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Images concernant «droit» : Sujet  26 / 0

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Maison située au 208, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose
C001/A2,06.183

Maison située au 208, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose
Vue de la façade et du côté droit d'une maison traditionnelle québécoise, construite, peut-être vers 1830, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Une affiche au contenu illisible est accrochée près de la porte. Cette maison a accueilli le bureau d'enregistrement des municipalités de l'île Jésus, aménagé dans la résidence du notaire F.-X. Léonard (section avec la toiture à deux versants). En 1961, la Caisse Populaire de Sainte-Rose en quête de plus grands locaux déménage dans la bâtisse. Cette maison fut également la demeure de la famille Jean Drapeau. Depuis 2009, ou avant, la bâtisse est occupée par une étude de notaires. Décor verdoyant. Photographe : D. Léonard, Montréal. Date inconnue. Tirage photographique, n&b.

Il s'agit d'une maison de plan rectangulaire d'un étage et demi en maçonnerie recouverte d,un crépi et portant un toit à deux versants retroussés en en tôle à baguette. En façade, le rez-de-chaussée est percé d'une porte flanquée de deux fenêtres. Le mur droit est percé de quatre fenêtres (dont trois sont visibles) au rez-de-chaussée et de deux sous les combles. Sur la gauche, un autre bâtiment jouxte la maison.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0208).
Maison située au 238, 238A et 238B, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.186

Maison située au 238, 238A et 238B, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Vue d'ensemble de la façade d'une maison qui témoigne de l'éclectisme victorien en vogue des années 1880 aux années 1920 au Québec. Celle-ci fut bâtie entre 1903 et 1911. Félix Labelle, contracteur et maire du village de Sainte-Rose, achète le terrain, vacant, en 1903 et 1904. Celui-ci est ensuite offert en cadeau de mariage à sa fille Augustine Labelle qui épouse le médecin Napoléon Plouffe en 1903. Une maison y est construite qui servira de résidence d'été à Augustine. En 1911, cette dernière, maintenant veuve de Napoléon Plouffe, vend la maison à Régine Gougeon, épouse de Joseph O. Trudel. Par la suite, plusieurs occupants se succèdent. En 1965, la maison est louée par les propriétaires actuels, les notaires Vaillancourt qui l'achètent en 1974 et l'occupent encore aujourd'hui, en 2020. Décor hivernal. Date inconnue. Tirage photographique n&b.

Informations tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0238).
Carte partielle des lots du comté des Deux-Montagnes
P079/B,08.112

Carte partielle des lots du comté des Deux-Montagnes
Détail d'un plan qui montre les lotissements des paroisses de Sainte-Scholastique, Saint-Canut, Saint-Jérôme et Sainte-Monique. 1969. Photographe: Germain Beauchamp. Négatif, n&b,

Autre format: tirage photographique; 12,5 x 17,5 cm
Entrée principale du pénitencier Saint-Vincent-de-Paul.
P080/A1.013

Entrée principale du pénitencier Saint-Vincent-de-Paul.
Vue de l'entrée du pénitencier sur la montée Saint-François. Sur la gauche, on distingue un mirador et le mur d'enceinte et, au centre, l'ancien couvent des Dames du Sacré-Coeur. Décor estival. Vers 1920. Carte postale, n&b.
Entrée principale du pénitencier Saint-Vincent-de-Paul.
P080/A1.014

Entrée principale du pénitencier Saint-Vincent-de-Paul.
Vue partielle du mur d'enceinte et de la façade de l'ancien couvent des Dames du Sacré-Coeur sur la montée Saint-François. Sur la gauche, un gardien, armé d'une carabine qu'il tient à la main, longe le mur du pénitencier. Plus loin, un groupe de quatre personnes approchent de l'ancien couvent devant lequel est planté un poteau électrique. En avant-plan, une partie de la monté Saint-François. Décor estival. 1919. Carte postale, n&b.
La montée Saint-François et le pénitencier Saint-Vincent-de-Paul.
P080/A1.015

La montée Saint-François et le pénitencier Saint-Vincent-de-Paul.
Vue de la montée Saint-François qui longe, sur la gauche, le Club des 4 tours et son court de tennis (en avant-plan), ainsi que le pénitencier et, sur la droite, l'Hôtel central, propriété de P. Mathieu, qui possédait des écuries. Sur la carte on peut lire «Rue du Pénitencier - 1923». À l'endos, on peut lire «O. Allard, artiste-photographe,1557, Mont-Royal Est, Montréal». Décor estival. 1923. carte postale, sépia.
Pénitencier de Saint-Vincent-de-Paul.
P080/A1.019

