Liste des images pour le sujet «20e siècle.» | ||
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Image | No image | Titre |
![]() | C001/A2,04.07 | Maisons situées aux 5188 et 5190, et au 5192 et 5194, boulevard Lévesque Est, Saint-Vincent-de-Paul. Vue en enfilade de deux bâtiments résidentiels sis sur le boulevard Lévesque Est. Le bâtiment de gauche (5192-5194), est une maison à mansarde à deux versants, construite vers 1900, dans un style très en vogue en milieu rural au Québec entre 1875 et 1920. De forme rectangulaire, cette maison possède un étage et demi, au parement de planche à clins. La façade de ces deux logements contigus comprend deux portes et deux fenêtres au rez-de-chaussée, et trois lucarnes à pignon à l'étage supérieur. Le bâtiment de droite (5188-5190), de plan rectangulaire, possède deux étages, un parement en planches à clin, et un toit à deux versants droits. Chaque étage présente une porte et deux fenêtres. Ces appartements appartenaient à monsieur Fortin. Décor hivernal. Tirage photographique, coul. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Saint-Vincent-de-Paul LEVE_5192). |
![]() | C001/A2,04.08 | Maison située au 5164, boulevard Lévesque Est, Saint-Vincent-de-Paul. Vue de la façade et du côté droit d'une maison de type Boomtown, construite vers 1900, un style est en vogue au Québec de 1880 à 1930. On voit ici la variante avec toit en pente, fausse mansarde et lucarnes pendantes. Cette demeure appartenait à un monsieur Gagnon. Décor hivernal. Tirage photographique, coul. Il s'agit d'une maison de plan carré, de deux étages en planches à clins et au toit plat et fausse mansarde. En façade, le rez-de-chaussée est percée d'une porte et d'une fenêtre, l'étage, de deux fenêtres. Le côté droit, aveugle, montre une cheminée en tuyaux et une annexe à l'arrière. Une galerie, protégée par un toit en appentis, court le long de la façade et sur le côté gauche. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Saint-Vincent-de-Paul LEVE_5164). |
![]() | C001/A2,04.10 | Maison située au 5169, 5161, 5163, 5165, 5167 et 5169 boulevard Lévesque Est, Saint-Vincent-de-Paul. Vue de la façade d'un bâtiment résidentiel de 2 étages comportant six adresses civiques construit en 1921. De plan rectangulaire, le bâtiment présente une façade recouverte de crépi et un toit plat muni d'un parapet central. Chaque étage comporte trois porte et trois fenêtres. L'accès au rez-de-chaussé, légèrement surélevé, se fait par deux escaliers alors que l'étage est accessible par un escalier situé sur la gauche du bâtiment. Chaque étage est munie d'une galerie, celle de l'étage supérieur étant abritée par un toit en appentis recouvert de bardeaux d'asphalte. Décor estival. Tirage photographique, coul. |
![]() | C001/A2,04.23 | Maison autrefois située au 8036, boulevard Lévesque Est, Saint-Vincent-de-Paul. Vue d'ensemble de la façade et du côté gauche d'une maison de type Boomtown, probablement construite entre 1890 et 1920. De plan carré, cette maison de deux étages porte un parement en planche à clins et un toit plat en gradins. En façade, le rez-de-chaussée est percé d'une porte flanquée de deux fenêtres. Le même arrangement est reproduit à l'étage avec balcon à toit conique empiétant sur un toit en appentis surplombant la galerie qui court le long de la façade. Le mur de droite est percée d'une fenêtre par étage. Cette maison a été démolie. Décor dépouillé. Tirage photographique, n&b. |
![]() | C001/A2,04.24 | Chalet à Laval. Vue de la façade d'un chalet en planche à clins d'un étage et demi, de plan carré, surmonté d'un toit en pavillon percé d'une lucarne rampante. Une volée de six marches mène à l'entrée principale protégée par une avancée du toit. Deux fenêtres, à droite de la porte, ornent cette façade. Une cheminée se profile sur la gauche du bâtiment. Décor automnal. Tirage photographique, coul. |
![]() | C001/A2,04.26 | Maison située au 4842, boulevard Lévesque Est, Saint-Vincent-de-Paul. Vue de la façade d'une maison de plan rectangulaire à deux étages. Le rez-de-chausée possède un parement de briques rouges, une entrée hors-oeuvre flanquée deux larges fenêtres. L'étage supérieur, en planches à clin, en écho au rez-de-chaussée, présente une fenêtre centrale dans l'axe de l'entrée, flanquée d'une fenêtre double de part et d'autre. Le toit, en bardeaux d'asphalte, est à deux versants droits. Une projection en appentis surplombe la façade sur toute sa largeur. On distingue, en arrière-plan, une cheminée à son extrémité gauche. Une allée pavée mène à l'entrée dans un décor verdoyant. Tirage photographique, coul. |
![]() | C001/A2,04.27 | Maison située au 4469, boulevard Lévesque Est, Saint-Vincent-de-Paul. Vue de la façade d'une maison construite entre 1900 et 1940, représentative d'un type de résidences issu de l'architecture vernaculaire industrielle, la maison cubique (Four Square House), modèle créé aux États-Unis en 1891 par l'architecte Frank Kidder. Dans l'inventaire de 1981, le bâtiment portait l'adresse 4467-4469. Décor estival. Tirage photographique, coul. Il s'agit d'une maison de plan carré avec oriel, à deux étages et demi, en maçonnerie de brique avec une fondation en moellons. Un toit à croupe en bardeau d'asphalte et percé d'une lucarne rampante, se prolonge en appentis au-dessus de la galerie de l'étage supérieur. L'oriel est pourvu de trois fenêtres sur deux étages, chaque étage étant également pourvue d'une porte et d'une fenêtre. En arrière-plan, on peut voir un garage et un conteneur. Cette maison est située sur la ferme appartenant aux Soeurs de la Providence. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Saint-Vincent-de-Paul LEVE_4469). |
![]() | C001/A2,04.28 | Granges situées au 4469, boulevard Lévesque Est, Saint-Vincent-de-Paul. Vue de l'arrière de deux granges en bois, de plan rectangulaire, placées bout à bout. Le bâtiment de gauche est pourvu d'un toit mansardé à deux versants, celui de droite, d'un toit à deux versant droits, tous deux de tôle. En avant-plan, le boulevard de la Concorde Est. La grange est située derrière la maison sur la ferme qui appartient aux Soeurs de la Providence. Tirage photographique, coul. |
![]() | C001/A2,05.02 | Maison autrefois située sur le boulevard Bellerose Ouest, Vimont. Vue de la façade d'une maison des années 1950-1960, et d'un bâtiment commercial. En avant-plan, on distingue des affiches du restaurant McDonald's. Cette maison fut démolie pour faire place au stationnement du McDonald's de Vimont. Située sur le boulevard Bellerose à l'est du boulevard des Laurentides., cette maison était la voisine immédiate du 9, boulevard Bellerose Ouest. 19 décembre 1999. Tirage photographique, coul. |
![]() | C001/A2,05.06 | Maisons autrefois situées au 136 et 143, boulevard Saint-Elzéar, Vimont. 136, boulevard Saint-Élzéar Ouest : Trois vues d'une maison de ferme de style néo-classique aujourd'hui disparue. Une inscription peinte sur le pignon de façade indique «CE 19-61», suggérant une date de transformation. Décor dépouillé. 13 mai 1978. Négatifs # 31 à 33. 143, boulevard Saint-Elzéar Ouest : Trois vues d'une maison traditionnelle québécoise en bois et des bâtiments de ferme. Tous ces bâtiments ont aujourd'hui disparu. Décor dépouillé. 13 mai 1978. Négatifs # 34 à 36. Planche contact (Id. : 78-35-5; 6 négatifs numérotés de 31 à 36), n&b. |
![]() | C001/A2,05.07a | Maisons situées au 205, 220, 230, 232 et 235, boulevard Saint-Elzéar, Vimont. 205, Saint-Elzéar Ouest : Deux vues de la façade d'une habitation représentative de la maison franco-québécoise construite vers 1865, ou peut-être avant. Ce style est le résultat de l'intégration de l'architecture néoclassique anglaise importée par les Britanniques à la fin du 18e siècle aux façons traditionnelles de construire en Nouvelle-France. Elle constitue un modèle de transition entre la maison d'esprit français et la maison traditionnelle québécoise. On remarque le toit en tôle à la canadienne et la galerie qui court sur deux côtés. Décor dépouillé.13 mai 1978. Négatifs # 35 et 36. 220, Saint-Elzéar Ouest : Trois vues d'une maison québécoise en briques, de plan rectangulaire et au toit en demi-croupe. Cette maison a aujourd'hui disparue. On peut également voir, devant la maison, une sculpture rappelant une autruche. Décor dépouillé.13 mai 1978. Négatifs # 32 et 34. 230 et 232, Saint-Elzéar Ouest : Trois vues d'une maison de type Boomtown en briques, aujourd'hui disparue, un type de bâtiment surtout érigé entre 1880 et 1920. On note la galerie qui court sur deux côtés et l'extension dans le même style. Décor dépouillé.13 mai 1978. Négatifs # 29 à 31. 235 Saint-Elzéar Ouest : Deux vues d'une maison québécoise traditionnelle en moellons, aujourd'hui disparue. Décor dépouillé.13 mai 1978. Négatifs # 27 et 28. Planche contact avec annotations (Id. : 78-35-4; 10 négatifs numérotés de 27 à 36), n&b. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Vimont SELO_0205). |
![]() | C001/A2,05.07b | Maisons situées au 185, 195 et 205 boulevard Saint-Elzéar Ouest, Vimont. 185, Saint-Elzéar Ouest : Deux vues de la façade et du côté gauche d'une maison de style Second Empire et maison à mansarde, construite vers 1910. Ce style est très en vogue en milieu rural au Québec entre 1875 et 1920. Cette habitation est connue comme la Maison Beaulieu. Décor dépouillé. 13 mai 1978. Négatifs # 9 et 10. 195, Saint-Elzéar Ouest : Cinq vues de la façade et du côté gauche d'une maison à mansarde à deux versants retroussés et extension, aujourd'hui disparue. Décor dépouillé. 13 mai 1978. Négatifs # 4 à 8. 205, Saint-Elzéar Ouest : Deux vues d'une maison construite vers 1865, ou peut-être avant, qui constitue un modèle de transition entre la maison d'esprit français et la maison traditionnelle québécoise. Cette maison franco-québécoise est le résultat de l'intégration de l'architecture néoclassique anglaise importée par les Britanniques à la fin du 18e siècle aux façons traditionnelles de construire en Nouvelle-France. Décor dépouillé. 13 mai 1978. Négatifs # 2 et 3. Planche contact avec annotations (Id. : 78-35-5; 10 négatifs numérotés de 1 à 10), n&b. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Vimont SELO_0185 et SELO_0205). |
![]() | C001/A2,05.11a | Maisons autrefois situées au 2091, 2155, 2920, et 3000, boulevard Saint-Elzéar Ouest, Chomedey. 2091, boul. Saint-Elzéar Ouest : Deux vues d'une maison d'un étage au revêtement de pierre de taille, au toit à multiples versants et à la fenestration abondante. Cette maison, aujourd'hui disparue, a probablement été construite dans les années 1950. Décor dépouillé. 13 mai 1978. Négatifs # 10 et 11. 2155, boul. Saint-Elzéar Ouest : Quatre vues d'une maison traditionnelle québécoise en moellons, au toit à deux versants retroussés pourvu de lucarnes et abritant une galerie surélevée. Cette maison est aujourd'hui disparue. Décor dépouillé. 13 mai 1978. Négatifs # 2, 4, 5 et 7. 2920, boul. Saint-Elzéar Ouest : Deux vues d'une maison de plan rectangulaire avec extension, en briques, au toit à double pente à deux versants retroussés, et façade sur l'un des murs pignons. Cette maison, aujourd'hui disparue, était située sur le coin sud-ouest de la montée Saint-Aubin. Décor dépouillé. 13 mai 1978. Négatifs # 8 et 9. 3000, boul. Saint-Elzéar Ouest : Deux vues d'une maison mansardée en briques au toit à deux versant retroussés. Un toit en appentis abrite une galerie courant sur deux côtés de cette maison aujourd'hui disparue. La maison mansardée était populaire au Québec surtout de 1880 à 1920. Décor dépouillé. 13 mai 1978. Négatifs # 3 et 6. Planche contact avec annotations (Id. : 78-35-3; 10 négatifs numérotés de 2 à 11), n&b. |
![]() | C001/A2,05.11b | Maisons situées au 1905, 1969, et 2055, boulevard Saint-Elzéar Ouest, Chomedey. 1905, boul. Saint-Elzéar Ouest : Trois vues d'une maison imposante maison en briques issue du style Boomtown de deux étage avec fausse mansarde, extension dans le même style, et bâtiments de ferme à l'arrière. Cette maison, probablement construite entre 1900 et 1940, vers 1927 selon le rôle d'évaluation, est situé sur le coin nord-ouest du boulevard Le Corbusier. Décor dépouillé. 13 mai 1978. Négatifs # 19 à 21. 1969, boul. Saint-Elzéar Ouest : Trois vues dune maison traditionnelle québécoise en briques avec toit à deux versants retroussés et lucarnes, et extension dans le même style. Sur la gauche, on distingue un garage à deux portes. Tous les bâtiments ont aujourd'hui disparu. Décor dépouillé. 13 mai 1978. Négatifs # 16 à 18. 2055, boul. Saint-Elzéar Ouest : Trois vues d'une maison traditionnelle québécoise en moellons recouvert d'un crépi, avec toit à deux versants en tôle à la canadienne, lucarnes, chambranle en pierre pour la façade, et extension dans le même style. Un toit en appentis abrite une galerie en façade. Cette maison, construite vers 1862, est un exemple du style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Décor dépouillé. 13 mai 1978. Négatifs # 13 à 15. Entre le 2091 et le 2055, boul. Saint-Elzéar Ouest : Bâtiments de ferme. Décor dépouillé. 13 mai 1978. Négatif # 12. Planche contact avec annotations (Id. : 78-35-3; 10 négatifs numérotés de 12 à 21), n&b. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Chomedey SELO_1905 et SELO_2055). |
![]() | C001/A2,05.12 | Entrepôt à légumes sur le boulevard Saint-Elzéar, Vimont. Vue de la façade et du côté droit d'une maison traditionnelle québécoise de plan rectangulaire à un étage et demi surmonté d'un toit à deux versants retroussés percé de deux lucarnes à pignon. Le toit comporte également une cheminée à son extrémité droite. La façade présente trois fenêtres et une porte, alors que le côté droit est percé de trois petites ouvertures. Les murs blancs laissent penser qu'ils étaient recouverts d'un crépi. En avant-plan, on distingue la margelle d'un puits. Maison utilisée comme entrepôt à légumes. La bâtisse était située sur le côté nord du boulevard Saint-Elzéar. Décor verdoyant. Artiste: Maurice Prévost. 1945. Gouache, coul. |
![]() | C001/A2,06.015a | Maison située au 246, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue de la façade et du côté gauche d'une grande maison ayant subi des transformations afin de ressembler aux immeubles de type plex (duplex, triplex, et autres), dérivés du style Boomtown, qui apparaissent au début du 20e siècle dans les grandes villes nord-américaines. Ce bâtiment, originalement au toit mansardé construit ou résultat d'une transformation entre 1870 et 1900 occupe le site où était sise une petite maison de bois en pièces sur pièces, maison natale du curé Antoine Labelle, en 1833. On d'ailleurs distinguer la plaque qui commémore cet événement. La maison aurait, plus tard, été la demeure de famille Ouellette et Durocher dans les années 1930, et de M. Major. Tirage photographique, n&b. Informations tirées de la base de données patromoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0246). |
![]() | C001/A2,06.015b | Maison située au 246, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue de la façade et du côté gauche d'une grande maison ayant subi des transformations afin de ressembler aux immeubles de type plex (duplex, triplex, et autres), dérivés du style Boomtown, qui apparaissent au début du 20e siècle dans les grandes villes nord-américaines. Ce bâtiment, originalement au toit mansardé construit ou résultat d'une transformation entre 1870 et 1900 occupe le site où était sise une petite maison de bois en pièces sur pièces, maison natale du curé Antoine Labelle, en 1833. On d'ailleurs distinguer la plaque qui commémore cet événement. La maison aurait, plus tard, été la demeure de famille Ouellette et Durocher dans les années 1930, et de M. Major. Tirage photographique, n&b. Informations tirées de la base de données patromoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0246). |
![]() | C001/A2,06.020 | Plague d'inauguration de la première usine de filtration. de Sainte-Rose Plaque commémorant l'inauguration de la première usine de filtration du village de Sainte-Rose en 1915. Sur la plaque, on peut lire : «E. Desjardins, C.Léveillée, F.Labelle, A.Sicotte, J.Chartrand, P.H.Dufresne, J.B.Latour, F.Bélanger, N.Desroches, A.Grenier (conseillers), J.Émile Léonard (maire), J.A.Joly (secrétaire-trésorier), Ouimet et Lesage (ingénieur-conseil). Préparée et exécutée par The New York Continental Jeweil Company (Montréal-New-York-Chicago)». |
![]() | C001/A2,06.028 | Maison Ouimet située au 105, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue de la façade et du côté droit d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1901, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Cette maison fut la demeure de madame Aline Ouimet. Décor estival. Tirage photographique, n&b. Il s'agit d'une maison de plan rectangulaire d'un étage et demi en planche à clins portant un toit à deux versants retroussés en tôle à baguette et percé de deux lucarnes à pignons. Une cheminée s'élève à son extrémité droite. En façade, le rez-de-chaussée est percé d'une porte flanquée de deux fenêtres abritées par une avancée du toit. Une extension d'un étage en planche à clins portant un toit en appentis et percée d'une porte et deux fenêtres jouxte le côté droit. lus haut, sous les combles, on aperçoit une petite fenêtre. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0105). |
![]() | C001/A2,06.033 | Maison située au 1160 rue des Patriotes, Sainte-Rose. Vue d'ensemble d'une maison à toit mansardé construite entre 1880 et 1920. Elle fut la demeure de madame Eva Beauchamp. Décor dépouillé. Tirage photographique, coul. |
![]() | C001/A2,06.041 | Maison située au 264, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue d'ensemble de la façade d'un cottage de style vernaculaire américain construit vers 1938, style qui remplace progressivement la maison traditionnelle québécoise à partir de la fin du 19e siècle. Cette maison fur la demeure de Marcelle Ouimet. Elle a aujourd'hui une vocation commerciale (Au coeur de Chantaline). Décor verdoyant. Tirage photographique, coul. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0264). |
![]() | C001/A2,06.042 | Maison située au 268, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue de la façade et du côté droit d'une maison construite vers 1900, issue du style Second Empire, fort prisé par la bourgeoisie entre le milieu et la fin du 19e siècle. Opulente et bourgeoise, cette maison témoigne de l'aisance de son premier propriétaire. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0268). |
![]() | C001/A2,06.059 | Maison située au 166, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue de la façade et du côté droit d'une maison de style vernaculaire américain, plus précisément de la variante avec un corps de logis modeste surmonté d'une toiture à deux versants droits. Ce modèle remplace vers la fin du 19e siècle la maison traditionnelle québécoise dont elle partage certaines caractéristiques. Elle a probablement été construite entre 1890 et 1930. Devant la maison, on peut lire sur une affiche «Boutique Bill René 625-5901». Depuis au moins 2014, cette maison et le bâtiment adjacent construit dans les années 2000, constituent le Manoir du Vieux Sainte-Rose, une résidence pour aînés. Cette maison est connue comme la maison William Bourdin. Décor estival. Tirage photographique, n&b. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0166). |
![]() | C001/A2,06.069 | Maison située au 204, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue d'ensemble d'une maison, construite vers 1900, représentative du style vernaculaire américain, plus particulièrement du modèle avec un plan en L qui est le résultat d'un croisement avec le courant dit «pittoresque». Cette maison fut bâtie en 1900 et fut la demeure du docteur M.J. Lambert. Connue comme la maison Lambert. Décor hivernal. Tirage photographique, n&b. Il s'agit d'une maison de plan irrégulier de deux étages en briques portant un toit versants droits en tôle canadienne. En façade, le rez-de-chaussée est percée d'une porte et deux fenêtres abritées par un toit en appentis surplombant une galerie qui court sur toute sa largeur et une partie du côté droit. L'étage est percé d'une porte donnant sur un balcon, et de deux fenêtres. Le côté droit est percé de deux fenêtres et d'une porte dans sa partie qui fait saillie, et d'une fenêtre à l'étage. Une petite fenêtre est placée sous chacun des deux pignons du toit. Ce type de maison est également doté d'une galerie couverte et d'une plus grande surface habitable. En arrière-plan, on aperçoit une maison plus modeste de plan rectangulaire à un étage et demi avec lucarne en pignon portant un toit en tôle. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0204). |
![]() | C001/A2,06.070 | Maison située au 204, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue d'ensemble d'une maison, construite vers 1900, représentative du style vernaculaire américain, plus particulièrement du modèle avec un plan en L qui est le résultat d'un croisement avec le courant dit «pittoresque». Cette maison fut bâtie en 1900 et fut la demeure du docteur M.J. Lambert. Connue comme la maison Lambert. Décor hivernal. Années 1970. Tirage photographique, coul. Il s'agit d'une maison de plan irrégulier de deux étages en briques portant un toit versants droits en tôle canadienne. En façade, le rez-de-chaussée est percée d'une porte et deux fenêtres abritées par un toit en appentis surplombant une galerie qui court sur toute sa largeur et une partie du côté droit. L'étage est percé d'une porte donnant sur un balcon, et de deux fenêtres. Le côté droit est percé de deux fenêtres et d'une porte dans sa partie qui fait saillie, et d'une fenêtre à l'étage. Une petite fenêtre est placée sous chacun des deux pignons du toit. Ce type de maison est également doté d'une galerie couverte et d'une plus grande surface habitable. En arrière-plan, on aperçoit une maison plus modeste de plan rectangulaire à un étage et demi avec lucarne en pignon portant un toit en tôle. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0204). |
![]() | C001/A2,06.080 | Maison située au 204, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue d'ensemble d'une maison, construite vers 1900, représentative du style vernaculaire américain, plus particulièrement du modèle avec un plan en L qui est le résultat d'un croisement avec le courant dit «pittoresque». Cette maison fut bâtie en 1900 et fut la demeure du docteur M.J. Lambert. Connue comme la maison Lambert. Décor automnal. Années 1970. Tirage photographique, coul. Il s'agit d'une maison de plan irrégulier de deux étages en briques portant un toit versants droits en tôle canadienne. En façade, le rez-de-chaussée est percée d'une porte et deux fenêtres abritées par un toit en appentis surplombant une galerie qui court sur toute sa largeur et une partie du côté droit. L'étage est percé d'une porte donnant sur un balcon, et de deux fenêtres. Le côté droit est percé de deux fenêtres et d'une porte dans sa partie qui fait saillie, et d'une fenêtre à l'étage. Une petite fenêtre est placée sous chacun des deux pignons du toit. Ce type de maison est également doté d'une galerie couverte et d'une plus grande surface habitable. En arrière-plan, on aperçoit une maison plus modeste de plan rectangulaire à un étage et demi avec lucarne en pignon portant un toit en tôle. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0204). |
![]() | C001/A2,06.085 | Maison située au 246, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue de la façade et d'une partie du côté gauche d'une grande maison ayant subi des transformations afin de ressembler aux immeubles de type plex (duplex, triplex, et autres), dérivés du style Boomtown, qui apparaissent au début du 20e siècle dans les grandes villes nord-américaines. Ce bâtiment, originalement au toit mansardé construit ou résultat d'une transformation entre 1870 et 1900 occupe le site où était sise une petite maison de bois en pièces sur pièces, maison natale du curé Antoine Labelle, en 1833. On peut d'ailleurs distinguer la plaque qui commémore cet événement. La maison aurait, plus tard, été la demeure de famille Ouellette et Durocher dans les années 1930, et de M. Major. Années 1970. Tirage photographique, coul. Informations tirées de la base de données patromoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0246). |
![]() | C001/A2,06.086 | Maison située au 14, rue Cantin, Sainte-Rose. Vue du côté gauche et de la façade d'une maison, construite vers 1927, qui s'inscrit dans le courant victorien. De 1932 à 2002, cette maison appartient aux Soeurs de Sainte-Croix, qui possèdent le couvent situé juste derrière la propriété. Trois classes y sont aménagées. La cuisine est utilisée pour les cours d'art culinaire. Décor automnal. Années 1970. Tirage photographique, coul. Informations tirées de la base de données patromoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose CANT_0014). |
![]() | C001/A2,06.091 | Maison située au 318 et 320, boulevard Sainte-Rose, Fabreville. Vue de la façade et du côté droit d'une maison de plan rectangulaire de deux étage aux fondations de moellons et au revêtement de briques portant un toit plat. En façade, le rez-de-chaussée est percé de deux portes et deux fenêtres abritées par un toit en appentis surplombe une galerie qui court sur toute la largeur. Sur le côté droit, on distingue une fenêtre à chaque étage. Décor verdoyant. La photograhie est trés sombre. Tirage photographique, n&b. |
![]() | C001/A2,06.102 | Maison située au 14, rue Cantin, Sainte-Rose Vue du côté gauche et de la façade d'une maison, construite vers 1927, qui s'inscrit dans le courant victorien. De 1932 à 2002, cette maison appartient aux Soeurs de Sainte-Croix, qui possèdent le couvent situé juste derrière la propriété. Trois classes y sont aménagées. La cuisine est utilisée pour les cours d'art culinaire. Décor estival. Date inconnue. Tirage photographique, n&b. Informations tirées de la base de données patromoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose CANT_0014). |
![]() | C001/A2,06.120b | Maison située au 378, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue du côté droit d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1858, un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Décor verdoyant. Connue comme la maison Arthur Grenier. Tirage photographique, n&b. Il s'agit d'une maison de plan rectangulaire d'un un étage et demi, au toit à deux versants retroussés et percé de deux lucarnes à pignon. La façade du rez-de-chaussée possède une porte flanquée d'une fenêtre de part et d'autre. Le côté droit est percé d'une fenêtre au rez-de-chaussée, et de deux sous les combles. Le terrain, légèrement en pente, expose une fondation de béton. Le revêtement est de papier-brique et le toit, recouvert de tôle à baguette, surplombe la galerie qui court en façade. À l'arrière, le toit se prolonge en appentis pour abriter une galerie dont on n'aperçoit que l'escalier qui y mène. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0378). |
![]() | C001/A2,06.120c | Maison située au 378, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue du côté gauche d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1858, un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Décor verdoyant. Connue comme la maison Arthur Grenier. Tirage photographique, n&b. Il s'agit d'une maison de plan rectangulaire d'un un étage et demi, au toit à deux versants retroussés et percé de deux lucarnes à pignon. La façade du rez-de-chaussée possède une porte flanquée d'une fenêtre de part et d'autre. Le côté gauche est percé de deux fenêtres par étage. Le terrain, légèrement en pente, expose une fondation de béton. Le revêtement est de papier-brique et le toit, recouvert de tôle à baguette, surplombe la galerie qui court en façade. Une cheminée en brique, hors-oeuvre, s'élève le long du mur gauche jusqu'à son faîte. À l'arrière, le toit se prolonge en appentis au-dessus d'un tambour. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0378). |
