920. Tirage photographique: n&b. | |
C001/A3,03.01 | Manufacture Stella Dress. Cette ancienne manufacture, construite dans les années 1940, était spécialisée dans la confection pour dames. Autrefois située au 15, boulevard Curé-Labelle, à Sainte-Rose, on l'a voit ici, à l'état d'abandon, portes et fenêtres placardées. Décor hivernal. [Années 1960]. Tirage photographique: n&b. | |
C001/A3,03.02 | Manufacture Stella Dress. Cette ancienne manufacture, construite dans les années 1940 et située au 15, boulevard Curé-Labelle, à Sainte-Rose, était spécialisée dans la confection pour dames. Décor estival. [Années 1940-1950]. Tirage photographique: n&b. | |
C001/A3,03.03 | Ancienne usine de traitement d'eau de Sainte-Rose. Il s'agit d'un bâtiment d'un étage et demi en brique, au toit pentu recouvert de tôle à la canadienne, et pourvu d'une cheminée. Décor estival. Vers 1940. Tirage photographique: n&b. | |
C001/A3,03.04 | Plaque commémorant l'inauguration de la centrale de traitement d'eau de Sainte-Rose en 1961. Sur cette plaque on peut lire «VILLE DE SAINTE-ROSE - CENTRALE DE TRAITEMENT D'EAU - 1961 - M. Olier Payette, Maire - MM. Les Échevins - James J. Stafford - Aristide Cloutier - Fred R. Bertrand - Armand Jasmin - François Mayotte - Armand Archambault - M. Léo Labonville, Secrétaire-Trésorier - M. Charles-Édouard Gravel. B.A., B. Sc. A., Ingénieur Conseil - M. Jean-Baptiste Nobert, B. Sc. A., Ingénieur Professionnel - Jasmin Construction Inc. Construction du Bâtiment - Francis Hankin Cie Ltée. Installation de la Mécanique - Cie Canadienne des Eaux et de l'Ozone Ltée - Stérilisation par l'Ozone». 1961. Tirage photographique: n&b. | |
C001/A3,04.01.1 | Ancien Hôtel du Nord, à Saint-Martin. L'établissement était situé derrière la gare Saint-Martin Jonction du Canadian Pacific, un arrêt du «P'tit train du Nord» dont on voit les rails à l'avant-plan. Ici, le bâtiment en briques de deux étages et demi au toit mansardé et percé de cinq lucarnes est à l'abandon, en état de décrépitude. Décor estival. 6 août 1977. Tirage photographique: n&b. | |
C001/A3,04.01.2 | Ancien Hôtel du Nord, à Saint-Martin. L'établissement était situé derrière la gare Saint-Martin Jonction du Canadian Pacific, un arrêt du «P'tit train du Nord» dont on voit les rails à l'avant-plan. Ici, le bâtiment en briques de deux étages et demi au toit mansardé et percé de cinq lucarnes est à l'abandon, en état de décrépitude. Décor estival. 6 août 1977. Tirage photographique: n&b. | |
C001/A3,04.02 | Ancien Hôtel du Nord, à Saint-Martin. L'établissement était situé derrière la gare Saint-Martin Jonction du Canadian Pacific, un arrêt du «P'tit train du Nord». Ici, l'arrière du bâtiment en briques de deux étages et demi au toit mansardé et percé de cinq lucarnes, à l'abandon, en état de décrépitude. Décor estival. 6 août 1977. Tirage photographique: n&b. | |
C001/A3,04.03 | Ancien Hôtel du Nord, à Saint-Martin. L'établissement était situé devant la gare Saint-Martin Jonction du Canadian Pacific, un arrêt du «P'tit train du Nord». Ici, l'arrière du bâtiment en briques de deux étages et demi au toit mansardé et percé de cinq lucarnes, à l'abandon, en état de décrépitude. Décor estival. 6 août 1977. Tirage photographique: n&b. | |
C001/A3,04.04 | Hôtel Cyr, à Sainte-Rose. Cet établissement construit vers 1900 était la propriété d'Ubald Cyr. Le bâtiment mansardé en pierre de trois étages et demi était situé sur le coin nord-est de l'intersection de la rue du Pont (aujourd'hui le boul. Curé-Labelle) et du boulevard Sainte-Rose, tout près du Sainte-Rose Boating Club. Ici, en 1910. Décor estival. Tirage photographique: n&b. | |
C001/A3,04.05 | Hôtel Le Faisan Bleu, à Saint-Martin. Cet hôtel-cabaret, qui accueillit des artistes comme Charles Trenet et Joséphine Baker, fut construit en 1956 et détruit par un incendie le 14 mars 1971. Situé au 1201, boulevard Labelle (aujourd'hui boulevard Curé-Labelle) à Saint-Martin, l'établissement avait cessé toute activité depuis un an avant d'être rasé par les flammes. Décor estival. 1956. Carte postale: coul. | |
C001/A3,05.01 | Pharmacie Bernard, à Sainte-Rose. L'établissement était autrefois situé au 200, boulevard Sainte-Rose. [Années 1960]. Tirage photographique: coul. | |
C001/A3,05.02 | Pharmacie J.E. Brault, à Montréal. Le docteur J. E. Brault pose devant son commerce situé au 4569-4571, boulevard Saint-Laurent. Le Dr. Brault s'établit à cet endroit vers 1927-1928. Sur la vitrine on peut lire «Dr. J. E. BRAULT - PHARMACIEN DRUGGIST». À la gauche du Dr. Brault, une affiche épinglée près de la porte annonce «MAISON À LOUER - HOUSE TO LET» alors que sur un carton placé au bas de la porte, on peut lire «Dr J. E. BRAULT». Le Dr. Brault fit construire, vers 1930, une résidence secondaire autrefois située au 36, avenue du Pacifique, à Laval-des-Rapides. Il y déménagea ensuite toute la famille de manière permanente. Décor estival. [Années 1930]. Tirage photographique: n&b. | |
C001/A3,07.01 | Boucherie Labelle Extérieur de la boucherie Labelle. Deux hommes posent devant l'entrée du commerce sur la porte duquel on peut lire «LABELLE - BOUCHER». L'un des hommes, vraisemblablement vêtu pour faire de la livraison, porte une casquette et un long manteau. Sur la vitrine de gauche, qui appartient à un autre commerce, on peut lire «LE THÉ SALADA». Décor estival. [Années 1920-1930]. Tirage photographique: n&b. | |
C001/A3,07.02 | Voiture de livraison de la boucherie J. O. Labelle, à Sainte-Rose. Un homme est assis à l'avant d'une voiture tirée par un cheval. Sur la voiture on peut lire «J. O. LABELLE - BOUCHER», alors qu'on distingue des bâtiments de ferme en arrière-plan. Décor estival. 1928. Tirage photographique: n&b. | |
C001/A3,07.03 | Charcuterie Sainte-Rose Enrg., à Sainte-Rose. Cette charcuterie était situé au 284 et 286, boulevard Sainte-Rose. Sur un panneau placé en façade on peut lire «CHARCUTERIE STE-ROSE ENRG - SPÉCIALITÉS DU GOURMET». D'autres affiches déclinent les produits vendus par la maison. Cette résidence de style traditionnel québécois fut construite en 1860 et fut la demeure de M. Georges. En juillet 1983, le restaurant La vieille histoire s'y installe. Son succésseur, le restaurant Le Black Forest, propriété de Mélanie Joannette et Jean-François Pépin, s'y établira en avril 2017. Décor estival. Avant 1983. Tirage photographique: n&b. | |
C001/A3,07.04 | Fabrication de la pâte à la Boulangerie Vanier et Frères, à Sainte-Rose. Un homme vêtu de blanc s'active près d'une machine qui travaille et coupe la pâte à l'intérieur de la Boulangerie Vanier et Frères Ltée, située au 107, Saint-François, à Sainte-Rose. Sur le sol reposent des boîtes ouvertes de levure Lallemand. 1962. Photographe: Laurent Vanier. Tirage photographique: n&b. | |
C001/A3,07.05 | Le four à pain à la Boulangerie Vanier et Frères, à Sainte-Rose. Deux hommes vêtus de blanc s'affairent auprès d'un four à pain à l'intérieur de la Boulangerie Vanier et Frères Ltée, située au 107, Saint-François, à Sainte-Rose. En avant-plan, sur la gauche, on peut voir un chariot contenant des pains qui sortent du four. 1962. Photographe: Laurent Vanier. Tirage photographique: n&b. | |
C001/A3,07.06 | Empaquetage à la Boulangerie Vanier et Frères, à Sainte-Rose. Deux hommes s'affairent auprès de la machine servant à empaqueter les pains, à l'intérieur de la Boulangerie Vanier et Frères Ltée, située au 107, Saint-François, à Sainte-Rose. 1962. Photographe: Laurent Vanier. Tirage photographique: n&b. | |
C001/A3,07.07 | Malaxage de la pâte à la Boulangerie Vanier et Frères, à Sainte-Rose. Deux hommes vêtus de blanc s'affairent auprès de la machine servant à malaxer la pâte utilisée dans la fabrication du pain. L'un des ouvriers porte un calot sur lequel on peut lire «FARINE ROBIN HOOD FLOUR». Sur la machinerie on retrpouve la marque du fabricant «THE J.H. DAY COMPANY, CINCINNATI, OHIO». La Boulangerie Vanier et Frères Ltée était située au 107, Saint-François, à Sainte-Rose. 1962. Tirage photographique: n&b. | |
C001/A3,07.08 | Noël à la Boulangerie Vanier & Frères, à Sainte-Rose. Une quarantaine d'enfants accompagnés de quelques adultes dont un père Noël et un clown sont réunis pour la fête de Noël organisée par la Boulangerie Vanier & Frères Ltée. 1964. Photographe: Laurent Vanier. Tirage photographique: n&b. | |
C001/A3,07.09 | L'équipe de livraison de la Boulangerie Vanier et Frères, à Sainte-Rose. Un groupe de 22 hommes en uniforme de livreur et deux hommes en civil posent pour un portrait de groupe à la Boulangerie Vanier et Frères Ltée, située au 107, Saint-François, à Sainte-Rose. Au centre de la composition se trouve une affiche posée sur le sol enneigé et sur laquelle on peut lire «Boulangerie Vanier Frères - Pain et Gâteaux - Ste-Rose de Laval» et dans un médaillon on distingue le chiffre 50. Décor hivernal. Décembre 1962. Photographe: Laurent Vanier. Tirage photographique: n&b. | |
C001/A3,08.01 | Club de golf de Laval-sur-le-Lac Vue d'ensemble du chalet du club de golf de Laval-sur-le-Lac. Sur la droite, on distingue un château d'eau. Dans la partie inférieure, on peut lire «Golf Club - Laval sur le Lac». Décor estival. [1930-1950]. Carte postale: n&b. | |
C001/A3,12.01 | Bâtiment abritant l'entreprise Aventis Pharma, à Vimont Vue d'ensemble du bâtiment occupé par Aventis Pharma, situé au 2150, boulevard Saint-Elzéar, à Vimont. Décor estival. Vers 2001.Tirage photographique: coul. | |
C001/A3,12.03 | Étal d'un apiculteur sur le terrain de l'entreprise Aventis Pharma, à Vimont. Un apiculteur propose ses produits en dégustation aux consommateurs. Décor estival. Vers 2001. Tirage photographique: coul. | |
C001/A3,12.04 | David Cliche lors d'un événement tenu sur le terrain de la pharmaceutiqur Aventis Pharma, à Vimont Debout sur une estrade, un homme non identifié, à gauche, et David Cliche (1952-2020), député de Vimont pour le parti québécois de 1994 à 2002, tiennent un paquet contenant des fleurs en pot. La présence du député doit probablement être mise en lien avec ses fonctions de ministre délégué à la Recherche, à la Science et à la Technologie dans le cabinet Landry du 8 mars 2001 au 30 janvier 2002. Décor estival. Vers 2001. Tirage photographique: coul. | |
C001/A3,12.05 | Remise d'un panier cadeau lors d'un événement tenu sur le terrain de la pharmaceutique Aventis Pharma, à Vimont Cinq personnes non identifiées lors de la remise d'un panier cadeau. En arrière-plan, sur la gauche, on reconnaît David Cliche (1952-2020), député de Vimont pour le parti québécois de 1994 à 2002. Déocr estival. Vers 2001. Tirage photographique: coul. | |
C001/A3,12.06 | Étal de marchand sur le terrain de l'entreprise Aventis Pharma, à Vimont. Un maraîcher propose ses produits en dégustation aux consommateurs. Sur l'étal on peut voir des gousses d''ail, des fines herbes et des produits en pots. Décor estival. Vers 2001. Tirage photographique: coul. | |
C001/A3,25.01 | Photo du bâtiment Alger Aluminerie situé au 5340 boulevard Ste-Rose. Le bâtiment fût jadis pour le Cinéma Garden. Photo prise lors d'une visite guidée, offerte aux employés et bénévoles du CAL et de la SHGIJ. Le tour était animé par François Pilon le 6 juin 2024 Décor estival. 2024. Photographe: Pierre Lacroix. Fichier numérique JPEG : photographie coul; 4288 x 2848p; 300pp; 5,99 Mo. | |
C001/A3,27.01 | Photo de la dalle de béton de l'ancienne marina à Laval Ouest. Photo prise lors d'une visite guidée, offerte aux employés et bénévoles du CAL et de la SHGIJ. Le tour était animé par François Pilon le 6 juin 2024. Décor estival. 2024. Photographe : Ophélie Debien-Lupien. Fichier numérique JPEG : photographie coul; 2048 x 1536p; 72ppp; 1,87 Mo. | |
C001/A3,27.02 | Photo de la dalle de béton de l'ancienne marina à Laval Ouest. Photo prise lors d'une visite guidée, offerte aux employés et bénévoles du CAL et de la SHGIJ. Le tour était animé par François Pilon le 6 juin 2024. Décor estival. 2024. Photographe : Pierre Lacroix. Fichier numérique JPEG : photographie coul; 2848 x 4288p; 300ppp; 6.35 Mo. | |
C001/A4,02.01 | Le moulin Turgeon ou moulin des Juifs Vue du moulin et de la rivière des Prairies à la hauteur de Saint-François-de-Sales, face à l'île Saint-Jean. Décor estival. [Vers 1910]. Tirage photographique: n&b. | |
C001/A4,02.02 | Le moulin Turgeon ou moulin des Juifs Vue du moulin et de la rivière des Prairies à la hauteur de Saint-François-de-Sales, face à l'île Saint-Jean. Décor estival. [Vers 1910]. Tirage photographique: n&b. | |
C001/A4,03.01 | Vestiges du moulin Saint-François à Saint-François-de-Sales Intersection de deux murs en ruine. Décor estival. 1948. Photographe: Paul Beaumont. Négatif numérisé: n&b. | |
C001/A4,03.02 | Vestiges du moulin Saint-François à Saint-François-de-Sales Intersection de deux murs en ruine. Décor estival. 1948. Photographe: Paul Beaumont. Négatif numérisé: n&b. | |
C001/A4,03.03 | Vestiges du moulin Saint-François à Saint-François-de-Sales Vue d'ensemble des ruines du moulin, dont l'une des cheminées. Décor estival. 1948. Photographe: Paul Beaumont. Négatif numérisé: n&b. | |
C001/A4,03.04 | Vestiges du moulin Saint-François à Saint-François-de-Sales Vue en contre-plongée d'un mur en ruine percé de fenêtres et derrière lequel s'élève une cheminée. Décor estival. 1948. Photographe: Paul Beaumont. Négatif numérisé: n&b. | |
C001/A4,03.05 | Vestiges du moulin Saint-François à Saint-François-de-Sales Un jeune homme est assis sur un mur en ruine. Décor estival. 1948. Photographe: Paul Beaumont. Négatif numérisé: n&b. | |
C001/A4,03.06 | Vestiges du moulin Saint-François à Saint-François-de-Sales Un jeune homme est debout sur un amoncellement de gravas au pied d'un mur en ruine. Décor estival. 1948. Photographe: Paul Beaumont. Négatif numérisé: n&b. | |
C001/A4,03.07 | Vestiges du moulin Saint-François à Saint-François-de-Sales Edmond Simard accroupi près d'une ouverture d'un mur en ruine. Décor estival. 1948. Photographe: Paul Beaumont. Négatif numérisé: n&b. | |
C001/A4,03.08 | Vestiges du moulin Saint-François à Saint-François-de-Sales Mur en ruine. Décor estival. 1948. Photographe: Paul Beaumont. Négatif numérisé: n&b. | |
C001/A4,03.09 | Vestiges du moulin Saint-François à Saint-François-de-Sales Edmond Simard accroupi près d'une ouverture d'un mur en ruine. Décor estival. 1948. Photographe: Paul Beaumont. Négatif numérisé: n&b. | |
C001/A4,03.10 | Vestiges du moulin Saint-François à Saint-François-de-Sales La rivière des Prairies en aval du moulin de Saint-François. Décor estival. 1948. Photographe: Paul Beaumont. Négatif numérisé: n&b. | |