Pénitencier de Saint-Vincent-de-Paul.
Vue en direction nord-ouest du bloc principal du pénitencier Saint-Vincent-de-Paul. On distingue la partie centrale, trois ailes qui s'étirent vers le sud, et le mur d'enceinte sud-est en avant-plan. Sur la droite, on peut voir l'ancient couvent des Dames du Sacré-Coeur, et sur la gauche, en arrière-plan, la porcherie du pénitencier. Décor estival. Carte postale, n&b.
Pénitencier de Saint-Vincent-de-Paul.
P080/A1.020

Pénitencier de Saint-Vincent-de-Paul.
Vue de la façade nord-est du pénitencier. À gauche, l'ancient couvent des Dames du Sacré-Coeur et les bâtiments le jouxtant. À droite, le mur d'enceinte nord-ouest, et le mirador ouest. En avant-plan, sur la droite, on peut voir l'extrémité d'un porche et un jardinet clôturé appartenant à la résidence des gardiens située sur la montée Saint-François. Décor dépouillé. Vers 1910, avant l'incendie du 26 février 1914. Carte postale, n&b.
Logements pour employés du pénitencier Saint-Vincent-de-Paul.
P080/A1.021

Logements pour employés du pénitencier Saint-Vincent-de-Paul.
Situées sur la montée Saint-François, ces habitations servaient à loger des employés du pénitencier dont messieurs Latour, Temlen, Hogue, Payne, Dupuis, Barbeau, Godin, Jobin, Major, Hallé, Roy, Laporte et Piché. Ces habitations furent détruites après l'évasion du 4 février 1961. Décor verdoyant. Vers 1910. Carte postale, sépia.

Voir aussi P080/A1.009.
Logis des fonctionnaires du pénitencier Saint-Vincent-de-Paul.
P080/A1.022

Logis des fonctionnaires du pénitencier Saint-Vincent-de-Paul.
Vue en plongée sur les logements des gardiens du pénitencier situés près du mirador nord sur la montée Saint-François. Derrière le bâtiment on peut voir la cheminée et la chaufferie du pénitencier. Sur la photographie on peut lire «Site Picture between New Admin. Bldg. & Block Hi & H8, St Vincent de Paul Penitentiary, 20 Nov. 56». Sur une affichette placée sous la photographie, on peut lire «habitations des fonctionnaires, Prise d'otage de la femme d'uun fonctionnaire, 4 février 1961». Décor dépouillé. Novembre 1956. Photographie, sépia.
Pénitencier de Saint-Vincent-de-Paul.
P080/A1.023

Pénitencier de Saint-Vincent-de-Paul.
Vue en plongée de la partie sud du pénitencier. On peut voir, en arrière-plan, l'ancien couvent des Dames du Sacré-Coeur, et la chaufferie du pénitencier. Vers 1950. Carte postale, n&b.
Pénitencier Saint-Vincent-de-Paul.
P080/A1.024

Pénitencier Saint-Vincent-de-Paul.
Vue en plongée de la partie sud-est de l'enceinte. On peut voir, en avant-plan, une aire clôturée que surplombe le mirador est. Plus loin, à l'est, on discerne les contours du Centre fédéral de formation. Décor estival. Vers 1950. Carte postale, n&b.
Pénitencier Saint-Vincent-de-Paul.
P080/A1.025

Pénitencier Saint-Vincent-de-Paul.
Vue en plongée de la partie sud du pénitencier. On peut voir, en arrière-plan, l'ancien couvent des Dames du Sacré-Coeur, et la chaufferie du pénitencier. Vers 1950. Carte postale, sépia.

Voir aussi P080/A1.023.
Champ à culture, propriété du pénitencier Saint-Vincent-de-Paul.
P080/A1.100

Champ à culture, propriété du pénitencier Saint-Vincent-de-Paul.
Vue d'un champ appartenant au pénitencier dont on voit une partie du mur d'enceinte et un mirador, en 1906. À gauche, le Collège Laval, fondé en 1859. Copie tirée de l'Album universel, 27 janvier 1906, no.1136, p.1210; n&b.
Le pénitencier Saint-Vincent de Paul en 1906.
P080/A1.126

Le pénitencier Saint-Vincent de Paul en 1906.
Vue d'ensemble de la partie ouest du pénitencier avec le mur d'enceinte sud-ouest en avant-plan. 8 août 1906. Copie de carte postale; n&b.
La façade est du pénitencier Saint-Vincent-de-Paul sur la montée Saint-François, en 1919.
P080/A1.130