![]() | C001/A2,06.120d | Maison située au 378, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Détail de la façade d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1858, un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Décor verdoyant. Connue comme la maison Arthur Grenier. Tirage photographique, n&b. Il s'agit d'une maison de plan rectangulaire d'un un étage et demi, au toit à deux versants retroussés et percé de deux lucarnes à pignon. La façade du rez-de-chaussée possède une porte flanquée d'une fenêtre de part et d'autre. Le côté gauche est percé de deux fenêtres par étage. Le terrain, légèrement en pente, expose une fondation de béton. Le revêtement est de papier-brique et le toit, recouvert de tôle à baguette, surplombe la galerie qui court en façade. Une cheminée en brique, hors-oeuvre, s'élève le long du mur gauche jusqu'à son faîte. À l'arrière, le toit se prolonge en appentis au-dessus d'un tambour. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0378). |
![]() | C001/A2,06.121 | Maison située au 408, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue de la façade et du côté droit d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1900, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Elle a été la demeure de Roland Labelle. Décor estival. Tirage photographique, n&b. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0408). |
![]() | C001/A2,06.128 | Maison située au 246, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue de la façade et d'une partie du côté gauche d'une grande maison ayant subi des transformations afin de ressembler aux immeubles de type plex (duplex, triplex, et autres), dérivés du style Boomtown, qui apparaissent au début du 20e siècle dans les grandes villes nord-américaines. Ce bâtiment, originalement au toit mansardé construit ou résultat d'une transformation entre 1870 et 1900 occupe le site où était sise une petite maison de bois en pièces sur pièces, maison natale du curé Antoine Labelle, en 1833. On peut d'ailleurs distinguer la plaque qui commémore cet événement. La maison aurait, plus tard, été la demeure de famille Ouellette et Durocher dans les années 1930, et de M. Major. Tirage photographique, n&b. Informations tirées de la base de données patromoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0246). |
![]() | C001/A2,06.129 | Maison située au 246, boulevard Sainte-Rose, sainte-Rose. Vue de la façade et d'une partie du côté gauche d'une grande maison ayant subi des transformations afin de ressembler aux immeubles de type plex (duplex, triplex, et autres), dérivés du style Boomtown, qui apparaissent au début du 20e siècle dans les grandes villes nord-américaines. Ce bâtiment, originalement au toit mansardé construit ou résultat d'une transformation entre 1870 et 1900 occupe le site où était sise une petite maison de bois en pièces sur pièces, maison natale du curé Antoine Labelle, en 1833. On peut d'ailleurs distinguer la plaque qui commémore cet événement. La maison aurait, plus tard, été la demeure de famille Ouellette et Durocher dans les années 1930, et de M. Major. Décor hivernal. Années 1970. Tirage photographique, coul. Informations en partie tirées de la base de données patromoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0246). |
![]() | C001/A2,06.130 | Maison située au 246, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue de travaux de ravalement sur le côté gauche d'une grande maison ayant subi des transformations afin de ressembler aux immeubles de type plex (duplex, triplex, et autres), dérivés du style Boomtown, qui apparaissent au début du 20e siècle dans les grandes villes nord-américaines. Ce bâtiment, originalement au toit mansardé construit ou résultat d'une transformation entre 1870 et 1900 occupe le site où était sise une petite maison de bois en pièces sur pièces, maison natale du curé Antoine Labelle, en 1833. On peut d'ailleurs distinguer la plaque qui commémore cet événement. La maison aurait, plus tard, été la demeure de famille Ouellette et Durocher dans les années 1930, et de M. Major. Décor estival. Tirage photographique, n&b. Informations tirées de la base de données patromoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0246). |
![]() | C001/A2,06.134 | Maison Laroche située au 289, 291 et 291A, boulevard Sainte-Rose. Vue de la façade et du côté gauche d'une maison, construite vers 1904, représentative du style Boomtown qui est en vogue au Québec de 1880 à 1930. Il s'agit ici de la variante avec toit plat, fausse mansarde et lucarnes pendantes. date inconnue. Tirage photographique, n&b. Il s'agit d'une maison de plan rectangulaire de trois étages en briqes portant un toit en mansarde en plaques de tôle. En façade, le rez-de-chaussée est percé de trois portes et de deux fenêtres, le deuxiéme étage de deux portes et de deux fenêtres donnant sur un balcon courrant sur toute sa largeur et surplombant le rez-de-chaussée. Le dernier étage est percé de trois trois lucarnes à fenêtres pendantes. Deux autres fenêtres du même type sont visibles sur le côté gauche. Connue comme la maison Laroche (?). Informations en partie tirée de la base de données de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0289). |
![]() | C001/A2,06.135a | Maison située au 315, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue de la façade d'une maison traditionnelle québécoise en bois construite en 1900. Elle fut la demeure de Marcel Deblois. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b. |
![]() | C001/A2,06.135b | Maison située au 315, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue de la façade et du côté droit d'une maison traditionnelle québécoise en bois construite en 1900. Elle fut la demeure de Marcel Deblois. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b. |
![]() | C001/A2,06.135c | Maison située au 315, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue d'un bâtiment situé derrière une maison traditionnelle québécoise en bois construite en 1900. Elle fut la demeure de Marcel Deblois. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b. |
![]() | C001/A2,06.135d | Maison située au 315, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue de la façade det du côté gauche 'une maison traditionnelle québécoise en bois construite en 1900. Elle fut la demeure de Marcel Deblois. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b. |
![]() | C001/A2,06.167 | Maisons situées au 35, 55, 60, 77, 79 et 81, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. 35, boul. Sainte-Rose : Trois vues sur une maison traditionnelle québécoise en pierre, abritant un commerce. Sur une affiche, on arrive à lire «Chez Pépère - Salle à manger». Aujourd'hui disparue. Décor verdoyant. Années 1970. Négatifs # 1 à 3. 55, boul. Sainte-Rose : Vue partielle de la façade et du côté droit d'une maison à mansarde d'inspiration Second Empire, construite vers 1868, dans un style très en vogue en milieu rural au Québec entre 1875 et 1920. Cette maison en pierre de Dolomie de Beekmantown possède une mansarde aux formes inhabituelles. Elle a appartenu à monsieur Hormidas Joly, puis à W.T. Stace. Voir aussi C001/A2,06.049 et C001/A2,06.168. Décor verdoyant. Années 1970. Négatifs # 4 et 5. 60, boul. Sainte-Rose : Vue de la façade et du côté gauche d'une maison de ferme, construite vers 1890, représentative du style vernaculaire américain qui remplace progressivement la maison traditionnelle québécoise à partir de la fin du 19e siècle. Décor verdoyant. Années 1970. Négatif # 6. 73, boul. Sainte-Rose : Vue d'ensemble d'une maison de style Boomtown, populaire surtout de 1900 à 1920. Aujourd'hui disparue. Décor verdoyant. Annnées 1970. Négatif # 11. 77, boul. Sainte-Rose : Vues de la façade et des côtés gauche et droit d'une maison tradionnelle québécoise en planche à clins, avec tambour, galerie vitrée et modifications au toit. Aujourd'hui disparue. Décor verdoyant. Années 1970. Négatifs # 9 et 10. 79, boul. Sainte-Rose : Vues de la façade et des côtés gauche et droit d'une maison traditionnelle québécoise en bois avec revêtement de papier-brique. Ce type d'habitation domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Cette maison aurait été construite vers 1875. Décor verdoyant. Années 1970. Négatifs # 8 et 12. 81, boul. Sainte-Rose : Vue d'ensemble d'une maison traditionnelle québécoise en planche à clins avec lucarnes et galerie en façade. Décor verdoyant. Années 1970. Négatifs # 7 et 12. Planche contact (12 négatifs numérotés de 1 à 12), n&b. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0055, SROS_0060 et SROS_0079). |
![]() | C001/A2,06.168 | Maisons situées au 55, 60, 64, 72, 80, 81, 88, 96 et 98, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. 55, boul. Sainte-Rose : Vue partielle d'une maison à mansarde d'inspiration Second Empire, construite vers 1868, dans un style très en vogue en milieu rural au Québec entre 1875 et 1920. Cette maison en pierre de Dolomie de Beekmantown possède une mansarde aux formes inhabituelles. Elle a appartenu à monsieur Hormidas Joly, puis à W.T. Stace. Voir aussi C001/A2,06.049 et C001/A2,06.168. Décor verdoyant. Années 1970. Négatif # 8. 60, boul. Sainte-Rose : Vue de la façade et du côté gauche d'une maison de ferme, construite vers 1890, représentative du style vernaculaire américain qui remplace progressivement la maison traditionnelle québécoise à partir de la fin du 19e siècle. Décor verdoyant. Années 1970. Négatif # 9. 64, boul. Sainte-Rose : Vue d'ensemble d'une maison tradittionnelle québécoise en planche à clins, construite vers 1869, représentative d'un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Décor verdoyant. Années 1970. Négatif # 7. 72, boul. Sainte-Rose : Vue de la façade et du côté gauche d'une maison de style cubique, populaire dans la première moitié du 20e siècle. Cette maison a nainteanant une vocation commerciale (Boni-Soir). Décor verdoyant. Années 1970. Négatif # 6. 80, boul. Sainte-Rose : Vue de la façade et du côté droit d'une maison, construite vers 1906, et représentative du style vernaculaire américain qui remplace progressivement la maison traditionnelle québécoise à partir de la fin du 19e siècle. Décor verdoyant. Années 1970. Négatifs # 4 et 5. 81, boul. Sainte-Rose : Vue du côté gauche d'une maison traditionnelle québécoise en planche à clins avec lucarnes et galerie en façade. Décor verdoyant. Années 1970. Négatif # 3. 88, boul. Sainte-Rose : Trois vues d'ensemble d'une maison à mansarde avec influense Second Empire, construite vers 1865, en pierre à bossage et dans un style est très en vogue en milieu rural au Québec entre 1875 et 1920. Décor verdoyant. Années 1970. Négatifs # 10, 11 et 12. 96 et 98, boul. Sainte-Rose : deux vues d'ensemble d'une maison à mansarde, construite vers 1881, en planche à clins, dans un style très en vogue en milieu rural au Québec entre 1875 et 1920. A maintenant une vocation commerciale (Bob Cyclo). Décor verdoyant. Années 1970. Négatifs # 1 et 2. Planche contact (12 négatifs numérotés de 1 à 12), n&b. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0055, SROS_0060, SROS_0064, SROS_0080, SROS_0088 et SROS_0096). |
![]() | C001/A2,06.169 | Maisons situées au 91, 101A, 105, 109, 111, 113, 121 et 127, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. 91, boul. Sainte-Rose : Vue d'ensemble de la façade et du côté droit d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1878, un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Décor verdoyant. Années 1970. Négatif # 1. 101A, boul. Sainte-Rose : Vue d'ensemble d'une petite maison traditionnelle quécoise en planche à clins, aujourd'hui disparue. Décor verdoyant. Années 1970. Négatif # 3. 105, boul. Sainte-Rose : Vue d'ensemble de la façade et du côté droite d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1901, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Elle a été déplacée et installée sur ce site. Décor verdoyant. Années 1970. Négatif # 2. 109, boul. Sainte-Rose : Vue d'ensemble de la faâde et du côté droit d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1885, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Décor verdoyant. Années 1970. Négatifs # 4 et 5. 111, boul. Sainte-Rose : Trois vues d'ensemble d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1865, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Cette maison aurait été habitée par Frederic Back. Décor verdoyant. Années 1970. Négatifs # 6, 7 et 8. 113, boul. Sainte-Rose : Vue d'ensemble de la façade et du côté droit d'une maison de style Boomtown en planche à clins, construite entre 1880 et 1930, ou vers 1868 et ensuite complètement transformée, dans un style qui est en vogue au Québec entre la fin du 19e siècle et les trois premières décennies du 20e siècle. Décor verdoyant. Années 1970. Négatif # 9. 121, boul. Sainte-Rose : Deux vues d'ensemble d'une maison traditionnelle québécoise en bois, construite vers 1915, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Décor verdoyant. Années 1970. Négatifs # 10 et 12. 127, boul. Sainte-Rose : Vue d'ensemble de la façade d'une maison traditionnelle québécoise en planche à clins. Décor verdoyant. Années 1970. Négatif # 11. Planche-contact (12 négatifs numérotés de 1 à 12), n&b. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0091, SROS_0105, SROS_0109, SROS_0111, SROS_0113 et SROS_0121). |
![]() | C001/A2,06.170 | Maisons situées su 110, 112-114, 118-120, 126, 128, 131, 132 et 138, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. 110 boul. Sainte-Rose : Vue d'ensemble de la façade et du côté droit d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1865, un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Une affiche suspendue au coin de l'extension, annonce « Michel Sports». Décor estival. Années 1970. Négatif # 12. 112 et 114, boul. Sainte-rose : Vue d'ensemble de la façade et du côté droit d'une maison traditionnelle québécoise en planche à clins, construite vers 1896, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Décor verdoyant. Années 1970. Négatif # 11. 118 et 120, boul. Sainte-Rose : Vue d'ensemble de la façade et du côté droit d'une maison traditionnelle québécoise en planche à clins, construite vers 1896, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Aujourd'hui disparue. Décor verdoyant. Années 1970. Négatif # 1. 126 boul. Sainte-Rose : Vue d'ensemble de la façade et du côté droit d'une maison à mansarde en planche à feuillures, construite vers 1891, dans un style très en vogue en milieu rural au Québec entre 1875 et 1920. Décor estival. Années 1970. Négatif # 2. 128, boul. Sainte-Rose : Vue d'ensemble de la façade et du côté droit d'une maison de style vernaculaire américain, construite vers 1891 ou peut-être après. Ici, le modèle avec toiture à demi-croupes assez populaire au Québec entre 1900 et 1950. Décor verdoyant. Années 1970. Négatif # 10. 129, 129A et 131, boul. Sainte-Rose : Trois vues d'ensemble d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1869, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Sur l'un des coins du bâtiment deux affiches annoncent CocaCola et 7UP. Ici, il s'agit d'un petit snackbar. La famille Poirier aurait demeurée dans cette maison. Décor dépouillé. Années 1970. Négatifs # 4, 5 et 8. 132, boul. Sainte-Rose : trois vues d'ensemble d'une maison traditionnelle québécoise, construite en 1849, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Elle aurait été construite par Michel Desjardins, propriétaire de la terre qu'il a héritée en 1832. La pierre au-dessus de la porte d'entrée principale témoigne de la date. On y trouve également les initiales M. D. qui semblent faire référence à Michel Desjardins. En 2020, le bâtiment est occupé par les bureaux de Christopher Skeetes, député de Sainte-Rose à l'Assemblée nationale du Québec, et avant lui, les bureaux de Jean Habel, également député. Décor dépouillé. Années 1970. Négatifs # 3, 7 et 9. 138, boul. Sainte-Rose : Vue d'ensemble de la f^çade et du côté droit d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1886, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Décor dépouillé. Années 1970. Négatif # 6. [12 photos sur planche contact] 110, 112-114, 118-120, 126, 128, 131, 132 et 138 boulevard Sainte-Rose. |
![]() | C001/A2,06.171 | Maisons situées au 64, 219, 238, 240-242, 243, 244, 246-248, et 252, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. 64, boul. Sainte-Rose : Deux vue d'ensemble d'une maison tradittionnelle québécoise en planche à clins, construite vers 1869, représentative d'un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Décor verdoyant. Années 1970. Négatifs # 11 et 12. 219, boul. Sainte-Rose : Vue partielle de la façade de l'église de Sainte-Rose-de-Lima, construite de 1852 à 1856 selon les plans de l'architecte Victor Bourgeau. Années 1970. Négatif # 10. 238, 238A et 238B, boul. Sainte-Rose : Vue d'ensemble de la façade d'une maison qui témoigne de l'éclectisme victorien en vogue des années 1880 aux années 1920 au Québec. Celle-ci fut bâtie entre 1903 et 1911. Félix Labelle, contracteur et maire du village de Sainte-Rose, achète le terrain, vacant, en 1903 et 1904. Celui-ci est ensuite offert en cadeau de mariage à sa fille Augustine Labelle qui épouse le médecin Napoléon Plouffe en 1903. Une maison y est construite qui servira de résidence d'été à Augustine. En 1911, cette dernière, maintenant veuve de Napoléon Plouffe, vend la maison à Régine Gougeon, épouse de Joseph O. Trudel. Par la suite, plusieurs occupants se succèdent. En 1965, la maison est louée par les propriétaires actuels, les notaires Vaillancourt qui l'achètent en 1974 et l'occupent encore aujourd'hui (Vaillancourt, Vaillancourt et Bigras), en 2020. Décor hivernal. Années 1970. Négatifs # 1 et 9. 240 et 242 boul. Sainte-Rose : Quatre vue d'ensemble d'une maison traditionnelle québécoise, bâtie vers 1780 - 1790, connue comme la maison Filiatrault-Latour. Elle est représentative de la maison franco-québécoise qui est le résultat de l'intégration de l'architecture néoclassique anglaise importée par les Britanniques à la fin du 18e siècle aux façons traditionnelles de construire en Nouvelle-France. Elle constitue ainsi un modèle de transition entre la maison d'esprit français et la maison traditionnelle québécoise. L'un de ses propriétaires à la fin du 18e siècle, Joseph Filiatrault, a donné le terrain pour construire la deuxième église de Sainte-Rose en 1788. Le conseil du village a siégé dans cette maison au milieu du 19e siècle ainsi que le premier secrétariat du village de Sainte-Rose en 1858. Le notaire Jean-Benjamin Latour en sera ensuite propriétaire, puis son fils le notaire Jean-Paul Latour. Décor estival. Années 1970. Négatifs # 2, 3, 6, et 7. 243, boul. Sainte-Rose : Vue d'ensemble de la façade et du côté gauche d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1868, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Connue comme la maison Hartmann. Décor estival. Années 1970. Négatif # 4. 244, boul. Sainte-Rose : Vue éloignée et partielle d'une maison, construite vers 1926, représentative d'un type de résidences issu de l'architecture vernaculaire industrielle, la maison cubique ou Four Square House. Modèle créé aux États-Unis en 1891 par l'architecte Frank Kidder, il est rapidement diffusé au Canada par les catalogues de plans. Elle est devenue le restaurant Les Menus-Plaisirs depuis 1982. Elle est reliée à la maison voisine (246-248, boul. Sainte-Rose) dans laquelle on trouve aujourd'hui des studios et des chambres. Sur la gauche, on peut voir la maison Filiatrault-Latour, au 240 et 242 boul. Sainte-Rose Décor estival. Années 1970. Négatif # 7. 246 et 248, boul. Sainte-Rose : Trois vues éloignées d'une grande maison au toit mansardé construite ou résultat d'une transformation entre 1870 et 1900. Le site était auparavant occupé par une petite maison de bois en pièces sur pièces où est né le curé Antoine Labelle en 1833. Elle aurait été la demeure de famille Ouellette et Durocher dans les années 1930, et de M. Major. Décor estival. Années 1970. Négatifs # 6 , 7 et 8. 252, boul. Sainte-Rose : Vue d'ensemble d'une grande maison de type plex (duplex, triplex, et autres), dérivés du style Boomtown, qui apparaissent au début du 20e siècle dans les grandes villes nord-américaines. Située à l'intersection du boulevard Sainte-Rose et de la rue du Plateau-Ouimet, on trouve, au rez-de-chaussée, un petit commerce donnant sur le coin de la rue. Décor estival. Années 1970. Négatif # 5. Planche-Contact (12 négatifs numérotés de 1 à 12), n&b. Informations tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0064, SROS_0219, SROS_0238, SROS_0240, SROS_0243, SROS_0244, SROS_0246) |
![]() | C001/A2,06.172 | Maisons situées au 202, 204, 208, 213, 214, 218, 233, 235, 237-239 et 241, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. 202, boul. Sainte-Rose : Deux vues d'ensemble d'une maison en pierre de taille, construite vers 1816, représentative du courant néoclassique issu de l'architecture britannique au 19e siècle Cette demeure hébergea Pascal-Adélard Longpré, maire de 1918 à 1936, puis Joseph «Jos» Ouimet, également maire de Sainte-Rose (1936-1950). Au début du XXe siècle, la maison sert entre autres de local pour la Banque Provinciale (1913), puis pour la Caisse populaire de Sainte-Rose de 1959 à 1961. Elle fut ensuite occupée par le Dr. Michel Roy, optométriste (1942-2019) et héberge maintenant la Clinique Visuelle Sainte-Rose. Décor estival. Années 1970. Négatifs # 3 et 4. 204, boul. Sainte-Rose : Vue d'ensemble d'une maison, construite vers 1900, représentative du style vernaculaire américain, plus particulièrement du modèle avec un plan en L qui est le résultat d'un croisement avec le courant dit «pittoresque». Ce type de maison est également doté d'une galerie couverte et d'une plus grande surface habitable. Connue comme la maison Lambert. Décor estival. Années 1970. Négatif # 2. 208, boul. Sainte-Rose : Vue de la façade et du côté droit d'une maison traditionnelle québécoise, construite, peut-être vers 1830, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Une affiche au contenu illisible est accrochée près de la porte. Cette maison a accueilli le bureau d'enregistrement des municipalités de l'île Jésus, aménagé dans la résidence du notaire F.-X. Léonard (section avec la toiture à deux versants). En 1961, la Caisse Populaire de Sainte-Rose en quête de plus grands locaux déménage dans la bâtisse. Cette maison fut également la demeure de la famille Jean Drapeau. Depuis 2009, ou avant, la bâtisse est occupée par une étude de notaires. Décor estival. Années 1970. Négatif # 1. 211 et 213, boul. Sainte-Rose : Vue en enfilade de l'ancienne Académie Sainte-Rose ou ancien collège des Frères de Saint-Gabriel qui viennent s'y installer vers 1910-1911 aussitôt que la construction de l'édifice se termine. Cet ancien collège est représentatif du courant Beaux-Arts, tendance fort prisée dans l'architecture commerciale et institutionnelle des premières décennies du 20e siècle. Le bâtiment est agrandi en 1935 selon les plans de la firme d'architectes Gascon & Parant, puis en 1958 pour dispenser le cours secondaire jusqu'à la onzième année. L'établissement est connu sous plusieurs désignations : le collège Sainte-Rose, l'Académie Sainte-Rose, l'école Latour et l'école Villemaire en 1958, en l'honneur de J.-Fernando Villemaire, président de la commission scolaire de 1949 à 1964. Depuis l'ouverture de l'école secondaire Curé-Antoine-Labelle en 1963, l'école Villemaire ne dispense que le cours primaire. Décor estival. Années 1970. Négatif # 6. 214, boul. Sainte-Rose : Vue d'ensemble de l'arrière d'une bâtisse de style second Empire ayant subie de nombreuses alérations. Cette bâtisse constitue la première école du village de Sainte-Rose. Depuis sa fermeture en 1910, le bâtiment a logé plusieurs fonctions dont une centrale téléphonique, un bureau de poste, un poste de police et d'incendie et un hôtel de ville. Après 1949, la mairie de Sainte-Rose s'installe à l'étage. Durant cette période, on procède à des rénovations qui rendent méconnaissable le bâtiment. Le toit mansardé, les lucarnes et le clocheton disparaissent au profit d'un toit plat. Des travaux effectués en 1986 redonnent au bâtiment son allure de 1901. Décor estival. Années 1970. Négatif # 5. 218, boul. Sainte-Rose : Deux vues d'une maison traditionnelle québécoise, construite en 1859, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Cette maison est l'ancienne demeure du bedeau qui a été construite en 1859 avec la pierre et le bois réutilisés suite à la démolition de la deuxième église construite en 1788 et démantelée dans les années 1850 avec l'édification du lieu de culte actuel. Depuis 1840, la maison du bedeau était située à l'ouest de l'église, sur le terrain actuel de l'ancien couvent des Soeurs de Sainte-Croix. En mauvais état, cette maison est remplacée par une nouvelle demeure en 1859, toujours pour loger le bedeau de la paroisse et sa famille. De 1952 à 1956, la Caisse Desjardins y loue une pièce et y ouvre un comptoir. À partir de 1960, plusieurs commerces s'y succèdent. Depuis 1985, le bâtiment a uniquement une fonction commerciale (Boutique Coiffure Christine, Le Berlingot - Bar laitier). Décor estival. Années 1970. Négatifs # 7 et 8. 233, boul. Sainte-Rose : Vue d'ensemble de l'ancien couvent de Sainte-Rose, construit en 1875-1876 selon les plans de l'architecte Victor Bourgeau, et représentatif du style Second Empire, un courant architectural fort prisé entre le milieu et la fin du 19e siècle par l'élite religieuse et bourgeoise canadienne-française dans la construction de bâtiments institutionnels et de résidences opulentes. Le couvent est dirigé par les Soeurs de Sainte-Croix qui viennent s'installer à Sainte-Rose pour prendre en charge l'éducation des jeunes filles. La pierre de maçonnerie provient des carrières de l'entrepreneur Félix Labelle. Le portail de la façade a été modifié au début des années 1900. Avec l'augmentation du nombre d'étudiantes, le couvent est agrandi en 1912. Cet agrandissement est effectué selon les plans de l'architecte Joseph Sawer et l'entrepreneur est Félix Labelle. L'espace du couvent s'en trouve ainsi doublé. Un autre agrandissement est réalisé en 1947. Le couvent est également connu sous le nom de Pensionnat Saint-Charles et dispense l'enseignement aux jeunes filles et à tous les enfants du niveau de la maternelle (jardin de l'enfance). Il sert d'école pour filles, de pensionnat et d'externat jusqu'en 1976. L'établissement servira de maison d'accueil pour les religieuses retraitées avant d'être utilisé à des fins commerciale. Décor estival. Années 1970. Négatif # 9. 235, boul. Sainte-Rose : Vue d'ensemble d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1865, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Elle aurait été la résidence du docteur Avila Desrochers, dont la construction lui a été attribuée, ainsi que de monsieur Michel Roy. Ici, après avoir subie des modifications. Décor estival. Années 1970. Négatif # 10. 237 et 239, boul. Sainte-Rose : Vue d'ensemble d'une maison cubique à deux étages, située à l'intersection du boulevard Sainte-Rose et de la rue Cantin. Décor estival. Années 1970. Négatif # 11. 241, boul. Sainte-Rose : Vue d'ensemble d'une maison cubique à deux étages, située à l'intersection du boulevard Sainte-Rose et de la rue Cantin. En devanture, une afffiche sur laquelle on peut lire «Épicerrie Charbonneau». Décor estival. Années 1970. Négatif # 12. Planche-contact (12 négatifs numérotés de 1 à 12), n&b. Informations tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose (SROS_0208, SROS_0202, SROS_0204, SROS_0211, SROS_0214, SROS_0218, SROS_0233, SROS_0235) |
![]() | C001/A2,06.182 | Château Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue du Château Sainte-Rose depuis l'approche principale. On peut distinguer la partie droite du bâtiment principal qui s'élève sur deux étages et surmonté d'un toit à deux versants percé d'une lucarne à pignon. L'entrée est devancée par un porche à voiture, alors que la partie de droite est occupée par une galerie vitrée abritée par un toit en appentis. De part et d'autre du chemin d'approche, on peut voir des chaises et des parasols. Le Château, longtemps utilisé comme annexe de l'hôtel Robert, était situé au 305, boulevard Sainte-Rose, au coin nord-ouest de l'intersection des actuels boulevards Curé-Labelle et Sainte-Rose. Décor estival. Photographe: D. Léonard, Montréal. Tirage photographique, n&b. |