C001/A4,03.11 | Vestiges du moulin Saint-François à Saint-François-de-Sales Mur et cheminée en ruines du moulin de Saint-François. Décor estival. 1948. Photographe: Paul Beaumont. Négatif numérisé: n&b. | |
C001/A4,03.12 | Vestiges du moulin Saint-François à Saint-François-de-Sales Mur percés d'ouvertures et cheminée en ruines du moulin de Saint-François. Décor estival. 1948. Photographe: Paul Beaumont. Négatif numérisé: n&b. | |
C001/A5.001 | Centrale hydroélectrique de la Rivière-des-Prairies Jauge encastrée dans un mur de béton près d'un batant de l'écluse. Février 1964. Tirage photographique: n&b. Le tirage est abîmé dans le coin supérieur gauche. | |
C001/A5.002 | Centrale hydroélectrique de la Rivière-des-Prairies Vue d'ensemble du barrage. Janvier 1964. Tirage photographique: n&b. Le tirage est abîmé dans le coin supérieur gauche. | |
C001/A5.003 | Centrale hydroélectrique de la Rivière-des-Prairies Vue d'ensemble de l'écluse du barrage. Février 1964. Tirage photographique: n&b. Le tirage est abîmé dans le coin supérieur gauche. | |
C001/A5.004 | Centrale hydroélectrique de la Rivière-des-Prairies Vue de l'écluse en avant-plan et des entrées d'eau en arrière-plan. Février 1964. Tirage photographique: n&b. Le tirage est abîmé dans le coin supérieur gauche. | |
C001/A5.005 | Centrale hydroélectrique de la Rivière-des-Prairies Vue de l'écluse du barrage. Février 1964. Tirage photographique: n&b. Le tirage est abîmé dans le coin supérieur gauche. | |
C001/A5.006 | Centrale hydroélectrique de la Rivière-des-Prairies Vue de l'écluse du barrage. Février 1964. Tirage photographique: n&b. Le tirage est abîmé dans le coin supérieur gauche. | |
C001/A5.007 | Centrale hydroélectrique de la Rivière-des-Prairies Structure immergée près de la centrale hydroélectrique. Février 1964. Tirage photographique: n&b. Le tirage est abîmé dans le coin supérieur gauche. | |
C001/A5.008 | Centrale hydroélectrique de la Rivière-des-Prairies Vue de l'écluse du barrage. Février 1964. Tirage photographique: n&b. Le tirage est abîmé dans le coin supérieur gauche. | |
C001/A5.009 | Centrale hydroélectrique de la Rivière-des-Prairies Vue d'ensemble de la centrale hydroélectrique. Janvier 1964. Tirage photographique: n&b. Le tirage est abîmé dans le coin supérieur gauche. | |
C001/A5.010 | Centrale hydroélectrique de la Rivière-des-Prairies Vue de la berge près de la centrale hydroélectrique. Janvier 1964. Tirage photographique: n&b. Le tirage est abîmé dans le coin supérieur gauche. | |
C001/A5.011 | Centrale hydroélectrique de la Rivière-des-Prairies Vue du bassin et du déversoir de la centrale hydroélectrique (en arrière-plan). Janvier 1964. Tirage photographique: n&b. Le tirage est abîmé dans le coin supérieur gauche. | |
C001/A5.012 | Centrale hydroélectrique de la Rivière-des-Prairies Vue du déversoir du barrage. Janvier 1964. Tirage photographique: n&b. Le tirage est abîmé dans le coin supérieur gauche. | |
C001/A5.013 | Centrale hydroélectrique de la Rivière-des-Prairies Vue d'ensemble du barrage. Janvier 1964. Tirage photographique: n&b. Le tirage est abîmé dans le coin supérieur gauche. | |
C001/A5.014 | Centrale hydroélectrique de la Rivière-des-Prairies Un homme marche sur le mur de soutien du déversoir du barrage. Janvier 1964. Tirage photographique: n&b. Le tirage est abîmé dans le coin supérieur gauche. | |
C001/A5.015 | Centrale hydroélectrique de la Rivière-des-Prairies Vue bassin d'eau et du déversoir de la centrale hydroélectrique (en arrière-plan). Janvier 1964. Tirage photographique: n&b. Le tirage est abîmé dans le coin supérieur gauche. | |
C001/A5.016 | Centrale hydroélectrique de la Rivière-des-Prairies Vue éloignée de la centrale hydroélectrique. Janvier 1964. Tirage photographique: n&b. Le tirage est abîmé dans le coin supérieur gauche. | |
C001/A5.017 | Centrale hydroélectrique de la Rivière-des-Prairies Vue éloignée de la centrale hydroélectrique. Janvier 1964. Tirage photographique: n&b. Le tirage est abîmé dans le coin supérieur gauche. | |
C001/A5.018 | Centrale hydroélectrique de la Rivière-des-Prairies Vue partielle du barrage. Janvier 1964. Tirage photographique: n&b. Le tirage est abîmé dans le coin supérieur gauche. | |
C001/B1,09.19 | Photo de la façade et du clocher de l'église. Photo prise lors d'une visite guidée, offerte aux employés et bénévoles du CAL et de la SHGIJ. Le tour était animé par François Pilon le 6 juin 2024. Décor estival. 2024. Photographe: Ophélie Debien-Lupien. Fichier numérique JPEG : photographie coul; 2048 x 1536p; 72pp; 904 Ko. | |
C001/B1,09.20 | Photo de la façade et du clocher de l'église incluant l'enseigne de pierre gravé. Photo prise lors d'une visite guidée, offerte aux employés et bénévoles du CAL et de la SHGIJ. Le tour était animé par François Pilon le 6 juin 2024. Décor estival. 2024. Photographe: Pierre Lacroix. Fichier numérique JPEG : photographie coul; 4288 x 2848p; 300pp; 4,80 Mo. | |
C001/B1,19.01 | Photo de face de la synagogue Beth Abraham congregation construite en 1948 située au 4635 18e rue, Laval. Le bâtiment est utilisé comme chalet ou maison. Photo prise lors d'une visite guidée, offerte aux employés et bénévoles du CAL et de la SHGIJ. Le tour était animé par François Pilon le 6 juin 2024. Décor estival. 2024. Photographe : Ophélie Debien-Lupien. Fichier numérique JPEG : photographie coul; 2048 x 1536p; 72ppp; 1,42 Mo. | |
C001/B1,19.02 | Photo de face de la synagogue Beth Abraham congregation construite en 1948 située au 4635 18e rue, Laval. Le bâtiment est utilisé comme chalet ou maison. Photo prise lors d'une visite guidée, offerte aux employés et bénévoles du CAL et de la SHGIJ. Le tour était animé par François Pilon le 6 juin 2024. Décor estival. 2024. Photographe : Pierre Lacroix. Fichier numérique JPEG : photographie coul; 4288 x 2848p; 300ppp; 4,54 Mo. | |
C001/B1,19.03 | Photo de face de la synagogue Beth Abraham congregation construite en 1948 située au 4635 18e rue, Laval. Le bâtiment est utilisé comme chalet ou maison. Photo prise lors d'une visite guidée, offerte aux employés et bénévoles du CAL et de la SHGIJ. Le tour était animé par François Pilon le 6 juin 2024. Décor estival. 2024. Photographe : Pierre Lacroix. Fichier numérique JPEG : photographie coul; 4288 x 2848p; 300ppp; 4,54 Mo. | |
C001/B4.34 | École primaire Raymond, Pavillon Nord, juste avant la déconstruction. Photo prise lors d'une visite guidée, offerte aux employés et bénévoles du CAL et de la SHGIJ. Le tour était animé par François Pilon le 6 juin 2024. Décor estival. 2024. Photographe: Pierre Lacroix. Fichier numérique JPEG : photographie coul; 4288 x 2848p; 300pp; 6,45 Mo. | |
C001/B4.35 | Bas-relief de l'école primaire Raymond, Pavillon Nord, juste avant la déconstruction. Photo prise lors d'une visite guidée, offerte aux employés et bénévoles du CAL et de la SHGIJ. Le tour était animé par François Pilon le 6 juin 2024. Décor estival. 2024. Photographe: Pierre Lacroix. Fichier numérique JPEG : photographie coul; 4288 x 2848p; 300pp; 5,71 Mo. | |
C001/B4.36 | Bas-relief de l'entrée Garçon de l'école primaire Raymond, Pavillon Nord, juste avant la déconstruction. Photo prise lors d'une visite guidée, offerte aux employés et bénévoles du CAL et de la SHGIJ. Le tour était animé par François Pilon le 6 juin 2024. Décor estival. 2024. Photographe: Pierre Lacroix. Fichier numérique JPEG : photographie coul; 2848 x 4288p; 300pp; 6,36 Mo. | |
C001/C1,01.13 | Photo du pont Arthur Sauvé. Photo prise lors d'une visite guidée, offerte aux employés et bénévoles du CAL et de la SHGIJ. Le tour était animé par François Pilon le 6 juin 2024. Décor estival. 2024. Photographe: Pierre Lacroix. Fichier numérique JPEG : photographie coul; 4288 x 2848p; 300pp; 5,56 Mo. | |
C001/C1,01.14 | Photo du pont Arthur Sauvé. Photo prise lors d'une visite guidée, offerte aux employés et bénévoles du CAL et de la SHGIJ. Le tour était animé par François Pilon le 6 juin 2024. Décor estival. 2024. Photographe: Pierre Lacroix. Fichier numérique JPEG : photographie coul; 4288 x 2848p; 300pp; 6,43 Mo. | |
C001/C1,01.15 | Photo de possible vestige du pont St-Eustache. Photo prise lors d'une visite guidée, offerte aux employés et bénévoles du CAL et de la SHGIJ. Le tour était animé par François Pilon le 6 juin 2024 Décor estival. 2024. Photographe: Ophélie Debien-Lupien. Fichier numérique JPEG : photographie coul; 1536 x 2048p; 72pp; 1,47 Mo. | |
C001/D2.59 | Photo du pont Arthur-Sauvé, vue de l'ancienne marina. Photo prise lors d'une visite guidée, offerte aux employés et bénévoles du CAL et de la SHGIJ. Le tour était animé par François Pilon le 6 juin 2024. Décor estival. 2024. Photographe: Florie Gaumond. Fichier numérique JPEG : photographie coul; 4032 x 3024p; 72pp; 6,29 Mo. | |
C001/D2.60 | Photo de la plage à Laval-Ouest. Photo prise lors d'une visite guidée, offerte aux employés et bénévoles du CAL et de la SHGIJ. Le tour était animé par François Pilon le 6 juin 2024. Décor estival. 2024. Photographe: Florie Gaumond. Fichier numérique JPEG : photographie coul; 4032 x 3024p; 72pp; 3,53 Mo. | |
C001/D2.61 | Photo de la plage à Laval-Ouest. Photo prise lors d'une visite guidée, offerte aux employés et bénévoles du CAL et de la SHGIJ. Le tour était animé par François Pilon le 6 juin 2024. Décor estival. 2024. Photographe: Pierre Lacroix. Fichier numérique JPEG : photographie coul; 4288 x 2848p; 300pp; 5,31 Mo. | |
C001/D2.62 | Photo de la plage à Laval-Ouest. Photo prise lors d'une visite guidée, offerte aux employés et bénévoles du CAL et de la SHGIJ. Le tour était animé par François Pilon le 6 juin 2024. Décor estival. 2024. Photographe: Pierre Lacroix. Fichier numérique JPEG : photographie coul; 4288 x 2848p; 300pp; 5,84 Mo. | |
C001/D2.63 | 63 Photo de la ville de St-Eustache depuis le vestige du pont St-Eustache derrière le 2995 rue 2. Photo prise lors d'une visite guidée, offerte aux employés et bénévoles du CAL et de la SHGIJ. Le tour était animé par François Pilon le 6 juin 2024. Décor estival. 2024. Photographe: Pierre Lacroix. Fichier numérique JPEG : photographie coul; 4288 x 2848p; 300pp; 5,38 Mo. | |
C001/F1.001 | Char allégorique Le 1er boulanger de Sainte-Rose Quatre femmes costumées se tiennent sur une plate-forme tractée sur le flan de laquelle on peut lire «1741 le 1er Boulanger» et le nom du commanditaire «Boulangerie Vanier Frères Ste.Rose». Décor estival. [Années 1940]. Photographe/Donateur: Laurent Vanier. Tirage photographique; n&b. Note: Pour consultation seulement. | |
C001/F1.005 | Ferme Sainte-Thérèse à Fabreville Bâtiment de ferme autrefois situé au 3434, boulevard Sainte-Rose près duquel est rancardé une machine agricole d'époque. Décor estival. [Années 1950-1960]. Tirage photographique; n&b. | |
C001/F1.007 | Travaux à la ferme Deux chariots tirés par des chevaux et sur la plateforme desquels se tiennent deux hommes, stationnent dans un champ devant des bâtiments de ferme. Décor estival. [Années 1930-1940]. Tirage photographique; n&b. | |
C001/F1.008 | Travaux à la ferme à Sainte-Rose Edmond Cloutier à l'arrière de son camion (modèle Ford 1929 ou 1930) qui servait au transport des ballots de foin est ici chargé d'un râteau à foin destiné à un cultivateur de l'île. Cette photo fut prise à Sainte-Rose. Décor estival. [Années 1930-1940]. Tirage photographique; n&b. | |
C001/F1.009 | Travaux à la ferme Le camion d'Edmond Cloutier chargé de ballots de foin. M. Cloutier dont la résidence était situé au 100, boulevard Sainte-Rose. [Années 1940-1945]. Décor estival. Tirage photographique; n&b. | |
C001/F1.010 | Silo à grains en construction Une femme se tient debout sur une échelle appuyée sur un silo en construction. Décor estival. [Années 1930-1950]. Tirage photographique; n&b. | |
C001/F1.011 | Alband Ouimet et deux de ses veaux Alband Ouimet sur une ferme dont on voit une partie des bâtiments en arrière-plan. Décor estival. [Années 1920-1930]. Tirage photographique; n&b. | |
C001/F1.012 | Ferme située au 574 et 576, boulevard des Mille-Îles dans l'arondissement d'Auteuil. Vue d'ensemble de la grange et de la résidence. Décor estival. 7 novembre 2001. Tirage photographique; coul. | |
C001/F1.014 | Bâtiment de ferme situé au 570, boulevard des Mille-Îles, à Saint-François-de-Sales. Vue d'ensemble d'une grange. Décor estival. 7 novembre 2001. Tirage photographique; coul. | |
C001/F1.015 | Travaux au coin des boulevards des Mille-Îles et Terrasse Debien, à Auteuil. Deux hommes s'affairent à réparer une clôture en bordure d'un champs. Décor dépouillé. [Années 1960]. Tirage photographique; n&b. | |
C001/F1.016 | Transport traditionnel du foin sur l'île Jésus Un cheval est attelé à une remorque chargée de foin devant des bâtiments de ferme. Décor estival. Non daté. Tirage photographique (reproduction); n&b. | |
C001/F1.017 | Bâtiment de ferme sur l'île Jésus Vue d'ensemble d'une grange. Décor estival. [Années 1960]. Tirage photographique; n&b. | |
C001/F1.018 | Le temps des récoltes sur l'île Jésus Un homme ensachent le produit de la récolte sous l'oeil d'une fillette alors que d'autres s'activent autour d'une machine agricole. Décor estival. 1935. Tirage photographique; n&b. | |
C001/F1.019 | Le temps des récoltes sur l'île Jésus Une remorque chargée de foin tirée par des chevaux et un tracteur sont immobilisés près d'un bâtiment de ferme. Décor estival. [Années 1940]. Tirage photographique; n&b. | |
C001/F1.020 | Travaux à la ferme sur l'île Jésus Des hommes s'activent autour d'une remorque tirée par des chevaux sur une ferme dont on aperçoit un silo. Décor estival. [Années 1940]. Tirage photographique; n&b. | |
C001/F1.021 | Le temps des récoltes sur l'île Jésus Des hommes s'activent autour d'une machine agricole (batteuse Moody). Décor estival. 1935. Tirage photographique; n&b. | |
C001/F3.001 | Coupeurs de glace Sur la rivière des Mille-Îles, deux hommes munis de gaffes poussent des morceaux de glace vers l'extrémité du canal où ils sont acheminés. En bas, à droite, on distingue une partie du système servant à soulever les blocs de glace. Décor hivernal. [194?]. Tirage photographique: n&b. | |
C001/F3.002-A | Coupeurs de glace Sur la rivière des Milles-Îles, deux hommes s'activent autour d'un système de palan et d'une conduite en bois servant à retirer les blocs de glace de l'eau pour être ensuite déposer sur un convoyeur. À l'arrière-plan, le pont Plessis-Bélair reliant Sainte-Rose et la rive nord. Décor hivernal. [194?]. Tirage photographique: n&b. | |