La façade est du pénitencier Saint-Vincent-de-Paul sur la montée Saint-François, en 1919.
Vue partielle du mur d'enceinte et de la façade de l'ancien couvent des Dames du Sacré-Coeur sur la montée Saint-François. Sur la gauche, un gardien, armé d'une carabine qu'il tient à la main, longe le mur du pénitencier. Plus loin, un groupe de quatre personnes approchent de l'ancien couvent devant lequel est planté un poteau électrique. En avant-plan, une partie de la montée Saint-François. Juillet 1919. Tirage photographique (copie); n&b.
Le pénitencier Saint-Vincent-de-Paul sur la montée Saint-François, en 1939.
P080/A1.131

Le pénitencier Saint-Vincent-de-Paul sur la montée Saint-François, en 1939.
Face extérieure du mur nord-est avec entrée monumentale. En avant-plan, le mirador nord et le portail en fer forgé sur lequel on pouvait lire «PENITENCIER ST VINCENT DE PAUL». Hiver 1939. Photographe : Madeleine Sigouin Labrecque. Tirage photographique; n&b.
Le portail du pénitencier Saint-Vincent-de-Paul.
P080/A1.132

Le portail du pénitencier Saint-Vincent-de-Paul.
Sur la montée Saint-François, portail à double arche en fer forgé sur lequel on peut lire «PENITENCIER ST VINCENT DE PAUL». À droite, on peut voir une partie du logement des guardiens. Décor estival. Date inconnue. Tirage photographique (copie): n&b
Gardiens du pénitencier Saint-Vincent-de-Paul posant devant le bloc carcéral
P080/A1.135

Gardiens du pénitencier Saint-Vincent-de-Paul posant devant le bloc carcéral
Les gardiens et leurs supérieurs, dont bon nombre arborent des décorations militaires, posent à l'intérieur de l'enceinte du pénitencier devant l'aile ouest du bloc principal. Au premier rang, au centre, on reconnaît le colonel Girouard, directeur du pénitencier à partir de 1921. Décor estival. Vers 1924. Tirage photographique (copie); n&b.
Émery Théorêt, garde au pénitencier Saint-Vincent-de-Paul.
P080/A1.137

Émery Théorêt, garde au pénitencier Saint-Vincent-de-Paul.
Émery Théorêt, époux d'Alexina Charbonneau, demeurait au 76, rue Saint-Étienne (aujourd'hui Place Jean-Eudes-Blanchard) à côté de la Caisse populaire. La maison fut démolie en 1978 pour faire place à un stationnement. En plus d'être garde, M. Théorêt était courrier de la poste (de la gare à la librairie Clermont), garde-chiens à l'église, et présentateur de films à la salle municipale où sa fille, Jeanne Théorêt Palin jouait du piano. Il était le grand-père de Daniel Théorêt, diacre à l'église Saint-Vincent-de-Paul. Date inconnue. Tirage photographique: n&b.
Portail du pénitencier Saint-Vincent-de-Paul.
P080/A1.163

Portail du pénitencier Saint-Vincent-de-Paul.
Sur la montée Saint-François, portail à double arche en fer forgé sur lequel on peut lire «PENITENCIER ST VINCENT DE PAUL». Un garde à cheval se tient sous l'une des arches. À droite, on peut voir une partie du logement des guardiens. Décor estival. Date inconnue. Tirage photographique: sépia.
Le principal hôtel de Saint-Vincent-de-Paul au début du 20e siècle.
P080/A1.167

Le principal hôtel de Saint-Vincent-de-Paul au début du 20e siècle.
Cet hôtel, plus tard l'hôtel Central, était situé au coin du boulevard Lévesque et de la montée Saint-François. Décor estival. Tiré de l'Album universel du 27 janvier 1906, no.1136, p.1210. Tirage photographique (copie): n&b.
Le pénitencier de Saint-Vincent-de-Paul au début du 20e siècle.
P080/A1.168

Le pénitencier de Saint-Vincent-de-Paul au début du 20e siècle.
Ici, le mur de ronde du pénitencier longe en partie la montée Saint-François. Décor estival. Tiré de l'Album universel du 27 janvier 1906, no.1136, p.1210.
L'entrée principale du pénitencier Saint-Vincent-de-Paul au début du 20e siècle.
P080/A1.169