![]() | C001/A2,06.186 | Maison située au 238, 238A et 238B, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue d'ensemble de la façade d'une maison qui témoigne de l'éclectisme victorien en vogue des années 1880 aux années 1920 au Québec. Celle-ci fut bâtie entre 1903 et 1911. Félix Labelle, contracteur et maire du village de Sainte-Rose, achète le terrain, vacant, en 1903 et 1904. Celui-ci est ensuite offert en cadeau de mariage à sa fille Augustine Labelle qui épouse le médecin Napoléon Plouffe en 1903. Une maison y est construite qui servira de résidence d'été à Augustine. En 1911, cette dernière, maintenant veuve de Napoléon Plouffe, vend la maison à Régine Gougeon, épouse de Joseph O. Trudel. Par la suite, plusieurs occupants se succèdent. En 1965, la maison est louée par les propriétaires actuels, les notaires Vaillancourt qui l'achètent en 1974 et l'occupent encore aujourd'hui, en 2020. Décor hivernal. Date inconnue. Tirage photographique n&b. Informations tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0238). |
![]() | C001/A2,06.187 | Maison située au 238, 238A et 238B, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. Vue d'ensemble de la façade d'une maison qui témoigne de l'éclectisme victorien en vogue des années 1880 aux années 1920 au Québec. Celle-ci fut bâtie entre 1903 et 1911. Félix Labelle, contracteur et maire du village de Sainte-Rose, achète le terrain, vacant, en 1903 et 1904. Celui-ci est ensuite offert en cadeau de mariage à sa fille Augustine Labelle qui épouse le médecin Napoléon Plouffe en 1903. Une maison y est construite qui servira de résidence d'été à Augustine. En 1911, cette dernière, maintenant veuve de Napoléon Plouffe, vend la maison à Régine Gougeon, épouse de Joseph O. Trudel. Par la suite, plusieurs occupants se succèdent. En 1965, la maison est louée par les propriétaires actuels, les notaires Vaillancourt qui l'achètent en 1974 et l'occupent encore aujourd'hui, en 2020. Décor automnal. Tirage photographique n&b. Informations tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0238). |
![]() | C001/A2,06.189 | Maison de type Boomtown autrefois située à Sainte-Rose. Vue de la façade d'une maison de plan carré de type «Boomtown», probablement construite entre 1890 et 1920, de deux étages en planche à clins. En façade, le rez-de-chaussée est percé d'une porte flanquée de deux fenêtres, un arrangement reproduit à l'étage. Une galerie court sur les deux niveaux mais se poursuit sur le côté gauche au rez-de-chaussée. Décor hivernal. Date inconnue. Tirage photographique, n&b. |
![]() | C001/A2,06.192 | Maison autrefois située au 1115 et 1117, rue du Plateau-Ouimet, Sainte-Rose. Vue rapprochée de la façade d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1886, d'un étage et demi en planche à clins portant un toit à deux versants droits en tôle à baguettes et percé de deux lucarnes à pignon. Le rez-de-chaussée est percée de deux portes et de deux larges fenêtres disposée en miroir. Une galerie, abritée par un toit en appentis, courre le long de la façade. Une banderole sur laquelle on peut lire «Vive Jésus», des festons, des drapeaux du Québec ornés du Carillon-Sacré-Coeur et deux petites plaques portant le numéro 202 décorent la façade. Sur la galerie, on peut apercevoir Marie-Rose Désormeaux, première épouse de Charles Ouimet, et huit autres personnes non identifiées. Décor verdoyant. Années 1940. Tirage photographique, n&b. |
![]() | C001/A2,06.195 | Château Normand, Sainte-Rose. Vue d'ensemble d'un bâtiment imposant de trois étages et demi de plan en L ou en T. L'élément distinctif du bâtiment est une tourelle fenestrée pourvue d'un toit conique percé d'oeils-de-boeuf qui domine cette structure élaborée. Les toits, recouverts de bardeaux de bois, en croupe et en appentis, sont percés de lucarnes à fenêtre pendante ou d'un oeil-de-boeuf. Le rez-de-chaussée s'orne d'une abondante fenestration, d'une galerie livrant accès à l'entrée principale, et d'une véranda vitrée qui occupe le côté droit. Le décor est champêtre. Le bâtiment a brulé en 1959. Aujourd'hui, remplacé par le 257-261 boulevard Sainte-Rose. Inscrit en blanc au bas de l'image : Château Normand - Ste-Rose. Années 1950. Carte postale, n&b. |
![]() | C001/A2,08.001 | Maison située au 127, boulevard des Prairies, Laval-des-Rapides. Connue comme l'ancienne maison du directeur du Mont-De-La Salle, elle avait auparavant été la résidence de l'aumônier, cette maison construite avant 1913, peut-être entre la fin du 19e siècle et le début du 20e siècle, s'inscrit dans le courant néoclassique qui est issu de l'architecture britannique au 19e siècle. Ici, la maison s'apparente plus particulièrement à la villa palladienne inspirée des demeures cossues conçues à la Renaissance par l'architecte italien Andrea Palladio. Cette résidence, d'abord occupée par Walter James Nelson, le fils de Wolfred Nelson, médecin, homme politique et célèbre Patriote, fut ensuite utilisée pour loger le directeur du pensionnat Mont-De-La Salle des Frères des Écoles chrétiennes. Entre 2002 et 2005. Tirage photographique, n&b. Il s'agit d'une imposante maison en pierre de taille à bossage de deux étages, de plan rectangulaire, surmontée d'un toit à croupe recouvert de tôles à baguettes. Cette façade est dotée d'un ensemble de 14 fenêtres (6 au rez-de-chaussée, 2 entre les deux étages et 6 à l'étage) et d'une porte centrale. Le bâtiment est flanqué de deux extensions, à gauche et à droite. Une cheminée surmonte la structure principale. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Laval-des-rapides PRAI_0127). |
![]() | C001/A2,08.002 | Plaque commémorant le cinquetenaire de la Cité de Laval-des-Rapides. Plaque en bronze fixée sur une réplique miniature d'un moulin à vent érigé dans le parc Gagné le long du boulevard des Prairies. Sur la plaque, on peut lire : «Érigé à l'occasion du cinquantenaire de la fondation de la cité de Laval-des-Rapides. Maire Claude Gagné. Échevins : Marcel Bourdages, Noël Dubé, Rosario Filiatrault, Paul-Marcel Maheu, Rolland Nadon et Roland Roy. 1912-1962». 1962. Tirage photographique, n&b. |
![]() | C001/A2,08.003 | Maison autrefois située au 36, avenue du Pacifique, Laval-des-Rapides. Vue de la façade arrière d'une maison issue du mouvement Arts & Crafts, construite vers 1930. En 1950, le botin de Laval-des-Rapides associe l'adresse de cette maison à Dame Joseph-Élie Brault, épouse du pharmacien et docteur Joseph-Élie Brault. Il s'agit d'une résidence de plan rectangulaire d'un étage et demi en planche à clins porte un toit à deux versants droits en bardeaux d'asphalte percé de quatre lucarnes à fenêtre pendante. Le rez-de-chaussée est percée de deux portes et deux fenêtres disposées en mirroir. Une petite extension pourvue d'une porte sépare en deux une galerie abritée par un toit en appentis. L'avant-plan est occupé par un jeu de croquet. Décor verdoyant. Cette maison fur démolie entre 2009 et 2012. [Vers 1950]. Tirage photographique, n&b. |
![]() | C001/A2,08.004 | Maison autrefois située au 36, avenue du Pacifique, Laval-des-Rapides. Vue de la façade d'une maison issue du mouvement Arts & Crafts, construite vers 1930. En 1950, le botin de Laval-des-Rapides associe l'adresse de cette maison à Dame Joseph-Élie Brault, épouse du pharmacien et docteur Joseph-Élie Brault. La famille Brault utilise d'abord cette résidence comme maison de campagne, la famille résidant à Montréal. Plus tard, la famille Brault y emménagea pour de bon. Vue de la façade d'une maison issue du mouvement Arts & Crafts, construite vers 1930. Cette résidence de plan rectangulaire d'un étage et demi en planche à clins porte un toit à deux versants droits en bardeaux d'asphalte percé de deux lucarnes à fenêtre pendante placée de part et d'autre de deux portes ouvrant sur un petit balcon double. Le rez-de-chaussée est percé d'une porte flanquée de deux fenêtres abritées par un toit en appentis surplombant une galerie qui court en façade et sur les côtés. On accède à la propriété clôturée par un escalier muni d'une grille. Cette maison fut démolie entre 2009 et 2012. Décor verdoyant. [Vers 1950]. Tirage photographique, n&b. |
![]() | C001/A2,10.002 | Maison située au 5475, boulevard Saint-Martin Ouest, Chomedey. Viue de la façade d'une maison de style Boomtown, probablement construite entre 1910 et 1940, un style surtout en vogue au Québec de 1880 à 1930. Cette maison abrita les anciens locaux de la Société Historique de l'Île Jésus, et sert aujourd'hui d'atelier pour le centre André-Benjamin-Papineau. Décor hivernal. 15 novembre 1975. Tirage photographique, coul. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Chomedey SMAO_5495). |
![]() | C001/A2,10.003.1 | Maison située au 4291, rue Gatineau, Chomedey. Vue de la façade et du côté gauche d'une maison de style bungalow des années 1950 et 1960. Une voiture est stationnée dans l'entrée, devant le porche pour auto, alors qu'un homme se tient sur le perron. On peut lire «OCT 63» écrit à la main sur le rebord du tirage. 1963. Tirage photographique, n&b. |
![]() | C001/A2,10.003.2 | Maison située au 4291, rue Gatineau, Chomedey. Vue de la façade et du côté gauche d'une maison de style bungalow des années 1950 et 1960. Une voiture est stationnée dans l'entrée, devant le porche pour auto. On peut lire «1963» écrit à la main sur le rebord du tirage. 1963. Tirage photographique, n&b. |
![]() | C001/A2,10.003.3 | Maison située au 4291, rue Gatineau, Chomedey. Vue partielle du côté gauche et de la façade d'une maison de style bungalow des années 1950 et 1960. Une voiture meuble l'arrière-plan, alors qu'un homme se tient sur le perron. On peut lire «OCT 63» sur le rebord du tirage. 1963. Tirage photographique, n&b. |
![]() | C001/A2,10.022 | Maison située au 169, boulevard Saint-Martin Ouest, Vimont. Vue d'ensemble de la façade d'une maison construite en 1900, comme l'indique la pierre de date au-dessus de la porte, représentative du style Boomtown en vogue au Québec de 1880 à 1930. Il s'agit ici de la variante avec toit plat, fausse mansarde et lucarnes pendantes qui est caractéristique de Laval. Cette maison, entièrement rénovée en 2008 à des fins commerciales, fut la demeure de Léo-Ernest Ouimet (1877-1972), qui créa le Ouimetoscope, premier cinéma de Montréal. Cette maison porte la dénomination Maison Ouimet. Décor verdoyant. Tirage photographique, coul. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Vimont SMAO_0169). |
![]() | C001/A2,10.027 | Maison située au 185, boulevard Saint-Elzéar Ouest, Vimont. Vue du côté droit et de la façade d'une maison à toit mansardé de style Second Empire, construite vers 1910. Ce style est très en vogue en milieu rural au Québec entre 1875 et 1920. Cette habitation est connue comme la Maison Beaulieu. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Vimont SELO_0185). |
![]() | C001/A2,10.028 | Maison située au 185 boulevard Saint-Elzéar Ouest, Vimont. Vue du côté gauche et de la façade d'une maison à toit mansardé de style Second Empire, construite vers 1910. Ce style est très en vogue en milieu rural au Québec entre 1875 et 1920. Cette habitation est connue comme la Maison Beaulieu. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Vimont SELO_0185). |
![]() | C001/A2,10.029 | Maison autrefois située au 195, boulevard Saint-Elzéar Ouest, Vimont. Vue d'ensemble d'une maison à mansarde à deux versants retroussés et extension, aujourd'hui disparue. La maison, qui n'existe plus, fut probablement construite entre 1880 et 1920. Décor verdoyant. Date inconnue. Tirage photographique, n&b. |
![]() | C001/A2,10.030 | Maison autrefois située au 195, boulevard Saint-Elzéar Ouest, Vimont. Vue d'ensemble d'une maison à mansarde à deux versants retroussés et extension, aujourd'hui disparue. La maison, qui n'existe plus, fut probablement construite entre 1880 et 1920. Décor verdoyant. Date inconnue. Tirage photographique, n&b. |
![]() | C001/A2,10.075.2 | Maison autrefois située au 1648, rue Principale, Chomedey. Vue d'ensemble d'une maison cubique en bois de type Boomtown, ici abandonnée. Cette construction jouxte une maison traditionnelle québécoise dont elle est l'extension. Ces deux constructions du 19e siècle ont été démolies. Décor estival. Années 1950-1960. Tirage photographique n&b. |
![]() | C001/A2,10.075.3 | Maison autrefois située au 1648 rue Principale, Chomedey. Vue d'ensemble de la façade arrière d'une maison québécoise traditionnelle en bois sur laquelle empiète une maison cubique de type Boomtown qui en est l'extension. Ces deux constructions du 19e siècle ont été démolies. Décor estival. Années 1950-1960. Tirage photographique, n&b. |
![]() | C001/A2,10.090 | Maison ancestrale autrefois située à Saint-Martin, Chomedey. Vue de la façade d'une maison, probablement en bois, de plan rectangulaire et de deux étages portant un toit plat à fausse mansarde recouverte de tôle à baguette. La façade est percée d'une porte flanquée de deux fenêtres alors que l'étage est percé de deux lucarnes à fenêtres pendantes. Une galerie abritée par un toit en appentis courre le long de la façade et du mur droit, menant à un extension de deux étages du même style que le corps principal. La maison, qu'on situe hypothétiquement au nord du boulevard Saint-Martin, près de la rue Robinson et à l'ouest du boulevard Labelle, fut démolie en 1965. Décor dépouillé. Tirage photograhique, n&b. |
![]() | C001/A2,10.094 | Maison de type bungalow à Chomedey. Vue de la façade d'une maison de style bungalow de plan rectangulaire d'un étage sur fondation de pierre et revêtement de briques. La maison porte un toit à deux versants droits assymétriques d'où émerge une cheminée. La façade est percée d'une porte flanquée de deux grandes fenêtres, celle de gauche s'élevant jusqu'au toit. Cette maison est hypothétiquement située là où était autrefois le 1199, Terrasse Aubut. Octobre 1960. Tirage photographique, n&b. |
![]() | C001/A2,10.097 | Maison située au 1677, boulevard Saint-Martin Ouest, Chomedey. Vue d'ensemble d'une maison à toit mansardé, construite vers 1854, ou peut-être quelques décennies après. Ce style est très en vogue en milieu rural au Québec entre 1875 et 1920. Cette maison fut la demeure d'Émile Fortin et Henriette Bigras. Le bâtiment a par la suite connu une vocation commerciale (dont un Café-Dépot). Décor verdoyant. 1958. Tirage photographique, n&b. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Vimont SMAO_1677). |
![]() | C001/A2,10.098 | Maison située au 1677, boulevard Saint-Martin Ouest, Chomedey. Vue éloignée du côté gauche d'une maison à toit mansardé, construite vers 1854, ou peut-être quelques décennies après. Ce style est très en vogue en milieu rural au Québec entre 1875 et 1920. Cette maison fut la demeure d'Émile Fortin et Henriette Bigras. Le bâtiment a par la suite connu une vocation commerciale (dont un Café-Dépot). Décor verdoyant. 1958. Tirage photographique, n&b. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Vimont SMAO_1677). |
![]() | C001/A2,10.100 | Maison située au 1677 Saint-Martin Ouest, Chomedey. Vue d'ensemble d'une maison à toit mansardé, construite vers 1854, ou peut-être quelques décennies après. Ce style est très en vogue en milieu rural au Québec entre 1875 et 1920. Cette maison fut la demeure d'Émile Fortin et Henriette Bigras. Le bâtiment a par la suite connu une vocation commerciale (dont un Café-Dépot). Décor verdoyant. 1958. Tirage photographique, n&b. Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Vimont SMAO_1677). |
![]() | C001/A2,14.05 | Chalet sur l'île Malouin, Boisbriand. Vue de la façade principale et de la face droite d''un petit chalet d'un étage à parement de planche à clins. De plan rectangulaire, le chalet sur pilotis est surmonté d'un toit à deux versants droits. Une véranda à moustiquaire occupe le coin du bâtiment et se projette au-delà de ces deux faces. Avril 2001. Tirage photographique, coul. |
![]() | C001/A3,01.01 | Restaurant l'Ancestral, à Pont-Viau. Autrefois situé au 625, boulevard Saint-Martin Ouest, le bâtiment a été rasé par un incendie le 18 janvier 2006. Ici, les décombres apparaissent à l'arrière-plan et l'affiche principale à l'avant-plan. 2006. Décor dépouillé. Tirage photographique: coul. |
![]() | C001/A3,01.02 | Restaurant McDonald, à Vimont. Vue d'ensemble de l'établissement situé au 2180, boulevard des Laurentides Ouest, avant les rénovations. Décor dépouillé. 19 décembre 1999. Tirage photographique: coul. |
![]() | C001/A3,01.03 | Restaurant et épicerie J.O. Labelle, à Sainte-Rose. Une femme se tient à l'entrée de la propriété sur laquelle se trouve le commerce. Des panneaux et affiches publicitaires annoncent : Crème glacée Montreal Dairy, Cigarettes Turret, Coca-Cola, Old Chum. Décor estival. [Années 1920-1930]. Tirage photographique: n&b. |
![]() | C001/A3,01.04 | Restaurant et épicerie J.O. Labelle, à Sainte-Rose. Vue de la façade d'un bâtiment de deux étages de style boomtown en clins de bois dont le rez-de-chaussée est occupé par le restaurant et l'épicerie. Des panneaux et affiches publicitaires annoncent : Coca-Cola, Orange Crush, Orange Montreal, Cigarettes Turret, Oxo. Sur une pancarte clouée à un arbre on peut lire «Maison à louer». Décor estival. Vers 1920. Tirage photographique: n&b. |
![]() | C001/A3,01.05 | Clark's Snack Bar, restaurant Chez Gaby. Vue de l'angle d'un bâtiment d'un étage et demi recouvert de papier brique qui abritait le casse-croute Clark's Snack Bar (Restaurant Clark), Chez Gaby. Une voiture de marque Pontiac 1960 stationne devant l'établissement alors que des enfants, dont deux sont identifiés (Lianne et Nancy), se tiennent près de l'entrée en coin. Panneaux et affiches publicitaires annoncent Coca-Cola, Hires, Denis, Cott, 7up, Kik Cola et Pepsi. Décor estival. [Années 1960]. Tirage photographique: n&b. |
![]() | C001/A3,01.06 | Friterie ambulante. Monsieur Archambault, vendeur ambulant de frites chaudes, pose au guichet de service d'une cabine vitrée montée sur quatre roues et tirée par un cheval. Décor estival. Date inconnue. Tirage photographique (reproduction): n&b. |
![]() | C001/A3,02.01 | Le commerce de machines à coudre d'Aldéric Désautels, à Saint-Vincent-de-Paul. Dans cette ancienne cuisine d'été, Aldéric Desautels a établit son commerce de machines à coudre. Sur la pancarte suspendue au coin du bâtiment on peut lire «Machines à coudre Désautels Vente et Réparation». Aldéric Désautels fut également propriétaire d'une magasin général - épicerie au même endroit quelques années auparavant. Décor estival. [Années 1950-1960]. Tirage photographique: coul. Cette maison, située au 5258, 5260 et 5262, boulevard Lévesque Est, est un bâtiment mansardé d'un étage et demi au parement en clins de bois et au toit recouvert de tôles décoratives. L'étage est percé de lucarnes jumelées et une galerie couverte court sur la façade et le côté droit. Une extension jouxte le côté gauche du bâtiment. Aldéric Desautels habitait au 5258, alors que le 5262, l'extension, était utilisée à des fins commerciales. Note : Aldéric Désautels (1884-1970) a également été échevin de Saint-Vincent-de-Paul dans les années 1950. |
![]() | C001/A3,02.02 | Le magasin général Victoria d'Aldéric Désautels, à Saint-Vincent-de-Paul. Dans une extension jouxtant une maison mansardée située au 5262, boulevard Lévesque Est, Aldéric Désautels (1884-1970) a établit son magasin général Victoria. Ici, une vue de l'intérieur du magasin. Un homme (Aldéric Desautels ?) se tient derrière le comptoir. Tout autour, des produits sur les tablettes et quelques publicités comme «La Salle Tabac à Cigarettes» et «Coca-Cola». 1938. Tirage photographique: n&b. Notes : Aldéric Desautels, qui fut également échevin de Saint-Vincent-de-Paul dans les années 1950, habitait au 5258, boul. Lévesque Est, alors que le 5262, l'extension, était utilisée à des fins commerciales. |
![]() | C001/A3,02.03 | Le commerce Chomedey Fabrics. Le commerce est établi au rez-de-chaussée d'un bâtiment de deux étages de type Boomtown. Sur l'enseigne du magasin on peut lire «Chomedey Fabrics». Une voiture stationne devant le bâtiment. Décor estival. Années 1970. Tirage photographique: n&b. Note : La photographie est sombre et floue. |
![]() | C001/A3,02.05 | Le magasin de Ludger Bélanger, à Sainte-Rose. Ludger Bélanger tenait un magasin général - boucherie - épicerie situé au rez-de-chaussée du 142, 142A, 144, 146, 146A et 146B, boulevard Saint-Rose dans un bâtiment en brique de deux étages de style Boomtown. Ici, les employés (dont deux jeunes garçons), en uniforme, et les propriétaires posent pour la caméra à l'intérieur du magasin. Les étagères et les présentoirs sont chargés de boîtes de conserve, de bouteilles de bière, de produits non périssables, alors qu'un comptoir réfrigéré abritent charcuterie et fromages. Années 1940. Tirage photographique: n&b. |
![]() | C001/A3,02.06 | Tabagie. Alphonse Legris, son épouse, Maurice, Télésphore, Gérard et Fernand Richard posent devant un bâtiment en bois d'un seul étage. Sur la façade, des panneaux publicitaires annoncent Pepsi-Cola, KIK Cola, Tabac à Cigarettes La Salle, Sweet Caporal Cigarettes et Coca-Cola. Décor estival. Septembre 1942. Tirage photographique: n&b. |
![]() | C001/A3,02.07 | Mercerie. Ce commerce, dont les vitrines laissent voir chapeaux, chaussure et tissus, occupe le rez-de-chausée d'un bâtiment en brique de deux étages. Sur une affiche suspendue au-dessus de l'entrée on peut lire «Bankrupt Stock at Half Price». Des affiches collées sur les vitrines reproduisent les mêmes mots alors qu'un homme et deux femmes posent sur le trottoir de bois qui longe le bâtiment. Décor estival. Lieu non identifié. Vers 1900. Tirage photographique: n&b. |
![]() | C001/A3,02.08 | Mercerie. Ce commerce, dont les vitrines laissent voir chapeaux et chemises, occupe le rez-de-chausée d'un bâtiment sur les vitrines duquel on a collé des affiches portantles mots «Bankrupt Stock at Half Price». Deux hommse et une femme posent sur le trottoir de bois qui longe le bâtiment. Sur la droite, un autre commerce annonce les services de la «G.N.W Telegraph Co». Décor estival. Lieu non identifié. Vers 1900. Voir aussi C001/A3,02.09. Tirage photographique: n&b. |
![]() | C001/A3,02.09 | Le Marché H. Barbe et Fils, à Saint-Martin. Cette épicerie, qui affiche la bannière Métro, occupait le rez-de-chausée d'un bâtiment en brique de deux étages situé sur la rue Robinson (anciennement rue Principale). Le bâtiment fut démoli en 1985. Décor estival. 1985. Tirage photographique: coul. |
![]() | C001/A3,02.11 | Bannière d'un marché Provigo, à Laval. Le logo de cette chaîne alimentaire s'affiche ici sur une enseigne de forme cubique. Lieu non identifié. Date inconnue. Tirage photographique: coul. |
![]() | C001/A3,02.12 | Bannière d'un marché Loblaws, à Laval. Le logo et le nom de cette chaîne alimentaire s'affichent ici sur le devant du commerce. Lieu non identifié. Date inconnue. Tirage photographique: coul. |
![]() | C001/A3,02.13 | Bannière d'un marché Maxi, à Laval. Le nom de cette chaîne alimentaire s'affiche ici sur le devant du commerce. Lieu non identifié. Date inconnue. Tirage photographique: coul. |
![]() | C001/A3,02.14 | Bannière d'un marché Loblaws, à Laval. Le logo et le nom de cette chaîne alimentaire s'affichent ici sur une enseigne autoportante. Lieu non identifié. Date inconnue. Tirage photographique: coul. |
![]() | C001/A3,02.15 | Bannière d'un marché Maxi, à Laval. Le nom de cette chaîne alimentaire s'affiche ici sur une structure autoportante. Le nom «Fabricville» apparaît sous l'affiche. Lieu non identifié. Date inconnue. Tirage photographique: coul. |
![]() | C001/A3,02.16 | Le magasin général Victoria d'Aldéric Désautels, à Saint-Vincent-de-Paul. C'est dans une extension jouxtant une maison mansardée située au 5262, boulevard Lévesque Est, qu' Aldéric Désautels (1884-1970) établi son magasin général - épicerie. Sur la façade se trouve une enseigne sur laquelle on peut lire «Magasin général ''Victoria'' Store, G.E. Desautels». Sur la gauche, un panneau annonce «Entrez et buvez un CocaCola» alors que sur la droite deux hommes pose pour la caméra près de la porte. Décor hivernal. [Années 1940]. Tirage photographique: n&b. Notes : Aldéric Desautels, qui fut également échevin de Saint-Vincent-de-Paul dans les années 1950, habitait au 5258, boul. Lévesque Est, alors que le 5262, l'extension, était utilisée à des fins commerciales. |
![]() | C001/A3,02.18 | Carte d'affaires «Terrasse Paquette». Sur cette carte on peut lire l'adresse «St-François de Sales 6547 Boulevard Lévesque», un numéro de téléphone «Soir CR. 4419» et un autre, pour le jour, «HA 7868», qui a été biffé. Et en bas, à droite, une mention de la «Montée du Domaine». 1951. N&b. |
![]() | C001/A3,02.19 | Pharmacie Vue d'ensemble de l'intérieur d'une pharmacie dont les murs sont couverts d'étagères vitrées et le plancher de comptoirs contenant flacons et boîtes diverses. Sur la droite, un homme, derrière le comptoir, pose pour la caméra. Lieu non identifié. [Vers 1910]. Tirage photographique: n&b. |
![]() | C001/A3,02.20 | Magasin général Alphonse Crevier, à Sainte-Dorothée. Le commerce qu'ouvrit Alphonse Crevier au début des années 1920 était situé au rez-de-chaussée d'une maison mansardée d'un étage et demi en clins de bois. Décor estival. Après 1920. Tirage photographique: n&b. |
![]() | C001/A3,03.01 | Manufacture Stella Dress. Cette ancienne manufacture, construite dans les années 1940, était spécialisée dans la confection pour dames. Autrefois située au 15, boulevard Curé-Labelle, à Sainte-Rose, on l'a voit ici, à l'état d'abandon, portes et fenêtres placardées. Décor hivernal. [Années 1960]. Tirage photographique: n&b. |
![]() | C001/A3,03.02 | Manufacture Stella Dress. Cette ancienne manufacture, construite dans les années 1940 et située au 15, boulevard Curé-Labelle, à Sainte-Rose, était spécialisée dans la confection pour dames. Décor estival. [Années 1940-1950]. Tirage photographique: n&b. |
![]() | C001/A3,03.03 | Ancienne usine de traitement d'eau de Sainte-Rose. Il s'agit d'un bâtiment d'un étage et demi en brique, au toit pentu recouvert de tôle à la canadienne, et pourvu d'une cheminée. Décor estival. Vers 1940. Tirage photographique: n&b. |
![]() | C001/A3,03.04 | Plaque commémorant l'inauguration de la centrale de traitement d'eau de Sainte-Rose en 1961. Sur cette plaque on peut lire «VILLE DE SAINTE-ROSE - CENTRALE DE TRAITEMENT D'EAU - 1961 - M. Olier Payette, Maire - MM. Les Échevins - James J. Stafford - Aristide Cloutier - Fred R. Bertrand - Armand Jasmin - François Mayotte - Armand Archambault - M. Léo Labonville, Secrétaire-Trésorier - M. Charles-Édouard Gravel. B.A., B. Sc. A., Ingénieur Conseil - M. Jean-Baptiste Nobert, B. Sc. A., Ingénieur Professionnel - Jasmin Construction Inc. Construction du Bâtiment - Francis Hankin Cie Ltée. Installation de la Mécanique - Cie Canadienne des Eaux et de l'Ozone Ltée - Stérilisation par l'Ozone». 1961. Tirage photographique: n&b. |
![]() | C001/A3,04.01.1 | Ancien Hôtel du Nord, à Saint-Martin. L'établissement était situé derrière la gare Saint-Martin Jonction du Canadian Pacific, un arrêt du «P'tit train du Nord» dont on voit les rails à l'avant-plan. Ici, le bâtiment en briques de deux étages et demi au toit mansardé et percé de cinq lucarnes est à l'abandon, en état de décrépitude. Décor estival. 6 août 1977. Tirage photographique: n&b. |
![]() | C001/A3,04.01.2 | Ancien Hôtel du Nord, à Saint-Martin. L'établissement était situé derrière la gare Saint-Martin Jonction du Canadian Pacific, un arrêt du «P'tit train du Nord» dont on voit les rails à l'avant-plan. Ici, le bâtiment en briques de deux étages et demi au toit mansardé et percé de cinq lucarnes est à l'abandon, en état de décrépitude. Décor estival. 6 août 1977. Tirage photographique: n&b. |
![]() | C001/A3,04.02 | Ancien Hôtel du Nord, à Saint-Martin. L'établissement était situé derrière la gare Saint-Martin Jonction du Canadian Pacific, un arrêt du «P'tit train du Nord». Ici, l'arrière du bâtiment en briques de deux étages et demi au toit mansardé et percé de cinq lucarnes, à l'abandon, en état de décrépitude. Décor estival. 6 août 1977. Tirage photographique: n&b. |
![]() | C001/A3,04.03 | Ancien Hôtel du Nord, à Saint-Martin. L'établissement était situé devant la gare Saint-Martin Jonction du Canadian Pacific, un arrêt du «P'tit train du Nord». Ici, l'arrière du bâtiment en briques de deux étages et demi au toit mansardé et percé de cinq lucarnes, à l'abandon, en état de décrépitude. Décor estival. 6 août 1977. Tirage photographique: n&b. |