C001/F3.002-B | Coupeurs de glace Sur la rivière des Milles-Îles, deux hommes s'activent autour d'un système de palan et d'une conduite en bois servant à retirer les blocs de glace de l'eau pour être ensuite déposer sur un convoyeur. À l'arrière-plan, le pont Plessis-Bélair reliant Sainte-Rose et la rive nord. Décor hivernal. [194?]. Tirage photographique: n&b. | |
C001/F3.003 | Entrepôt frigorifique Un homme se tient sur le toit d'un entrepôt frigorifique où sont entreposés les blocs de glace retirés de la rivière. Décor hivernal. [194?]. Tirage photographique: n&b. | |
C001/F3.004-A | Coupeurs de glace Vue d'ensemble montrant des coupeurs de glace au travail sur la rivière des Mille-Îles. Sur la gauche, on remarque un ouvrier manoeuvrant une machine munie d'une large lame rotative servant à découper la glace. À l'arrière-plan, le pont Plessis-Bélair reliant Ste-Rose et la rive nord. Décor hivernal. [Janvier 1942]. Tirage photographique: n&b. | |
C001/F3.004-B | Coupeurs de glace Vue d'ensemble montrant des coupeurs de glace au travail sur la rivière des Mille-Îles. Sur la gauche, on remarque un ouvrier manoeuvrant une machine munie d'une large lame rotative servant à découper la glace. À l'arrière-plan, le pont Plessis-Bélair reliant Ste-Rose et la rive nord. Décor hivernal. [Janvier 1942]. Tirage photographique: n&b. | |
C001/F3.005 | Coupeurs de glace Debout sur une plate-forme de bois flottant sur la rivière des Mille-Îles, un homme munie d'une gaffe pousse un bloc de glace. Décor hivernal. [194?]. Tirage photographique: n&b. | |
C001/F3.006 | Transport de la glace Sur la rivière, des hommes s'affairent à charger des cubes de glace sur la plate-forme d'un camion-remorque de la compagnie Dow de Lachute et opéré par L. Laurin. Décor hivernal. [194?]. Tirage photographique: n&b. | |
C001/F3.007-A | Coupeurs de glace Sur la rivière des Milles-Îles à Sainte-Rose, un homme s'affaire près d'un palan utilisé pour retirer des blocs de glace qui flottent à sa surface. À l'arrière-plan, le pont Plessis-Bélair. Décor hivernal. [194?]. Tirage photographique: n&b. | |
C001/F3.007-B | Coupeurs de glace Sur la rivière des Milles-Îles à Sainte-Rose, un homme s'affaire près d'un palan utilisé pour retirer des blocs de glace qui flottent à sa surface. À l'arrière-plan, le pont Plessis-Bélair. Décor hivernal. [194?]. Tirage photographique: n&b. | |
C001/F3.008-A | Coupeurs de glace Juché sur la plate-forme d'un camion-remorque, quatre hommes équipés de gaffes ou de crochets halent un cube de glace hissé à l'aide d'un convoyeur. Décor hivernal. [194?]. Tirage photographique: n&b. | |
C001/F3.008-B | Coupeurs de glace Juché sur la plate-forme d'un camion-remorque, quatre hommes équipés de gaffes ou de crochets halent un cube de glace hissé à l'aide d'un convoyeur. Décor hivernal. [194?]. Tirage photographique: n&b. | |
C001/F3.009 | Coupeurs de glace Sur la rivière, quatre hommes s'affairent au chargement de blocs de glace sur la plate-forme d'un camion. Décor hivernal. [194?]. Tirage photographique: n&b. | |
C001/F3.010 | Coupeurs de glace Sur la rivière des Mille-Îles, un homme s'affaire autour d'un camion de la compagnie Les glacières Sainte-Rose dont l'arrière s'est enfoncé dans l'eau glacée près du pont Sir Louis-Hyppolite Lafontaine. Décor hivernal. Vers 1951. Tirage photographique: n&b. Don de Fernand Ouimet . | |
C001/F3.011 | Coupeurs de glace Sur la rivière des Mille-Îles, des hommes s'affairent autour d'un camion de la compagnie Les glacières Sainte-Rose dont l'arrière s'est enfoncé dans l'eau glacée près du pont Sir Louis-Hyppolite Lafontaine. Décor hivernal. Vers 1951. Tirage photographique: n&b. Don de Fernand Ouimet. | |
C001/F3.012 | Coupeurs de glace Sur la rivière des Mille-Îles, des hommes s'affairent autour d'un camion de la compagnie Les glacières Sainte-Rose qui s'est enfoncé jusqu'au toit dans l'eau glacée près du pont Sir Louis-Hyppolite Lafontaine. Décor hivernal. Vers 1951. Tirage photographique: n&b. | |
C001/F3.013 | Coupeurs de glace Un camion de la compagnie Les glacières de Ste-Rose et sa remorque chargée de grands cubes de glace est adossée à une plate-forme sur laquelle des hommes s'activent au chargement. Décor hivernal. Vers 1951. Tirage photographique: n&b. Don de Fernand Ouimet. | |
C001/F3.014 | Coupeurs de glace Une soufleuse à neige dégage une aire sous un pont pour faciliter l'accès à la surface de la rivière gelée afin d'y extraire des morceaux de glace qui serviront à la réfrigération. Décor hivernal. [Années 1950]. Tirage photographique: n&b. Don de Fernand Ouimet. | |
P002/F,1.02 | Façade du 25 boulevard des Laurentides | |
P002/F,1.03 | Façade du 25 boulevard des Laurentides | |
P002/F,1.04 | Oeufs d'incubation | |
P002/F,1.05 | Poussins dans l'incubateur Smith | |
P002/F,1.06 | Incubation parfaite | |
P002/F,1.07 | Ferme Gérard Gibouleau, Rang des Perrons à Ste-Rose | |
P002/F,1.08 | Portrait de l'agronome J.-Azellus Lafortune. | |
P002/F,1.09 | Adrien Paquin devant l'incubateur Smith | |
P002/F,1.10 | Adrien Paquin assis sur son bureau | |
P002/F,1.11 | Réception lors de l'inauguration de l'incubateur Smith. | |
P002/F,2.01 | Façade du 25 boulevard des Laurentides. | |
P002/F,2.02 | Jean Routhier, Donald Shaver, Adrien Paquin, à Galt (Ontario). | |
P002/F,2.03 | Jean Routhier, Donald Shaver, Adrien Paquin, à Galt (Ontario). | |
P002/F,2.04 | Façade du 25 boulevard des Laurentides. | |
P002/F,2.05 | Façade du 25 boulevard des Laurentides. | |
P002/F,2.06 | Travaux effectués pour l'agrandissement du couvoir. | |
P002/F,2.07 | Travaux effectués pour l'agrandissement du couvoir. | |
P002/F,2.08 | Travaux effectués pour l'agrandissement du couvoir. | |
P002/F,2.09 | Affiche du Couvoir de Pont-Viau. | |
P002/F,2.10 | Boîte de carton du Couvoir de Pont-Viau | |
P002/F,2.11 | Cendrier Les Cartons du Québec. | |
P002/F,2.12 | Cendrier Les Cartons du Québec. | |
P002/F,2.13 | Assiette de la Shaver Starcross | |
P002/F,2.14 | Adrien Paquin portant un chapeau de castor de la Shaver Starcross. | |
P002/F,2.15 | Adrien Paquin portant un chapeau de castor de la Shaver Starcross. | |
P002/F,2.16 | Pèse-oeufs | |
P002/F,2.17 | Pèse-oeufs | |
P002/F,2.18 | Édifice du 25 boulevard des Laurentides : Les ateliers marins. | |
P002/F,2.19 | Édifice du 25 boulevard des Laurentides : Les ateliers marins. | |
P002/F,2.20 | Bâtiment du 25 boulevard des Laurentides vu de la rue Saint-Hubert (1987) | |
P002/F,2.21 | Bâtiment du 25 boulevard des Laurentides vu de la rue Saint-Hubert (1987) | |
P003/B,1.01 | Claude Gagné dépose son bulletin de vote | |
P003/B,1.02 | Noël Dubé, Roland Roy, Marcel Bourdages durant la soirée des élections | |
P003/B,1.03 | Marcel Bourdages et Claude Gagné durant la soirée des élections | |
P003/B,1.04 | Marcel Bourdages, Noël Dubé durant la soirée des élections | |
P003/B,1.05 | Assermentation des échevins de Laval-des-Rapides | |
P003/B,1.06 | Échevins de Laval-des-Rapides | |
P003/B,1.07 | Monsieur et madame Claude Gagné | |
P003/B,1.08 | Monsieur et madame Claude Gagné | |
P003/B,1.09 | Les épouses des échevins | |
P003/B,1.10 | Cinquantième anniversaire de Laval-des-Rapides en 1962 | |
P003/B,1.11 | Cinquantième anniversaire de Laval-des-Rapides en 1962 Marcel Bourdages, Rolland Roy, Rolland Nadon, Claude Gagné, Noël Dubé, Rosario Filiatrault, Paul-Marcel Maheu | |
P003/B,1.12 | Cinquantième anniversaire de Laval-des-Rapides en 1962 | |
P003/B,1.13 | Plaque au moulin à vent, 1962 | |
P003/B,1.14 | Feu d'artifice | |
P003/B,1.15 | Spectateurs du feu d'artifice pour l'inauguration de la piscine St-Claude vers 1964 | |
P003/B,1.16 | Char allégorique | |
P003/B,2.01 | Épingle du Comité exécutif à l'effigie des armoiries de la Ville de Laval | |
P003/B,2.02 | Plaque offerte à Marcel Bourdages à l'occasion de son élection en tant qu'échevin, le 4 novembre 1973 | |
P003/B,2.03 | Marcel Bourdages en compagnie d'hommes non identifiés lors d'un rassemblement | |
P003/B,2.04 | Bernard Trudeau et hommes non identifiés lors d'un rassemblement | |
P003/B,2.05 | Marcel Bourdages en compagnie d'un homme non identifié | |
P003/B,2.06 | Marcel Bourdages assis à une table d'un restaurant en compagnie de Rodolphe Lavoie et d'hommes non identifiés | |
P003/B,2.07 | Marcel Bourdages, en compagnie d'hommes non identifiés, dans un restaurant | |
P003/B,2.08 | Marcel Bourdages, en compagnie de personnes non identifiées, lors du couronnement de Miss Laval | |
P003/B,2.09 | Marcel Bourdages, en compagnie de Marcel Parisien lors d'une remise de trophée pour courses de bateaux | |
P003/B,2.10 | Marcel Bourdages avec l'hôtesse des jeux du Québec | |
P003/B,2.11 | Marcel Bourdages en compagnie d'une équipe de jeunes joueurs de hockey et deux entraineurs | |
P003/B,2.12 | Photographie de groupe du cours de personnalité Dale Carnegie Marcel Bourdages est dans la rangée du haut, 7e en partant de la gauche. | |
P003/B,3.01 | Couronnement de la Reine des sports | |
P003/B,3.02 | Marcel Bourdages fait la mise au jeu d'une partie de hockey | |
P003/B,3.03 | Remise de plaques On voit Marcel Bourdages derrière l'enfant recevant une plaque. | |
P003/B,3.04 | Partie de Football On voit deux équipe rassemblées en rond dans leur coin et quelques spectateurs dans les gradins. | |
P003/B,3.05 | Miss football Laval-des-Rapides avec Roland Roy et Yuan Dubois Marcel Bourdages est le 2e en partant de la droite. | |
P003/B,3.06 | Personne non identifiée bottant un ballon devant un groupe d'hommes Marcel Bourdages est le 2e en partant de la droite. | |
P003/B,3.07 | Rencontre du Père Noël Marcel Bourdages est à la droite du Père Noël. | |
P003/B,3.08 | Danse du vendredi soir sur la rue Bazin | |
P003/B,3.09 | Soirée École Ste-Cécile Un homme au micro remet un objet à Marcel Bourdages. | |
P003/B,4.01 | Marcel Bourdages avec un gros poisson pêché à Acapulco | |
P003/B,4.02 | Marcel Bourdages sur un bateau avec sa prise | |
P003/B,4.03 | Poisson sortant de l'eau à Acapulco | |
P003/B,4.04 | Marcel Bourdages avec une personne non identifiée à l'Acropole en Grèce | |
P003/B,4.05 | Marcel Bourdages et Claude Langlois à Vancouver | |
P003/B,4.06 | Marcel Bourdages au Golf d'un Country Club à Lachute Gauche à droite : Noël Dubé, Marcel Bourdages, Claude Pronovost, Paul Bourdages | |
P003/B,4.07 | Tournoi Club Renaissance | |
P003/B,4.08 | Marcel Bourdages jouant au golf avec trois personnes non identifiées | |
P003/B,4.09 | Marcel Bourdages jouant au golf en compagnie de trois personnes non identifiées | |
P008/A1,01.01 | Ligue de hockey Laval Senior Le conseiller municipal Guy Bolduc fait la mise au jeu. Aussi présents : Jean Emond, du service de la Récréation et de la ligue de hockey amateur du Québec section Montréal, Lucien Paiement, membre du Comité exécutif, Guy Brochu, conseiller municipal et président de la ligue de hockey Laval Senior, Marcel Bourdages, membre du Comité exécutif et quelques autres personnes du monde du hockey ou du sport. | |
P008/A3,09.01 | Lucien Paiement et des personnes non identifiées présentes lors du dévoilement de la maquette de la Cité-de-la-Santé | |
P008/A3,09.02 | Dévoilement de la maquette de la Cité-de-la-Santé | |
P008/A3,09.03 | Maquette de la Cité-de-la-Santé vue de haut | |
P008/A3,09.04 | Maquette de la Cité-de-la-Santé vue de haut | |
P008/A3,09.05 | Maquette de la Cité-de-la-Santé vue de haut | |
P008/A3,09.06 | Maquette de la Cité-de-la-Santé vue de haut | |
P008/A3,09.07 | Maquette de la Cité-de-la-Santé vue de haut | |
P008/A3,09.08 | Maquette de la Cité-de-la-Santé vue de haut | |
P008/A3,09.09 | Maquette de la Cité-de-la-Santé vue de face | |
P008/A3,09.10 | Maquette de la Cité-de-la-Santé vue de face | |
P008/A3,09.11 | Maquette de la Cité-de-la-Santé vue de haut | |
P008/A3,09.12 | Maquette du pavillon des soins infirmiers | |
P008/A3,09.13 | Maquette du pavillon des soins infirmiers vu de côté | |
P008/A3,09.14 | Maquette du pavillon des soins infirmiers vu de face | |
P008/A3,09.15 | Maquette du pavillon des soins infirmiers vu de face | |
P008/A3,09.16 | Maquette du pavillon des soins infirmiers vu de face | |
P008/A3,09.17 | Maquette du pavillon des soins infirmiers vu de face | |
P008/A3,09.18 | Maquette du pavillon des soins infirmiers vu de face | |
P008/A3,09.19 | Maquette du pavillon des soins infirmiers vu de face | |
P008/A3,09.20 | Maquette du pavillon des soins infirmiers vu de haut | |
P008/A3,09.21 | Maquette de la Cité-de-la-Santé | |
P008/A3,09.22 | Maquette de la Cité-de-la-Santé vue de haut | |
P008/A3,09.23 | Maquette de la Cité-de-la-Santé vue de haut | |
P008/A3,09.24 | Maquette de la Cité-de-la-Santé vue de haut | |
P008/A3,09.25 | Maquette de la Cité-de-la-Santé | |
P008/A3,09.26 | Maquette du pavillon des soins infirmiers et de l'hélioport | |
P008/A3,09.27 | Maquette du pavillon des soins infirmiers et de l'hélioport | |
P008/A3,15.01 | Lucien Paiement entouré d'enfants Possiblement lors d'une campagne électorale ou d'une remise de prix. | |
P008/C,01.01 | Photographie de Lucien Paiement en tant que médecin | |
P009,1.001 | Bénédiction du Curé durant le rituel de coupe du ruban d'une inauguration | |
P009,1.002 | Coupe du ruban d'une inauguration | |
P009,1.003 | Banquet au Pavillon Saint-François-de-Sales Le pavillon est sur le boulevard des Mille-îles et a lieu en avril 1963. | |
P009,1.004 | Marcel Villeneuve se fait remettre une clé en présence d'hommes non identifiés | |
P009,1.005 | Remise de plaques honorifiques | |
P009,1.006 | Séance du Conseil de ville | |
P009,1.007 | Marcel Villeneuve signant un document en présence d'hommes non identifiés | |
P009,1.008 | Séance du Conseil de ville | |
P009,1.009 | Rituel de la coupe du ruban | |
P009,1.010 | Marcel Villeuve au micro en compagnie d'un homme non identifié | |
P009,1.011 | Marcel Villeneuve et Léon Prieur, chef de police | |
P009,1.012 | Char allégorique Possiblement durant la fête nationale en juin 1962 | |
P009,1.013 | Photographie autographiée, possiblement de Léopold Pouliot La photographie est dédicacée à Marcel Villeneuve et à sa famille. | |
P009,1.014 | Camion du service d'incendies Duvernay | |
P009,1.015 | Marcel Villeneuve devant une remorque Protection Montréal en présence d'un homme non identifié | |
P009,1.016 | Marcel Villeneuve devant des remorques Protection Montréal, en présence d'un homme non identifié | |
P009,1.017 | Marcel Villeneuve en compagnie du chef de police, Léon Prieur, et de personnes non identifiées | |
P009,1.018 | Marcel Villeuneuve sur un balcon avec des hommes non identifiés | |
P009,1.019 | Marcel Villeneuve en compagnie d'hommes non identifiés | |