L'entrée principale du pénitencier Saint-Vincent-de-Paul au début du 20e siècle.
Vue de l'entrée du pénitencier située sur la montée Saint-François à Saint-Vincent-de-Paul. Décor estival. Tiré de l'Album universel du 27 janvier 1906, no.1136, p.1210.
Visite d'une carrière à Saint-Vincent-de-Paul.
P080/A2,02.062

Visite d'une carrière à Saint-Vincent-de-Paul.
La présence d'un garde suggère qu'il s'agit peut-être de la carrière du pénitencier Saint-Vincent-de-Paul. Décor estival. [Années 1910]. Tirage photographique: n&b.
Infirmière du pénitencier Saint-Vincent-de-Paul.
P080/A2,02.064

Infirmière du pénitencier Saint-Vincent-de-Paul.
Une infirmière se tient devant le «bloc», une résidence abritant les familles d'employés du pénitencier, sur le côté ouest de la montée Saint-François, juste avant la voie ferrée. Décor automnal. Vers 1914. Tirage photographique: n&b.
Groupe de femmes à Saint-Vincent-de-Paul.
P080/A2,02.066

Groupe de femmes à Saint-Vincent-de-Paul.
Un groupe de dix femmes, dont une infirmière du pénitencier Saint-Vincent-de-Paul, se tient devant le «bloc», une résidence abritant les familles d'employés du pénitencier, sur le côté ouest de la montée Saint-François, juste avant la voie ferrée. À l'arrière, en robe blanche, on reconnaît Edmée Auclair (1897-1982), et à sa gauche, en manteau, sa future belle-soeur, Ernestine Bisson (1883-1964). Décor automnal. Vers 1914. Tirage photographique: n&b.
Infirmière du pénitencier Saint-Vincent-de-Paul.
P080/A2,02.067

Infirmière du pénitencier Saint-Vincent-de-Paul.
Une infirmière se tient devant le «bloc», une résidence abritant les familles d'employés du pénitencier, sur le côté ouest de la montée Saint-François, juste avant la voie ferrée. Décor automnal. Vers 1914. Tirage photographique: n&b.
Deux femmes à Saint-Vincent-de-Paul.
P080/A2,02.068

Deux femmes à Saint-Vincent-de-Paul.
Deux femmes, dont une infirmière du pénitencier Saint-Vincent-de-Paul, se tiennent devant le «bloc», une résidence abritant les familles d'employés du pénitencier, sur le côté ouest de la montée Saint-François, juste avant la voie ferrée. Décor automnal. Vers 1914. Tirage photographique: n&b.
Groupe de femmes à Saint-Vincent-de-Paul.
P080/A2,02.070

Groupe de femmes à Saint-Vincent-de-Paul.
Cinq femmes, dont une infirmière du pénitencier Saint-Vincent-de-Paul, se tiennent devant le «bloc», une résidence abritant les familles d'employés du pénitencier, sur le côté ouest de la montée Saint-François, juste avant la voie ferrée. Décor automnal. Vers 1914. Tirage photographique: n&b.
Groupe de femmes à Saint-Vincent-de-Paul.
P080/A2,02.072

Groupe de femmes à Saint-Vincent-de-Paul.
Un groupe de dix femmes, dont une infirmière du pénitencier Saint-Vincent-de-Paul, se tient devant le «bloc», une résidence abritant les familles d'employés du pénitencier, sur le côté ouest de la montée Saint-François, juste avant la voie ferrée. À l'arrière, en robe blanche, on reconnaît Edmée Auclair (1897-1982), et à sa gauche, en manteau, sa future belle-soeur, Ernestine Bisson (1883-1964). Décor automnal. Vers 1914. Tirage photographique: n&b.
Mariette Sigouin Poirier et Jeannine Auclair, à Saint-Vincent-de-Paul.
P080/A2,02.103

Mariette Sigouin Poirier et Jeannine Auclair, à Saint-Vincent-de-Paul.
Mariette Sigouin Poirier (1906-1997), en deuil de sa grand-mère Mathilde Gagnon Auclair (1856-1929), et la jeune Jeannine Auclair (1926-2010) sur la montée Saint-François. À gauche, le «bloc», résidence pour employés du pénitencier Saint-Vincent-de-Paul et, en arrière-plan, la voie ferrée. Décor dépouillé. 1929. Tirage photographique: n&b.
Portrait d'enfant.
P080/A2,02.336

Portrait d'enfant.
Jeannine Auclair (1926-2010) près du mur du pénitencier Saint-Vincent-de-Paul. Décor estival. 1929. Tirage photographique: n&b.

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