![]() | C001/A3,04.04 | Hôtel Cyr, à Sainte-Rose. Cet établissement construit vers 1900 était la propriété d'Ubald Cyr. Le bâtiment mansardé en pierre de trois étages et demi était situé sur le coin nord-est de l'intersection de la rue du Pont (aujourd'hui le boul. Curé-Labelle) et du boulevard Sainte-Rose, tout près du Sainte-Rose Boating Club. Ici, en 1910. Décor estival. Tirage photographique: n&b. |
![]() | C001/A3,04.05 | Hôtel Le Faisan Bleu, à Saint-Martin. Cet hôtel-cabaret, qui accueillit des artistes comme Charles Trenet et Joséphine Baker, fut construit en 1956 et détruit par un incendie le 14 mars 1971. Situé au 1201, boulevard Labelle (aujourd'hui boulevard Curé-Labelle) à Saint-Martin, l'établissement avait cessé toute activité depuis un an avant d'être rasé par les flammes. Décor estival. 1956. Carte postale: coul. |
![]() | C001/A3,05.01 | Pharmacie Bernard, à Sainte-Rose. L'établissement était autrefois situé au 200, boulevard Sainte-Rose. [Années 1960]. Tirage photographique: coul. |
![]() | C001/A3,05.02 | Pharmacie J.E. Brault, à Montréal. Le docteur J. E. Brault pose devant son commerce situé au 4569-4571, boulevard Saint-Laurent. Le Dr. Brault s'établit à cet endroit vers 1927-1928. Sur la vitrine on peut lire «Dr. J. E. BRAULT - PHARMACIEN DRUGGIST». À la gauche du Dr. Brault, une affiche épinglée près de la porte annonce «MAISON À LOUER - HOUSE TO LET» alors que sur un carton placé au bas de la porte, on peut lire «Dr J. E. BRAULT». Le Dr. Brault fit construire, vers 1930, une résidence secondaire autrefois située au 36, avenue du Pacifique, à Laval-des-Rapides. Il y déménagea ensuite toute la famille de manière permanente. Décor estival. [Années 1930]. Tirage photographique: n&b. |
![]() | C001/A3,07.01 | Boucherie Labelle Extérieur de la boucherie Labelle. Deux hommes posent devant l'entrée du commerce sur la porte duquel on peut lire «LABELLE - BOUCHER». L'un des hommes, vraisemblablement vêtu pour faire de la livraison, porte une casquette et un long manteau. Sur la vitrine de gauche, qui appartient à un autre commerce, on peut lire «LE THÉ SALADA». Décor estival. [Années 1920-1930]. Tirage photographique: n&b. |
![]() | C001/A3,07.02 | Voiture de livraison de la boucherie J. O. Labelle, à Sainte-Rose. Un homme est assis à l'avant d'une voiture tirée par un cheval. Sur la voiture on peut lire «J. O. LABELLE - BOUCHER», alors qu'on distingue des bâtiments de ferme en arrière-plan. Décor estival. 1928. Tirage photographique: n&b. |
![]() | C001/A3,07.03 | Charcuterie Sainte-Rose Enrg., à Sainte-Rose. Cette charcuterie était situé au 284 et 286, boulevard Sainte-Rose. Sur un panneau placé en façade on peut lire «CHARCUTERIE STE-ROSE ENRG - SPÉCIALITÉS DU GOURMET». D'autres affiches déclinent les produits vendus par la maison. Cette résidence de style traditionnel québécois fut construite en 1860 et fut la demeure de M. Georges. En juillet 1983, le restaurant La vieille histoire s'y installe. Son succésseur, le restaurant Le Black Forest, propriété de Mélanie Joannette et Jean-François Pépin, s'y établira en avril 2017. Décor estival. Avant 1983. Tirage photographique: n&b. |
![]() | C001/A3,07.04 | Fabrication de la pâte à la Boulangerie Vanier et Frères, à Sainte-Rose. Un homme vêtu de blanc s'active près d'une machine qui travaille et coupe la pâte à l'intérieur de la Boulangerie Vanier et Frères Ltée, située au 107, Saint-François, à Sainte-Rose. Sur le sol reposent des boîtes ouvertes de levure Lallemand. 1962. Photographe: Laurent Vanier. Tirage photographique: n&b. |
![]() | C001/A3,07.05 | Le four à pain à la Boulangerie Vanier et Frères, à Sainte-Rose. Deux hommes vêtus de blanc s'affairent auprès d'un four à pain à l'intérieur de la Boulangerie Vanier et Frères Ltée, située au 107, Saint-François, à Sainte-Rose. En avant-plan, sur la gauche, on peut voir un chariot contenant des pains qui sortent du four. 1962. Photographe: Laurent Vanier. Tirage photographique: n&b. |
![]() | C001/A3,07.06 | Empaquetage à la Boulangerie Vanier et Frères, à Sainte-Rose. Deux hommes s'affairent auprès de la machine servant à empaqueter les pains, à l'intérieur de la Boulangerie Vanier et Frères Ltée, située au 107, Saint-François, à Sainte-Rose. 1962. Photographe: Laurent Vanier. Tirage photographique: n&b. |
![]() | C001/A3,07.07 | Malaxage de la pâte à la Boulangerie Vanier et Frères, à Sainte-Rose. Deux hommes vêtus de blanc s'affairent auprès de la machine servant à malaxer la pâte utilisée dans la fabrication du pain. L'un des ouvriers porte un calot sur lequel on peut lire «FARINE ROBIN HOOD FLOUR». Sur la machinerie on retrpouve la marque du fabricant «THE J.H. DAY COMPANY, CINCINNATI, OHIO». La Boulangerie Vanier et Frères Ltée était située au 107, Saint-François, à Sainte-Rose. 1962. Tirage photographique: n&b. |
![]() | C001/A3,07.08 | Noël à la Boulangerie Vanier & Frères, à Sainte-Rose. Une quarantaine d'enfants accompagnés de quelques adultes dont un père Noël et un clown sont réunis pour la fête de Noël organisée par la Boulangerie Vanier & Frères Ltée. 1964. Photographe: Laurent Vanier. Tirage photographique: n&b. |
![]() | C001/A3,07.09 | L'équipe de livraison de la Boulangerie Vanier et Frères, à Sainte-Rose. Un groupe de 22 hommes en uniforme de livreur et deux hommes en civil posent pour un portrait de groupe à la Boulangerie Vanier et Frères Ltée, située au 107, Saint-François, à Sainte-Rose. Au centre de la composition se trouve une affiche posée sur le sol enneigé et sur laquelle on peut lire «Boulangerie Vanier Frères - Pain et Gâteaux - Ste-Rose de Laval» et dans un médaillon on distingue le chiffre 50. Décor hivernal. Décembre 1962. Photographe: Laurent Vanier. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P056/C1,5.208 | Gare du Canadien National à Strathmore, Dorval. Photo souvenir avec légende «Gare du C.N.R. - Strathmore, Qué». [Années 1940-1950]. Décor estival. Tirage photographique; n&b. |
![]() | P056/C1,5.209 | Presbytère et église Sainte-Jeanne de Chantal, à Strathmore, Dorval. Photo souvenir avec légende «Presbytère et église Ste-Jeanne de Chantal - Strathmore, Qué». [Années 1940-1950]. Décor estival. Tirage photographique; n&b. |
![]() | P056/C1,5.210 | Gare du Canadien Pacifique, à Strathmore, Dorval. Photo souvenir avec légende «Gare du C.P.R. - Strathmore, Qué». [Années 1940-1950]. Décor estival. Tirage photographique; n&b. |
![]() | P056/C1,5.211 | École des garçons Saint-Louis, à Strathmore, Dorval. Photo souvenir avec légende «Ecole des garçons St-Louis - Strathmore, Qué». [Années 1940-1950]. Décor estival. Tirage photographique; n&b. |
![]() | P056/C1,5.212 | Épicerie O. Cardinal, à Strathmore, Dorval Photo souvenir avec légende «Epicerie O. Cardinal - Strathmore, Qué». [Années 1940-1950]. Décor estival. Tirage photographique; n&b. |
![]() | P056/C1,5.213 | Restaurant E. Legault, à Strathmore, Dorval. Photo souvenir avec légende «Restaurant E. Legault - Strathmore, Qué». [Années 1940-1950]. Décor estival.Tirage photographique; n&b. |
![]() | P056/C1,5.214 | Restaurant E. Legault, à Strathmore, Dorval. Photo souvenir avec légende «Restaurant E. Legault - Strathmore, Qué». [Années 1940-1950]. Décor estival.Tirage photographique; n&b. |
![]() | P056/C1,5.215 | Église et presbytère de Sainte-Dorothée. Vue aérienne de l'église, du presbytère et du cimetière de Sainte-Dorothée. L'image porte la légende «PAROISSE STE-DOROTHEE - CO. LAVAL». Décor hivernal. Tirage photographique; n&b. |
![]() | P056/C1,5.216 | Église Saint-Louis-de-France, à Brownsburg-Chatham, Québec. Vue d'ensemble de l'église catholique Saint-Louis-de-France. L'image est accompagnée de la légende «Église Catholique - Brownsburg. P.Q.». [Années 1940-1950]. Décor estival. Carte postale; n&b. |
![]() | P056/C1,5.217 | Motel Bellevue, à Sainte-Anne-de-Beaupré. Vue d'ensemble du bâtiment principal et de petits chalets disposés sur une même ligne droite. Années 1940-1950. Décor estival. Carte postale; coul. |
![]() | P079/A,3.100 | Vue aérienne du boulevard des Laurentides à Vimont. Cette photographie aérienne montre le boulevard des Laurentides, un peu au nord du boulevard Saint-Martin. En 2020, le restaurant, sur la gauche, a été démoli pour faire place à l'agence de location de voitures Discount. En face, l'espace est maintenant occupé par le concessionnaire Albi Hyundai. La maison située immédiatement au nord a, quant à elle, disparue. La partie gauche du boulevard comporte maintenant un terre-plein. En arrière-plan, dans le coin supérieur gauche, on distingue bien les bungalows de la rue Verreault, construits entre 1964 et 1966. Décor estival. 1964 -1966. Tirage photographique; n&b. |
![]() | P079/B,08.031 | Remise de trophées de bowling, à Sainte-Scholastique Un homme remet un trophée sur lequel on peut lire «TROPHÉE MOLSON» et voir le logo de la brasserie Molson. D'autres participants, hommes et femmes, tiennent des trophées de plus petites dimensions. L'action se déroule sur une petite scène où l'on distingue des instruments de musique.1968. Photographe: Germain Beauchamp. Négatif, n&b, 5,5 x 5,5 cm Autre format: Tirage photographique; 12,5 x 17,5 cm |
![]() | P079/B,08.032 | Remise de trophées de bowling, à Sainte-Scholastique Un homme remet un trophée sur lequel on peut lire «TROPHÉE MOLSON» et voir le logo de la brasserie Molson. D'autres participants, cinq hommes et une femme, tiennent des trophées de plus petites dimensions. L'action se déroule sur une petite scène où l'on distingue des instruments de musique. 1968. Photographe: Germain Beauchamp. Négatif, n&b, 5,5 x 5,5 cm Autre format: Tirage photographique; 12,5 x 17,5 cm |
![]() | P079/B,08.033 | Remise de trophées de bowling, à Sainte-Scholastique Groupe composé de six femmes et d'un homme qui remet un trophée sur lequel on peut voir des figurines de joueuses de bowling. Les participantes tiennent des trophées de plus petites dimensions. L'action se déroule sur une petite scène où l'on distingue des instruments de musique. 1968. Photographe: Germain Beauchamp. Négatif, n&b, 5,5 x 5,5 cm Autre format: Tirage photographique; 12,5 x 17,5 cm |
![]() | P079/B,08.034 | Remise de trophées de bowling, à Sainte-Scholastique Groupe composé de deux femmes et de cinq homme tenant chacun un trophée. L'action se déroule sur une petite scène où l'on distingue des instruments de musique. 1968. Photographe: Germain Beauchamp. Négatif, n&b, 5,5 x 5,5 cm Autre format: Tirage photographique; 12,5 x 17,5 cm |
![]() | P079/B,08.035 | Remise de trophées de bowling, à Sainte-Scholastique Un homme remet un trophée sur lequel on peut lire «TROPHÉE MOLSON» et voir le logo de la brasserie Molson. D'autres participants, cinq hommes et une femme, tiennent des trophées de plus petites dimensions. L'action se déroule sur une petite scène où l'on distingue des instruments de musique. 1968. Photographe: Germain Beauchamp. Négatif, n&b. Autre support: Tirage photographique |
![]() | P079/B,08.036 | Remise de trophées de bowling, à Sainte-Scholastique Groupe composé de quatre hommes et d'une femme tenant chacun un trophée. L'action se déroule sur une petite scène où l'on distingue des instruments de musique. 1968. Photographe: Germain Beauchamp. Négatif, n&b, 5,5 x 5,5 cm Autre format: Tirage photographique; 12,5 x 17,5 cm |
![]() | P079/B,08.039 | Couple s'affairant près d'un foyer extérieur Près de leur demeure visible en arrière-plan, une femme regarde son époux, Aquila Ladouceur, qui a ouvert la porte d'un foyer sur lequel est posé un caisson en métal. Décor estival. 1969. Photographe: Germain Beauchamp. Négatif, n&b, 5,5 x 5,5 cm Autre format: Tirage photographique; 12,5 x 17,5 cm |
![]() | P079/T,31.001 | Vue aérienne partielle de Saint-Eustache On peut distinguer le boulevard Arthur Sauvé (A148) qui s'étire vers la gauche et la rue Houle bordée de résidences derrière lesquelles s'étendent des champs. À l'intersection des deux artères se trouvait une station-service FINA, maintenant le concessionnaire Auto Alex situé au 67, blvd Arthur-Sauvé. Le nord est vers le haut. Décor estival. [Années 1960]. Photographe: Germain Beauchamp. Négatif, n&b, 5,5 x 5,5 cm Autre format: tirage photographique; 12,5 x 17,5 cm |
![]() | P079/T,31.025 | Vue aérienne partielle de Laval-Ouest Intersection du boulevard Arthur-Sauvé qui traverse horizontalement l'image et du boulevard Sainte-Rose. On distingue aussi la 22e et la 20e rue (à droite). Le nord est vers le coin inférieur droit. Décor estival. [Années 1960]. Photographe: Germain Beauchamp. Négatif, n&b, 5,5 x 5,5 cm Autre format: tirage photographique; 12,5 x 17,5 cm |
![]() | P079/T,31.036 | Vue aérienne partielle de Laval-Ouest Intersection du boulevard Arthur-Sauvé et du boulevard Dagenais ouest. La taverne située à l'intersection est maintenant la Brasserie La Réserve Laval. Le concessionnaire de voiture Laval Auto dans le cadran inférieur gauche est maintenant un magasin d'alimentation Métro, et la station-service B-A (British American), en face, un garagiste Monsieur Muffler. On distingue également les rue 56, 58 et 60, ainsi que l'avenue 37. Le nord est vers le coin inférieur droit. Décor estival. [Années 1960]. Photographe: Germain Beauchamp. Négatif, n&b, 5,5 x 5,5 cm Autre format: tirage photographique; 12,5 x 17,5 cm |
![]() | P079/T,31.037 | Vue aérienne partielle de Laval-Ouest Intersection du boulevard Arthur-Sauvé et du boulevard Dagenais ouest. Le concessionnaire de voiture Laval Auto dans le cadran inférieur gauche est aujourd'hui, en 2022, un atelier de mécanique, et la station-service B-A (British American), en face, un garagiste Monsieur Muffler. On distingue également, en avant-plan, une section de l'avenue 47. Le nord est vers le coin inférieur gauche. Décor estival. [Années 1960]. Photographe: Germain Beauchamp. Négatif, n&b, 5,5 x 5,5 cm Autre format: tirage photographique; 12,5 x 17,5 cm |
![]() | P079/T,31.038 | Vue aérienne partielle de Laval-Ouest Intersection du boulevard Arthur-Sauvé qui traverse horizontalement l'image et du boulevard Sainte-Rose. On distingue aussi la 22e et la 20e rue (à droite). Le nord est vers le coin inférieur droit. Décor estival. [Années 1960]. Photographe: Germain Beauchamp. Négatif, n&b, 5,5 x 5,5 cm Autre format: tirage photographique; 12,5 x 17,5 cm |
![]() | P079/T,31.044 | Vue aérienne partielle de Saint-Eustache Le concessionnaire Marineau automobile sur au 895, boulevard Arthur-Sauvé. Toujours en activité en 2022. Le nord est vers le coin supérieur gauche. Décor estival. [Années 1960]. Photographe: Germain Beauchamp. Négatif, n&b, 5,5 x 5,5 cm Autre format: tirage photographique; 12,5 x 17,5 cm |
![]() | P080/A1.001 | Famille Zéphirin Sigouin au pieds de la côte Sigouin menant à la traverse de Saint-Vincent-de-Paul . Une partie de la maison de la famille Sigouin, sise au 191, avenue Bellevue, apparaît sur la gauche. La famille se tient devant la grange, de l'autre côté du chemin. En arrière-plan, la rivière des Prairies et le traversier sur la rive opposée. Décor estival. Vers 1910. Carte postale, n&b. Voir aussi P080/A1.037. |
![]() | P080/A1.002 | La côte Sigouin menant au boulevard Lévesque, Saint-Vincent-de-Paul. Vue du chemin menant de la traverse à Sigouin au boulevard Lévesque. Sur la droite, on distingue la maison de Zéphirin Sigouin, sise au 191, avenue Bellevue. Décor estival. Vers 1910. Carte postale, n&b. |
![]() | P080/A1.003 | Escalier menant au boulevard Lévesque, Saint-Vincent-de-Paul. Escalier menant de la rive de la rivière des Prairies près de la traverse Saint-Vincent-de-Paul, au boulevard Lévesque, près des résidences des Handfield et des Desnoyers. Sur la droite, on peut voir la maison de Jos Sigouin. À gauche, en blanc et portant chapeau, se trouve Roger Sigouin. Assis sur le muret, Achille «Bébé» Sigouin (?). Décor estival. Vers 1910. Carte postale: n&b. |
![]() | P080/A1.004 | Saint-Vincent-de-Paul vu de Montréal-Nord. Vue d'ensemble du village de Saint-Vincent-de-Paul, de sa rive et de la rivière des Prairies. Sur la gauche, on distingue l'hôpital Auclair, et sur la droite, l'église du village. Décor estival. Sur la carte, on peut lire «St Vincent de Paul». Vers 1915. Carte postale, n&b. |
![]() | P080/A1.008 | La montée Saint-François à Saint-Vincent-de-Paul. Vue de la montée Saint-François depuis la voie ferrée. Sur la droite, on distingue le pénitencier de Saint-Vincent-de-Paul. Décor verdoyant. Vers 1910. Carte postale, n&b. |
![]() | P080/A1.009 | Logements pour employés du pénitencier Saint-Vincent-de-Paul. Situées sur la montée Saint-François, ces habitations servaient à loger des employés du pénitencier dont messieurs Latour, Temlen, Hogue, Payne, Dupuis, Barbeau, Godin, Jobin, Major, Hallé, Roy, Laporte et Piché. Ces habitations furent détruites après l'évasion du 4 février 1961. Décor verdoyant. Vers 1910. Carte postale, n&b. |
![]() | P080/A1.010 | Le village de Saint-Vincent-de-Paul. Vue de Saint-Vincent-de-Paul depuis la voie ferrée. Sur la gauche, on distingue l'église du village et, au centre, le pénitencier de Saint-Vincent-de-Paul. Décor verdoyant. Date inconnue. Carte postale, n&b. |
![]() | P080/A1.011 | Le village de Saint-Vincent-de-Paul. Vue de Saint-Vincent-de-Paul depuis la voie ferrée. Sur la gauche, on distingue l'église du village et le pénitencier de Saint-Vincent-de-Paul. Sur la droite, on peut voir la gare de Saint-Vincent-de-Paul. Décor verdoyant. Date inconnue. Carte postale, n&b. |
![]() | P080/A1.012 | Assemblage de cartes postales présentant différentes vues du village de Saint-Vincent-de-Paul. Dans le sens des aiguilles d'une montre en partant de la gauche, en bas : résidence de M. Wilson, résidence de J. W. Lévesque, boulevard Lévesque en direction ouest, la gare, la pharmacie Laval (au bas de la côte du boul. Lévesque), et l'hôtel Mathieu coin boul. Lévesque et montée Saint-François. Au centre, la rive où l'on distingue la côte Sigouin, ainsi que la maison et la grange de Zéphyrin Sigouin. Date inconnue. Carte postale, n&b. |
![]() | P080/A1.013 | Entrée principale du pénitencier Saint-Vincent-de-Paul. Vue de l'entrée du pénitencier sur la montée Saint-François. Sur la gauche, on distingue un mirador et le mur d'enceinte et, au centre, l'ancien couvent des Dames du Sacré-Coeur. Décor estival. Vers 1920. Carte postale, n&b. |
![]() | P080/A1.014 | Entrée principale du pénitencier Saint-Vincent-de-Paul. Vue partielle du mur d'enceinte et de la façade de l'ancien couvent des Dames du Sacré-Coeur sur la montée Saint-François. Sur la gauche, un gardien, armé d'une carabine qu'il tient à la main, longe le mur du pénitencier. Plus loin, un groupe de quatre personnes approchent de l'ancien couvent devant lequel est planté un poteau électrique. En avant-plan, une partie de la monté Saint-François. Décor estival. 1919. Carte postale, n&b. |
![]() | P080/A1.016 | Hôtel Central à Saint-Vincent-de-Paul. Vue de l'hôtel Central, propriété de P. Mathieu, situé au coin du boulevard Lévesque et de la montée Saint-François. À l'endos de la carte postale, on peut lire «O. Allard, artiste-photographe, 1557, Mont-Royal Est, Montréal». Décor estival. 1915. Carte postale, sépia. |
![]() | P080/A1.017 | Maison C. Bisson, magasin départemental à Saint-Vincent-de-Paul. Le magasin C. Bisson était la propriété de Cyrille Bisson (1842-1922), maire de Saint-Vincent-de-Paul de 1893 à 1896, époux de Olympe Valiquette (1850-1915), grand-père de Jeannine et Renée Auclair, elles-même filles de Ernestine Bisson. Le magasin était situé sur la montée Saint-François, près du boulevard Lévesque. Décor estival. 1910. Carte postale, sépia. Voir aussi P080/A1.006. |
![]() | P080/A1.019 | Pénitencier de Saint-Vincent-de-Paul. Vue en direction nord-ouest du bloc principal du pénitencier Saint-Vincent-de-Paul. On distingue la partie centrale, trois ailes qui s'étirent vers le sud, et le mur d'enceinte sud-est en avant-plan. Sur la droite, on peut voir l'ancient couvent des Dames du Sacré-Coeur, et sur la gauche, en arrière-plan, la porcherie du pénitencier. Décor estival. Carte postale, n&b. |
![]() | P080/A1.020 | Pénitencier de Saint-Vincent-de-Paul. Vue de la façade nord-est du pénitencier. À gauche, l'ancient couvent des Dames du Sacré-Coeur et les bâtiments le jouxtant. À droite, le mur d'enceinte nord-ouest, et le mirador ouest. En avant-plan, sur la droite, on peut voir l'extrémité d'un porche et un jardinet clôturé appartenant à la résidence des gardiens située sur la montée Saint-François. Décor dépouillé. Vers 1910, avant l'incendie du 26 février 1914. Carte postale, n&b. |
![]() | P080/A1.021 | Logements pour employés du pénitencier Saint-Vincent-de-Paul. Situées sur la montée Saint-François, ces habitations servaient à loger des employés du pénitencier dont messieurs Latour, Temlen, Hogue, Payne, Dupuis, Barbeau, Godin, Jobin, Major, Hallé, Roy, Laporte et Piché. Ces habitations furent détruites après l'évasion du 4 février 1961. Décor verdoyant. Vers 1910. Carte postale, sépia. Voir aussi P080/A1.009. |
![]() | P080/A1.022 | Logis des fonctionnaires du pénitencier Saint-Vincent-de-Paul. Vue en plongée sur les logements des gardiens du pénitencier situés près du mirador nord sur la montée Saint-François. Derrière le bâtiment on peut voir la cheminée et la chaufferie du pénitencier. Sur la photographie on peut lire «Site Picture between New Admin. Bldg. & Block Hi & H8, St Vincent de Paul Penitentiary, 20 Nov. 56». Sur une affichette placée sous la photographie, on peut lire «habitations des fonctionnaires, Prise d'otage de la femme d'uun fonctionnaire, 4 février 1961». Décor dépouillé. Novembre 1956. Photographie, sépia. |
![]() | P080/A1.023 | Pénitencier de Saint-Vincent-de-Paul. Vue en plongée de la partie sud du pénitencier. On peut voir, en arrière-plan, l'ancien couvent des Dames du Sacré-Coeur, et la chaufferie du pénitencier. Vers 1950. Carte postale, n&b. |
![]() | P080/A1.024 | Pénitencier Saint-Vincent-de-Paul. Vue en plongée de la partie sud-est de l'enceinte. On peut voir, en avant-plan, une aire clôturée que surplombe le mirador est. Plus loin, à l'est, on discerne les contours du Centre fédéral de formation. Décor estival. Vers 1950. Carte postale, n&b. |
![]() | P080/A1.025 | Pénitencier Saint-Vincent-de-Paul. Vue en plongée de la partie sud du pénitencier. On peut voir, en arrière-plan, l'ancien couvent des Dames du Sacré-Coeur, et la chaufferie du pénitencier. Vers 1950. Carte postale, sépia. Voir aussi P080/A1.023. |
![]() | P080/A1.026 | Hôtel Lussier, Saint-Vincent-de-Paul. L'hôtel Lussier, une construction mansardé située dans le bas du village à l'intersection du boulevard Lévesque et de la rue Saint-Simon, aussi appelé l'Hôtel des Touristes, était la propriété de Alf. Charbonneau. Décor estival. Vers 1915. Carte postale, sépia. |
![]() | P080/A1.027 | Maison située au 5463, boulevard Lévesque Est, Saint-Vincent-de-Paul. Cette résidence était occupée par Oscar Beauchamp, alors préfet du pénitencier. Cette maison, démolie en 1910, est l'ancien manoir Lacroix. Elle fut remplacée par la construction aujourd'hui située au 5486, boulevard Lévesque Est, et qui serrvie également de résidence au préfet du pénitencier. Décor estival. Vers 1910. Carte postale, n&b. |
![]() | P080/A1.028 | Résidence du préfet du pénitencier Saint-Vincent-de-Paul. Cette résidence, occupé par le préfet du pénitencier, est située au 5486, boulevard Lévesque Est. Elle remplace un bâtiment qui fut démoli en 1910 et qui servait également de résidence au préfet du pénitencier. Le premier occcupant de cette résidence fut Oscar Stanislas Malépart, préfet de 1910 à 1920. Décor verdoyant. Août 1924. Tirage photographique; sépia. |
![]() | P080/A1.029 | Résidence du préfet du pénitencier Saint-Vincent-de-Paul. Vue de l'arrière de la résidence occupée par le préfet du pénitencier. Située au 5486, boulevard Lévesque Est, elle remplace un bâtiment qui fut démoli en 1910 et qui servait également de résidence au préfet du pénitencier. Le premier occcupant de cette résidence fut Oscar Stanislas Malépart, préfet de 1910 à 1920. Décor verdoyant. Août 1924. Tirage photographique; sépia. |
![]() | P080/A1.030 | Résidence du préfet du pénitencier Saint-Vincent-de-Paul. Vue du court de tennis situé à l'arrière de la résidence occupée par le préfet du pénitencier. Située au 5486, boulevard Lévesque Est, elle remplace un bâtiment qui fut démoli en 1910 et qui servait également de résidence au préfet du pénitencier. Le premier occcupant de cette résidence fut Oscar Stanislas Malépart, préfet de 1910 à 1920. Ici, le court est occupé par un groupe de joueuses. Décor verdoyant. Après1910. Tirage photographique; n&b. |
![]() | P080/A1.032 | Maisons du Bas du village à Saint-Vincent-de-Paul. Située sur le boulevard Lévesque, la maison du centre abritait la boucherie Brien-Gareau dont on voit le camion de livraison, et la maison de gauche, une pharmacie tenue par le docteur Mathieu. Décor verdoyant. Photographe : O. Allard, 1557, Mont-Royal, Montréal. 1923. Carte postale; sépia. |
![]() | P080/A1.033 | Le boulevard Lévesque à Saint-Vincent-de-Paul. Vue du boulevard Léveesque le long duquel on retrouve, sur la droite, l'église du village ainsi que le presbytère, ancienne résidence du sénateur Joseph-Hyacinthe Bellerose (1820-1899), d'abord député à la Chambre des communes du Canada où il représentait la circonscription de Laval de 1867 à 1873. Décor hivernal. Date inconnue. Carte postale; n&b. |
![]() | P080/A1.034 | L'église de Saint-Vincent-de-Paul vers 1915. Vue de l'église du village de Saint-Vincent-de-Paul. Décor estival. Vers 1915. Carte postale; n&b. |
![]() | P080/A1.036 | Portrait d'un groupe de Saint-Vincent-de-Paul en visite à l'île Rochon. Un groupe d'adultes et d'enfants pose pour la caméra lors d'une visite récréative sur l'île Rochon. Certains des hommes tiennent une bouteille d'alcool, un autre une canne à pêche. Quelques enfants sont identifiés sur la photo: Simone, Madeleine (Sigouin Labrecque, 3 ans), et Maurice (Sigouin, 9 ans). La troisième femme, à partir de la gauche, vêtue tout de blanc, est Béatrice Auclair Sigouin (32 ans). Décor verdoyant. 1918. Carte postale; sépia. |
![]() | P080/A1.038 | La côte Sigouin menant au boulevard Lévesque, Saint-Vincent-de-Paul. Vue du chemin menant de la traverse à Sigouin au boulevard Lévesque. Sur la droite, on distingue la maison de Zéphirin Sigouin, sise au 191, avenue Bellevue. Décor estival. Vers 1910. Carte postale; sépia. |
![]() | P080/A1.039 | Jeunes hommes sur la rive de la rivière des Prairies à Saint-Vincent-de-Paul. Un groupe de cinq jeunes hommes en veston cravate pose pour le photographe sur la grève de la rivière près de laquelle sont ancrées quelques petites embarcations. Décor verdoyant. 1922. Carte postale; sépia. |
![]() | P080/A1.040 | La rue Saint-Louis à Saint-Vincent-de-Paul. Vue de la rue Saint-Louis (maintenant l'avenue Bellevue). Sur la gauche se trouve l'église de Saint-Vincent-de-Paul et, devant, la maison du bedeau Valade. À droite, le Couvent des Soeurs de la Providence et, en avant-plan, la cour de récréation des garçons. Décor hivernal. Vers 1945-1950. Carte postale; n&b. |
![]() | P080/A1.041 | Rive de la rivière des Prairies à Saint-Vincent-de-Paul. Vue de la rive à Saint-Vincent-de-Paul là où se trouvait la traverse à Sigouin. Au loin, on distingue le pont Pie-IX. Décor verdoyant. Sur la carte, on peut lire «Bord de l'eau - St-Vincent-de-Paul». [Années1940]. Carte postale; n&b. |
![]() | P080/A1.042 | Le village de Saint-Vincent-de-Paul Vue éloignée de Saint-Vincent-de-Paul et la rivière des Prairies en avant-plan. Depuis la gauche, on distingue le Couvent des Soeurs de la Providence, l'église, la maison du préfet du pénitencier, la maison «Chenet» habitée par l'aumônier du pénitencier, et une maison blanche, rue Saint-Simon (aujourd'hui l'avenue Bellevue) autrefois habitée par la famille Bélanger. Puis, en arrière-plan, le pénitencier Saint-Vincent-de-Paul. Décor verdoyant. Vers 1950. Carte postale; n&b. |
![]() | P080/A1.043 | Régates à Saint-Vincent-de-Paul. Vue éloignée des régates se déroulant sur la rivière des Prairies. En avant-plan, on peut voir la foule des spectateurs venus assister à l'événement. En arrière-plan, la rive de l'île de Montréal. Décor verdoyant. 1910. Carte postale; sépia. |