P009,1.020 | Marcel Villeneuve en compagnie d'hommes non identifiés, devant un immeuble Possiblement durant une inauguration | |
P009,1.021 | Vue aérienne des rues Louise et Monty | |
P009,1.022 | Personnes non identifiées devant l'autel d'une église | |
P009,1.023 | Marcel Villeneuve en compagnie de la Reine du Carnaval de Saint-François-de-Sales et d'hommes non identifiés | |
P009,1.024 | Bonhomme carnaval en compagnie de candidates pour Reine du Carnaval de Saint-François-de-Sales | |
P009,1.025 | Bonhomme carnaval du Carnaval de Saint-François-de-Sales serrant la main d'un homme non identifié | |
P009,1.026 | Dynamitage d'un embâcle devant l'usine de filtration | |
P009,1.027 | Marcel Villeneuve en présence d'hommes non identifiés dans une barque | |
P011/A,1.1 | Classe de 5e année d'Adrien Paquin à l'Académie Querbes La photographie aurait été prise en 1923 ou 1924. | |
P011/A,1.2 | Adrien Paquin et autres étudiants du Collège Bourget | |
P011/A,1.3 | Cours pratique sur la sélection à l'École d'agriculture de Sainte-Anne-de-la-Pocatière | |
P011/A,1.4 | Étudiants de l'École d'agriculture de Sainte-Anne-de-la-Pocatière à la fin des cours spéciaux sur la sélection | |
P011/A,1.5 | Adrien Paquin reçoit un diplome en génétique agricole de l'École d'agriculture de Sainte-Anne-de-la-Pocatière | |
P011/A,2.1 | Adrien Paquin en présence d'un groupe de personnes durant sa retraite fermée à la ville de Saint-Martin | |
P011/A,3.1 | Monseigneur Marcel St-Denis, ami d'Adrien Paquin | |
P011/A,3.2 | Seminaristes à Dedza, en Afrique | |
P011/A,4.1 | Adrien Paquin | |
P011/A,5.1 | Monument funéraire d'Elmina Boileau et de Victor Paquin, parents d'Adrien Paquin | |
P011/A,5.2 | Monument funéraire d'Elmina Boileau et de Victor Paquin, parents d'Adrien Paquin | |
P011/B1,1.1 | Monument funéraire d'Olivier Paquin, arrière grand-père d'Adrien Paquin | |
P013/A10,1.001 | Extérieur de l'école St-Nobert | |
P013/A10,1.002 | Extérieur du chantier de l'école St-Nobert | |
P013/A10,1.003 | Une classe de l'école St-Nobert | |
P013/A10,2.001 | Extérieur de l'école Saint-Jean en hiver | |
P013/A10,2.002 | Extérieur de l'école Saint-Jean pendant sa construction | |
P013/A10,3.001 | Extérieur de la maternelle Notre-Dame-du-Cap en hiver | |
P013/A10,3.002 | Extérieur de la maternelle Notre-Dame-du-Cap en hiver | |
P013/A10,3.003 | Chantier de construction de la maternelle Notre-Dame-du-Cap en hiver (Vue de l'extérieur) | |
P013/A10,3.004 | Chantier de construction de la maternelle Notre-Dame-du-Cap en hiver (Vue de l'intérieur) | |
P013/A10,5.001 | Intérieur d'une classe avec les élèves de l'école John F. Kennedy. | |
P013/A10,5.002 | Un couloir de l'école John F. Kennedy | |
P013/A10,5.003 | Intérieur du gymnase de l'école John F. Kennedy | |
P013/A10,5.004 | Extérieur de l'école John F. Kennedy en hiver | |
P013/A10,5.005 | Extérieur de l'école John F. Kennedy en hiver | |
P013/A12,7.001 | Construction du minirail de l'Expo 67 25.5 x 20.5 cm | |
P013/A12,7.002 | Construction de la centrale d'artisanat de l'Expo 67 25.5 x 20.5 cm | |
P013/A12,7.004 | Construction de la Place du Québec de l'Expo 67 25.5 x 20.5 cm | |
P013/A12,9.001 | Architecture extérieur de l'église St-Claude 20.5 x 19 cm et 11.5 x 9 cm. | |
P013/A12,9.002 | Architecture extérieur de l'église St-Claude 20.5 x 19 cm et 11.5 x 9 cm. | |
P013/A12,9.003 | Architecture extérieur de l'église St-Claude 20.5 x 19 cm et 11.5 x 9 cm. | |
P013/A12,9.004 | Construction du plancher chauffant de l'église St-Claude 20.5 x 19 cm et 11.5 x 9 cm. | |
P013/A12,9.005 | Construction du plancher chauffant de l'église St-Claude 20.5 x 19 cm et 11.5 x 9 cm. | |
P013/A4,1.001 | Intérieur d'une maternelle en construction | |
P013/A4,1.002 | Extérieur d'une maternelle en hiver | |
P013/A5,6.001 | Laboratoire de langues d'une école à Chomedey | |
P013/A5,8.001 | Extérieur d'une école en hiver (Laval Catholic High School) Photo prise entre le 22 février et le 19 avril 1969. | |
P013/A5,8.002 | Intérieur d'une école pendant la construction (Laval Catholic High School) Photo prise entre le 22 février et le 19 avril 1969. | |
P013/A5,8.003 | Intérieur d'une école en construction (Rez-de-chaussé Bloc B - Laval Catholic High School) Photo prise entre le 22 février et le 19 avril 1969. | |
P013/A5,8.004 | Intérieur d'une école en construction (Laval Catholic High School) Photo prise entre le 22 février et le 19 avril 1969. | |
P013/A5,8.005 | Extérieur d'une école en hiver pendant la construction (Laval Catholic High School) Photo prise entre le 22 février et le 19 avril 1969. | |
P013/A5,8.006 | Extérieur d'une école en hiver pendant la construction (Laval Catholic High School) Photo prise entre le 22 février et le 19 avril 1969. | |
P013/A5,8.007 | Installation de ventilation étage Bloc A (Laval Catholic High School) Photo prise entre le 22 février et le 19 avril 1969. | |
P013/A5,8.008 | Installation de l'électricité étage Bloc A (Laval Catholic High School) Photo prises entre le 22 février et le 19 avril 1969. | |
P013/A5,8.009 | Installation de l'électricité rez-de-chausé Bloc A (Laval Catholic High School) Photo prises entre le 22 février et le 19 avril 1969. | |
P013/A7.001 | Extérieur de l'école Hébert | |
P013/A7.002 | Extérieur de l'école Hébert | |
P013/A7.003 | Intérieur de l'école Hébert - Gymnase avec tables installées | |
P013/A8,1.001 | Extérieur de l'école Paul VI en construction | |
P013/A8,1.002 | Extérieur de l'école Paul VI en construction | |
P013/A8,1.003 | Extérieur de l'école Paul VI en construction | |
P013/A8,1.004 | Chantier de construction de l'école Paul VI | |
P013/A8,1.005 | Extérieur de l'école Paul VI en hiver | |
P013/A8,1.006 | Extérieur de l'école Paul VI | |
P013/A8,1.007 | Intérieur de l'école Paul VI | |
P013/A8,1.008 | Intérieur d'une classe de l'école Paul VI | |
P013/A8,1.009 | Travaux de construction de l'école Paul VI en hiver | |
P013/A8,1.010 | Extérieur de l'école Paul VI en construction | |
P013/A8,1.011 | Extérieur de l'école Paul VI en construction | |
P013/A8,1.012 | Extérieur de l'école Paul VI en construction | |
P013/A9,2.001 | École Churchill en construction - Panneau électrique | |
P013/A9,2.002 | Extérieur de l'école Churchill en construction | |
P013/A9,2.003 | Intérieur de l'école Churchill | |
P013/A9,2.004 | Extérieur de l'école Churchill en construction | |
P013/A9,3.001 | Chantier de construction d'une école de la paroisse de Ste-Dorothée | |
P013/A9,3.002 | Chantier de construction d'une école de la paroisse de Ste-Dorothée | |
P013/A9,3.003 | Chantier de construction d'une école de la paroisse de Ste-Dorothée | |
P013/A9,3.004 | Chantier de construction d'une école de la paroisse de Ste-Dorothée | |
P013/A9,3.005 | Chantier de construction d'une école de la paroisse de Ste-Dorothée | |
P013/A9,3.006 | Chantier de construction d'une école de la paroisse de Ste-Dorothée | |
P013/A9,3.007 | Chantier de construction d'une école de la paroisse de Ste-Dorothée | |
P013/B2,3.001 | La maison de Monsieur Martel | |
P013/B2,3.002 | La maison de Monsieur Martel | |
P013/C5,2.001 | Groupe à la soirée Activité de l'Association des hommes d'affaires de Laval. Photo prise par Robert Desrosiers. De gauche à droit : Robert Roy; femme non identifiée; Jacques Tétrault, maire de Laval; homme non identifié; femme non identifiée (1966). | |
P013/C5,2.002 | Discours lors de la soirée Activité de l'Association des hommes d'affaires de Laval. Photo prise par Robert Desrosiers lors de la soirée du cocktail du président. | |
P013/C5,2.003 | Invités à une table Activité de l'Association des hommes d'affaires de Laval. Photo prise par Robert Desrosiers lors de la soirée du cocktail du président. | |
P013/C5,2.004 | Discours lors de la soirée Activité de l'Association des hommes d'affaires de Laval. Photo prise par Robert Desrosiers lors de la soirée du cocktail du président. | |
P013/C5,2.005 | Remise de fleurs par une petite fille Activité de l'Association des hommes d'affaires de Laval. Photo prise par Robert Desrosiers lors de la soirée du cocktail du président. | |
P013/C5,2.006 | Photo de groupe lors de la soirée Activité de l'Association des hommes d'affaires de Laval. Photo prise par Robert Desrosiers lors de la soirée du cocktail du président. | |
P013/C5,5.001 | Hommes à une table lors de la réunion Réunion de l'Association des hommes d'affaires de Laval pour statuer sur l'implication ou non de l'Associatin dans le dossier des bibliothèques à Laval. | |
P013/D1,1.001 | Marcel Roy | |
P013/D1,1.002 | Marcel Roy | |
P013/D1,1.003 | Marcel Roy | |
P013/D1,1.004 | Marcel Roy | |
P013/D2,1.001 | Robert Roy | |
P013/D2,1.002 | Robert Roy | |
P015/A1,04.001 | Réunion du Comité du Oui dans la circonscription de Mille-Îles David Cliche au podium avec des membres du comité dont Jean-Paul Champagne, co-président du comité. | |
P015/A1,04.002 | Réunion du Comité du Oui dans la circonscription de Mille-Îles Lyse Leduc au podium avec des membres du comité dont Jean-Paul Champagne, co-président du comité. | |
P015/A3,01.001 | Auditoire Assemblée générale de l'Amicale des anciens parlementaires du Québec | |
P015/A3,01.002 | Discution entre trois hommes dont Jean-Paul Champagne Assemblée générale de l'Amicale des anciens parlementaires du Québec | |
P015/A3,01.003 | Christiane Pelchat au micro et Jean-Paul Champagne Assemblée générale de l'Amicale des anciens parlementaires du Québec - 17 mai 2000 | |
P015/A3,01.004 | Discussion entre Marcel Masse et Jean-Paul Champagne Assemblée générale de l'Amicale des anciens parlementaires du Québec - 17 mai 2000 | |
P015/A3,01.005 | Membres devant l'affiche de l'Amicale Assemblée générale de l'Amicale des anciens parlementaires du Québec - 16 mai 2001. De gauche à droite : Denis Hardy, Bertrand Goulet, Pierre de Bellefeuille, Aline Saint-Amand, Jérôme Proulx, Louis-Philippe Lacroix | |
P015/A3,01.006 | Pierre de Bellefeuille et Denis Hardy Assemblée générale de l'Amicale des anciens parlementaires du Québec - 16 mai 2001. | |
P015/A3,01.007 | Auditoire vu de dos Assemblée générale de l'Amicale des anciens parlementaires du Québec - 16 mai 2001. | |
P015/A3,01.008 | Auditoire vu de face Assemblée générale de l'Amicale des anciens parlementaires du Québec - 16 mai 2001. | |
P015/A3,01.009 | Auditoire. Pierre Mercier, René Blouin et Roger Pilote Assemblée générale de l'Amicale des anciens parlementaires du Québec - 16 mai 2001. | |
P015/A3,01.010 | Intervenants Assemblée générale de l'Amicale des anciens parlementaires du Québec - 16 mai 2001. Bertrand Goulet, Jérôme Proulx, Lorraine Arsenault, Pierre de Bellefeuille, Denis Hardy, Louis-Philippe Lacroix, Aline Saint-Amand. | |
P015/A3,01.011 | Michel Bissonnet, troisième vice-président, au micro Assemblée générale de l'Amicale des anciens parlementaires du Québec - 16 mai 2001. Bertrand Goulet, Jérôme Proulx, Lorraine Arsenault, Pierre de Bellefeuille, Denis Hardy, Louis-Philippe Lacroix, Aline Saint-Amand. | |
P015/A3,01.013 | Intervenants Assemblée générale de l'Amicale des anciens parlementaires du Québec - 16 mai 2001. De gauche à droite: Jean-Paul Champagne, Antoine Drolet, France Dionne, Pierre de Bellefeuille, Denis Hardy, Louis-Philippe Lacroix. | |
P015/A3,01.014 | Auditoire Assemblée générale de l'Amicale des anciens parlementaires du Québec - 16 mai 2001. Première rangée : Georges Tremblay, Aimé Brisson, André Harvey, Gérald Harvey. | |
P015/A3,01.015 | Membres devant l'affiche de l'Amicale Assemblée générale de l'Amicale des anciens parlementaires du Québec - 16 mai 2001. De gauche à droite : Jérôme Proulx, Jean-Paul Champagne, Denis Hardy, France Dionne, Antoine Drolet, Louis-Philippe Lacroix. | |
P015/A3,01.016 | Pierre Mercier au micro Assemblée générale de l'Amicale des anciens parlementaires du Québec - 22 mai 2002 | |
P015/A3,01.017 | Pierre de Bellefeuille au micro Assemblée générale de l'Amicale des anciens parlementaires du Québec - 22 mai 2002 | |
P015/A3,01.018 | Louise Harel, présidente de l'Assemblée nationale Assemblée générale de l'Amicale des anciens parlementaires du Québec - 22 mai 2002 | |
P015/A3,01.019 | Conseil de l'amicale 2002-2003 Première rangée : Jean-Paul Champagne, France Dionne, Denis Hardy, Antoine Drolet. Deuxième rangée : Jena-Hugues Boutin, Pierre de Bellefeuille. Absent sur la photo : Jérôme Proulx. Assemblée générale de l'Amicale des anciens parlementaires du Québec - 22 mai 2002 | |
P015/A3,01.020 | Membres à une table Denis Hardy, Louis-Philippe Lacroix, France Dionne, Jean-Paul Champagne. À l'arrière : Andrée Poitras. Assemblée générale de l'Amicale des anciens parlementaires du Québec - 22 mai 2002 | |
P015/A3,01.021 | Membres de l'Amicale Jacques-Yvan Morin, Henri E. Laberge, Jacques Beauséjour, Jean-Paul Bordeleau, Jean-Pierre Jolivet, Luc Tremblay. Assemblée générale de l'Amicale des anciens parlementaires du Québec - 22 mai 2002 | |
P015/A3,01.022 | Membres de l'Amicale Assemblée générale de l'Amicale des anciens parlementaires du Québec - 22 octobre 2003 | |
P015/A3,01.023a | Membres de l'Amicale Roger, Jean-Hugues Boutin, France Dionne, Jean-Paul Champagne, Denis AHrdy, Antoine Drolet, Benoit Laprise. Assemblée générale de l'Amicale des anciens parlementaires du Québec - 22 octobre 2003 | |
P015/A3,01.023b | Marie-Claire Kirkland-Casgrain et Jean-Paul Champagne Assemblée générale de l'Amicale des anciens parlementaires du Québec - 22 octobre 2003 | |
P015/A3,01.024a | Intervenants Jean-Paul Champagne, Antoine Drolet, Lorraine Arsenault, Denis Hardy, Jean-Hugues Boutin, France Dionne, Jérôme Proulx. Assemblée générale de l'Amicale des anciens parlementaires du Québec - 22 octobre 2003. Collection Claude Lachance | |
P015/A3,01.024b | Membres de l'Amicale 10e assemblée annuelle - Amicale des anciens parlementaires du Québec - 19 mai 2004 | |
P015/A3,01.025 | Membres de l'Amicale Assemblée générale de l'Amicale des anciens parlementaires du Québec - 18 mai 2005 | |
P015/A3,01.026 | Conférence de Dr James B Quilligan Membres de l'Amicale à l'Hôtel de Ville de Montréal pour la conférence du Dr Quilligan. De gauche à droite : Jean-Paul Champagne, Antoine Drolet, Dr James B Quilligan, André Harvey, Jean-Marie Beauregard. 30 septembre 2005 | |
P015/A3,01.027 | Conférence de Dr James B Quilligan Membres de l'Amicale à l'Hôtel de Ville de Montréal pour la conférence du Dr Quilligan. De gauche à droite : Gaston Tremblay, Jean-Paul Champagne, Antoine Drolet (président de l'Amicale), Dr James B Quilligan, André Harvey (CA de l'Amicale), Jean-Marie Beauregard (ex-député). Matthias Rioux, Benoît Laprise. 30 septembre 2005 | |
P015/A3,01.028 | Réception à l'Hôtel du Parlement après l'assemblée Membres de l'Amicale à l'Hôtel de Ville de Montréal pour la conférence du Dr Quilligan. De gauche à droite : Jean-Paul De gauche à droite : André Gaulin, Michel Bissonnette, Michel Côté, Jean-Paul Champagne. Assemblée annuelle de l'Amicale des anciens parlementaires. 9 mai 2006 | |
P015/A3,01.029 | Rencontre du CA de l'Amicale Antoine Drolet, Marcel Massé, Jean-Paul Champagne. Québec, 6 septembre 2006. | |
P015/A3,01.030 | Rencontre du CA de l'Amicale Jean-Paul Champagne, André Gaulin, Jacques Brassard. Assemblée nationale, 7 décembre 2006. | |
P015/A3,01.031 | Réunion du CA de l'Amicale 1er février 2007 | |
P015/A3,01.032 | Réunion du CA de l'Amicale Québec, 19 septembre 2008 | |
P015/A3,01.033 | Soirée commémorant les 40 ans du Parti Québécois Québec, 25 octobre 2008. Jean-Paul Champagne. | |
P015/A3,01.034 | Soirée commémorant les 40 ans du Parti Québécois Québec, le 25 octobre 2008 | |
P015/A3,01.035 | Soirée commémorant les 40 ans du Parti Québécois Québec, le 25 octobre 2008 | |
P015/A3,01.036 | Réunion du CA de l'Amicale André Gaulin, Antoine Drolet, Jean-Paul Champagne, Jacques Brassard. Québec. 18 mars 2009 | |
P015/A3,01.037 | Rencontre du CA de l'Amicale Montréal, 8 avril 2009 | |
P015/A3,01.038 | Rencontre d'anciens parlementaires et de membres de la SHGIJ Possiblement une rencontre en lien avec les démarches de la SHGIJ pour accueillir les archives des parlementaires qui ont représentés Laval. De gauche à droite : Jean-Jacques Lapierre, Benoît Fradet, Marcel Masse, Jean-Paul Champagne, Serge Gravel. Janvier 2004 | |
P015/A3,01.039 | Rencontre d'anciens parlementaires et de membres de la SHGIJ Janvier 2004. Possiblement une rencontre SHGIJ-Amicale en lien avec les démarches de la SHGIJ pour accueillir les archives des parlementaires qui ont représentés Laval. Première rangée : Benoît Fradet, Jean-Paul Champagne, Marcel Masse, Serge Gravel. Deuxième rangée : Jean-Jacques Lapierre, Nicole Boyer, Femme non-identifiée, Homme non-identifié, Yvon Vaillancourt, Homme non-identifié, Femme non-identifiée, Guy Ricard?, Yves Labrosse? | |
P015/A3,01.040 | Membres de l'Amicale (60 membres) Assemblée générale 16 mai 2001 | |
P015/A3,01.041 | Jean-Paul Champagne Assemblée générale de l'Amicale des anciens parlementaires du Québec. Québec, 9-10 mai 2006 | |
P015/A3,01.042 | Membres devant l'affiche de l'Amicale Photo similaire à P015/A3,01.015 Assemblée générale - 16 mai 2001 De gauche à droite : Jérôme Proulx, Jean-Paul Champagne, Denis Hardy, France Dionne, Antoine Drolet, Louis-Philippe Lacroix. | |
P015/A3,01.043 | Intervenants 10e Assemblée annuelle - Amicale des anciens parlememtaires du Québec. Québec, 19 mai 2004 | |
P015/A3,01.044 | Rencontre du CA de l'Amicale Québec, 4 septembre 2007 | |
P015/A3,01.045 | Groupe de gens en extérieur lors d'une Commission | |
P015/A3,01.046 | Rencontre de l'Amicale De gauche à droite : Pierre de Bellefeuille, Lorraine Arsenault, Denis Hardy (président). Québec 2002. | |
P015/A3,01.047 | Rencontre de l'Amicale De gauche à droite : Denis Hardy, Homme non identifié, Jean-Paul Champagne. Québec 2002. | |
P015/A3,01.048 | Rencontre de l'Amicale Jean-Paul Champagne et Lorraine Arsenault (secrétaire de l'Amicale). | |
P015/A3,01.049 | Rencontre de l'Amicale De gauche à droite : Janne, Denis Hardy, François Cloutier, André Sanbi, Marcel Massé, Matt., Olivier, Jean-Paul Champagne. | |
P015/A3,01.050 | Réunion de l'Amicale | |
P015/A3,01.051 | Délégation M. Trudel relations publiques, Nicole Champagne, Jean-Paul Champagne | |
P015/A3,01.052 | Claude Duhaime, délégué québécois, et Jean-Paul Champagne | |
P015/A3,01.053 | Jean-Paul Champagne et Clément Duhaime Gauche à droite : Massé, André, Champagne, Clément, Jeanne Blackburn, Matthieu (?), Hardy | |
P015/A3,01.054 | Réunion Commission | |
P015/A3,01.055 | Jean-Paul Champagne et collègues Gauche à droite : André Gaulin, ex-député de Taschereau, Linda Goupil ex-député de Lévis, Jean-Paul Champagne et Claude Lachance ex-député de Bellechasse | |
P015/A3,01.056 | Jean-Paul Champagne et collègues Gauche à droite : Claude Lachance, André Gaulin, Jean-Paul Champagne et Raymond Brouillette ex-député de Chauveau et ex vice-président de l'Assemblée nationale. | |
P015/A3,01.057 | Jean-Paul Champagne et collègues Québec, 12,13 et 14 mai 2014. Les 20 ans de l'Amicale. Gauche à droite : Léopold Marquis, Jean-Paul Champagne, Antoine Drolet. | |
P015/A3,02.001 | Présentation du mémorie sur la réforme parlementaire à droite de Jean-Paul Champagne, Jean-Hugues Boutin | |
P015/A3,02.002 | Jean-Paul Champagne et collègues Présentation du mémorie sur la réforme parlementaire | |
P015/A3,02.003 | Présentation du mémorie sur la réforme parlementaire | |
P015/A3,02.004 | Présentation du mémorie sur la réforme parlementaire | |
P015/A3,04.001 | Réunion de membres du comité et membres de la SHGIJ Ex-députés de Laval. Janvier 2004 Première rangée : Benoît Fradet, Jean-Paul Champagne, Marcel Masse, Serge Gravel. Deuxième rangée : Jean-Jacques Lapierre, Nicole Boyer, Femme non-identifiée, Homme non-identifié, Yvon Vaillancourt, Homme non-identifié, Femme non-identifiée, Guy Ricard?, Yves Labrosse? Photo identique à P015/A3,01.039 | |
P015/A3,04.002 | Réunion de membres du comité et membres de la SHGIJ Rencontre d'information sur la gestion des archives des anciens parlementaires qui ont représenté la Ville de Laval à Québec et Ottawa. 14 février 2007. Première rangée : Jean-Jacques Lapierre, Jean-Paul Champagne, Maud Debien, Jean-Guy Rodrigue, Lyse Leduc, Nicole Boyer, Michel Leduc, Benoit Fradet Deuxième rangée : Yves Demers, Guy Ricard, Jean-Pierre Belisle, M. Vaillancourt | |
P015/A3,04.003 | Anciens parlementaires et membres de la SHGIJ Archives, 21 novembre 2007. Sur la photo : Yves Demers, Serge Gravel, Maud Debien, Jean-Guy Rodrigue, Jean-Paul Champagne, Jean-Jacques Lapierre | |
P015/A3,04.004 | Anciens parlementaires et membres de la SHGIJ Archives, 21 novembre 2007. Sur la photo : Serge Gravel, Homme, Jean-Paul Champagne | |
P015/A3,04.005 | Serge Gravel et Jean-Paul Champagne Archives, 21 novembre 2007. | |
P015/A3,04.006 | Rencontre anciens parlementaires et membres de la SHGIJ 8 janvier 2004. Gauche à droite : Jean-Jacques Lapierre, Benoit Fradet, Marcel Masse, Jean-Paul Champagne, Serge Gravel Photo identique à P015/A3,01.038 | |
P015/A3,04.007 | Réunion de membres du comité et membres de la SHGIJ Hôtel de ville, 8 janvier 2004 Première rangée : Benoît Fradet, Jean-Paul Champagne, Marcel Masse, Serge Gravel. Deuxième rangée : Jean-Jacques Lapierre, Nicole Boyer, Femme non-identifiée, Homme non-identifié, Yvon Vaillancourt, Homme non-identifié, Femme non-identifiée, Guy Ricard?, Yves Labrosse? Photo identique à P015/A3,01.039 et P015/A3,04.001 | |
P015/A3,05.001 | Réception chez la lieutenant-gouverneur 14 mars 2005. Réception chez Lise Thibault, lieutenant-gouverneur du Québec,. Assemblée régionale du Québec des ex-parlementaires canadiens. Douglas C. Rowland président, Lise Thibault, Jean-Paul Champagne, Nicole Champagne. | |
P015/A3,05.002 | Participants au séminaire régional canadien de l'APC. 3 au 7 octobre 1983, Régina Saskatchewan | |
P015/A3,05.003 | Gouverneure générale du Canada Adrienne Clarkson | |
P015/A3,05.004 | Douglas Rowland et Jean-Paul Champagne | |
P015/A3,08.001 | Jean-Paul Champagne lors de l'entrevue pour Mémoires de députés 28 août 2009. Photographie prise lors de l'enregistrement de l'entrevue accordée au journaliste Gilles Morin dans le cadre de la série Mémoires de députés. | |
P015/A3,08.002 | Jean-Paul Champagne lors de l'entrevue pour Mémoires de députés 28 août 2009. Photographie prise sur le plateau de tournage de la série Mémoires de députés à la salle du Conseil législatif de l'hôtel du Parlement de Québec. (Jean-Claude Champagne avec le journaliste Gilles Morin?) | |
P015/A3,09.001 | Jean-Paul Champagne avec un collègue L'homme pourrait être Michel Dubé, président de l'Assemblée nationale de France selon les notes derrière la photo. | |
P015/A3,09.002 | Jean-Paul Champagne et trois collègues | |
P015/A3,09.003 | Parlement des sages | |
P015/A3,09.004 | Parlement des sages Michel Bissonet, Jean-Paul Champagne, Michel debré, Antoine Drolet | |
P015/A3,09.005 | Serment au Parlement des sages | |
P015/A3,09.006 | Salle de réception | |
P015/A4,02.001 | Jean-Paul Champagne et collègues à un congrès Union mondiale des associations d'anciens parlementaires francophones. Bruxelles - 27 au 29 avril 2004. Gauche à droite : Inconnu (Belgique), François Cloutier, Xavier Hunault (France), Jean-Paul Champagne | |
P015/A4,02.002 | Repas au congrès Union mondiale des associations d'anciens parlementaires francophones. Bruxelles - 27 au 29 avril 2004. Déjeuner officiel de clôture : Jules Gendebien (Belgique), Marie-Madeleine Ouédraogo (BurkinaFaso), Lorraine Arsenault, Nassima Ghannouchi (tunisie), Simon Pierre Ndjassy (Gabon), J.P. Champagne, Daniel Belle (Seychelles), François Cloutier. | |
P015/A4,02.003 | Discours du président du sénat lros de la réception Union mondiale des associations d'anciens parlementaires francophones. Bruxelles - 27 au 29 avril 2004. Réception au Sénat de Belgique. Président du Sénat, M. Armand de Decker, à gauche MM. Gillet et Hunault, à droite M. Biefnot | |
P015/A4,02.004 | Repas au congrès Union mondiale des associations d'anciens parlementaires francophones. Bruxelles - 27 au 29 avril 2004. Déjeuner officiel de clôture à l'Assemblée nationale de Belgiqu, 6 rue de la Loi | |
P015/A4,02.005 | Jean-Paul Champagne au congrès Bruxelles avril 2004 | |
P015/A4,02.006 | Jean-Paul Champagne et collègues Union mondiale des associations d'anciens parlementaires francophones. Bruxelles - 27 au 29 avril 2004. Olivier Giscard D'Estaing (France), M. de Merken (Belgique), François Cloutier et Jean-Paul Champagne | |
P015/A4,02.007 | Jean-Paul Champagne et collègues Union mondiale des associations d'anciens parlementaires francophones. Bruxelles - 27 au 29 avril 2004. Chez la déléguée générale du Québec à Bruxelles. Lorraine Arsenault, François Cloutier, Mme Nicole Stafford, Jean-Paul Champagne | |
P015/A4,02.008 | Jean-Paul Champagne au congrès Union mondiale des associations d'anciens parlementaires francophones. Bruxelles - 27 au 29 avril 2004. Commission présidée par M. Champagne, à sa droite le secrétaire M. Jean Delaneau | |
P015/A4,02.009 | Jean-Paul Champagne discutent avec deux collègues Union mondiale des associations d'anciens parlementaires francophones. Bruxelles - 27 au 29 avril 2004. Réception à l'Ambassade de France à Bruxelles 28 avril 2004 | |
P015/A4,02.010 | Jean-Paul Champagne et Chofse Badse, ancien sénateur du Liban | |
P015/A4,02.012 | Assistance au congrès UMAPF. Belgique 2004. Nicole Stafford | |
P015/A4,03.002 | Photo de groupe Congrès de l'UMAPF, à Paris, 12-13 mai 2005 Délégation de 29 pays | |
P015/A4,03.003 | Jean-Paul Champagne et collègues UMAPF, Paris 2005. Matthias, Olivier Giscard D'Estaing, Jean-Paul Champagne | |
P015/A4,04.001 | Jean-Paul Champagne et collègues Wilfrid Licari (3e à droite) | |
P015/A4,04.002 | Trois hommes discutent UMAPF. Chafre Badre, Olivier Giscard D'Estaing, Xavier. 2006 | |
P015/A4,04.004 | Jean-Paul Champagne et collègues | |
P015/A4,04.005 | Jean-Paul Champagne et collègues André H. et J-P. | |
P015/A4,04.006 | Assemblée générale 2006 | |
P015/A4,04.007 | Délégation 2006 devant l'Élysée | |
P015/A4,04.008 | Repas lors du congrès | |
P015/A4,06.002 | Yvon Biefnot, Benoit Pelletier, André Harvey | |
P015/A4,06.003 | Photo de groupe Photo identique à P015/A4,06.001 Ve congrès de l'Union mondiale des associations d'anciens parlementaires francophones, Québec, mercredi 17 au vendredi 19 septembre 2008 | |
P015/A4,06.005 | Assistance lors du congrès | |
P015/A4,08.001 | Rencontre à l'UNESCO Yvon Charbonneau ambassadeur, Roland Gillet, secrétaire de l'UMAPF | |
P015/B1,03.001 | Signature de document | |
P015/B1,03.004 | Jean-Paul Champagne et possiblement des membres de son équipe de campagne | |
P015/B1,03.005 | Ouverture du bureau (de circonscription?) Mars 1981 | |
P015/B1,03.006 | Comité exécutif circonscription Mille-Îles octobre 1983 | |
P015/B1,03.007 | Deux femmes discutent Ouverture du bureau - mai 1981 | |
P015/B1,03.008 | Assermentation des députés Aussi sur la photo : Bernard Landry Inscription à l'endos de la photo : M.C.Q. 81-274 | |
P015/B1,03.009 | Assermentation des députés Inscription à l'endos de la photo : M.C.Q. 81-265 E-4 | |
P015/B1,04.002 | Visite au CMCL À l'automne 1983 avec le ministre Jean-François Bertrand | |
P015/B1,04.003 | Visite à la maison André-Benjamin-Papineau Gauche à droite : Claude Lefebvre maire de Laval, Jean-Paul Champagne, ministre Clément Richard 07-05-1982 | |
P015/B1,04.004 | Jean-Paul Champagne, des personnes non-identifiées et une mascotte devant des affiches Les Jeux du Québec | |
P015/B1,04.005 | Inauguration du Salon des arts 1984 | |
P015/B1,04.006 | Activité pour le réseau scolaire de Chomedey École pour étudiants avec troubles socio-affectif | |
P015/B1,04.007 | Inauguration Village des arts - Août 1984 | |
P015/B1,04.008 | École secondaire Sacré-Coeur Rosemère Ouverture du gymnase 1983 | |
P015/B1,04.009 | Ouverture du marché Laval - 4 août 1983 On peut voir sur la photo Bernard Landry et Claude Ulysse Lefebvre qui coupe le ruban. | |
P015/B1,04.010 | Remise de chèque à la SHIJ Subvention à la Société d'histoire de l'ile Jésus - Juin 1984 | |
P015/B1,04.011 | Souper de l'Association des jardiniers-maraichers de la région de Montréal - Février 1982 | |
P015/B1,04.012 | Souper de l'Association des jardiniers-maraichers de la région de Montréal - Février 1982 | |
P015/B1,04.013 | Ouverture du Centre d'accueil la Pinière - 2 avril 1984 Avec le ministre Camille Laurin, Michel Leduc, Bernard Landry et Claude Ulysse Lefebvre | |
P015/B1,04.014 | Visite au Centre d'accueil la Pinière - Avril 1983 André Maltais, directeur général, et Jean- Paul Champagne | |
P015/B1,04.015 | Résidence Les Écores 21 novembre | |
P015/B1,04.016 | Subvention Entreprise Geloso Printemps 1984 | |
P015/B1,04.017 | Lancement de la caravane de la Santé CLSC Mille-Îles 03/07/1985 | |
P015/B1,04.018 | Conférence de presse pour l'agrandissement du Centre des congrès de l'hôtel Sheraton De gauche à droite : Jacques Gravel, Michel Fournelle, Bernad Landry, Claude Lefebvre, Jean-Paul Champagne 24/01/1985 | |