![]() | P080/A1.044 | Régates à Saint-Vincent-de-Paul Vue de la rive de Saint-Vincent-de-Paul où se sont massé les spectateurs. En haut de la côte se trouve le boulevard Lévesque. Sur la droite, en partie cach. par les arbres, se trouve l'hôpital Auclair. Décor verdoyant. Vers 1910. Carte postale; n&b. |
![]() | P080/A1.045 | «La traverse» Saint-Vincent-de-Paul. Vue de la traverse l'Archevêque depuis la rive à Montréal-Nord. En avant-plan, on distingue un bac transportant une voiture ainsi que le quai destiné à acceuillir les petites embarcations. En arrière-plan, la rive de Saint-Vincent-de-Paul. Décor verdoyant. 1935. Carte postale; n&b. |
![]() | P080/A1.046 | «La traverse» Saint-Vincent-de-Paul. Vue de la traverse l'Archevêque depuis la rive à Montréal-Nord. En avant-plan, on distingue un bac transportant une voiture, alors qu'un deuxième approche de la rive. Sur la droite, on aperçoit le quai destiné à acceuillir les petites embarcations. En arrière-plan, la rive de Saint-Vincent-de-Paul. Décor verdoyant. Photographe : L. Charpentier, 4, rue Notre-Dame, Montréal. 1937. Carte postale; n&b. |
![]() | P080/A1.047 | «La traverse» Saint-Vincent-de-Paul. Vue de la traverse l'Archevêque depuis la rive à Montréal-Nord. En avant-plan, on distingue un bac transportant une voiture, alors que sur la droite, on aperçoit le quai destiné à acceuillir les petites embarcations. En arrière-plan, la rive de Saint-Vincent-de-Paul. Décor verdoyant. Photographe : L. Charpentier, 4, rue Notre-Dame, Montréal. 1937. Carte postale; n&b. |
![]() | P080/A1.050 | Avenue Bellevue à Saint-Vincent-de-Paul. Vue de la rive et de l'avenue Bellevue depuis la rivière des Prairies gelée et couverte de neige. On peut distinguer, au centre, la maison du docteur Carl Giasson (467, ave. Bellevue), complètement à droite, la maison du «capitaine» Alfred Naud (475, ave. Bellevue) et, tout à fait à gauche, la maison Audette (413,ave. Bellevue). Décor hivernal. Vers 1950. Carte postale; n&b. |
![]() | P080/A1.052 | Le pont Pie-IX reliant Montréal à l'Île Jésus. Vue du pont reliant Montréal-Nord et Saint-Vincent-de-Paul, et sur lequel passe l'autoroute 125. Décor verdoyant. Photographe : Charpentier. [1936]. Carte postale; n&b. |
![]() | P080/A1.053 | La rue Les Écores à Saint-Vincent-de-Paul. Vue de la rue Les Écores sous un manteau de neige. Date inconnue. Carte postale, n&b. |
![]() | P080/A1.054 | La chapelle du Couvent des Soeurs de la Providence à Saint-Vincent-de-Paul. Vue de l'intérieur de la chapelle du couvent, situé au 5436, boulevard Lévesque Est. [Années 1920-1930]. Tirage photographique; n&b. |
![]() | P080/A1.055 | La chapelle du Couvent des Soeurs de la Providence à Saint-Vincent-de-Paul. Vue de l'intérieur de la chapelle du couvent, situé au 5436, boulevard Lévesque Est. Vers 1950. Tirage photographique; n&b. |
![]() | P080/A1.056 | Le Couvent des Soeurs de la Providence à Saint-Vincent-de-Paul. Vue du couvent, situé au 5436, boulevard Lévesque Est, depuis l'église. Vers 1950. Photographe : Madeleine Sigouin Labrecque. Tirage photographique; n&b. |
![]() | P080/A1.057 | L'auberge des Écores à Saint-Vincent-de-Paul. Vue de l'auberge des Écores située au 5312, boulevard Lévesque Est. C'est suite à un référendum remporté par les partisans de la libre vente d'alcool qu'Amable Clermont, notaire de 1918 à 1935, transforme sa résidence acquise dans les années 1920 en auberge. Décor estival. Vers 1950. Carte postale; n&b. |
![]() | P080/A1.058 | Couvent des Soeurs de la Providence à Saint-Vincent-de-Paul. Vue du côté est du couvent situé au 5436, boulevard Lévesque Est, voisin de la maison du préfet du pénitencier Saint-Vincent-de-Paul. Décor estival. Vers 1900. Carte postale; n&b. |
![]() | P080/A1.059 | Couvent des Soeurs de la Providence à Saint-Vincent-de-Paul. Vue du couvent depuis l'église. Situé au 5436, boulevard Lévesque Est, le couvent est voisin de la maison du préfet du pénitencier Saint-Vincent-de-Paul. On distingue, sur la droite, l'entrée des filles. Décor estival. Vers 1950. Carte postale; n&b. |
![]() | P080/A1.060 | Inondation à Saint-Vincent-de-Paul. Vue de la rivière des Prairies sortie de son lit. Ici, les jardins du préfet du pénitencier Saint-Vincent-de-Paul. Décor hivernal. 1930. Tirage photographique; n&b. |
![]() | P080/A1.061 | Couple dans une érablière à Saint-Vincent-de-Paul. Edmée Auclair (1897-1982), et un inconnu posent pour le photographe au temps des sucres. Décor dépouillé. Vers 1915. Carte postale; sépia. |
![]() | P080/A1.063 | Le Centre sportif Laval à Saint-Vincent-de-Paul. Vue du Centre sportif Laval, inauguré le 16 février 1954. Décor estival. Édité par Photo UNIC (11725B - No. 2135), 7000, rue Saint-Urbain, Montréal. [Années 1950]. Carte postale; coul. |
![]() | P080/A1.066 | Le boulevard Lévesque à Saint-Vincent-de-Paul. Vue du boulevard Lévesque en direction est. Au 5303, à gauche, la maison de Cécile Clairmont où l'on trouvait librairie et bureau de poste. Derrière la voiture en stationnement se trouvait une maison abritant une succursale de la Banque nationale, démolie en 1957. Au 5312, sur la droite, on distingue une partie de l'hôtel des Écores. Décor hivernal. Vers 1950. Carte postale; n&b. |
![]() | P080/A1.067 | Edmée Auclair devant l'église de Saint-Vincent-de-Paul. Edmée Auclair (1897-1982) fut organiste à l'église Saint-Vincent-de-Paul pendant 45 ans. Elle habitait chez son frère, Alban Auclair, au 62, rue Saint-Étienne (aujourd'hui Place Jean-Eudes-Blanchard), dont la maison fut vendue en 1956 pour devenir une succursale de la Caisse populaire. Décor estival. Vers 1940. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A1.068 | Germaine Auclair devant l'église de Saint-Vincent-de-Paul. Germaine Auclair (1895-1979) chez son frère Alban Auclair, au 62, rue Saint-Étienne (aujourd'hui Place Jean-Eudes-Blanchard), dont la maison fut vendue en 1956 pour devenir une succursale de la Caisse populaire. En arrière-plan, on peut voir l'ancien muret du cimetière de l'église. Décor verdoyant. Vers 1940. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A1.071 | Restaurant Chez Raymond à Saint-Vincent-de-Paul. Le restaurant Chez Raymond était situé au 5372, boulevard Lévesque et était la propriété de Raymond Labrecque et Madeleine Sigouin qui l'avaient acheté en novembre 1938. Le couple vend le commerce en 1965. Un incendie détruira la bâtisse le 10 juillet 1984. Décor estival. Vers 1942. Tirage photographique; n&b. |
![]() | P080/A1.072 | Maison autrefois située au 5368, boulevard Lévesque Est à Saint-Vincent-de-Paul. Cette maison traditionnelle québécoise était la propriété de Mademoiselle Dufort qui y tenait une épicerie. Cette dernière vendit la bâtisse à Raymond Labrecque qui tenait déjà un restaurant, Chez Raymond, au 5374, boulevard Lévesque Est. Décor dépouillé. Vers 1900-1920. Carte postale; n&b. |
![]() | P080/A1.074 | Restaurant Chez Raymond à Saint-Vincent-de-Paul. Le restaurant Chez Raymond, qui servait également d'épicerie et de magasin général, était situé au 5372, boulevard Lévesque. Il était la propriété de Raymond Labrecque et Madeleine Sigouin qui l'avaient acheté en novembre 1938. Le couple vend le commerce en 1965. Un incendie détruira la bâtisse le 10 juillet 1984. Décor hivernal. Vers 1941. Photographe : Madeleine Labrecque Sigouin. Tirage photographique; n&b. |
![]() | P080/A1.075 | Restaurant Chez Raymond à Saint-Vincent-de-Paul. Le restaurant Chez Raymond, qui servait également d'épicerie et de magasin général, était situé au 5372, boulevard Lévesque. Il était la propriété de Raymond Labrecque et Madeleine Sigouin qui l'avaient acheté en novembre 1938. Le couple vend le commerce en 1965. Un incendie détruira la bâtisse le 10 juillet 1984. Décor estival. Vers 1940. Photographe : Madeleine Labrecque Sigouin. Tirage photographique; n&b. |
![]() | P080/A1.076 | Restaurant Chez Raymond à Saint-Vincent-de-Paul. Le restaurant Chez Raymond Labrecque, autrefois Chez Raymond, qui servait également d'épicerie et de magasin général, était situé au 5372, boulevard Lévesque. Il était la propriété de Raymond Labrecque et Madeleine Sigouin qui l'avaient acheté en novembre 1938. Ici, un second étage comportant deux logements a été ajouté au bâtiment original. Le couple vend le commerce en 1965. Un incendie détruira la bâtisse le 10 juillet 1984. La maison sur la droite, au 5368, était la résidence de la famille Labrecque. Ici, à l'époque de la Fête-Dieu. Décor estival. Vers 1950. Photographe : Madeleine Labrecque Sigouin. Tirage photographique; n&b. |
![]() | P080/A1.080 | La rue Principale à Saint-Vincent-de-Paul. Vue de la rue Principale, maintenant le boulevard Lévesque, en direction ouest. Sur la gauche, au 5374, une maison qui fut démolie pour faire place à la maison du docteur Coron et que l'on peut encore voir de nos jours. La deuxième maison, au 5368, est la maison de Mademoiselle Dufort qui l'a vendit à Raymond Labrecque, en 1939. Décor estival. Vers 1920. Copie de carte postale; n&b. |
![]() | P080/A1.083 | Raymond Labrecque à Saint-Vincent-de-Paul. Raymond Labrecque était propriétaire du restaurant-épicerie Chez Raymond, sis au 5372, boulevard Lévesque, de 1938 à 1965. Décor estival. Vers 1945. Tirage photographique; n&b. Note : Raymond Labrecque est né le 24 janvier 1915. Il épousa Madeleine Sigouin (1915-1984) le 1er octobre 1938. Le couple eut cinq enfants : Jean (1939), Pierre et Denise (1942), Jacques (1944) et André (1952). |
![]() | P080/A1.085 | Rue de la Fabrique à Saint-Vincent-de-Paul. La rue de la Fabrique en direction ouest. On distingue, en arrière-plan, l'église du village. Date inconnue. Carte postale; n&b. |
![]() | P080/A1.088 | Maison autrefois située au 62, rue Saint-Étienne, Saint-Vincent-de-Paul. Cette maison fut occupée par Alban Auclair qui l'avait acheté vers 1930, après l'expropriation de la montée Saint-François. Elle fut ensuite vendue pour abriter une succursale de la Caisse populaire Desjardins. L'emplacement est maintenant occupé par la galerie d'art Saint-Vincent-de-Paul située au 1100, Place Jean-Eudes Blanchard. Décor verdoyant. Années 1930. Photographe : famille Alban Auclair. Tirage photographique; sépia. |
![]() | P080/A1.089 | Le Collège Laval à Saint-Vincent-de-Paul. Vue du Collège Laval, ouvert en 1859. Décor verdoyant. Vers 1934. Photographe : L. Charpentier, 41, rue Notre-Dame, Montréal. Carte postale; n&b. |
![]() | P080/A1.090 | Le Collège Laval à Saint-Vincent-de-Paul. Vue du Collège Laval, ouvert en 1859. Décor verdoyant. [Vers 1940]. Carte postale; n&b. |
![]() | P080/A1.091 | Élèves du Collège Laval à Saint-Vincent-de-Paul. Groupe d'élèves posant devant le collège. [Années 1920]. Photographe : O. Allard, rue Mont-Royal, Montréal. Carte postale; sépia. Notes : Les élèves marqués d'une croix sont, de gauche à droite : Gagnon, Fernand, Dupuis (?), et M. Jobin. |
![]() | P080/A1.092 | Élèves du Collège Laval à Saint-Vincent-de-Paul. Groupe d'élèves posant devant le collège. [Années 1920]. Photographe : O. Allard, rue Mont-Royal, Montréal. Carte postale; sépia. Notes : Les élèves marqués d'une croix sont, de gauche à droite : Philippe Watson et Charbonneau du Garage Sainte-Rose, et deux inconnus. |
![]() | P080/A1.093 | Élèves du Collège Laval à Saint-Vincent-de-Paul. Groupe d'élèves posant devant le collège. Vers 1918. Carte postale; sépia. Notes : Au centre de la troisième rangée, encerclé, se trouve Georges Labrecque, fils de Émile Labrecque et Rosetta Gavin, et frère de Raymond, Alfred, Roland (1913-1930), Yolande, et Philippe (1910-1945). |
![]() | P080/A1.094 | Élèves du Collège Laval à Saint-Vincent-de-Paul. Groupe d'élèves posant devant une toile de fond. Vers 1920. Carte postale; sépia. Notes : À droite, troisième rangée, marqué d'une flèche, se trouve Philippe Labrecque (1910-1945), fils de Émile Labrecque et Rosetta Gavin, et frère de Raymond, Alfred, Roland (1913-1930), Yolande, et Georges. |
![]() | P080/A1.095 | Élèves du Collège Laval à Saint-Vincent-de-Paul. Groupe d'élèves posant devant le collège. Vers 1923. Photographe : O. Allard, 1557, rue Mont-Royal, Montréal. Carte postale; sépia. Notes : À gauche, troisième rangée, se trouve Roland Labrecque (1913-1930), fils de Émile Labrecque et Rosetta Gavin, et frère de Raymond, Alfred, Yolande, et Philippe (1910-1945). |
![]() | P080/A1.096 | Équipe de hockey du Collège Laval, en 1945-46 Photo d'équipe des joueurs, entraineurs et mascottes. 1946-1947. Photographe : Studio Belfoto, Laval. Carte postale; sépia. Sont identifiés par nom : Hervé Fillion, Jean-Guy Bérubé, Noël Raymond, Jacques Ménard, Roger Dauphinais, Jean Bourgela, Albéric Fillion, Léo Lacerte (mascotte), Gérard Chabot, Bruno Lacerte (gérant), Paul Saint-Pierre, Walter Buswell (instructeur), Jules Buswell (mascotte), Gilbert Ménard, Georges Hotte, Denis Lahaie, Jean-Guy Renaud, Georges Ouellette, Ronald Robidoux, Gilles Bolduc. |
![]() | P080/A1.097 | L'abbé Therrien conduisant sa voiture à Saint-Vincent-de-Paul. L'abbé Therrien, aumônier du couvent des Soeurs de la Providence, en compagnie du curé Perreault. Trois frères du Collège Laval sont entassés à l'arrière. Ici, devant les écuries de l'hôtel Mathieu (plus tard Chartrand), au coin du boulevard Lévesque et de la montée Saint-François. Décor estival. Vers 1915. Carte postale; n&b. |
![]() | P080/A1.098 | La rue du Collège à Saint-Vincent-de-Paul. Vue de la rue du Collège. On distingue, en arrière-plan, le Collège Laval, fondé en 1859. [1900-1910]. Carte postale; n&b. |
![]() | P080/A1.101 | Le Collège Laval à Saint-Vincent-de-Paul. Vue du collège depuis l'avenue du Collège. La maison de l'aumônier se trouvait sur la gauche. La maison de droite fut, plus tard, habitée par Adélard Poirier et Mariette Sigouin, qu'ils avaient achetée en 1934. Décor estival. Vers 1915. Carte postale; sépia. |
![]() | P080/A1.103 | Préau du Collège Laval à Saint-Vincent-de-Paul. Vue de la cour et du préau du collège. Vers 1940. Tirage photographique; n&b. |
![]() | P080/A1.117 | Le petit Jésus dans la crèche de l'église de Saint-Vincent-de-Paul. L'enfant Jésus repose sur un lit de paille, sous l'oeil de la vierge Marie. [Années 1950-1960]. Tirage photographique; n&b. |
![]() | P080/A1.118 | La crèche dans l'église de Saint-Vincent-de-Paul. L'enfant Jésus repose sur un lit de paille, entouré de la vierge Marie et de Joseph, de l'âne et du boeuf. [Années 1950-1960]. Tirage photographique; n&b. |
![]() | P080/A1.120 | Madame Yvonne Chevalier à Saint-Vincent-de-Paul. Madame Chevalier, née Jubinville, veuve, fut à l'emploi du presbytère de 1944 à 1956. On la voit ici dans l'escalier latéral (ouest) du presbytère après les transformations de 1927. Vers 1950. Tirage photographique; n&b. Note : Madame Chevalier (1898-?) était l'épouse de Georges Chevalier (1899-?) et la mère de Georgette Chevalier Sardano (1937-2013) et de Monique Chevalier. |
![]() | P080/A1.121 | Alice Auclair et trois inconnues à Saint-Vincent-de-Paul. Alice Auclair (1892-1982), au centre, en robe blanche, pose en compagnie d'une jeune femme et de deux enfants, à l'arrière du presbytère. Décor estival. Vers 1909. Tirage photographique; n&b. |
![]() | P080/A1.128 | Le village de Saint-Vincent-de-Paul Depuis la voie ferrée, vue panoramique du village. On distingue la façade nord-ouest du pénitencier avec l'entrée monumentale et les miradors ouest et sud, sur la droite. Au-delà d'un champs, on aperçoit les bâtiments les plus élevés du pénitencier qui s'élèvent au-dessus du mur d'enceinte, dont un château d'eau, mais aussi d'autres bâtiments situés à l'extérieur des murs, dont l'église de Saint-Vincent-de-Paul et, sur la droite, le Collège Laval. Vers 1925. Tirage photographique; n&b. |
![]() | P080/A1.130 | La façade est du pénitencier Saint-Vincent-de-Paul sur la montée Saint-François, en 1919. Vue partielle du mur d'enceinte et de la façade de l'ancien couvent des Dames du Sacré-Coeur sur la montée Saint-François. Sur la gauche, un gardien, armé d'une carabine qu'il tient à la main, longe le mur du pénitencier. Plus loin, un groupe de quatre personnes approchent de l'ancien couvent devant lequel est planté un poteau électrique. En avant-plan, une partie de la montée Saint-François. Juillet 1919. Tirage photographique (copie); n&b. |
![]() | P080/A1.131 | Le pénitencier Saint-Vincent-de-Paul sur la montée Saint-François, en 1939. Face extérieure du mur nord-est avec entrée monumentale. En avant-plan, le mirador nord et le portail en fer forgé sur lequel on pouvait lire «PENITENCIER ST VINCENT DE PAUL». Hiver 1939. Photographe : Madeleine Sigouin Labrecque. Tirage photographique; n&b. |
![]() | P080/A1.132 | Le portail du pénitencier Saint-Vincent-de-Paul. Sur la montée Saint-François, portail à double arche en fer forgé sur lequel on peut lire «PENITENCIER ST VINCENT DE PAUL». À droite, on peut voir une partie du logement des guardiens. Décor estival. Date inconnue. Tirage photographique (copie): n&b |
![]() | P080/A1.133 | Procession de la Fête-Dieu sur la montée Saint-François à Saint-Vincent-de-Paul. La procession, avec en tête le clergé et le curé portant le Saint-Sacrement protégé par un dais, est flanquée, de part et d'autre, d'hommes en uniforme. Derrière, les fidèles suivent le cortège qui longe le pénitencier sur la montée Saint-François. Décor verdoyant. [Années 1930]. Tirage photographique; n&b. |
![]() | P080/A1.134 | Le maire Avila Bisson et le colonel Georges Lebel. À gauche, Avila Bisson (1891-1971), maire de Saint-Vincent-de-Paul de 1935 à 1946, et le colonel Georges Lebel (1895-1977), directeur du pénitencier Saint-Vincent-de-Paul, aux funérailles d'Émile Labrecque (1875-1945) de Lévis. Avril 1945. Tirage photographique; n&b. |
![]() | P080/A1.136 | Zouaves pontificaux de Saint-Vincent-de-Paul. À droite, Raymond Théorêt (1913-1977), père de Daniel Théorêt, diacre, et, tenant le clairon, son frère Benoît Théorêt. Décor verdoyant. Photographe : Famille Théorêt. Date inconnue. Tirage phographique: n&b. |
![]() | P080/A1.137 | Émery Théorêt, garde au pénitencier Saint-Vincent-de-Paul. Émery Théorêt, époux d'Alexina Charbonneau, demeurait au 76, rue Saint-Étienne (aujourd'hui Place Jean-Eudes-Blanchard) à côté de la Caisse populaire. La maison fut démolie en 1978 pour faire place à un stationnement. En plus d'être garde, M. Théorêt était courrier de la poste (de la gare à la librairie Clermont), garde-chiens à l'église, et présentateur de films à la salle municipale où sa fille, Jeanne Théorêt Palin jouait du piano. Il était le grand-père de Daniel Théorêt, diacre à l'église Saint-Vincent-de-Paul. Date inconnue. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A1.140 | Visite chez la nouvelle maman. Lucette Ouellette et Alfred Labrecque rendent visite à Yolande Labrecque Landry et son nouveau-né. Vers 1950. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A1.144 | La gare de Saint-Vincent-de-Paul au début du 20e siècle. Vue de la gare et de la voie ferrée. Décor estival. Date inconnue. Carte postale (copie-tirage photographique): n&b. |
![]() | P080/A1.145 | La gare de Saint-Vincent-de-Paul au début du 20e siècle. Vue de la gare et, en arrière-plan, le village de Saint-Vincent-de-Paul. Décor verdoyant. Date inconnue. Tirage photographique (copie): n&b. |
![]() | P080/A1.148 | Groupe d'amis à la gare de Saint-Vincent-de-Paul. Un groupe d'amis installé sur une voiture tirée par un cheval avec, en arrière-plan, la gare ferroviaire, vers 1915. Au centre, on peut voir Alice Auclair et, à sa gauche, sa soeur Edmée Auclair, organiste de la paroisse. À droite, près du cheval, leur frère, Alban Auclair (1884-1944), épicier-boucher. Décor estival. Date inconnue. Tirage photographique (copie): n&b. |
![]() | P080/A1.150 | Travail aux champs. Dans un champs, un agriculteur conduit un attelage de chevaux tirant une moissonneuse. Décor estival. Date inconnue. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A1.151 | Les soeurs Auclair et un groupe de fillettes, à Saint-Vincent-de-Paul, vers 1907. Portrait de groupe devant les murs du pénitencier Saint-Vincent-de-Paul. Sur la droite, au bout de la troisième rangée, on reconnaît Edmée Auclair (1897-1982) et, derrière elle, sa soeur, Alice (1892-1982). Les fillettes sont les filles d'Emmanuel Auclair (1855-1944) et de Mathilde Gagnon (1853-1929). Décor estival. Date inconnue. Tirage photographique (copie): n&b. Notes : Alice Auclair était l'épouse de Georges Robichaud. Elle était organiste à Saint-François et tenait le bureau de poste. Sa soeur Alice a été organiste a Saint-Vincent-de-Paul pendant 35 à 40 ans. |
![]() | P080/A1.152 | Le magasin général d'Aldéric Désautels à Saint-Vincent-de-Paul, en 1938. Intérieur du magasin général Victoria, situé au 5262, boulevard Lévesque Est. Un homme, Aldéric Désautels (?) se tient derrière un comptoir. Autour de lui, les murs sont chargés de boîtes de conserves et d'autres items. Une armoire réfrigérée trône au fond du magasin. Date inconnue. Tirage photographique (copie); n&b. Note : Aldéric Désautels (1884-1970) a également été échevin de Saint-Vincent-de-Paul dans les années 1950. |
![]() | P080/A1.153 | Cortège funèbre aux funérailles de Émile Labrecque à Saint-Vincent-de-Paul. Un groupe d'hommes et de jeunes garçons traverse la rue Saint-Étienne (aujourd'hui Place Jean-Eudes-Blanchard) près de l'église de Saint-Vincent-de-Paul aux funérailles de Émile Labrecque (1875-1945), directeur du personnel au pénitencier Saint-Vincent-de-Paul. On peut voir son petit-fils Jean Labrecque (1939-) tenant la main de son père Raymond (1915-1968). Avril 1945. Décor dépouillé. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A1.154 | Cortège funèbre aux funérailles de Émile Labrecque à Saint-Vincent-de-Paul. Un groupe d'hommes formant le cortège du personnel du pénitencier Saint-Vincent-de-Paul traverse la rue Saint-Étienne (aujourd'hui Place Jean-Eudes-Blanchard) près de l'église de Saint-Vincent-de-Paul aux funérailles de Émile Labrecque (1875-1945), directeur du personnel au pénitencier. Ici, près de l'église, coin boulevard Lévesque et rue Saint-Étienne (aujourd'hui Jean-Eudes-Blanchard). Avril 1945. Décor dépouillé. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A1.159 | «La traverse» à Saint-Vincent-de-Paul. Vue de la rive de Saint-Vincent-de-Paul alors qu'un traversier navigue au milieu de la rivière des Prairies. En bas, à droite, on peut voir la maison de Zéphirin Sigouin, fils, là où accoste le traversier. Un peu plus haut, se trouve la résidence du juge Mathias-Charles Desnoyers, magistrat à la Cour des sessions de la paix de Montréal et, tout près, celle du docteur Handfield, incendiée en 1939. Décor estival. Date inconnue. Tirage photographique (copie): n&b. Note : Le docteur Handfield était le gendre de Louis Fréchette, écrivain. |
![]() | P080/A1.161 | L'abbé Olivier Harel (1847-1912). Portrait de l'abbé Harel (?), né le 31 août 1847 à Saint-Rémi-de-La Salle (aujourd'hui Saint-Rémi), fut professeur au Collège de Montréal (1874-1880), aumônier au Bon Pasteur (1880-1883), assistant à l'École normale (1883-1887), et aumônier au pénitencier Saint-Vincent-de-Paul (1887-1912). Photographe : Laprès &Lavergne, 380, rue Saint-Denis, Montréal. Date inconnue. Tirage photographique sur carton: sépia. |
![]() | P080/A1.162 | Parade à Saint-Vincent-de-Paul, vers 1915. L'abbé Therrien, aumônier du couvent des Soeurs de la Providence, conduit sa voiture en compagnie du curé Perreault et de trois frères du Collège Laval entassés à l'arrière. Autour d'eux, d'autres voiture et calèches, ainsi que des passants, participent à la fête. Ici, devant l'hôtel Mathieu (plus tard Chartrand) décoré de drapeaux, au coin du boulevard Lévesque et de la montée Saint-François. Décor estival. Date inconnue. Tirage photogtaphique (copie): sépia. |
![]() | P080/A1.163 | Portail du pénitencier Saint-Vincent-de-Paul. Sur la montée Saint-François, portail à double arche en fer forgé sur lequel on peut lire «PENITENCIER ST VINCENT DE PAUL». Un garde à cheval se tient sous l'une des arches. À droite, on peut voir une partie du logement des guardiens. Décor estival. Date inconnue. Tirage photographique: sépia. |
![]() | P080/A1.164 | L'hôtel Central à Saint-Vincent-de-Paul. L'hôtel Central était la propriété d'Alphonse Chartrand et était situé au coin du boulevard Lévesque (autrefois rue Saint-Vincent) et de la montée Saint-François. Décor estival. Date inconnue. Carte postale (tirage photographique-copie): n&b. |
![]() | P080/A1.165 | L'hôtel Central à Saint-Vincent-de-Paul. L'hôtel Central était la propriété d'Alphonse Chartrand et était situé au coin du boulevard Lévesque (autrefois rue Saint-Vincent) et de la montée Saint-François. Décor estival. Date inconnue. Tirage photographique (copie): n&b. |
![]() | P080/A1.167 | Le principal hôtel de Saint-Vincent-de-Paul au début du 20e siècle. Cet hôtel, plus tard l'hôtel Central, était situé au coin du boulevard Lévesque et de la montée Saint-François. Décor estival. Tiré de l'Album universel du 27 janvier 1906, no.1136, p.1210. Tirage photographique (copie): n&b. |
![]() | P080/A1.168 | Le pénitencier de Saint-Vincent-de-Paul au début du 20e siècle. Ici, le mur de ronde du pénitencier longe en partie la montée Saint-François. Décor estival. Tiré de l'Album universel du 27 janvier 1906, no.1136, p.1210. |
![]() | P080/A1.169 | L'entrée principale du pénitencier Saint-Vincent-de-Paul au début du 20e siècle. Vue de l'entrée du pénitencier située sur la montée Saint-François à Saint-Vincent-de-Paul. Décor estival. Tiré de l'Album universel du 27 janvier 1906, no.1136, p.1210. |
![]() | P080/A1.170 | Le village de Saint-Vincent-de-Paul. Vue du village en descendant la côte de l'église. Sur la gauche, on peut voir la maison du sénateur Bellerose, plus tard celle de l'abbé Harel, aumônier du pénitencier Saint-Vincent-de-Paul. En bas de la côte, on distingue l'hôtel central, propriété de Alphonse Chartrand. Décor dépouillé. Date inconnue. Photographe : Pinsonneault, phot.-edit., Trois-Rivières-Que. Carte postale (tirage photographique-copie): n&b. |
![]() | P080/A1.171 | Maison autrefois située au 4947, boulevard Lévesque Est, Saint-Vincent-de-Paul. Cette maison, construite vers 1900, est représentative du style Boomtown qui est en vogue au Québec de 1880 à 1930. Il s'agit ici de la variante à un étage (shoe box) qui rappelle la forme d'une boîte à chaussures. Celle-ci est cependant plus ornée que ses contemporaines avec un oriel et une galerie à l'ornementation très élaborée. Ici, le 8 mai 1945, la maison a été décorée par Pierre Forget à l'occasion de la victoire des alliés sur l'Allemagne. Décor estival. Photographe : Famille Pierre Forget. Date inconnue. Tirage photographique (copie): n&b. Note : Pierre Forget est le père d'André Forget, auteur du livre «Saint-Vincent-de-Paul de l'Île Jésus: 250 ans de vie paroissiale, 1743-1993». Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Saint-Vincent-de-Paul LEVE_4947). Pour consultation seulement. |
![]() | P080/A1.172 | Le boulevard Lévesque à Saint-Vincent-de-Paul au tournant du 20e siècle. Vue du boulevard Lévesque en direction est. Décor verdoyant. Date inconnue. Carte postale (tirage photographique-copie): n&b. |
![]() | P080/A1.176 | Station service située au 5020, boulevard Lévesque Est, Saint-Vincent-de-Paul. La station service Garage J.W. Lauzon était équipée de deux pompes à essence Esso et d'un garage. Depuis 2009, au moins, les lieux sont occupés par Pneu et Silencieux BM Plus. Décor dépouillé. [Années 1930-1940]. Photographe : Famille Labrecque. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A1.177 | Station service située au 5020, boulevard Lévesque Est, Saint-Vincent-de-Paul. La station service Garage J.W. Lauzon était équipée de deux pompes à essence Esso et d'un garage. Depuis 2009, au moins, les lieux sont occupés par Pneu et Silencieux BM Plus. La maison en pierre, sur la droite, a aujourd'hui disparue. Décor dépouillé. [Années 1930-1940]. Photographe : Famille Labrecque. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A1.178 | Le Garage Saint-Vincent-de-Paul, Saint-Vincent-de-Paul. La remorqueuse du garage de Georges Bissonnette stationne devant son garage. Des affiches faisant la promotion des produits pétroliers Supertest sont bien en évidence. Le garage était sis au 5018, boulevard Lévesque. Décor estival. Vers 1940. Photographe: Famille Labrecque. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A1.181 | Le village de Saint-Vincent-de-Paul. Vue de la rive de l'île Jésus, de la rivière des Prairies et du village. Sur la gauche, on peut voir l'hôpital Auclair (aussi appellé terrasse, hospice ou résidence) et, sur la droite, l'église et le Couvent des Soeurs de la Providence. Décor verdoyant. Date inconnue. Carte postale (tirage photographique-copie): n&b. |