P015/B1,04.019 | Annonce d'une subvention pour la Cité-de-la-Santé De gauche à droite : Michel Leduc, Femme non identifiée, Homme non identifié, Bernard Landry, Jean-Paul Champagne, Homme non identifié. Juin 1985 | |
P015/B1,04.020 | Inauguration du service Urgences-santé 1982 De gauche à droite : Homme, René Lévesque, Homme, Pierre Marc Johnson, Michel Leduc, Homme, Louise Harel, Jean-Paul Champagne. | |
P015/B1,04.021 | Visite d'un laboratoire On peut voir Jean-Guy Rodrigue et Jean-Paul Champagne sur la photo. | |
P015/B1,04.022 | Visite du ministre Camille Laurin à la Cité-de-la-Santé - Octobre 1984 De gauche à droite : Camille Laurin, Jean-Paul Champagne, Homme, Michel Leduc. | |
P015/B1,04.023 | Visite d'un laboratoire On peut voir Jean-Guy Rodrigue et Jean-Paul Champagne sur la photo. | |
P015/B1,04.024 | Visite d'une cafétéria | |
P015/B1,04.025 | Remise d'une subvention à l'Office du développement du tourisme et des congrès 4 Mai 1983 | |
P015/B1,04.026 | Ouverture de la bibliothèque Germaine-Guèvremont Ministre Clément Richard 3 Mai 1983 | |
P015/B1,04.027 | Allocution de Bernard Landry à la Chambre de commerce - août 1982 Thématique : Virage technologique. Activité de la Chambre de commerce de Laval au Sheraton Laval. | |
P015/B1,04.028 | Inauguration du CLSC Ste-Rose De gauche à droite : Jean-Guy Rodrigue, Bernard Landry, Pierre Marc Johnson, Jean-Paul Chamapgne 28 Mai 1982 | |
P015/B1,04.029 | Inauguration Urgences-santé 1982 De gauche à droite: Jean-Paul Champagne, René Lévesque, Michel Leduc, Pierre Marc Johnson | |
P015/B1,05.001 | Jean-Paul Champagne et deux hommes à une table de conférence | |
P015/B1,05.002 | Rencontre parents Laval/Laurentides à l'école Curé-Labelle De gauche à droite : Jean-Paul Champagne, Michel Leduc, Homme, Homme. 15 Septembre 1982 | |
P015/B1,05.003 | Jean-Paul Champagne et Michel Leduc | |
P015/B1,05.004 | Jean-Paul Champagne | |
P015/B1,05.005 | Victoire électorale du Parti québécois - 13 avril 1981 Jean-Paul Champagne, René Lévesque et un autre homme Centre Paul Sauvé | |
P015/B1,05.006 | Réunion régionale du Parti québécois Course au Leadership 04/09/1985 De gauche à droite : Jean-Paul Champagne, Michel Leduc, Jean-Guy Rodrigue, Pierre Marc Johnson | |
P015/B1,05.007 | Victoire électorale du Parti québécois - 13 avril 1981 Centre Paul-Sauvé | |
P015/B1,05.008 | Victoire électorale du Parti québécois - 13 avril 1981 Centre Paul-Sauvé | |
P015/B1,05.009 | Visite du chantier du Palais des congrès - Été 1982 Jean-Paul Champagne avec des collegues de l'Assemblée nationale: Laplante, Marcoux, Harel et Dussault | |
P015/B1,05.010 | Rencontre parents Laval/Laurentides à l'école Curé-Labelle Camille Laurin, Michel Leduc, Jean-Paul Champagne 15 Septembre 1982 | |
P015/B1,05.011 | Caucus des députés à Laval De gauche à droite : Michel Leduc, Jean-Guy Rodrigue, Bernard Landry, Jean-Paul Champagne Septembre 1982 | |
P015/B1,05.012 | Jean-Paul Champagne et Pauline Marois 84-11-30 | |
P015/B1,05.013 | Tournée de Denise Bantey-Leblanc De gauche à droite : Michel Leduc, Jean-Paul Champagne, Denise Bantey-Leblanc Octobre 1982 | |
P015/B1,05.014 | Tournée ministérielle - Octobre 1982 On peut voir Jean-Paul Champagne et Denise Bantey-Leblanc sur la photo. | |
P015/B1,05.015 | Jean-Paul Champagne et René Lévesque lors de la campagne de financement 1983 Centre sportif Laval, 14-04-1983 | |
P015/B1,05.016 | Campagne du Parti québécois - Faut rester forts au Québec Candidats lavallois du PQ. De gauche à droite : Jean-Paul Champagne, Bernard Landry, Judy Ann Scott, Jean-Guy Rodrigue, Michel Leduc. | |
P015/B1,05.017 | Jean-Paul Champagne et Pierre Marc Johnson visitent une banque | |
P015/B1,05.018 | Jean-Paul Champagne et Pierre Marc Johnson visitent une banque | |
P015/B1,05.019 | René Lévesque et Jean-Paul Champagne Campagne de financement 1983 | |
P015/B1,05.020 | René Lévesque | |
P015/B1,05.021 | Jean-Paul Champagne, François Gendron et Adrien Ouellette | |
P015/B1,05.022 | Jean-Paul Champagne et Clément Richard | |
P015/B1,05.023 | Jean-Paul Champagne et Bernard Landry | |
P015/B1,05.024 | Jean-Paul Champagne et Jacques Pariseau Québec, Les grands voiliers, 1984 | |
P015/B1,06.001 | Association des parlementaires du Commonwealth Hiver 1983 | |
P015/B1,06.002 | Association des parlementaires du Commonwealth Octobre/Novembre 1983 - Kenya | |
P015/B1,06.003 | Jean-Paul Champagne en discussion avec une femme | |
P015/B1,06.004 | Jean-Paul Champagne et le sénateur Tarky Lombardi de New York Invité de l'Assemblée des parlementaires du Commonwealth, au Manoir Richelieur. Thème de la rencontre : Les arts et le développement économique | |
P015/B1,06.005 | Invités de l'Assemblée des parlementaires du Commonwealth Manoir Richelieu | |
P015/B1,06.006 | Jean-Paul Champagne serrant des mains | |
P015/B1,06.007 | Jean-Paul Champagne recevant des cadeaux durant une réception à l'Hôtel de Ville de Québec | |
P015/B1,06.008 | Photo de groupe | |
P015/B1,06.009 | Photo de groupe | |
P015/B1,06.010 | Visite du parlement du Kenya André Trottier, Jean Paul Bordeleau, Harry Blank et Madame Blank Octobre 1983 | |
P015/B1,06.011 | Photo prise devant l'Hôtel Kilaguni Lodge Parc National | |
P015/B1,06.012 | Jean-Paul Champagne et le chef de la sécurité au Kenya | |
P015/B1,06.013 | Congrès mondial de l'Association des parlementaires du Commonwealth au Kenya Octobre 1983 | |
P015/B1,06.014 | Délégués à la 29e Conférence internationale des parlementaires du Commonwealth au Kenya | |
P015/B1,06.015 | Jean-Paul Champagne et des délégués au Kenya Jean-Paul Champagne, délégué de l'île Maurice, Reed Scowen, autre délégué et le président de l'Assemblée législative du Nouveau-Brunswick | |
P015/B1,06.016 | Congrès à Naïrobi Délégation du Québec: Reed Scowen, Jean Paul Champagne et Harry Blanks | |
P015/B1,06.017 | Jean-Paul Champagne et un homme devant la pyramide de Kheops | |
P015/B1,06.018 | Jean-Paul Champagne et un homme devant le tombeau du roi Kheops | |
P015/B1,06.019 | Congrès régional à la Malbaie en 1983 Association des parlementaires du Commonwealth | |
P015/B1,06.020 | Réception à l'Hôtel de Ville de Québec avec le sénateur Moore de Saskatoon | |
P015/B1,06.021 | Jean-Paul Champagne et le sénateur américain de l'état de New York | |
P015/B2,06.001 | Visite au Bois Papineau avec l'ACAPAL en 1984 Association de Conservation et Aménagement Plein-Air de Laval (ACAPAL) | |
P015/B2,06.002 | Visite au Bois Papineau avec l'ACAPAL en 1985 Association de Conservation et Aménagement Plein-Air de Laval (ACAPAL) | |
P015/B3,02.001 | Chantier sur la rivière des Prairies pour le remplacement de l'évacuateur de crue de la centrale, phase I mars 1984 | |
P015/B3,02.002 | Jean-Paul Champagne et Adrien Ouellette Maquette du barrage de la rivière des Mille Iles, Automne 1984 | |
P015/B3,02.003 | Chantier sur la rivière des Prairies pour le remplacement de l'évacuateur de crue de la centrale, phase II | |
P015/B3,02.004 | Vue de l'évacuateur et de la centrale sur la rivière des Prairies | |
P015/B3,06.001 | Jean-Paul Champagne et deux membres de l'Association pour l'aménagement de la rivière des Prairies Bureau de comté de monsieur Champage, 15 mars 1985 | |
P015/B3,07.001 | René Lévesque et Jean-Paul Champagne Visite du Premier ministre à l'évacuateur de crues de la centrale d'Hydro-Québec, 1984(?) | |
P015/B3,09.001 | Chambre de commerce, 8-10-1985 Laurent Hamel directeur de projet à Hydro-Québec, Homme, Jean-Guy Rodrigue, Jacques Brassard et Jean-Paul Champagne. | |
P015/B3,09.002 | Chambre de commerce, 8-10-1985 Allocution de Jacques Brassard (sur le sujet d'une écluse) | |
P015/B3,09.003 | Photo de groupe à la Chambre de commerce 10/1985 On peut voir, entre autres, Jean-Paul Champagne, Laurent Hamel, Jacques Brassar, Claude Ulysse Lefebvre et Jean-Guy Rodrigue. | |
P015/B3,09.004 | Jacques Brassard et Jean-Paul Champagne lors de l'allocution de monsieur Brassard à la Chambre de commerce 08/10/1985 | |
P015/B4,02.001 | Lancement du programme Revicentre 27/06/1985 De gauche à droite : Michel Leduc, Claude Lefebvre, Jean-Paul Champagne, Bernard Landry et Jean-Guy Rodrigue | |
P015/B4,02.002 | Visite chez RDG - 9 mars 1984 On peut voir, entre autres, Jean-Paul Champagne et le ministre Gilbert Paquette. | |
P015/B4,02.003 | Signature de protocole entre le ministère des Affaires culturelles et la Ville de Laval 13/08/1985 On peut voir assis à la table Claude Lefebvre, Clément Richard et Jean-Paul Champagne. | |
P015/B4,02.004 | Signature de protocole entre le ministère des Affaires culturelles et la Ville de Laval 13/08/1985 On peut voir assis à la table Claude Lefebvre, Clément Richard et Jean-Paul Champagne. | |
P015/B4,02.005 | Photo de groupe devant le Sheraton Laval avant le départ pour la pourvoirie des Cents Lacs | |
P015/B4,02.006 | Jean-Paul Champagne au Carnaval de Québec avec Bonhomme Hiver 1983 | |
P015/B4,02.007 | Remise du prix du civisme à Johanne Patry 14/06/1985 On voit Jean-Paul Champagne et Pierre Marc Johnson qui accompagne madame Patry | |
P015/B4,02.008 | Intronisation au Club optimiste 16/12/1984 | |
P015/B4,02.009 | Intronisation au Club optimiste 16/12/1984 | |
P015/B4,02.010 | Gala Méritas 1983 On peut voir entre autres sur la photo Jean-Paul Champagne et Jean-Guy Rodrigue. | |
P015/B4,02.011 | Gala Méritas 1984 On peut voir entre autres sur la photo Jean-Paul Champagne, Jean-Guy Rodrigue et Claude Lefebvre. 28/01/1984 | |
P015/B4,02.012 | Ouverture du restaurant Le vieux four On peut voir entre autres sur la photo: Michel Leduc, Bernard Landry, Jean-Paul Champagne et Jean-Guy Rodrigue. 27/06/1983 | |
P015/B4,02.013 | Gala Méritas 1985 On peut voir entre autres sur la photo Jean-Paul Champagne et Michel Leduc. 23/02/1985 | |
P015/C2,01.001 | Gens assistant à une messe à l'occasion de la St-Jean-Baptiste 24/06/1977 1er banc = Monsieur et Madame Jean Drapeau 2e banc = Nicole et Jean-Paul Champagne | |
P015/C3,01.001 | Jean-Paul Champagne à la SHGIJ On peut voir des membres de la SHGIJ dont Bertrand Dudemaine, Jean-Jacques Lapierre, Serge Gravel et Nicole Boyer. | |
P015/C3,02.001 | Nomination comme membre honoraire à vie par les Chevaliers de Colomb Robert Busque (Grand Chevalier), Jean Paul Champagne et Gilles Gascon 04/03/2009 | |
P015/C3,02.002 | Nomination comme membre honoraire à vie par les Chevaliers de Colomb 04/03/2009 | |
P015/C3,02.003 | Nomination comme membre honoraire à vie par les Chevaliers de Colomb 04-03-2009 | |
P015/D1,01.001 | Manifestation vers 1975 en lien avec les carrières Demix On peut voir Jean-Paul Champagne et Jean-Pierre Coallier sur la photo. | |
P015/D1,03.001 | Souper-causerie de la SSJBM, Section Laval Jean-Paul Champagne au lutrin lors de la soirée dont le thème était "L'enseignement du français, un drame, oui ou non?". Le conférencier invité de la soirée était Jean-Paul Desbiens. La soirée a eu lieu au restaurant Ste-Rose. | |
P015/D3,01.001 | Assemblée Générale Annuelle 1998 13/03/1998 Conseil général 1998-1991: Yves Sabourin, Sophie Cunningham, Jean Paul Champagne, Marcel Henry, Michel Côté, Guy Bouthillier, Liliane Goulet, Denis Sylvain, Pierre Beaucage René Asselin et Isabelle Laliberté | |
P015/D3,03.001 | Remise de reconnaissance par la SSJBM Guy Boutillier, Maud Debien | |
P015/D3,03.002 | Remise du prix du Patriote de l'année 1998 Fernand Daoust et Louise Hamel 11/1998 | |
P015/D3,03.003 | Remise de la médaille Bene Merenti de Patria Monsieur et Madame Camille Laurin avec Jean-Paul Champagne 19/11/1977 | |
P015/D3,06.001 | Lancement de l'édition spéciale de la revue Action nationale - décembre 1977 Donatien Gaudet président de la Fédération des francophones hors Québec, Francois Albert ancien président de la Ligue d'action nationale, Gilbert Paquette député de Rosemont, Hubert Gauthier directeur général de la Fédération des francophones hors Québec et Jean Paul Champagne | |
P015/D4,01.001 | Allocution de Jean-Paul Champagne | |
P015/D4,01.002 | Photo de groupe | |
P015/D4,01.003 | Remise de chèque dans le cadre de la campagne de financement 2002-2006 | |
P015/D4,01.004 | Présentation d'une maquette | |
P015/D4,01.005 | Remise de la bourse Pierre-Péladeau 22 juillet 2000 Guy Bouthillier président SSJBM, Sylvie Cordeau conseillère de direction au président de Québécor, Alain Dupuis récipiendaire et Jean-Paul Champagne président de la Fondation du Prêt d'honneur. | |
P015/D4,01.006 | C.A. de la Fondation du Prêt d'Honneur 2000-2001 25/04/2000 De gauche à droite : Éric Bédard, Robert Comeau 2e vice-président, Benoît Tremblay secrétaire, Jean-Paul Champagne président, Liliane Goulet 1e vice-présidente, Guy Bouthillier président SSJBM, Gérard Kentzinger et Marcel Henry | |
P015/D4,01.007 | C.A. Fondation du Prêt d'honneur 1998-1999 19/05/1998 Pierre Beaucage Liliane Goulet, Jean-Paul Champagne, Marcel Henry, David Ledoyen, Benoît Tremblau et Robert Comeau | |
P015/D4,01.008 | Société St-Jean-Baptiste et Prêt d'Honneur 28/04/1998 | |
P015/D4,02.001 | Corporation de la Maison du Prêt d'Honneur | |
P015/D4,02.002 | La maison du Prêt d'honneur | |
P015/D4,02.003 | Remise de chèque dans le cadre de la campagne de financement 2002-2006 | |
P015/D6,02.001 | Délégation québécoise parrainée par la Société Saint-Jean Baptiste de Montréal - 1999 | |
P015/D6,02.002 | Délégation québécoise parrainée par la Société Saint-Jean Baptiste de Montréal - 1999 | |
P015/D6,02.003 | Délégation québécoise parrainée par la Société Saint-Jean Baptiste de Montréal - 1999 | |
P015/D6,02.004 | Délégation québécoise avec la gouverneure générale de la Louisiane - 1999 Première rangée de gauche à droite : Maud Debien, Jean-Paul Champagne, Gouverneure de la Louisiane et Lyse Leduc. | |
P015/D6,03.001 | Célébration du 100e anniversaire de naissance du chanoine Lionel Groulx. Jean-Paul Champagne avec Camille Laurin et sa femme | |
P015/D6,03.002 | Célébration du 100e anniversaire de naissance du chanoine Lionel Groulx. | |
P015/D6,03.003 | Boycott de la Commission Pépin-Roberts - 15 janvier 1978 Jean-Paul Champagne président-général SSJGM, André Auclair directeur-général du Mouvement national des Québécois et Alain Généreux. | |
P015/D6,04.001 | Signature de document | |
P015/D6,04.002 | Photo de groupe | |
P015/D6,04.003 | Jean-Paul Champagne et trois hommes | |
P015/D6,04.004 | Photo de groupe | |
P015/D6,04.005 | Jean-Paul Champagne et deux hommes | |
P015/D6,04.006 | Remise de drapeau | |
P015/D6,04.007 | Membres autour d'un souper | |
P015/D6,04.008 | Membres autour d'une table | |
P015/D6,04.009 | Remise de drapeau | |
P015/D6,04.010 | Présentation d'un drapeau | |
P015/D6,04.011 | Jean-Paul Champagne et un drapeau | |
P015/D6,04.012 | Photo de groupe | |
P015/D6,04.013 | Photo de groupe | |
P015/D6,04.014 | Association Canado-Américaine Le président de l'ACA est à droite sur la photo | |
P015/D6,04.015 | Membres du CA 31/01/2001 | |
P015/D6,04.016 | Toile représentant la première assemblée des Patriotes offerte à la SSJB par l'ACA 31/01/2001 | |
P015/D6,04.017 | Assemblée générale de l'ACA 31/01/2001, Manchester, NH (USA) À la gauche de Jean-Paul Champagne on voit Eugène A Lemieux, président. Ils sont entouré des représentants régionaux de Nouvelle-Angleterre. | |
P015/D6,04.018 | Toile représentant la première assemblée des Patriotes offerte à la SSJB par l'ACA 31/01/2001 | |
P015/D6,04.019 | Plaque du Club Jolliet à l'ACA | |
P015/D6,04.020 | Réunion de l'ACA 31/01/2001 | |
P015/D6,04.021 | Immeuble de l'ACA | |
P015/E,03.001 | Randonnée de vélos pour la Fondation Vélo-Cité | |
P015/E,03.002 | Soirée pour la Fondation de la Cité-de-la-Santé | |
P015/E,03.003 | Remise d'un certificat d'honneur | |
P015/E,03.004 | Remise d'un certificat d'honneur | |
P015/E,03.005 | Remise d'un certificat d'honneur | |
P015/E,03.006 | Remise de certificats d'honneur | |
P015/E,03.007 | Remise de certificats d'honneur | |
P015/E,03.008 | Comité organisateur Jean Garneau, Jacques Brunelle, Normande Fournier, André Auclair, Sylvie Béliveau. | |
P015/E,03.009 | Soirée pour la Fondation | |
P015/E,03.010 | Soirée pour la Fondation | |
P015/E,03.011 | Campagne de financement pour la Fondation | |
P015/E,03.012 | Soirée pour la Fondation | |
P015/E,03.013 | Soirée pour la Fondation | |
P015/E,03.014 | Activité de tennis parrainée par Marion Merrell Dow pour la Fondation On peut voir Jean-Paul Champagne et Jean-Pierre Coallier sur la photo. | |
P015/E,03.015 | Jean-Pierre Coallier et Jean-Paul Champagne lors d'une activité pour la Fondation | |
P015/E,03.016 | Jean-Pierre Coallier et Jean-Paul Champagne lors d'une activité pour la Fondation | |
P015/E,03.017 | Jean-Pierre Coallier et Jean-Paul Champagne lors d'une activité pour la Fondation | |
P015/E,03.018 | Participants à un bingo pour la Fondation | |
P015/E,03.019 | Jean-Pierre Coallier | |
P015/E,03.020 | Jean-Pierre Coallier lors d'une activité pour la Fondation | |
P015/E,03.021 | Jean-Pierre Coallier lors d'une activité pour la Fondation | |
P015/F,01.001 | Dévoilement du monument Louis-Joseph Papineau - Assemblée nationale - 12 décembre 2002 Bernard Landry et Jean-Paul Champagne en compagnie de descendants de Louis-Joseph Papineau. Collection Claude Lachance | |
P015/F,01.002 | Assemblée nationale - 12 décembre 2002 Raymond Brouillet, Jean-Paul Champagne, Claude Lachance et Yves Beaumier Collection Claude Lachance | |
P015/F,01.003 | Assemblée nationale - 12 décembre 2002 André Gaulin, Linda Gaupil et Jean-Paul Champagne Collection Claude Lachance | |
P015/F,01.004 | Assemblée nationale - 12 décembre 2002 Homme, André Gaulin, Jean-Paul Champagne et Raymond Brouillet | |
P015/F,01.005 | Dévoilement du monument Louis-Joseph Papineau - Assemblée nationale - 12 décembre 2002 Jean-Paul Champagne et trois femmes lors du dévoilement Collection Claude Lachance | |
P015/F,01.006 | Dévoilement du monument Louis-Joseph Papineau - Assemblée nationale - 12 décembre 2002 Bernard Landry et un homme Collection Claude Lachance | |
P015/F,01.007 | Dévoilement du monument Louis-Joseph Papineau - Assemblée nationale - 12 décembre 2002 André Gaulin, Jean-Paul Champagne et Raymond Brouillet Collection Claude Lachance | |
P015/F,01.008 | Mois de l'entreprise lavalloise Dévoilement avec le maire Lucien Paiement et le président de la Chambre de commerce. On voit aussi Jean-Paul Champagne et Jean-Guy Rodrigue. | |
P015/F,01.009 | Mois de l'entreprise lavalloise | |
P015/F,01.010 | Dévoilement du monument Louis-Joseph Papineau - Assemblée nationale - 12 décembre 2002 Bernard Landry et Jean-Paul Champagne en compagnie de descendants de Louis-Joseph Papineau. Collection Claude Lachance | |
P015/F,01.011 | Portrait de Jean-Paul Champagne | |
P015/F,01.012 | Jean-Paul Champagne et René Lévesque | |
P015/F,01.013 | Jean-Paul Champagne et René Lévesque | |
P015/F,01.014 | Visite du barrage Laforge 2 Baie James, Hiver 2000 Avec les cadres d'Hydro-Québec et Claude Demers. | |
P019/A,09.01 | Représentants du service hydrographique du Canada présentant une maquette de la Rivière des Prairies | |
P019/A,17.01 | Membres de l'Association pour l'aménagement de la rivière des Prairies | |
P019/A,17.02 | Membres de l'Association pour l'aménagement de la rivière des Prairies | |
P019/A,17.03 | Membres de l'Association pour l'aménagement de la rivière des Prairies | |
P019/A,17.04 | Membres de l'Association pour l'aménagement de la rivière des Prairies | |
P019/A,17.05 | Membres de l'Association pour l'aménagement de la rivière des Prairies | |
P019/A,17.06 | Travaux effectués par le groupe Dessau inc. dans la rivière des Prairies | |
P019/A,17.07 | Travaux effectués par le groupe Dessau inc. dans la rivière des Prairies | |
P019/A,17.08 | Travaux effectués par le groupe Dessau inc. dans la rivière des Prairies | |
P019/A,17.09 | Travaux effectués par le groupe Dessau inc. dans la rivière des Prairies | |
P019/A,17.10 | Travaux effectués par le groupe Dessau inc. dans la rivière des Prairies | |
P019/A,17.11 | Travaux effectués par le groupe Dessau inc. dans la rivière des Prairies | |
P019/A,17.12 | Travaux effectués par le groupe Dessau inc. dans la rivière des Prairies | |
P019/A,17.13 | Travaux effectués par le groupe Dessau inc. dans la rivière des Prairies | |
P019/A,17.14 | Travaux effectués par le groupe Dessau inc. dans la rivière des Prairies | |
P019/A,17.15 | Travaux effectués par le groupe Dessau inc. dans la rivière des Prairies | |
P019/A,17.16 | Travaux effectués par le groupe Dessau inc. dans la rivière des Prairies | |
P019/A,17.17 | Travaux effectués par le groupe Dessau inc. dans la rivière des Prairies | |
P019/A,17.18 | Travaux effectués par le groupe Dessau inc. dans la rivière des Prairies | |
P019/A,17.19 | Chemin asphalté menant à une résidence près de la rivière des Prairies | |
P019/A,17.20 | Travaux effectués par le groupe Dessau inc. dans la rivière des Prairies | |
P019/A,17.21 | Travaux effectués par le groupe Dessau inc. à la rivière des Prairies | |
P019/A,17.22 | Travaux effectués par le groupe Dessau inc. à la rivière des Prairies | |
P019/A,17.23 | Travaux effectués par le groupe Dessau inc. à la rivière des Prairies | |
P019/A,17.24 | Grue du groupe Dessau Inc. devant une résidence près de la rivière des Prairies | |
P019/A,17.25 | Grue du groupe Dessau Inc. passant sur l'entrée asphaltée d'une résidence près de la rivière des Prairies | |
P019/A,17.26 | Grue du groupe Dessau Inc. sur la route | |
P019/A,17.27 | Grue du groupe Desseau Inc. effectuant des travaux sur la route | |
P024/B1,02.001 | Coupure du ruban officiel en présence d'invité. De gauche à droite : infirmière non identifiée ; Cécile L. Dagenais ; non identifié ; non identifié ; Hélène Smith (garde-malade auxiliaire). (27 avril 1963) | |
P024/B1,02.002 | Remise de bouquets de fleurs. De gauche à droite : Irénée Bastien ; Cécile L. Dagenais ; Dr. Roch Hébert ; autres personnes non identifiées. (27 avril 1963) | |
P024/B1,02.003 | Allocutions lors du souper. De gauche à droite : non identifié ; Cécile L. Dagenais ; Irénée Bastien ; Dr. Roch Hébert ; Hector L. Bertrand ; autres personnes non identifiées. (27 avril 1963) | |
P024/B1,02.004 | Allocutions lors du souper. De gauche à droite : non identifié ; Cécile L. Dagenais ; Irénée Bastien ; Dr. Roch Hébert ; Hector L. Bertrand. (27 avril 1963) | |
P024/B1,02.005 | Table d'honneur. De gauche à droite : non identifiée ; non identifié ; Cécile L. Dagenais ; Dr. Roch Hébert. (27 avril 1963) | |
P024/B1,02.006 | Allocutions lors du souper. De gauche à droite : non identifié ; Cécile L. Dagenais ; Hector L. Bertrand ; Dr. Roch Hébert. (27 avril 1963) | |
P024/B1,02.007 | Allocutions lors du souper. De gauche à droite : non identifié ; Cécile L. Dagenais ; Dr. Roch Hébert. (27 avril 1963) | |
P024/B1,02.008 | Cérémonie de bénédiction de l'hôpital. De gauche à droite : Cécile L. Dagenais ; religieux non identifié ; autres personnes non identifiées ; Dr. Roch Hébert (à l'extrême droite). (27 avril 1963) | |
P024/B1,02.009 | Cérémonie de bénédiction de l'hôpital. De gauche à droite : non identifiée ; Dr. Roch Hébert ; autres personnes non identifiées ; Cécile L. Dagenais (à l'extrême droite). (27 avril 1963) | |
P024/B1,02.011 | Allocutions lors de la cérémonie de bénédiction de l'hôpital. De gauche à droite : trois hommes non identifiés ; Cécile L. Dagenais ; Sylvie Degen ; Denise Ouimet. (27 avril 1963) | |
P024/B1,02.012 | Cérémonie de bénédiction de l'hôpital, bénédiction des chambres. Cinq personnes non identifiées : deux patientes, un religieux, une infirmière et un garçon. (27 avril 1963). | |
P024/B1,16.001 | Édifice plusieurs années après les rénovations de 1963. [197-?] | |
P024/B1,16.002 | Salle d'obstétrique Photographie d'une infirmière en présence d'une étudiante en formation. Personnes non identifiées. [après 1963] Photographie prise par Marcel Simard, 191 boul. Je me souviens, St-Rose de Laval | |
P024/B1,16.003 | Édifice avant les rénovations Trois portes de garage. Porte avant et fenêtres au sous-sol absentes. Identification de l'hôpital sur un panneau à l'angle des murs nord-ouest accompagné de huit panneaux de commanditaires. [avant 1963] | |
P024/B1,16.004 | Édifice après les rénovations Portes de garages condamnées et garages convertis en locaux. Indentification du bâtiment sur la façade en lettres soudées. Peinture extérieure refaite et nouvelle porte à l'entrée principale. [après 1963] | |
P024/B1,16.005 | Édifice après les rénovations. Photographie prise avant la photographie P24/B1,16.04. Élément de référence; Arbre dans le terre-plein absent. [après 1963] | |
P024/B1,16.006 | Réunion du conseil d'administration Première rangée, de gauche à droite : Dr. Jean-Bernard Lesage ; Dr. Lambert ; Sylvie Degen ; Jean-Paul Deslierres ; Cécile L. Dagenais ; Dr. Roch Hébert ; Olier Payette. Deuxième rangée, de gauche à droite : Guy St-Antoine ; non identifié ; Marcel Côté ; Jacques Catudal ; non identifié ; non identifié ; René Lemire (finances). [ca 1967] | |
P024/B1,16.007 | Réunion du conseil d'administration De gauche à droite : Dr. Jean-Bernard Lesage ; Dr. Lambert ; Sylvie Degen ; Jean-Paul Deslierres ; Cécile L. Dagenais ; Dr Roch Hébert ; Olier Payette. [ca 1967] | |
P024/B1,16.008 | Photographie de groupe dans une chambre à deux lits. De gauche à droite : Curé Eugène Poirier (Bois-des-Filions) ; Dr. Jean-Bernard Lesage (chef en chirurgie) ; Dr. Roch Hébert (médecin) ; Religieux ; Religieux ; Georges-Édouard Séguin (Religieux 1952-1959) ; Cécile L. Dagenais ; Léopold Pouliot (député de Laval - Union National) ; Dr. Avila Desroches ; Dr. Michel Lambert ; Jean-Rodrigue Bourdages (député Conservateur de Laval en 1958) ; autres personnes non identifiées. (27 avril 1963) | |
P024/B1,16.009 | Le Service de Radiologie Un policier et deux infirmières, dont Cécile L. Dagenais, préparant un jeune patient admis au service des urgences pour un poignet cassé. (27 avril 1963) | |
P024/B1,16.010 | Le Service de Radiologie Y apparaissent : Deux techniciennes à la radiologie préparant un jeune patient admis au service des urgences pour un poignet cassé. (27 avril 1963) | |
P024/B1,16.011 | Le Service de Radiologie Y apparaissent : Une technicienne en radiologie glissant une plaque de métal pour la prise de rayons-x sous le coude d'un jeune patient admis au service des urgences pour un poignet cassé. (27 avril 1963) | |
P024/B1,16.012 | Le service des Urgences Y apparaissent : Le Dr. Roch Hébert (extrême droite) en compagnie d'un jeune patient admis au service d'urgence pour un poignet cassé et deux infirmières du service. (27 avril 1963) | |
P024/B1,16.013 | Le service des Urgences Y apparaissent : Le Dr. Roch Hébert qui fabrique un plâtre pour un poignet cassé à un jeune patient admis au service des urgences et deux infirmières du service. (27 avril 1963) | |
P024/B1,16.014 | Salle d'opération On y voit le matériel et le lit utilisé lors d'une intervention chirurgicale. Trois infirmières/auxiliaires préparent la salle. [après 1963] | |
P024/B1,16.015 | Le service d'hospitalisation Y apparaissent : Deux employées et deux patientes hospitalisées, non identifiées dans une chambre commune. (27 avril 1963) | |
P024/B1,16.016 | Le poste des infirmières au rez-de-chaussée Y apparaissent : Deux infirmières non identifiées. (27 avril 1963) | |
P024/B1,16.017 | Le poste des infirmières au premier étage Y apparaissent : Une infirmière et une employée non identifiées. (27 avril 1963) | |
P024/B1,16.018 | Les services d'hospitalisation Y apparaissent : Une patiente recevant les soins d'une infirmière. Personne non identifiées. (27 avril 1963) | |
P024/B1,16.019 | Salon des étudiantes Y apparaissent : Quatre étudiantes non identifiées sont assises au salon réservé aux étudiantes en internat de l'école des garde-malades auxiliaires de l'hôpital général de Ste-Rose. (27 avril 1963) | |
P024/B1,16.020 | Les comptes recevables Y apparaît : Jeanne Lahaie épouse d'Ernest Lalande (beau-frère de Cécile L Dagenais et bibliothécaire) (27 avril 1963) | |
P024/B1,16.021 | Les comptes payables Y apparait : Mademoiselle Fernande Lalande. (27 avril 1963) | |
P024/B1,16.022 | Les archives médicales Y apparait : Norma Lebrun au traitement des dossiers médicaux et des statistiques. (27 avril 1963) | |
P024/B1,16.023 | Le secrétariat Y apparait : Claudette Filion. (27 avril 1963) | |
P024/B1,16.024 | Salle de cuisine Y apparaissent : Des employées non identifiées en cours de préparation d'un repas. (27 avril 1963) | |
P024/B1,16.025 | Les services de garde Y apparaissent : Dr. Roch Hébert (extrême droite) discutant avec le médecin de garde en présence de deux employées et un homme non identifié. [après 1963] | |
P024/B1,16.026 | La pouponnière Y apparaissent : Une infirmière s'occupant d'un nouveau-né. Les couchettes en fer ont été remplacées par des couchettes modernes. [après 1963] | |
P024/B1,16.027 | Chambre semi-privée Y apparaissent : Deux patientes non identifiées, alitées. [après 1963] | |
P024/B1,16.028 | Salle d'obstétrique On y voit le matériel et le lit utilisé lors d'un accouchement. [après 1963] | |
P024/B1,16.029 | Salle d'opération On y voit le matériel et le lit utilisé lors d'une intervention chirurgicale. [après 1963] | |