![]() | P080/A1.182 | Le village de Saint-Vincent-de-Paul. Au-delà la rivière des Prairies, on peut voir, près de la rive, à gauche, la maison de Zéphirin Sigouin (fils) et, de part et d'autrre de la côte Sigouin, la maison de Zéphirin Sigouin (père), sur la droite, et la grange, sur la gauche. Plus haut, à gauche, se trouve la maison du docteur Handfield. Date inconnue. Carte postale (tirage photographique-copie): n&b. |
![]() | P080/A1.183 | Le Couvent des Soeurs de la Providence à Saint-Vincent-de-Paul. Située au 5436, boulevard Lévesque Est, cette institution veillait à l'éducation primaire des enfants mais acceuillait aussi les orphelins et servait d'hospice pour les personnes agées. Sur la gauche, on peut voir la partie la plus ancienne, érigée à partir de 1862, selon les plans de l'architecte Bourgeau. Tout juste derrière, se trouve l'annexe érigée en 1891. Décor dépouillé. Date inconnue. Tirage photographique (copie): n&b. |
![]() | P080/A1.184 | Le boulevard Lévesque à Saint-Vincent-de-Paul. Le boulevard Lévesque, artère principale du village, en direction ouest, près de l'avenue Bellevue. À gauche, au 5374, la maison du docteur Émile Coron (1892-1965), puis le restaurant Chez Raymond, au 5372, propriété de Raymond Labrecque (1915-1968) et, près de la voiture en stationnement, le barbier Semis. On note, sur le poteau, à droite, un panneau en forme de flèche pointant dans la direction du traversier vers Montréal-Nord. Décor estival. [Années 1940]. Carte postale; n&b. |
![]() | P080/A1.191 | Le boulevard Lévesque à Saint-Vincent-de-Paul. Le boulevard Lévesque en direction est à l'angle de la rue Saint-Simon, en bas de la côte, avant l'expropriation du bas du village en 1929-1930. L'Hôtel des Touristes, propriété de Alfred Charbonneau, que l'on voit sur la droite, fait partie de ces bâtiments qui furent démolis. Au fond, sur la gauche, on distingue le muret de la maison «Chenet». Décor verdoyant. Date inconnue. Carte postale (tirage photograhique-copie): n&b. |
![]() | P080/A1.192 | L'Hôtel des Touristes à Saint-Vincent-de-Paul, vers 1910. L'Hôtel des Touristes était la propriété de Alfred Charbonneau. La maison de pierres immédiatement à sa gauche était la Pharmacie Laval. Ces bâtiments, situés au nord du boulevard Lévesque, en bas de la côte de l'église, furent démolis suite à l'expropriation du bas de la côte en 1929-1930, par le gouvernement fédéral. Décor dépouillé. Date inconnue. Tirage photographique (copie d'une carte postale de Pinsonneault, phot.-edit., Trois-Rivières-Que): n&b. Pour consultation seulement. |
![]() | P080/A1.193 | La Pharmacie Laval à Saint-Vincent-de-Paul. Cette maison mansardée en pierre était située sur le boulevard Lévesque, en bas de la côte de l'église, et était voisine de l'Hôtel des Touristes. Ces bâtiments, situés au nord du boulevard Lévesque, furent démolis suite à l'expropriation du bas de la côte en 1929-1930, par le gouvernement fédéral. Décor dépouillé. Date inconnue. Tirée de «Vues de St-Vincent-de-Paul». Carte postale (tirage photographique-copie): n&b. |
![]() | P080/A1.194 | Le boulevard Lévesque à Saint-Vincent-de-Paul. Le boulevard Lévesque en direction est, en bas de la côte de l'église, au tournant du 20e siècle. Sur la gauche, on peut voir la Parmacie Laval et l'Hôtel des Touristes. Ces bâtiments, et d'autres situés au nord du boulevard Lévesque, furent démolis suite à l'expropriation du bas de la côte en 1929-1930, par le gouvernement fédéral. Sur la droite, des hommes sont assis sur le muret de la maison «Chenet» et, plus loin, la maison du barbier et le bureau de poste. Décor dépouillé. Date inconnue. Carte postale (tirage photographique-copie): n&b. |
![]() | P080/A1.202 | Le boulevard Lévesque à Saint-Vincent-de-Paul. Vue du boulevard Lévesque en direction ouest, depuis le clocher de l'église. Décor verdoyant. 1940. Photographe : Madeleine Sigouin Labrecque. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A1.206 | La traverse à Saint-Vincent-de-Paul, en 1915. La traverse se trouve sur la gauche et les maisons sont situées sur l'avenue Bellevue. Au centre, au 129 et aujourd'hui démolie, la maison à lucarnes est celle de Zéphirin Sigouin (fils) (1882-1938). Décor estival. Date inconnue. Créateur : Post Card "Victor". Tirage photographique (copie): n&b. |
![]() | P080/A1.208 | La famille Sigouin à Saint-Vincent-de-Paul, en 1936. La famille Sigouin pose devant la résidence au 123, avenue Bellevue, près de la traverse. En haut, à gauche, on reconnaît gabriel Sigouin. La maison est aujourd'hui disparue.Décor estival. 1936. Photographe : Famille Sigouin. Tirage photographique : n&b. |
![]() | P080/A1.209 | Saint-Vincent-de-Paul vu depuis Montréal-Nord. Point de vue près de la traverse de Montréal-Nord. Décor verdoyant. Date inconnue. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A1.210 | Le train vu de la carrière à Saint-Vincent-de-Paul. Le train passe près d'une carrière, aujourd'hui le Centre de la nature, près du boulevard Saint-Martin. Décor hivernal. 1939. Photoraphe : Madeleine Sigouin Labrecque. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A1.211 | Les rangs de Saint-Vincent-de-Paul. Vue en plongée prise depuis la carrière de Saint-Vincent-de-Paul, aujourd'hui le Centre de la nature, près du boulevard Saint-Martin. Décor hivernal. 1939. Photographe : Madeleine Sigouin Labrecque. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A1.212 | Ouvriers à la carrière Saint-Vincent-de-Paul. Des ouvriers, certains perchés en haut d'une structure métallique, prennent la pose pour la photographe. Décor hivernal. 1939. Photographe : Madeleine Sigouin Labrecque. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A1.215 | Émile Labrecque et Rosetta Gavin à Saint-Vincent-de-Paul. Émile Labrecque (1875-1945), directeur du personnel du pénitencier Saint-Vincent-de-Paul, et son épouse Rosetta Gavin (1880-1953), née en Angleterre, sur la galerie de leur résidence au 5288, boulevard Lévesque Est. Décor estival. 1944. Photographe : Madeleine Sigouin Labrecque. Tirage photographique: n&b. Note : Le couple eut plusieurs enfants : Georges, Alfred (1909-1977), Philippe (1910-1945), Rolland (1913-1930), Yolande, 1914-1948), et Raymond (1915-1968), |
![]() | P080/A2,02.001 | La famille Cyrille Bisson à Saint-Vincent-de-Paul. Cyrille Bisson (1842-1922), son épouse Olympe Valiquette (1850-1915) et des membres de la famille, sur la montée Saint-François, près du boulevard Lévesque. Décor verdoyant. Vers 1910. Tirage photographique: sépia. Note: Cyrille Bisson a été maire de Saint-Vincent-de-Paul de 1893 à 1896. |
![]() | P080/A2,02.002 | Olympe Valiquette Bisson vers 1910. Au centre, Olympe Valiquette Bisson (1850-1915), épouse de Cyrille Bisson, à Saint-Vincent-de-Paul, sur la montée Saint-François, près du boulevard Lévesque. Décor verdoyant. Vers 1910. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.003 | Ernestine Bisson, vers 1910. À gauche, tenant l'ombrelle, se trouve Ernestine Bisson (1883-1904), fille de Cyrille Bisson et Olympe Valiquette. Elle épousera Alban Auclair (1884-1944), en 1917. Ici, lors d'un rassemblement sur la montée Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul. Vers 1910. Décor estival. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.004 | Ernestine et Cécile Bisson, vers 1910. À gauche, Ernestine Bisson (1883-1964), et sa soeur Cécile Bisson, au centre, sur la montée Saint-François, devant le mur du pénitencier, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor verdoyant. Vers 1910. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.005 | La famille Cyrille Bisson sur la rivière des Prairies, à Saint-Vincent-de-Paul. Trois femmes, membres de la famille, à bord d'une chaloupe. Décor verdoyant. Vers 1910. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.006 | La famille Bisson et des amis en pique-nique, vers 1910. Des enfants Bisson, et des amis, se sont installés dans un champs, au pied d'un arbre, près du rang Haut-Saint-François. Sur la gauche, Ernestine Bisson (1883-1964), fille de Cyrille Bisson et Olympe Valiquette. En arrière-plan, le village de Saint-Vincent-de-Paul. En tout, plus d'une vingtaine de personnes sont réunies, certaines tenant le Blue Ensign. Décor verdoyant. Vers 1910. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.007 | Membres de la famille Cyrille Bisson sur les berges de la Rivière des Prairies. Un groupe de sept jeunes femmes et jeunes filles de la famille Bisson, tout de blanc vêtues, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor estival. Vers 1910. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.008 | Les demoiselles Bisson, vers 1910. Trois jeunes femmes posent sur les berges de la rivière des Prairies. à Saint-Vincent-de-Paul. Au centre, Cécile Bisson. Décor estival. Vers 1910. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.010 | Enfant de la famille Bisson (?) Un enfant assis dans l'herbe. Décor verdoyant. Date inconnue. Tirage photographique : n&b. |
![]() | P080/A2,02.011 | Portrait d'un homme. Portrait en buste d'un homme vêtue d'un complet. En arrière-plan, une structure métallique et des grillages. Date inconnue. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.012 | Cécile Bisson, vers 1910. Trois jeunes femmes posent sur la voie ferrée à Saint-Vincent-de-Paul. À droite, on reconnaît Cécile Bisson, fille de Cyrille Bisson et Olympe Valiquette. Décor verdoyant, Vers 1910. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.013 | Un couple pose près d'un canon désaffecté à Niagara. Un couple non identifiée, membres de la famille Bisson ou des amis (?). Décor verdoyant. Vers 1914. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.014 | Ernestine Bisson, vers 1914. À droite, Ernestine Bisson, fille de Cyrille Bisson et Olympe Valiquette, et une personne non identifiée. Vers 1914. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.015 | Ernestine Bisson, vers 1914. À droite, Ernestine Bisson, fille de Cyrille Bisson et Olympe Valiquette, et une personne non identifiée. Vers 1914. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.016 | Ernestine Bisson, vers 1914. Devant, Ernestine Bisson, fille de Cyrille Bisson et Olympe Valiquette, et une personne non identifiée. Vers 1914. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.017 | Navire sur une mer d'huile. Un navire, dont le panache de fumée est bien visible à l'horizon, vogue alors que le soleil se couche. Date inconnue. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.018 | Portrait de groupe à Saint-Vincent-de-Paul. Cinq personnes posent pour la caméra. À gauche, on reconnaît Alban Auclair (1884-1944), fiancé d'Ernestine Bisson (1883-1964). Décor dépouillé. Vers 1914. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.019 | Portrait de groupe à Saint-Vincent-de-Paul. Quatre hommes non identifiés, dont l'un porte un tablier blanc, posent pour la caméra. Décor estival. Date inconnue. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.020 | Les chutes du Niagara. Vue des chutes depuis un point d'observation. Décor verdoyant. Vers 1914. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.021 | Deux femmes en visite au chutes Niagara. Debout, au pieds du canon, on reconnaît Ernestine Bisson, acccompagnée d'une femme non identifiée. Décor verdoyant. Vers 1914. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.022 | Ernestine Bisson et un ami aux chutes Niagara. Décor verdoyant. Vers 1914. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.023 | Deux jeunes hommes en uniforme militaire, vers 1914. L'un des deux hommes pourrait être l'un des fils Bisson qui est allé à la guerre. Ici, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor verdoyant, Vers 1914. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.024 | Ernestine Bisson à Saint-Vincent-de-Paul. En avant-plan, Ernestine Bisson, fille de Cyrille Bisson et Olympe Valiquette, et une personne non identifiée. Vers 1914. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.025 | Visite des chutes du Niagara, vers 1914. Un groupe de touristes s'apprête à embarquer sur le Maid of the Mist dans le cadre d'une visite aux chutes Niagara. En arrière-plan, un pont sur lequel circule une voiture, et, plus loin, un autre pont encore, surplombe la rivière. Décor verdoyant. Vers 1914. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.026 | Portrait de groupe Un groupe de six personnes pose pour la caméra. À l'avant, portant casquette, on reconnaît Alban Auclair (1884-1944), fiancé d'Ernestine Bisson. Décor dépouillé. 1915. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.027 | La chorale de Saint-Vincent-de-Paul, vers 1915. Les membres de la chorale de Saint-Vincent-de-Paul sont regroupés à l'avant d'un bateau de villégiature. On reconnaît Edmée Auclair (1897-1982), 2e à partir de la gauche dans la 1ère rangée; Germaine Auclair (1895-1979), 3e à partir de la gauche dans la 2e rangée; Alice Auclair (1892-1982), 4e à partir de la gauche dans la 3e rangée; et dans la dernière rangée, Emmanuel Auclair (1855-1944), le père des jeunes filles Auclair, et, à sa gauche, Ernestine Bisson. Décor estival. Vers 1915. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.028 | La chorale de Saint-Vincent-de-Paul, vers 1915. Les membres de la chorale de Saint-Vincent-de-Paul sont regroupés à l'avant d'un bateau de villégiature. On reconnaît Edmée Auclair (1897-1982), 2e à partir de la gauche dans la 1ère rangée; Germaine Auclair (1895-1979), 3e à partir de la gauche dans la 2e rangée; Alice Auclair (1892-1982), 4e à partir de la gauche dans la 3e rangée; et dans la dernière rangée, Emmanuel Auclair (1855-1944), le père des jeunes filles Auclair, et, à sa gauche, Ernestine Bisson. Décor estival. Vers 1915. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.029 | La chorale de Saint-Vincent-de-Paul, vers 1915. Les membres de la chorale de Saint-Vincent-de-Paul sont regroupés près d'une église non identifiée. On reconnaît, dans la première rangée, Edmée Auclair (1897-1982), 3e à partir de la gauche; Emmanuel Auclair (1855-1944), le père des jeunes filles Auclair, 7e dans la première rangée; Ernestine Bisson, 8e dans la première rangée; Germaine Auclair (1895-1979), 10e dans la première rangée; et Alice Auclair (1892-1982), au centre, dans la 2e rangée. Décor estival. Vers 1915. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.030 | Deux hommes d'église à Saint-Vincent-de-Paul, vers 1915. Deux hommes d'église que l'on peut voir avec les membres de la chorale de Saint-Vincent-de-Paul. Voir P080/A2,02.027, P080/A2,02.028 et P080/A2,02.029. Décor estival. Vers 1915. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.031 | La famille Cyrille Bisson, vers 1915. Au centre, on reconnaît Cyrille Bisson (1842-1922), maire de Saint-Vincent-de-Paul de 1893 à 1896. À sa gauche, Ernestine Bisson, sa fille, et Alban Auclair (1884-1944), son fiancé. Ici, sur la montée Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor verdoyant. Vers 1915. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.032 | Les demoiselles Bisson, en 1915. Les filles de Cyrille Bisson portent le noir pour le deuil de leur mère Olympe Valiquette Bisson (1850-1915). On reconnaît Ernestine (1883-1964), 3e à partir de la gauche. Ici, sur la montée Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor verdoyant. 1915. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.033 | La famille Cyrille Bisson, vers 1915. Au centre, on reconnaît Cyrille Bisson (1842-1922), maire de Saint-Vincent-de-Paul de 1893 à 1896. À sa gauche, Ernestine Bisson, sa fille, et Alban Auclair (1884-1944), son fiancé. Ici, sur la montée Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor verdoyant. Vers 1915. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.034 | Membres de la famille Cyrille Bisson de Saint-Vincent-de-Paul, en 1915 Deux fillettes et l'une des filles de Cyrille Bisson, en deuil de sa mère, Olympe Valiquette Bisson (1850-1915). Ici, sur la montée Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor verdoyant. 1915. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.035 | Dans le jardin, chez Cyrille Bisson, à Saint-Vincent-de-Paul, vers 1915. Une femme, fille de C. Bisson (?) et un homme, en conversation. Ici, sur la montée Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor verdoyant. Vers 1915. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.036 | Membres de la famille Cyrille Bisson de Saint-Vincent-de-Paul, en 1915. Deux fillettes et l'une des filles de Cyrille Bisson, en deuil de sa mère, Olympe Valiquette Bisson (1850-1915). Ici, sur la montée Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor verdoyant. 1915. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.037 | Jeune femme dans un jardin. Un membre de la famille Bisson (?) dans le jardin chez Cyrille Bisson sur la montée Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor verdoyant. Années 1910-1920. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.038 | Jeune femme dans un jardin. Un membre de la famille Bisson (?) dans le jardin chez Cyrille Bisson sur la montée Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor verdoyant. Années 1910-1920. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.039 | Jeune femme dans un jardin. Un membre de la famille Bisson (?) dans le jardin chez Cyrille Bisson sur la montée Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul. . Décor verdoyant. Années 1910-1920. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.041 | Église Saint-Sauveur-des-Monts, Saint-Sauveur. Trois personnes posent pour la caméra sur le parvis à l'arrière de cette église construite en 1903-1904. Décor estival. Date inconnue. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.042 | Église Saint-Sauveur-des-Monts, Saint-Sauveur. Un groupe de personnes se tient sur le parvis de cette église construite en 1903-1904. Décor estival. Date inconnue. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.044 | La chorale de Saint-Vincent-de-Paul, vers 1915. Les membres de la chorale sont réunis sur les marches d'une maison non identifiée (voir P080/A2,02.043). En haut, à gauche, on reconnaît Ernestine Bisson (1883-1964), et à sa gauche, Alban Auclair. À droite, portant un bonnet, se trouve Edmée Auclair (1897-1982). Décor estival. Vers 1915. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.045 | La chorale de Saint-Vincent-de-Paul, vers 1915. Les membres de la chorale sont réunis sur les marches d'une maison non identifiée (voir P080/A2,02.043). En robe blanche, on reconnaît Edmée Auclair (1897-1982), et derrière elle se trouve Ernestine Bisson (1883-1964). On reconnaît également Alban Auclair, dernière rangée, 4e à partir de la droite. Décor estival. Vers 1915. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.046 | La chorale de Saint-Vincent-de-Paul, vers 1915. Les membres de la chorale sont réunis sur les marches d'une maison non identifiée (voir P080/A2,02.043). En haut, à gauche, on reconnaît Ernestine Bisson (1883-1964), et à sa gauche, Alban Auclair. À droite, portant un bonnet, se trouve Edmée Auclair (1897-1982). Décor estival. Vers 1915. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.047 | Membres de la chorale de Saint-Vincent-de-Paul, vers 1915. Cinq hommes, portant pantalons blancs et vestes, sont juchés sur une plate-forme, en un lieu inconnu, lors d'un voyage à la campagne. Décor verdoyant. Vers 1915. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.048 | Membres de la chorale de Saint-Vincent-de-Paul, vers 1915. Sept hommes, portant pantalons blancs et vestes, sont juchés sur le faîte d'un toit, en un lieu inconnu, lors d'un voyage à la campagne. Décor verdoyant. Vers 1915. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.049 | Membres de la chorale de Saint-Vincent-de-Paul, vers 1915. Sept hommes, portant pantalons blancs et vestes, sont juchés sur le faîte d'un toit, en un lieu inconnu, lors d'un voyage à la campagne. Décor verdoyant. Vers 1915. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.050 | Membres de la chorale de Saint-Vincent-de-Paul, vers 1915. Dix hommes, membres de la chorale, sont juchés sur une clôture, lors d'une visite à la campagne. Décor estival. Vers 1915. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.051 | Chorale de Saint-Vincent-de-Paul, vers 1915. Cinq hommes d'église, dont deux sont membres de la chorale de Saint-Vincent-de-Paul, posent sur les marches d'une maison. Voir P080/A2,02.043. Décor verdoyant. Vers 1915. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.052 | Portrait de groupe, vers 1915. Groupe d'une vingtaine de personnes, membres d'une chorale visitée (?) par la chorale de Saint-Vincent-de-Paul. Voir aussi P080/A2,02.044 à P080/A2,02.046. Décor verdoyant. Vers 1915. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.053 | Membres des familles Auclair et Bisson de Saint-Vincent-de-Paul. De gauche à droite, on reconnaît Ernestine Bisson (1883-1964), Alban Auclair (1884-1944), son fiancé, et Edmée Auclair (1897-1982), soeur d'Alban. Ici, dans un lieu non identifié où l'on peut voir culture maraîchère et bâtiments de ferme. Décor verdoyan. Date inconnue. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.054 | Groupe d'hommes et de femmes en expédition touristique. Une vingtaine de personnes posent avec leur véhicules automobiles devant une maison cossue. À droite, on reconnaît Edmée Auclair (1897-1982) portant un chapeau foncé orné d'une bande blanche. Décor verdoyant. Vers 1915. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.056 | Groupe de baigneurs, vers 1915. À gauche, on reconnaît Cécile Bisson, fille de Cyrille Bisson (1842-1922) de Saint-Vincent-de-Paul, et trois autres personnes dans un lieu non identifié. Voir aussi P080/A2,02.058. Décor estival. Vers 1915. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.057 | Groupe d'hommes et de femmes en expédition touristique. Une vingtaine de personnes posent avec leur véhicules automobiles devant une maison cossue. À droite, on reconnaît Edmée Auclair (1897-1982) portant un chapeau foncé orné d'une bande blanche. Décor verdoyant. Vers 1915. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.058 | Groupe de baigneurs, vers 1915. Quatre baigneurs dans un lieu non identifié. Voir aussi P080/A2,02.056. Décor estival. Vers 1915. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.059 | Le village de Saint-Vincent-de-Paul, vers 1915. Vue du village de Saint-Vincent-de-Paul depuis la traverse de Montréal-Nord. On distingue bien, au loin, les deux clochers de l'église. Décor estival. Vers 1915. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.060 | Procession de la Fête-Dieu sur la montée Saint-François à Saint-Vincent-de-Paul. La procession, avec en tête le clergé et le curé portant le Saint-Sacrement protégé par un dais, est flanquée de part et d'autre d'hommes en uniforme. Derrière, les fidèles suivent le cortège qui longe le pénitencier sur la montée Saint-François. Décor verdoyant. [Années 1930]. Tirage photographique; n&b. |
![]() | P080/A2,02.062 | Visite d'une carrière à Saint-Vincent-de-Paul. La présence d'un garde suggère qu'il s'agit peut-être de la carrière du pénitencier Saint-Vincent-de-Paul. Décor estival. [Années 1910]. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.063 | La famille Bisson à Saint-Vincent-de-Paul. Près d'une dizaine de membres de la famille de Cyrille Bisson sont installés dans une voiture, devant le magasin départemental Maison C. Bisson sur la montée Saint-François. Décor estival. Vers 1914. Tirage photographique; n&b. |
![]() | P080/A2,02.064 | Infirmière du pénitencier Saint-Vincent-de-Paul. Une infirmière se tient devant le «bloc», une résidence abritant les familles d'employés du pénitencier, sur le côté ouest de la montée Saint-François, juste avant la voie ferrée. Décor automnal. Vers 1914. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.066 | Groupe de femmes à Saint-Vincent-de-Paul. Un groupe de dix femmes, dont une infirmière du pénitencier Saint-Vincent-de-Paul, se tient devant le «bloc», une résidence abritant les familles d'employés du pénitencier, sur le côté ouest de la montée Saint-François, juste avant la voie ferrée. À l'arrière, en robe blanche, on reconnaît Edmée Auclair (1897-1982), et à sa gauche, en manteau, sa future belle-soeur, Ernestine Bisson (1883-1964). Décor automnal. Vers 1914. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.067 | Infirmière du pénitencier Saint-Vincent-de-Paul. Une infirmière se tient devant le «bloc», une résidence abritant les familles d'employés du pénitencier, sur le côté ouest de la montée Saint-François, juste avant la voie ferrée. Décor automnal. Vers 1914. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.068 | Deux femmes à Saint-Vincent-de-Paul. Deux femmes, dont une infirmière du pénitencier Saint-Vincent-de-Paul, se tiennent devant le «bloc», une résidence abritant les familles d'employés du pénitencier, sur le côté ouest de la montée Saint-François, juste avant la voie ferrée. Décor automnal. Vers 1914. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.069 | Groupe de trois personnes. Trois personnes, dont une infirmière, membres de la famille Bisson (?) de Saint-Vincent-de-Paul, posent pour la caméra. Décor hivernal. Date inconnue. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.070 | Groupe de femmes à Saint-Vincent-de-Paul. Cinq femmes, dont une infirmière du pénitencier Saint-Vincent-de-Paul, se tiennent devant le «bloc», une résidence abritant les familles d'employés du pénitencier, sur le côté ouest de la montée Saint-François, juste avant la voie ferrée. Décor automnal. Vers 1914. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.071 | Couple d'amoureux de Saint-Vincent-de-Paul. Couple d'amoureux de Saint-Vincent-de-Paul. Alban Auclair (1884-1944) et Ernestine Bisson (1883-1964), sa fiancée, s'embrassent dans un boisé du rang Bas-Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor dépouillé. 1915. Tirage photographique: sépia. |