P024/B1,16.030 | Salle d'opération Vue d'une autre angle de la photographie. On y voit les instruments médicaux, les produits pharmaceutiques, le matériel et le lit utilisé lors d'une intervention chirurgicale. [après 1963] | |
P024/B1,16.031 | Salle d'examen à l'urgence On y voit un lit, un comptoir avec lavabo et quelques instruments. [après 1963] | |
P024/B1,16.032 | Salle de réveil On y voit deux lits utilisés lors du réveil des patients ayant subi une intervention chirurgicale. [après 1963] | |
P024/B1,16.033 | Salle de radiologie On y voit la table de radiologie et l'appareil permettant la photographie de la structure interne du corps à l'aide de rayon X. [après 1963] | |
P024/B1,16.034 | Salle de radiologie Photo P24/B1,16.33, mais plus en retrait. On y voit la table de radiologie et l'appareil permettant la photographie de la structure interne du corps à l'aide de rayon X. [après 1963] | |
P024/B1,16.035 | Salle de classe de l'école des Gardes-Malade Auxiliaires de l'Hôpital général de Ste-Rose. Y apparaissent : Denise Ouimet (à droite) et des étudiantes non identifiées en cours magistral. (27 avril 1963) | |
P024/B1,16.036 | Local aménagé pour les médecins qui travaillent à l'hôpital. [après 1963]. Tirage photographique: n&b | |
P024/B1,16.037 | Deux gardes-malade auxiliaires Y apparaissent : Deux gardes-malade auxiliaires non identifiées assises sur deux lits dans une chambre réservée aux internes de l'hôpital. [après 1963] (La femme à droite de l'image serait Céline Marchand, infirmière-étudiante vers 1965). | |
P024/B1,16.038 | Congrégation religieuse Y apparaissent : Deux soeurs d'une congrégation religieuse en compagnie de Cécile L. Dagenais (au centre). Soeur Jean-Baptiste Dagenais (laquelle ?) l'autre non identifiée. [après 1963] | |
P024/B1,16.039 | Visite de l'hôpital lors de l'inauguration officielle Visite de l'hôpital : Photographie commandée par un journal local, des invités à l'inauguration officielle prise dans le local de cuisine au sous-sol de l'hôpital. Y apparaissent : Bernard Lesage (à droite) et des personnes non identifiées. (27 avril 1963) | |
P024/B1,16.040 | Visite de l'hôpital lors de l'inauguration officielle Visite de l'hôpital : Photographie, commandée par l'éditeur d'un journal local, des invités à l'inauguration officielle prise dans le corridor au moment d'une présentation faite par l'aumônier de l'hôpital. Y apparaissent : de gauche à droite : Pierre Barrette ; Épouse de Fernando Villemaire ; Jacques Catudal ; Monique Villemaire Barrette ; Denise St-Antoine (épouse de Guy St-Antoine) ; Hector L. Bertrand (Fondateur de l'école supérieur d'administration des Hôpitaux) ; Épouse du Dr. Paiement ; trois personnes non identifiées ; L'Abbé Fernand Proulx (aumônier). (27 avril 1963) | |
P024/B1,16.041 | Visite de l'hôpital lors de l'inauguration officielle Photographie, commandée par l'éditeur d'un journal local, des invités assis à la table d'honneur lors du souper de l'inauguration officielle de l'hôpital. Photo prise à extrême gauche de la table d'honneur. De gauche à droite : non identifiée ; Bernard Lesage ; Monique Villemaire ; Olier Payette; non identifiée. (27 avril 1963) | |
P024/B1,16.042 | Visite de l'hôpital lors de l'inauguration officielle Photographie, commandée par l'éditeur d'un journal local, des invités assis à la table d'honneur lors du souper de l'inauguration officielle de l'hôpital. Photo prise au centre de la table d'honneur. De gauche à droite : Dr. Roch Hébert ; Hector L. Bertrand ; Épouse du Dr. Roch Hébert ; non identifiée ; Bernard Lesage. (27 avril 1963) | |
P024/B1,16.043 | Visite de l'hôpital lors de l'inauguration officielle Photographie, commandée par l'éditeur d'un journal local, des invités assis à la table d'honneur lors du souper de l'inauguration officielle de l'hôpital. Photo prise à extrême droite de la table d'honneur. De gauche à droite : non identifié ; Denise St-Aubin ; non identifié ; soeur d'Olier Payette ; Pierre Barrette. (27 avril 1963) | |
P024/B1,16.044 | Visite de l'hôpital lors de l'inauguration officielle Photographie, commandée par l'éditeur d'un journal local, des convives non identifiés qui dansent et jasent après le souper de l'inauguration officielle de l'hôpital. (27 avril 1963) | |
P024/B1,16.045 | Soirée de l'inauguration officielle De gauche à droite : Dr. Jean-Bernard Lesage ; Sylvie Degen; Dr. Roch Hébert; Cécile L. Dagenais; Dr. J. M Lambert; Denise Ouimet. (27 avril 1963) | |
P024/B1,16.046 | Soirée de l'inauguration officielle De gauche à droite : non identifié ; Cécile L. Dagenais; Arthur Matteau; non identifié ; Jean-Paul Deslierres. (27 avril 1963) | |
P024/B1,16.047 | Soirée de l'inauguration officielle De gauche à droite : Dr. Jean-Bernard Lesage; Sylvie Degen; Dr. Roch Hébert; Cécile L. Dagenais; Dr. J. M Lambert; Denise Ouimet. Photographie P24/B1,16.45 en plus petit. (27 avril 1963) | |
P024/B1,16.048 | Soirée de l'inauguration officielle De gauche à droite : Jean-Paul Deslierres; 3 personnes non identifiées. (27 avril 1963) | |
P024/B1,16.049 | Soirée de l'inauguration officielle De gauche à droite : Dr. J. -M. Lambert; Jean-Paul Deslierres ; deux personnes non identifiées. (27 avril 1963) | |
P024/B1,16.050 | Soirée de l'inauguration officielle De gauche à droite : Dr. Jean-Bernard Lesage ; Sylvie Degen; Dr. Roch Hébert ; Cécile L. Dagenais ; Dr. J.-M. Lambert ; Jean-Paul Deslierres ; Denise Ouimet ; garçon non identifié. (27 avril 1963) | |
P024/B1,16.051 | Soirée de l'inauguration officielle On y voit : Plusieurs invités au souper de l'inauguration. Ont été identifiés : Paul Desrochers ( 1 er à gauche); Cécile L. Dagenais ( 3e à partir de la gauche); Aimé Beauregard ( 7e à partir de la gauche). (27 avril 1963) | |
P024/B1,16.052 | Soirée de l'inauguration officielle Discours lors du souper de l'inauguration officielle. Y apparaissent : Dr. Jean-Bernard Lesage. (27 avril 1963) | |
P024/B1,16.053 | Communications Photographies d'acteurs au sein de l'hôpital destinées aux publications. Y apparait : Jean-Paul Deslierres. [ca 1963] | |
P024/B1,16.054 | Communications Photographies d'acteurs au sein de l'hôpital destinées aux publications. Y apparait : Iréné Bastien (Commerçant de Ste-Rose). [ca 1963] | |
P024/B1,16.055 | Communications Photographies d'acteurs au sein de l'hôpital destinées aux publications. Y apparait : Jacques Lauzon. [ca 1963] | |
P024/B1,16.056 | Communications Photographies d'acteurs au sein de l'hôpital destinées aux publications. Y apparait : Cécile L. Dagenais, directrice et fondatrice de l'hôpital. [ca 1963] | |
P024/B1,16.057 | Communications Photographies d'acteurs au sein de l'hôpital destinées aux publications. Y apparait : Dr. Denis Gauthier (Représentant au conseil des Médecins). [ca 1963] | |
P024/B1,16.058 | Communications Photographies d'acteurs au sein de l'hôpital destinées aux publications. Y apparait : René Lemire (finances) [ca 1963] | |
P024/B1,16.059 | Communications Photographies d'acteurs au sein de l'hôpital destinées aux publications. Y apparait : Arthur Matteau (conseiller en relations industrielles). [ca 1963] | |
P024/B1,16.060 | Communications Photographies d'acteurs au sein de l'hôpital destinées aux publications. Y apparait : Arthur Matteau (conseiller en relations industrielles). [ca 1963] | |
P024/B1,16.061 | Communications Photographies d'acteurs au sein de l'hôpital destinées aux publications. Y apparait : Dr. Michel J. Lambert (bureau: 204, boul. Ste-Rose, en 1958. [ca 1963] | |
P024/B1,16.062 | Communications Photographies d'acteurs au sein de l'hôpital destinées aux publications. Y apparait : Dr. Olier Payette (dernier maire de Ste-Rose). [ca 1963] | |
P024/B1,16.063 | Communications Photographies d'acteurs au sein de l'hôpital destinées aux publications. Y apparait : Sylvie Degen (Infirmière licenciée, Bras droit de Cécile L. Dagenais, secrétaire au conseil d'administration). [ca 1963] | |
P024/B1,16.064 | Cécile L. Dagenais, fondatrice et directrice de l'hôpital Sainte-Rose [ca 1967]. | |
P024/B1,16.065 | Communications Photographies d'acteurs au sein de l'hôpital destinées aux publications. Y apparait : Jean-Paul Deslierres. [ca 1963] | |
P024/B1,16.066 | Bureau de la direction de l'hôpital Y apparait : Cécile L. Dagenais (Directrice-Fondatrice). [après 1963] | |
P024/B1,16.067 | Communications Photographies d'acteurs au sein de l'hôpital destinées aux publications. Y apparait : Dr. Roch Hébert (secrétaire du bureau médical de la corporation de l'hôpital - décédé à 58 ans adresse clinique : 148 boul. Ste-Rose). [ca 1963] | |
P024/B1,16.068 | Communications Photographies d'acteurs au sein de l'hôpital destinées aux publications. Y apparait : Me. Claude Leblanc. [ca 1963] | |
P024/B1,16.069 | Photographie de l'immeuble sis au 147 Rue du Plateau-Ouimet, angle Roi du Nord ayant accueilli le premier hôpital général de Ste-Rose et l'école des Gardes-Malade auxiliaires de l'hôpital général de Ste-Rose du 10 novembre 1957 au 26 avril 1963, Comptait 25 lits. En 2007, cet immeuble servait de résidence privée pour personnes âgées. [ca 1963] | |
P024/B1,16.070 | Communication Photographies d'acteurs au sein de l'hôpital destinées aux publications. Y apparait : Hector L. Bertrand (Jésuite et Fondateur de l'École supérieure d'administration des Hôpitaux. [ca 1963] | |
P024/B1,16.071 | Communications Photographies d'acteurs au sein de l'hôpital destinées aux publications. Y apparait : Dr. Jean-Bernard Lesage (premier président du bureau médicale et chirurgien en chef). [ca 1963] | |
P024/B1,16.072 | Communications Y apparait : Dr. Lucien Paiement (Maire de Laval 1973 à 1981 et Photographies d'acteurs au sein de l'hôpital destinées aux publications. Président du Comité de La Santé de Laval, 1967 et après). [ca 1963] | |
P024/B1,16.073 | Communications Photographies d'acteurs au sein de l'hôpital destinées aux publicationsY apparait : Guy St-Antoine (directeur des relations extérieures). [ca 1963] | |
P024/B1,16.074 | Communications Photographies d'acteurs au sein de l'hôpital destinées aux publicationsY apparait : Jacques Catudal (Membre de la Corporation de l'hôpital). [ca 1963] | |
P024/B1,16.075 | Photographie souvenir Y apparait : Ministre Claude Castonguay, Ministre des Affaires Sociales. [ca 1963] | |
P024/B1,16.076 | Communications hotographies d'acteurs au sein de l'hôpital destinées aux publications. Y apparait : Dr. Gilles Poirier (Président du bureau médical). [ca 1963] | |
P024/B1,16.077 | La pouponnière Y apparaissent : Cécile L. Dagenais, directrice et fondatrice de l'hôpital et deux nouveau-nés emmaillotés dans leur couchette. (27 avril 1963). | |
P024/B1,16.078 | Cécile L. Dagenais, directrice et fondatrice de l'hôpital Sainte-Rose Cécile L. Dagenais, à droite, en compagnie d'une infirmière, à l'hôpital Sainte-Rose, à Sainte-Rose. Années 1960. Tirage photographique: coul. | |
P024/B1,16.079 | Cécile L. Dagenais, directrice et fondatrice de l'hôpital Sainte-Rose Cécile L. Dagenais, à l'hôpital Sainte-Rose, à Sainte-Rose. Années 1960. Tirage photographique: coul. | |
P024/B1,16.080 | Infirmières réunies à l'hôpital Sainte-Rose Un groupe de huit infirmières est réuni à l'hôpital Sainte-Rose, à Sainte-Rose. Années 1960. Tirage photographique: coul. | |
P024/B1,16.081 | Cécile L. Dagenais, directrice et fondatrice de l'hôpital Sainte-Rose Cécile L. Dagenais dans son bureau à l'hôpital Sainte-Rose, à Sainte-Rose. Années 1960. Tirage photographique: n&b | |
P024/B1,16.082 | Cécile L. Dagenais, directrice et fondatrice de l'hôpital Sainte-Rose Cécile L. Dagenais à la réception de l'hôpital Sainte-Rose, à Sainte-Rose. Années 1960. Tirage photographique: n&b | |
P024/B1,16.083 | Conseil d'administration de l'hôpital Sainte-Rose On reconnaît, au centre, Cécile L. Dagenais qui pose en compagnie de membres du conseil d'administration, à Sainte-Rose. Années 1960. Tirage photographique: n&b | |
P024/B1,16.084 | Conseil d'administration de l'hôpital Sainte-Rose On reconnaît, deuxième depuis la droite, Cécile L. Dagenais, qui pose en compagnie de membres du conseil d'administration, à Sainte-Rose. Années 1960. Tirage photographique: n&b | |
P024/B1,16.085 | L'hôpital Sainte-Rose, à Sainte-Rose Décor estival. Années 1960. Tirage photographique: n&b | |
P024/B1,16.086 | Cécile L. Dagenais auprès d'une patiente Cécile L. Dagenais, à droite, et une infirmière, sont au chevet d'une patiente, à l'hôpital Sainte-Rose, à Sainte-Rose. Années 1960. Tirage photographique: coul. | |
P024/B1,16.087 | Cécile L. Dagenais à son bureau Cécile L. Dagenais, à son bureau de l'hôpital Sainte-Rose, à Sainte-Rose. Années 1960. Tirage photographique: n&b | |
P024/B1,2.010 | Cérémonie de bénédiction de l'hôpital. De gauche à droite : religieux non identifié ; servant de cérémonie non identifié ; Cécile L. Dagenais. (27 avril 1963) | |
P024/B2,01.001 | Graduation Restaurant Ste-Rose, Salle Marine. Remise de prix à la réception d'honneur des premières diplômées de l'école. De gauche à droite : Dr. Roger Vaillancourt ; Hélène Smith ; Pierrette Charbonneau ; Denise Ouimet. (14 juin 1964) | |
P024/B2,01.002 | Graduation Restaurant Ste-Rose, Salle Marine. Discours de Cécile L. Dagenais précédant le souper d'honneur des premières diplômées. Y apparaissent : Cécile L. Dagenais (au micro) ; Michel Lalande (son fils) ; Dr. Roch Hébert et son épouse Rosilda Hébert ; Hélène Smith ; Pierrette Charbonneau. (14 juin 1964) | |
P024/B2,01.003 | Graduation Église Ste-Rose. Cérémonie religieuse en l'honneur des premières diplômées. De gauche à droite : l'abbé Fernand Proulx (aumônier de l'hôpital) ; Hélène Smith (diplômée). (14 juin 1964) | |
P024/B2,01.004 | Graduation Église Ste-Rose. Cérémonie religieuse en l'honneur des premières diplômées. De gauche à droite : l'abbé Fernand Proulx (aumônier de l'hôpital) ; Pierrette Charbonneau (diplômée). (14 juin 1964) | |
P024/B2,01.005 | Graduation Église Ste-Rose. Cérémonie religieuse en l'honneur des premières diplômées. De gauche à droite : l'abbé Fernand Proulx (aumônier de l'hôpital) ; Pierrette Charbonneau ; Denise Ouimet (recevant un cadeau). (14 juin 1964) | |
P024/B2,01.006 | Graduation Église Ste-Rose. Cérémonie religieuse en l'honneur des premières diplômées. De gauche à droite : l'abbé Fernand Proulx (aumônier de l'hôpital) ; Hélène Smith ; Pierrette Charbonneau ; Denise Ouimet (nouvelles diplômées). (14 juin 1964) | |
P024/B2,01.007 | Graduation . Église Ste-Rose. Cérémonie religieuse en l'honneur des premières diplômées. Y apparaissent : les diplômées et les invités debout devant les bancs d'église. (14 juin 1964) | |