![]() | P080/A2,02.072 | Groupe de femmes à Saint-Vincent-de-Paul. Un groupe de dix femmes, dont une infirmière du pénitencier Saint-Vincent-de-Paul, se tient devant le «bloc», une résidence abritant les familles d'employés du pénitencier, sur le côté ouest de la montée Saint-François, juste avant la voie ferrée. À l'arrière, en robe blanche, on reconnaît Edmée Auclair (1897-1982), et à sa gauche, en manteau, sa future belle-soeur, Ernestine Bisson (1883-1964). Décor automnal. Vers 1914. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.073 | Groupe de personnes sortant d'une église. Un groupe de personnes non identifiées descend les escaliers d'une église lors d'un mariage. En avant-plan, une femme tenant un bouquet, tient un homme par le bras. Voir aussi P080/A2,02.112 et P080/A2,02.114. [Années 1910]. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.074 | Jeune fille en hiver. Une jeune fille, membre de la famille Bisson (?), chaudement vêtue, pose pour la caméra. Décor hivernal. Date inconnue. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.075 | Enfant dans un jardin. Un enfant, membre de la famille Bisson (?). Ici, sur la montée Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor verdoyant. [Années 1910]. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.076 | Portrait d'une enfant à Saint-Vincent-de-Paul. Il s'agit probablement d'une petit-fille de Cyrille Bisson et Olympe Valiquette. Ici, sur la montée Saint-François. Décor dépouillé. Vers 1915-1920. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.077 | Enfant et lapin. Un enfant, vraisemblablement un petit-enfant de Cyrille Bisson (1842-1922) et Olympe Valiquette (1850-1915), est assis dans l'herbe avec un lapin blanc. Ici, dans le jardin de Cyrille Bisson sur la montée Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor verdoyant. Vers 1915-1920. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.078 | Enfant dans un jardin. Un enfant, vraisemblablement un petit-enfant de Cyrille Bisson (1842-1922) et Olympe Valiquette (1850-1915), ici, dans le jardin de Cyrille Bisson sur la montée Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor verdoyant. Vers 1915-1920. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.079 | Enfant dans un jardin. Un enfant, vraisemblablement un petit-enfant de Cyrille Bisson (1842-1922) et Olympe Valiquette (1850-1915), ici, dans le jardin de Cyrille Bisson sur la montée Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor verdoyant. Vers 1915-1920. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.080 | Enfant dans un jardin. Un enfant, vraisemblablement un petit-enfant de Cyrille Bisson (1842-1922) et Olympe Valiquette (1850-1915), ici, dans le jardin de Cyrille Bisson sur la montée Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor verdoyant. Vers 1915-1920. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.081 | Groupe de baigneuses à Saint-Adolphe-d'Howard. Jeunes femmes et enfant lors d'une baignade au chalet d'Emmanuel Auclair (1855-1944), commerçant sur la montée Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor estival. Vers 1924. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.082 | Membres de la famille Auclair. Deux femmes sont assises sur un quai. En noir, Ernestine Bisson Auclair (1883-1964), et à ses pieds, sa fille, Renée Auclair (1918-1981). Ici, au chalet d'Emmanuel Auclair, père d'Alban Auclair et beau-père d'Ernestine, à Saint-Adolphe-d'Howard. Décor estival. Vers 1924. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.083 | Deux enfants sur un quai. Deux enfants sur un quai trempent leurs mains dans l'eau, au chalet d'Emmanuel Auclair (1855-1944) à Saint-Adolphe d'Howard. Décor estival. 1924. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.084 | Membres de la famille Auclair de Saint-Vincent-de-Paul. Deux enfants se tiennent sur une clôture près d'un champs, au chalet d'Emmanuel Auclair, à Saint-Adolphe-d'Howard. À droite, Renée Auclair (1918-1981), fille d'Ernestine Bisson Auclair (1884-1964), et à ses pieds, Germaine Auclair (1895-1979), sa tante. Décor verdoyant. 1924. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.085 | Ernestine Bisson Auclair et sa fille Renée, de Saint-Vincent-de-Paul Mère et fille en visite au chalet d'Emmanuel Auclair (1855-1944), beau-père d'Ernestine, à Saint-Adolphe-d'Howard. Décor estival. 1924. Tirage photographique; n&b. |
![]() | P080/A2,02.086 | Membres de la famille Auclair de Saint-Vincent-de-Paul. De gauche à droite, Ernestine Bisson Auclair (1883-1964), Germaine uclair (1895-1979), sa belle-soeur, et Alban Auclair (1884-1944), au chalet d'Emmanuel Auclair, son père, à Saint-Adolphe-d'Howard. Décor estival. 1924. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.087 | Ernestine Bisson Auclair et sa fille Renée, de Saint-Vincent-de-Paul. En avant-plan, mère et fille en visite au chalet d'Emmanuel Auclair (1855-1944), beau-père d'Ernestine, à Saint-Adolphe-d'Howard. Décor estival. 1924. Tirage photographique; n&b. |
![]() | P080/A2,02.088 | Famille Auclair et amis au chalet, à Saint-Adolphe-d'Howard. À gauche, à l'arrière, Alban Auclair (1884-1944) et, à l'avant, sa soeur Germaine Auclair (1895-1979), de Saint-Vincent-de-Paul, avec des amis, au chalet de leur père Emmanuel Auclair. Décor verdoyant. 1924. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.089 | Renée et Jeannine Auclair, à Saint-Vincent-de-Paul. Renée Auclair (1918-1981) et sa petite soeur Jeannine (1926-2010). Décor verdoyant. 1926. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.090 | Ernestine Bisson Auclair et sa fille Jeannine Auclair. Ernestine Bisson Auclair (1883-1964) et sa deuxième fille Jeannine (1926-2010) à Saint-Vincent-de-Paul. Décor estival. 1926. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.091 | Jeannine Auclair à Saint-Vincent-de-Paul. Jeannine Auclair (1926-2010) est la fille de Ernestine Bisson Auclair (1883-1964) et de Alban Auclair (1884-1944) de Saint-Vincent-de-Paul. Ici, dans le jardin chez Cyrille Bisson (?) sur la montée Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor verdoyant. 1926. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.092 | Alban Auclair et ses deux filles, à Saint-Vincent-de-Paul. Alban Auclair (1884-1944) se tient près d'une charette tirée par un cheval transportant ses deux filles, Renée (1918-1981) et Jeannine (1926-2010). Décor verdoysnt. 1926. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.093 | Famille Auclair à Saint-Vincent-de-Paul. On reconnaît, de gauche à droite, à l'arrière, 3e à partir de la gauche, Ernestine Bisson Auclair (1883-1964), puis, mains dans les poches, sa belle-soeur Edmée Auclair (1897-1982), à l'arrière, Mathilde Gagnon Auclair (1853-1929) et, au bout, son fils, Alban Auclair (1884-1944). Décor estival. Vers 1928. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.094 | Membres de la famille Auclair, à Saint-Vincent-de-Paul. À l'arrière, 3e à partir de la gauche, on reconnaît Mathilde Gagnon Auclair (1853-1929) puis, la 6e, Edmée Auclair (1897-1982), au bout, Alban Auclair (1884-1944), et en avant, à droite, Ernestine Bisson Auclair (1883-1964), épouse d'Alban. Ici, devant une maison en clins de bois, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor estival. Vers 1928. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.095 | Membres de la famille Auclair, à Saint-Vincent-de-Paul. On reconnaît, deuxième à partir de la gauche, Ernestine Bisson Auclair (1883-1964), derrière elle, son époux Alban Auclair (1884-1944), au centre, en veste pâle, Edmée Auclair (1897-1982), puis, au bout, à droite, Mathilde Gagnon Auclair (1853-1929) et en avant, la plus petite, Jeannine Auclair (1926-2010). Décor estival. Vers 1928. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.096 | Les enfants Jolicoeur. Les enfants Jolicoeur, parents des Bisson de Saint-Vincent-de-Paul, s'amusent avec un traîneau dans la neige. En arrière-plan, la résidence située au 4706, rang des Écores (aujourd'hui le boulevard Lévesque Est). Décor hivernal. Vers 1920-1925. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.097 | Jeune bambin. Jeune enfant, membre de la famille Bisson (?), assis avec poupée et entouré de coussins. Date inconnue. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.098 | Les enfants Jolicoeur. Les enfants Jolicoeur, parents des Bisson de Saint-Vincent-de-Paul, s'amusent avec un traîneau dans la neige. En arrière-plan, sur la droite, la résidence située au 4706, rang des Écores (aujourd'hui le boulevard Lévesque Est). Décor hivernal. Vers 1920-1925. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.099 | Deux bambins s'amusant. Deux très jeunes enfants, membres de la famille Bisson (?), s'amusent entourés de coussins. Date inconnue. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.101 | Bambin. Bambin, membre de la famille Bisson (?) sous un rai de lumière. Date inconnue. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.103 | Mariette Sigouin Poirier et Jeannine Auclair, à Saint-Vincent-de-Paul. Mariette Sigouin Poirier (1906-1997), en deuil de sa grand-mère Mathilde Gagnon Auclair (1856-1929), et la jeune Jeannine Auclair (1926-2010) sur la montée Saint-François. À gauche, le «bloc», résidence pour employés du pénitencier Saint-Vincent-de-Paul et, en arrière-plan, la voie ferrée. Décor dépouillé. 1929. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.104 | Trois bambins dans un panier. Trois bambins, probablement des petits-enfants de Cyrille Bisson (1842-1922) et Olympe Valiquette (1850-1915), dans le jardin de ces derniers, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor verdoyant. Vers 1915-1920. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.105 | Les enfants Jolicoeur. Les enfants Jolicoeur étaient parents avec la famille Bisson. On les voit ici dans le jardin de leur grand-père Cyrille Bisson, sur la montée Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor verdoyant. Vers 1920-1925. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.106 | Enfant dans un jardin. Un jeune enfant, membre de la famille Bisson (?) dans le jardin chez Cyrille Bisson sur la montée Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul, vêtue de blanc, est assis dans l'herbe. Décor verdoyant. Date inconnue. Tirage photographique; n&b. |
![]() | P080/A2,02.107 | Les enfants Jolicoeur. Les enfants Jolicoeur étaient parents avec la famille Bisson. On les voit ici dans le jardin de leur grand-père Cyrille Bisson, sur la montée Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor verdoyant. Vers 1920-1925. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.108 | Les enfants Jolicoeur. Les enfants Jolicoeur étaient parents avec la famille Bisson de Saint-Vincent-de-Paul. Ici, chez Cyrille Bisson, sur la monté Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor verdoyant. Vers [1920-1925]. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.109 | Les enfants Jolicoeur. Les Jolicoeur étaient parents des Bisson de Saint-Vincent-de-Paul. Ici, deux enfants collationnent, attablées à l'extérieur, sur le terrain en face de leur résidence, située au 4706, rang des Écores (aujourd'hui le boulevard Lévesque). Décor estival. [Vers 1915-1920]. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.110 | Les enfants Jolicoeur. Les Jolicoeur étaient parents des Bisson de Saint-Vincent-de-Paul. Ici, deux enfants collationnent, attablées à l'extérieur, sur le terrain en face de leur résidence, située au 4706, rang des Écores (aujourd'hui le boulevard Lévesque). Décor estival. Vers [1915-1920]. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.111 | Les enfants Jolicoeur. Les Jolicoeur étaient parents des Bisson de Saint-Vincent-de-Paul. Ici, trois enfants collationnent, à l'extérieur, sur le terrain en face de leur résidence, située au 4706, rang des Écores (aujourd'hui le boulevard Lévesque). Décor estival. Vers [1915-1920]. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.112 | Couple sortant d'une église. Une femme, portant un bouquet, et un homme, sortent bras dessus bras dessous, de l'église lors de leur mariage. Voir aussi P080/A2,02.073 et P080/A2,02.114. Décor estival. [Années 1910]. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.113 | Femme en manteau de fourrure. Une femme non identifiée, portant chapeau, manchon et manteau de fourrure, devant le magasin de Cyrille Bisson (1842-1922), sur la montée Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul. Date inconnue. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.114 | Couple descendant des escaliers. Un groupe de personnes non identifiées descend les escaliers d'une église lors d'un mariage. En avant-plan, une femme portant un bouquet, tient un homme par le bras alors que pleuvent des confettis. voir aussi P080/A2,02.073 et P080/A2,02.112. [Années 1910]. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.115 | Mariage d'Ernestine Bisson et Alban Auclair. Ernestine Bisson (1883-1964) et Alban Auclair (1884-1944) devant l'église Saint-Vincent-de-Paul, le jour de leur mariage. Décor estival. 26 juin 1917. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.116 | Mariage d'Ernestine Bisson et Alban Auclair. Les invités au mariage sortent de l'église de Saint-Vincent-de-Paul. Le maire, Wilfrid Auclair, parent du marié, est reconnaissable à son haut-de-forme. Décor estival. 26 juin 1917. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.117 | Mariage d'Ernestine Bisson et Alban Auclair. Les invités au mariage sortent de l'église de Saint-Vincent-de-Paul. Décor estival. 26 juin 1917. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.118 | Mariage d'Ernestine Bisson et Alban Auclair. Les invités au mariage sont venus reconduire les mariés à la gare de chemin de fer pour leur voyage de noces. Ici, hommes et garçons surtout. Au centre, chapeau à la main, on reconnaît Alban Auclair (1884-1944). Décor estival. 26 juin 1917. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.119 | Mariage d'Ernestine Bisson et Alban Auclair. Les invités au mariage sont venus reconduire les mariés à la gare de chemin de fer pour leur voyage de noces. Ici, hommes et garçons surtout. Au centre, on reconnaît Alban Auclair (1884-1944). Décor estival. 26 juin 1917. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.120 | Mariage d'Ernestine Bisson et Alban Auclair. Les invités au mariage sont venus reconduire les mariés à la gare de chemin de fer pour leur voyage de noces. Ici, dames et demoiselles seulement, et Alban Auclair, au centre. Décor estival. 26 juin 1917. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.121 | Jeune fille étendue sur l'herbe. Une jeune fille, membre de la famille Bisson (?), tout de blanc vêtue, dans le jardin chez Cyrille Bisson (1842-1922), à Saint-Vincent-de-Paul. Décor verdoyant. [Années 1910-1920]. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.122 | Les enfants Jolicoeur. Les enfants Jolicoeur, parents des Bisson de Saint-Vincent-de-Paul, s'amusent avec un traîneau dans la neige, près de leur résidence située au 4706, rang des Écores (aujourd'hui le boulevard Lévesque Est). Décor hivernal. Vers 1920-1925. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.123 | Petite fille devant le pénitencier Saint-Vincent-de-Paul. Il s'agit probablement d'une petite-fille de Cyrille Bisson (1842-1922) et Olympe Valiquette (1850-1915) debout devant le mur d'enceinte du pénitencier, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor hivernal. Vers 1915-1920. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.124 | Petite fille dans un jardin. Il s'agit probablement d'une petite-fille de Cyrille Bisson (1842-1922) et Olympe Valiquette (1850-1915), assise dans le jardin chez Cyrille Bisson (?) sur la montée Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor verdoyant. Vers 1915-1920. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.125 | Petite fille dans un jardin. Il s'agit probablement d'une petite-fille de Cyrille Bisson (1842-1922) et Olympe Valiquette (1850-1915), assise dans le jardin chez Cyrille Bisson sur la montée Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor verdoyant. Vers 1915-1920. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.126 | Enfants dans un jardin. Il s'agit probablement des petits-enfants de Cyrille Bisson (1842-1922) et Olympe Valiquette (1850-1915), dans le jardin de ces derniers sur la montée Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor verdoyant. Vers 1915-1920. Tirage photographique: n&b., à Saint-Vincent-de-Paul. Décor verdoyant. Vers 1915-1920. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.127 | Enfants dans un jardin. Sept enfants, probablement des petits-enfants de Cyrille Bisson (1842-1922) et Olympe Valiquette (1850-1915), dans le jardin de ces derniers sur la montée Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor verdoyant. Vers 1915-1920. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.128 | Enfant dans un jardin. Un enfant, probablement un petit-enfant de Cyrille Bisson (1842-1922) et Olympe Valiquette (1850-1915), dans le jardin de ces derniers sur la montée Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor verdoyant. Vers 1915-1920. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.129 | Trois bambins dans un panier. Trois bambins, probablement des petits-enfants de Cyrille Bisson (1842-1922) et Olympe Valiquette (1850-1915), dans le jardin de ces derniers sur la montée Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor verdoyant. Vers 1915-1920. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.130 | Trois fillettes dans un jardin. Trois fillettes, probablement des petits-enfants de Cyrille Bisson (1842-1922) et Olympe Valiquette (1850-1915), dans le jardin de ces derniers sur la montée Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor verdoyant. Vers 1915-1920. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.131 | Enfants en tobogan. Trois enfants, probablement des petits-enfants de Cyrille Bisson (1842-1922) et Olympe Valiquette (1850-1915), sur le boulevard Lévesque. En arrière-plan, on voit la maison du juge Wilson, voisine de la résidence du préfet du pénitencier, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor hivernal. Vers 1915-1920. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.132 | Enfants en tobogan. Quatre enfants, probablement des petits-enfants de Cyrille Bisson (1842-1922) et Olympe Valiquette (1850-1915), devant le magasin de Cyrille Bisson, sur la montée Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor hivernal. Vers 1915-1920. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.133 | Fillettes tout de blanc vêtues. Trois enfants, probablement des petits-enfants de Cyrille Bisson (1842-1922) et Olympe Valiquette (1850-1915), sur la montée Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor estival. Vers 1915-1920. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.134 | Enfants dans un jardin. Une fillette et un bébé, probablement des petits-enfants de Cyrille Bisson (1842-1922) et Olympe Valiquette (1850-1915), dans le jardin de ces derniers sur la montée Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor verdoyant. Vers 1915-1920. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.135 | Les enfants Jolicoeur. Les Jolicoeur étaient parents des Bisson de Saint-Vincent-de-Paul. Ici, deux enfants sur le terrain en face de leur résidence, située au 4706, rang des Écores (aujourd'hui le boulevard Lévesque). Décor estival. [Vers 1915-1920]. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.136 | Trois enfants chaudement habillés. Trois enfants, probablement des petits-enfants de Cyrille Bisson (1842-1922) et Olympe Valiquette (1850-1915), devant le magasin de Cyrille Bisson sur la montée Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor hivernal. Vers 1915-1920. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.137 | Enfant dans un jardin. Un enfant, probablement un petit-enfant de Cyrille Bisson (1842-1922) et Olympe Valiquette (1850-1915), étendu dans l'herbe, dans le jardin de ces derniers sur la montée Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor verdoyant. Vers 1915-1920. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.138 | Enfants dans un jardin. Trois enfants, probablement des petits-enfants de Cyrille Bisson (1842-1922) et Olympe Valiquette (1850-1915), chapeaux de papier sur la tête, dans le jardin de ces derniers sur la montée Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor verdoyant. Vers 1915-1920. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.139 | Enfants dans un jardin. Trois enfants, probablement des petits-enfants de Cyrille Bisson (1842-1922) et Olympe Valiquette (1850-1915), dans le jardin chez Cyrille Bisson, sur la montée Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor verdoyant. Vers 1915-1920. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.140 | Enfants dans un jardin. Trois enfants, probablement des petits-enfants de Cyrille Bisson (1842-1922) et Olympe Valiquette (1850-1915), chapeaux de papier sur la tête, dans le jardin de ces derniers sur la montée Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor verdoyant. Vers 1915-1920. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.141 | Enfant dans un jardin. Un enfant, probablement un des petits-enfants de Cyrille Bisson (1842-1922) et Olympe Valiquette (1850-1915), se cramponne après une chaise, dans le jardin chez Cyrille Bisson, sur la montée Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor verdoyant. Vers 1915-1920. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.142 | Enfants dans un jardin. Trois fillettes, probablement des petits-enfants de Cyrille Bisson (1842-1922) et Olympe Valiquette (1850-1915), dans le jardin chez Cyrille Bisson, sur la montée Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor verdoyant. Vers 1915-1920. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.143 | Enfants dans un jardin. Deux enfants, probablement des petits-enfants de Cyrille Bisson (1842-1922) et Olympe Valiquette (1850-1915), dans le jardin de ces derniers sur la montée Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor verdoyant. Vers 1915-1920. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.144 | Enfants dans un jardin. Deux enfants, probablement des petits-enfants de Cyrille Bisson (1842-1922) et Olympe Valiquette (1850-1915), dans le jardin chez Cyrille Bisson, sur la montée Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor verdoyant. Vers 1915-1920. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.145 | Enfants devant le magasin de Cyrille Bisson, à Saint-Vincent-de-Paul. Quatre enfants, probablement des petits-enfants de Cyrille Bisson (1842-1922) et Olympe Valiquette (1850-1915), devant le magasin départemental de Cyrille Bisson, sur la montée Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul. Vers 1915-1920. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.146 | Enfant dans un jardin. Un enfant, probablement un des petits-enfants de Cyrille Bisson (1842-1922) et Olympe Valiquette (1850-1915), dans le jardin chez Cyrille Bisson, sur la montée Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor verdoyant. Vers 1915-1920. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.147 | Enfant dans un jardin. Une enfant, probablement un des petits-enfants de Cyrille Bisson (1842-1922) et Olympe Valiquette (1850-1915), dans le jardin chez Cyrille Bisson, sur la montée Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor verdoyant. Vers 1915-1920. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.148 | Enfants à Saint-Vincent-de-Paul. Quatre enfants, des petits-enfants de Cyrille Bisson (1842-1922) et Olympe Valiquette (1850-1915), assis sur le perron de la maison située en face du 4706, boulevard Lévesque Est, coin Champagnat, à Saint-Vincent-de-Paul. Cette maison est aujourd'hui disparue et l'emplacement est occupé par Automobiles Fréchette. Décor estival. Vers 1915-1920. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.149 | Enfants à Saint-Vincent-de-Paul. Quatre enfants, des petits-enfants de Cyrille Bisson (1842-1922) et Olympe Valiquette (1850-1915), assis sur le perron de la maison située en face du 4706, boulevard Lévesque Est, à Saint-Vincent-de-Paul. Cette maison est aujourd'hui disparue et l'emplacement est occupé par Automobiles Fréchette. Décor estival. Vers 1915-1920. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.150 | Enfants à Saint-Vincent-de-Paul. Quatre enfants, des petits-enfants de Cyrille Bisson (1842-1922) et Olympe Valiquette (1850-1915), assis sur le perron de la maison située en face du 4706, boulevard Lévesque Est, à Saint-Vincent-de-Paul. Cette maison est aujourd'hui disparue et l'emplacement est occupé par Automobiles Fréchette. Décor estival. Vers 1915-1920. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.151 | Trois bambins dans un panier. Trois bambins, probablement des petits-enfants de Cyrille Bisson (1842-1922) et Olympe Valiquette (1850-1915), dans le jardin de ces derniers sur la montée Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor verdoyant. Vers 1915-1920. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.152 | Enfants dans un jardin. Quatre enfants, probablement des petits-enfants de Cyrille Bisson (1842-1922) et Olympe Valiquette (1850-1915), dans le jardin chez Cyrille Bisson, sur la montée Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor verdoyant. Vers 1915-1920. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.153 | Enfant dans un jardin. Un enfant, probablement un des petits-enfants de Cyrille Bisson (1842-1922) et Olympe Valiquette (1850-1915), dans le jardin chez Cyrille Bisson, sur la montée Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor verdoyant. Vers 1915-1920. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.154 | Enfants en tobogan. Trois enfants, probablement des petits-enfants de Cyrille Bisson (1842-1922) et Olympe Valiquette (1850-1915), devant le mur du pénitencier, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor hivernal. Vers 1915-1920. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.155 | Enfants dans un jardin. Trois enfants, probablement des petits-enfants de Cyrille Bisson (1842-1922) et Olympe Valiquette (1850-1915), chapeaux de papier sur la tête, dans le jardin de ces derniers sur la montée Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor verdoyant. Vers 1915-1920. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.156 | Jeune homme et enfants dans un jardin. Un jeune homme et cinq enfants, probablement des petits-enfants de Cyrille Bisson (1842-1922) et Olympe Valiquette (1850-1915), dans le jardin chez Cyrille Bisson, sur la montée Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor verdoyant. Vers 1915-1920. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.157 | Enfants dans un jardin. Quatre fillettes, probablement des petits-enfants de Cyrille Bisson (1842-1922) et Olympe Valiquette (1850-1915), dans le jardin chez Cyrille Bisson, sur la montée Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor verdoyant. Vers 1915-1920. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.158 | Enfants dans un jardin. Deux enfants, probablement des petits-enfants de Cyrille Bisson (1842-1922) et Olympe Valiquette (1850-1915), dans le jardin chez Cyrille Bisson, sur la montée Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor verdoyant. Vers 1915-1920. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.159 | Enfant dans un jardin. Un enfant, probablement un des petits-enfants de Cyrille Bisson (1842-1922) et Olympe Valiquette (1850-1915), dans le jardin chez Cyrille Bisson, sur la montée Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor verdoyant. Vers 1915-1920. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.160 | Enfant dans un jardin. Un enfant, probablement un des petits-enfants de Cyrille Bisson (1842-1922) et Olympe Valiquette (1850-1915), dans le jardin chez Cyrille Bisson, sur la montée Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor verdoyant. Vers 1915-1920. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.161 | Enfant dans un jardin. Un enfant, probablement un des petits-enfants de Cyrille Bisson (1842-1922) et Olympe Valiquette (1850-1915), dans le jardin de ces derniers, sur la montée Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor verdoyant. Vers 1915-1920. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.162 | Enfant dans un jardin. Un enfant, probablement un des petits-enfants de Cyrille Bisson (1842-1922) et Olympe Valiquette (1850-1915), dans le jardin, de ces derniers, sur la montée Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor verdoyant. Vers 1915-1920. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.163 | Femme tenant un enfant. Femme tenant un enfant, probablement un des petits-enfants de Cyrille Bisson (1842-1922) et Olympe Valiquette (1850-1915), chez ces derniers, sur la montée Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor dépouillé. Vers 1915-1920. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.164 | Femme tenant un enfant. Femme tenant un enfant, probablement un des petits-enfants de Cyrille Bisson (1842-1922) et Olympe Valiquette (1850-1915), chez ces derniers, sur la montée Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor dépouillé. Vers 1915-1920. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.165 | Femme tenant un enfant. Femme tenant un enfant, probablement un des petits-enfants de Cyrille Bisson (1842-1922) et Olympe Valiquette (1850-1915), chez ces derniers, sur la montée Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor dépouillé. Vers 1915-1920. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.166 | Femme et enfant dans un jardin. Une femme se tient près d'un enfant assis dans une poussette, probablement un des petits-enfants de Cyrille Bisson (1842-1922) et Olympe Valiquette (1850-1915), chez ces derniers, sur la montée Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor verdoyant. Vers 1915-1920. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.167 | Femme tenant un enfant dans un jardin. Une femme tient un enfant dans ses bras, probablement un des petits-enfants de Cyrille Bisson (1842-1922) et Olympe Valiquette (1850-1915), chez ces derniers, sur la montée Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor verdoyant. Vers 1915-1920. Tirage photographique: n&b |
![]() | P080/A2,02.168 | Jeannine Auclair, à Saint-Vincent-de-Paul. Jeannine Auclair, petite-fille de Cyrille Bisson (1842-1922) et Olympe Valiquette (1850-1915), dans une poussette devant le magasin départemental de Cyrille Bisson, sur la montée Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul. Printemps 1927. Tirage photographique: n&b |
![]() | P080/A2,02.182 | Membres de la famille Auclair à Saint-Vincent-de-Paul. Installés sur le perron d'une maison, on reconnaît Alban Auclair (1884-1944), première rangée, deuxième à partir de la gauche, puis sa fille Renée 1918-1981), et son épouse Ernestine Bisson (1883-1964), sur la montée Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor estival. 1925. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.183 | Membres de la famille Auclair à Saint-Vincent-de-Paul. Installés sur le perron d'une maison, on reconnaît Alban Auclair (1884-1944), première rangée deuxième à partir de la gauche, puis sa fille Renée 1918-1981), et son épouse Ernestine Bisson (1883-1964), sur la montée Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor estival. 1925. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.185 | Enfants et un chat. Un jeune garçon accompagne une petite fille qui caresse un chat, devant des habitations dans un lieu inconnu. Décor dépouillé. [Années 1920]. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.186 | Enfant sur un perron. Un bambin, membre (?) de la famille Auclair, sur le perron d'une maison sur la montée Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor estival. [Années 1920]. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.187 | Enfant à la campagne. Un bambin est assis dans un chariot dans un lieu inconnu. Décor dépouillé. [Années 1920]. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.188 | Bambin Bambin, membre de la famille Bisson (?) sous un rai de lumière. Date inconnue. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.189 | Femme et enfant à Saint-Vincent-de-Paul. Ernestine Bisson Auclair (1883-1964), épouse de Alban Auclair (1884-1944), tient sa deuxième fille, Jeannine Auclair (1926-2010), dans ses bras, devant le magasin de son père, Cyrille Bisson (1842-1922), sur la montée Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul. En arrière-plan, on peut voir le mur d'enceinte du pénitencier Saint-Vincent-de-Paul. Hiver 1926-1927. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.190 | Enfant dans un fauteuil berçant. Jeannine Auclair (1926-2010), fille de Alban Auclair (1883-1940) et Ernestine Bisson (1883-1964), devant le magasin de son grand-père Cyrille Bisson (1842-1922), sur la montée Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul, près du boulevard Lévesque, côté est. Printemps 1927. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.192 | Enfant dans un fauteuil berçant. Jeannine Auclair (1926-2010), fille de Alban Auclair (1883-1940) et Ernestine Bisson (1883-1964), devant le magasin de son grand-père Cyrille Bisson (1842-1922), sur la montée Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul., près du boulevard Lévesque, côté est. Printemps 1927. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.193 | Femme tenant un enfant. Alice Auclair Robichaud (1892-1982), soeur de Alban Auclair (1884-1944), tient sa nièce Jeannine Auclair (1926-2010) dans ses bras, devant le magasin de Cyrille Bisson (1842-1922), grand-père de Jeannine, sur la montée Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul, près du boulevard Lévesque, côté est. Printemps 1927. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.194 | Traîneau sur la rivière des Mille-Îles gelée. Un traîneau, tiré par un cheval et occupé par son conducteur, se prépare pour la course sur la rivière gelée à Saint-Vincent-de-Paul. Décor hivernal. Vers 1927. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.195 | Membres de la famille Bisson à Saint-Vincent-de-Paul. On reconnaît, sur la droite, Ernestine Bisson Auclair (1883-1964), fille de Cyrille Bisson (1842-1922) et d'Olympe Valiquette (1850-1915), sa fille Renée Auclair (1918-1981), devant elle, et des parents. Ici, devant une maison à Saint-Vincent-de-Paul. Décor estival. Vers 1922. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.196 | Enfant à Saint-Vincent-de-Paul. Renée Auclair (1918-1981), première fille de Alban Auclair (1884-1944) et de Ernestine Bisson Auclair (1883-1964), posant devant une habitation. Décor dépouillé. Vers 1924. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.197 | Enfant à Saint-Vincent-de-Paul. Renée Auclair (1918-1981), première fille d'Alban Auclair (1884-1944) et d'Ernestine Bisson Auclair (1883-1964), posant devant une habitation. Décor dépouillé. Vers 1924. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.198 | Enfant à Saint-Vincent-de-Paul. Renée Auclair (1918-1981), première fille d'Alban Auclair (1884-1944) et d'Ernestine Bisson Auclair (1883-1964), posant devant une habitation. Décor dépouillé. Vers 1924. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.199 | Enfant à Saint-Vincent-de-Paul. Renée Auclair (1918-1981), première fille d'Alban Auclair (1884-1944) et d'Ernestine Bisson Auclair (1883-1964), posant devant une habitation. Décor dépouillé. Vers 1924. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.200 | Portrait de groupe à Saint-Vincent-de-Paul. On reconnaît, sur la droite, Ernestine Bisson Auclair (1883-1964), fille de Cyrille Bisson (1842-1922) et d'Olympe Valiquette (1850-1915), et épouse d'Alban Auclair (1884-1944). Ici, accompagnées de trois personnes non identifiées, devant une résidence à Saint-Vincent-de-Paul. Décor estival. Vers 1930. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.201 | Touristes au Cap-de-La-Madeleine. Trois femmes et un homme non-identifié mais en lien avec la famille Bisson de Saint-Vincent-de-Paul, posent devant l'entrée du Sanctuaire Notre-Dame-du-Cap. Décor estival. [Vers 1930]. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.203 | Portrait de femmes. Trois femmes, non identifiées mais en lien avec la famille Bisson de Saint-Vincent-de-Paul, posent pour la caméra. Décor estival. Lieu non identifié. [Vers 1930]. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.204 | Enfant à Saint-Vincent-de-Paul. Un jeune enfant est assis sur une chaise sur le perron d'une habitation. Décor estival. [Années 1920-1930]. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.205 | Portrait de femmes Deux femmes, une jeune fille et deux enfants posent sur le perron d'une habitation à Saint-Vincent-de-Paul. Décor estival. [Années 1920-1930). Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.206 | Portrait de femmes. Trois femmes, non identifiées mais en lien avec la famille Bisson de Saint-Vincent-de-Paul, posent pour la caméra. Décor estival. Lieu non identifié. [Vers 1930]. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.207 | Portrait de femmes en croisière sur un bateau. Deux femmes et une jeune fille assises sur le pont d'un bateau à La Malbaie (?). Décor estival. Vers 1923. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.208 | Portrait de touristes à La Malbaie (Québec). Sur la gauche, on reconnaît Alban Auclair (1884-1944) et son épouse Ernestine Bisson Auclair (1883-1964) de Saint-Vincent-de-Paul, accompagnés d'un homme et d'une jeune fille. Ici, sur la grève à La Malbaie (?). Décor estival. Vers 1923. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.209 | Portrait de femmes en croisière sur un bateau. Trois femmes assises sur le pont d'un bateau à La Malbaie (?). Décor estival. Vers 1923. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.210 | Portrait de touristes à La Malbaie. Sur la gauche, on reconnaît Alban Auclair (1884-1944), de Saint-Vincent-de-Paul, accompagné d'un couple et d'une jeune fille. Ici, sur la grève à La Malbaie (?). Décor estival. Vers 1923. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.211 | Portrait d'enfants à Saint-Vincent-de-Paul. Quatre jeunes enfants vêtues de blanc posent pour la caméra. Décor estival. Vers 1920-1925. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.212 | Portrait d'enfants à Saint-Vincent-de-Paul. Quatre jeunes enfants vêtues de blanc posent pour la caméra assises dans l'herbe. Décor estival. Vers 1920-1925. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.213 | Mère et fille à Saint-Vincent-de-Paul. Ernestine Bisson Auclair (1883-1964), en deuil (?) de son père, et sa fille Renée Auclair (1918-1981). Ici, devant une résidence sur la montée Saint-François. Décor estival. 1922. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.214 | Portrait de famille. On reconnaît, à gauche, Ernestine Bisson Auclair (1884-1964), sa fille Renée Auclair (1918-1981), et sa belle-soeur Edmée Auclair (1897-1982). Ici, sur la montée Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor estival. 1922. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.217 | Homme et deux enfants. Alban Auclair (1884-1944) tient la main d'un bambin debout sur le perron de la maison dite des «Barbeau», sur la montée Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul. Assise à ses côtés, Renée Auclair (1918-1981), fille d'Alban Auclair. Décor estival. [Années 1920]. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.220 | Jeune femme et enfant. Edmée Auclair (1897-1982) et sa nièce Jeannine Auclair (1926-2010), fille d'Alban Auclair (1884-1944) et Ernestine Bisson (1883-1964), de Saint-Vincent-de-Paul, au chalet, à Saint-Adolphe-d'Howard. Décor estival. 1928. Tirage photographique : n&b. |
![]() | P080/A2,02.221 | Portrait de famille. On reconnaît, en avant-plan, de gauche à droite, Renée Auclair (1918-1981), Jeannine Auclair (1926-2010), filles d'Alban Auclair (1884-1944), leur cousine Mariette Sigouin (1906-1997), et une inconnue. En arrière-plan, dans le même ordre, Mathilde Gagnon Auclair (1853-1929), Ernestine Bisson Auclair (1883-1964), et Edmée Auclair (1897-1982), de Saint-Vincent-de-Paul, sur le perron du chalet à Saint-Adolphe d'Howard. Décor estival. 1928. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.222 | Portrait de famille On reconnaît, de gauche à droite, Renée Auclair (1918-1981), Jeannine Auclair (1926-2010), Mariette Sigouin (1906-1997), Germaine Auclair (1895-1979), Edmée Auclair (1897-1982), de Saint-Vincent-de-Paul, et une inconnue, sur le perron du chalet à Saint-Adolphe d'Howard. Décor estival. 1928. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.226 | Le salon du Manoir Richelieu à La Malbaie(Québec), dans les années 1920. Vue d'ensemble d'un grand salon meublé principalement de fauteuils et de canapés. Inscription: Drawing Room - Manoir Richelieu - Murray Bay - 2934. Vers 1923. Carte postale: n&b. |
![]() | P080/A2,02.227 | Unité d'habitation au Manoir Richelieu à Murray Bay (Québec), dans les années 1920. Vue du cottage où séjourna l'ex-président des États-Unis William Howard Taft (1857-1930). Décor estival. Inscription: Ex-President Taft's Cottage - Murray Bay - 2934. Vers 1923. Carte postale: n&b. |
![]() | P080/A2,02.230 | Le golf du Manoir Richelieu à Murray Bay (Québec), dans les années 1920. Quatre joueurs occupent le centre de cette composition qui met en scène le paysage de la Malbaie. Décor estival. Inscription: Manoir Richelieu - Golf links - Murray Bay - 3093. Vers 1923. Carte postale: n&b. |
![]() | P080/A2,02.231 | Femme filant de la laine. Une femme a installé son rouet sur le perron d'une habitation en bois. Décor estival. Inscription: The Spinning Wheel - 2933. Vers 1923. Carte postale: n&b. |
![]() | P080/A2,02.232 | Femme au métier à tisser. Une femme est assise devant un métier à tisser. Inscription: The Habitant Loom - 3079 1/2. Vers 1923. Carte postale: n&b. |
![]() | P080/A2,02.234 | Portrait d'enfants Un groupe de six enfants perchés ou assis dans une embarcation sur la rivière des Prairies, à Saint-Vincent-de-Paul. Sur la droite, on reconnaît Madeleine Sigouin (1915-1984) et son frère Jacques (1922-2007). Décor estival. Vers 1925. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.235 | Touristes en croisière. Trois femmes sont assises sur le pont d'un bateau à La Malbaie (?). On reconnaît, au centre, Ernestine Bisson Auclair (1883-1964), de Saint-Vincent-de-Paul. Décor estival. Vers 1923. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.236 | La traverse à Saint-Vincent-de-Paul. Un groupe de femmes et d'enfants est assis à l'arrière d'une embarcation amarrée à un débarcadère. Au centre du groupe, tout au fond, on reconnaît Béatrice Auclair Sigouin (1886-1972). Un homme, le passeur, gaffe à la main, se tient debout à l'avant. Sur le flanc de l'embarcation, on peut lire «DANTON». En arrière-plan, la rive de Montréal-Nord. Décor estival. Vers 1924. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.237 | Portrait de femmes et enfants Un groupe de femmes et d'enfants pose devant une habitation à Saint-Vincent-de-Paul. On reconnaît, à gauche, Ernestine Bisson Auclair (1883-1964) et, quatrième depuis la gauche, Béatrice Auclair Sigouin (1886-1972) et son fils Jacques (1922-2007). Décor estival. Vers 1924. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.238 | Portrait de femme. Alice Auclair (1892-1982), soeur d'Alban Auclair (1884-1944), de Saint-Vincent-de-Paul, prend la pose, étendue sur un rocher. Décor estival. [Années 1920]. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.240 | Le temps des sucres. Un groupe d'hommes de la famille Auclair, certains assis autour d'une table, sont rasssemblés dans un boisé sur le rang du Bas-Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor dépouillé. Vers 1923. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.241 | Le temps des sucres. Hommes, femme et enfant rasssemblés dans un boisé sur le rang du Bas-Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor dépouillé. Vers 1923. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.242 | Le temps des sucres. On reconnaît Alban Auclair (1884-1944), son épouse Ernestine Bisson Auclair (1883-1964) et un enfant non identifié, dans un boisé du rang du Bas-Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor dépouillé. Vers 1923. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.243 | Le temps de sucres. Deux femmes et deux hommes de la famille Auclair-Bisson posent dans un boisé du rang du Bas-Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul. Sur la gauche, on reconnaît Alice Auclair (1892-1982). Décor dépouillé. Vers 1923. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.244 | Le temps des sucres. Des membres de la famille Auclair posent dans un boisé du rang du Bas-Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul. Dans la première rangée, de gauche à droite, on reconnaît, à partir du deuxième, Ernest Auclair (1888-1976), puis Alfred Auclair (1883-1970), Mathilde Gagnon Auclair (1853-1929), Emmanuel Auclair (1855-1944), et Béatrice Auclair (1886-1972). Au centre, en pâle, on retrouve Germaine Auclair (1895-1979) et, derrière elle, tout en haut, Alice Auclair (1892-1982) et , complètement à droite, Alban Auclair (1884-1944). Décor dépouillé. Vers 1923. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.245 | Père et fille. Jeannine Auclair (1926-2010) à califourchon sur le dos de son père Alban Auclair (1884-1944), sur le rang du Bas-Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor estival. Vers 1929. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.246 | Le temps des sucres. Au centre, Alice Auclair (1892-1982) et un ami. À gauche, sa mère, Mathilde Gagnon Auclair (1853-1929). Sur la droite, de dos, son frère Alban Auclair (1884-1944) dans un boisé du rang du Bas-Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul. En arrière-plan, des hommes, des femmes se sont installés autour d'une table. Décor dépouillé. Vers 1923. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.247 | Portrait de famille. On reconnaît Emmanuel Auclair (1855-1944), père d'Alban Auclair (1884-1944), debout en arrière-plan. Au centre, un homme assis dans l'herbe, tient une enfant sur ses genoux, dans le rang du Bas-Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor estival. Vers 1929. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.251 | Portrait de famille. Visite dans la famille Auclair, dans le rang du Bas-Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul. Au centre, assis, on reconnaît Alban Auclair (1884-1944). Derrière lui, à sa droite, en noir, sa mère Mathilde Gagnon Auclair (1853-1929), et à sa gauche, aussi en noir, Ernestine Bisson Auclair (1883-1964) son épouse, au côté de son beau-père, portant une veste pâle, Emmanuel Auclair (1855-1944), époux de Mathilde Gagnon Auclair. Décor estival. Vers 1929. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.252 | Portrait d'enfants. Des enfants de la famille Auclair, en visite, posent devant une maison de pierre dans le rang du Bas-Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor estival. Vers 1929. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.253 | Enfant et chien à la gare. Renée Auclair (1918-1981) et un chien à la gare de Saint-Vincent-de-Paul. Vers 1923. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.254 | Femme et enfant à la gare. Alice Auclair (1892-1982) et sa nièce Renée Auclair (1928-1981) à la gare de Saint-Vincent-de-Paul. Vers 1923. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.256 | Femme à la gare. Une femme non identifiée, portant manteau de fourrure, pose sur le quai de la gare de Saint-Vincent-de-Paul. Vers 1923. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.257 | Femmes et enfant à la gare. Sur la gauche, on reconnaît Ernestine Bisson Auclair (1883-1964), sa fille, au centre, Renée Auclair (1918-1981), et une femme non identifiée, sur le quai de la gare de Saint-Vincent-de-Paul. Vers 1923. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.258 | Femmes et enfant à la gare. Au centre, on reconnaît la jeune Renée Auclair (1918-1981) et, à sa gauche, Ernestine Bisson Aulair (1883-1964), sa mère, et à sa droite, une femme non identifiée, sur le quai de la gare de Saint-Vincent-de-Paul. Vers 1923. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.259 | Portrait d'enfant. Renée Auclair (1918-1981), fille d'Alban Auclair (1884-1944) et d'Ernestine Bisson (1883-1964), toute vêtue de blance, à sa première communion (?). Ici, à Saint-Vincent-de-Paul. Vers 1924. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.260 | Portrait d'hommes. Un groupe d'hommes installés sur le perron d'une maison de bois pose pour la caméra. Complètement, à gauche, on reconnaît Alban Auclair (1884-1944). Décor estival. [Années 1920]. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.261 | Portrait d'hommes. Un groupe d'hommes, installé sur le perron d'une maison de bois, pose pour la caméra. Complètement à gauche, on reconnaît Alban Auclair (1884-1944). Décor estival. [Années 1920]. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.262 | Portrait d'hommes. Un groupe d'hommes, installé sur le perron d'une maison de bois, pose pour la caméra. Complètement, à gauche, on reconnaît Alban Auclair (1884-1944). Décor estival. [Années 1920]. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.263 | Portrait d'hommes. Un groupe d'hommes, installé sur le perron d'une maison de bois, pose pour la caméra. Complètement, à gauche, on reconnaît Alban Auclair (1884-1944). Décor estival. [Années 1920]. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.264 | Portrait d'enfant Renée Auclair (1918-1981), assise sur un canon, un bouquet à la main. Au fond, à gauche, la future maison de son père, Alban Auclair (1884-1944) après l'expropriation de 1929-1930. Cette maison deviendra en 1956 la Caisse populaire de Saint-Vincent-de-Paul. La photo est prise sur le terrain du Collège Laval. À droite, la maison de de l'aumônier du collège, sise au 1110, du Collège, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor estival. Vers 1922-1923. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.265 | Portrait de femmes. Un groupe de jeunes femmes pose pour la caméra à Saint-Vincent-de-Paul. Décor estival. [Années 1920]. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.266 | Portrait de groupe Alban Auclair (1884-1944) et un groupe d'enfants posent de part et d'autre d'une voiture de marque Chevrolet, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor estival. Vers 1922-1923. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.267 | Père et fille. Alban Auclair (1884-1944) et sa fille Renée Auclair (1918-1981), assise sur un canon, un bouquet à la main. Au fond, à gauche, la future maison de son père, Alban Auclair (1884-1944) après l'expropriation de 1929-1930. Cette maison deviendra en 1956 la Caisse populaire de Saint-Vincent-de-Paul. La photo est prise sur le terrain du Collège Laval. À droite, la maison de de l'aumônier du collège, sise au 1110, du Collège, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor estival. Vers 1922-1923. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.268 | Portrait de groupe. Un groupe d'hommes et de femmes pose sur un court de tennis, à Saint-Vincent-de-Paul. À gauche, on reconnaît Edmée Auclair (1897-1982), et à droite, son frère Alban Auclair (1884-1944). Décor estival. Vers 1922-1923. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.269 | Paysage. Vue sur un plan d'eau non identifié. Décor estival. Date inconnue. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.270 | Repas en plein air. Un groupe d'hommes et de femmes est rassemblé autour d'une table. À gauche, on reconnaît Alban Auclair (1884-1944), à Saint-Vincent-de-Paul. Décor estival. Vers 1922-1923. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.271 | Homme sur court de tennis. Alban Auclair (1884-1944), raquette à la main, sur un terrain de tennis, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor estival. Vers 1922-1923. Tirage photographique; n&b. |
![]() | P080/A2,02.272 | Repas en plein air. Un groupe d'hommes et de femmes est rassemblé autour d'une table, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor estival. Voir aussi P080/A2,02.270. Vers 1922-1923. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.273 | Portrait de femmes et enfants. Un groupe de femmes et d'enfants pose pour la caméra, à Saint-Vincent-de-Paul. Assise à gauche, on reconnaît Ernestine Bisson Auclair (1883-1964). Décor estival. Vers 1925. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.274 | Paysage. Vue sur un plan d'eau non identifié. Décor estival. Date inconnue. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.275 | Portrait de groupe Un groupe d'hommes et de femmes pose sur un court de tennis, à Saint-Vincent-de-Paul. On reconnaît, accroupi, Alban Auclair (1884-1944) et, derrière lui, sa soeur Edmée Auclair (1897-1982). Décor estival. Vers 1925. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.276 | Portrait d'Alban Auclair Alban Auclair (1884-1944) était le fils d'Emmanuel Auclair (1855-1944) et de Mathilde Gagnon (1853-1929), de Saint-Vincent-de-Paul. Il était l'époux d'Ernestine Bisson Auclair (1883-1964) et le père de Renée Auclair (1918-1981) et de Jeannine Auclair (1926-2010). Vers 1925. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.277 | Portrait d'enfants Deux enfants assis dans l'herbe regarde la caméra pendant qu'une femme observe la scène. Décor estival. [Années 1920]. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.278 | Portrait d'une femme. On reconnaît Germaine Auclair (1895-1979), fille d'Emmanuel Auclair (1855-1944) et de Mathilde Gagnon Auclair (1853-1929), et soeur d'Alban Auclair (1884-1944). Décor verdoyant. Vers 1929. Tirage photographique:n&b. |
![]() | P080/A2,02.279 | Portrait de famille On reconnaît, à gauche, Emmanuel Auclair (1855-1944), ses petites-filles Renée Auclair (1918-1981) et Jeannine Auclair (1926-2010), avec leur mère, Ernestine Bisson Auclair (1883-1964), de Saint-Vincent-de-Paul. Ici, lors d'une baignade au chalet à Saint-Adolphe-d'Howard. Décor estival. Vers 1929. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.280 | Portrait d'enfant. On reconnaît Jeannine Auclair (1926-2010), juchée sur un tas de paille, au chalet de son père Alban Auclair (1884-19444) à Saint-Adolphe-d'Howard. Décor estival. Vers 1929. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.281 | Portrait de famille et amis. Un groupe d'hommes et de femmes pose sur les marches du chalet à Saint-Adolphe-d'Howard. On reconnaît, au centre de la deuxième rangée, Ernestine Bisson Auclair (1883-1964) et, à sa gauche, son mari, Alban Auclair (1884-1944). Debout, à gauche, se trouve Georges Robichaud (1892-1949), fiancé d'Alice Auclair (1892-1982), puis, Emmanuel Auclair (1855-1944) et son épouse Mathilde Gagnon Auclair (1853-1929). Décor estival. Vers 1929. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.282 | Enfants au chalet. Trois enfants et une femme profitent du beau temps au chalet, à Saint-Adolphe-d'Howard. Décor estival. [Années 1920]. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.283 | Mére et enfant. Ernestine Bisson Auclair (1883-1964) et sa fille Jeannine Auclair (1926-2010) lors d'une baignade au chalet familial, à Saint-Adolphe-d'Howard. Décor estival. Vers 1928. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.284 | Portrait d'une femme. Une femme non identifiée est asssise sur la véranda du premier chalet d'Alban Auclair (1884-1944), à Saint-Adolphe-d'Howard. Décor estival. Vers 1928. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.285 | Portrait de famille. On reconnaît, à gauche, assise, Germaine Auclair (1895-1979), puis Ernestine Bisson Auclair (1883-1964), et sa fille Renée Auclair (1918-1981). Debout, à gauche, Alban Auclair (1884-1944), puis son père Emmanuel Auclair (1855-1944), son épouse Mathilde Gagnon Auclair (1853-1929), assise, et le curé Lebeau. Ici, sur la véranda au chalet d'Alban Auclair, à Saint-Adolphe-d'Howard. Décor estival. Vers 1928. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.286 | Portrait d'enfant. Jeannine Auclair (1926-2010), fille d'Alban Auclair (1884-1944) et d'Ernestine Bisson Auclair (1883-1964), au chalet, à Saint-Adolphe-d'Howard. Décor estival. Vers 1928. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.287 | Église de Saint-Adolphe-d'Howard. Vue du côté droit de l'église. Décor estival. Vers 1928. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.288 | Portrait de famille. On reconnaît, assise, Germaine Auclair (1895-1979), sa nièce Renée Auclair (1918-1981), et un enfant non identifié, au chalet, à Saint-Adolphe-d'Howard. Décor estival. Vers 1928. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.289 | Portrait d'enfants. Deux enfants sont assis dans l'herbe, à Saint-Adolphe-d'Howard, au chalet d'Alban Auclair (1884-1944) de Saint-Vincent-de-Paul. Décor estival. Vers 1928. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.290 | Portrait d'enfants. Deux enfants sont assis sur une petite embarcation, à Saint-Adolphe-d'Howard, au chalet d'Alban Auclair (1884-1944) de Saint-Vincent-de-Paul. Décor estival. Vers 1928. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.291 | Portrait d'enfants. Trois enfants sont assis sur le perron d'une habitation sur la montée Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul. On reconnaît, à droite, Renée Auclair (1918-1981), première fille d'Alban Auclair (1884-1944) et d'Ernestine Bisson Auclair (1883-1964). Décor estival. Vers 1924. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.292 | Portrait d'enfant. On reconnaît Renée Auclair (1918-1981), première fille d'Alban Auclair (1884-1944) et d'Ernestine Bisson Auclair (1883-1964), sur la montée Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor estival. Vers 1923. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.293 | Portrait d'enfant. On reconnaît Renée Auclair (1918-1981), première fille d'Alban Auclair (1884-1944) et d'Ernestine Bisson Auclair (1883-1964), sur la montée Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor estival. Vers 1924. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.294 | Portrait de famille Un groupe d'adultes et d'enfants pose pour la caméra. Lieu inconnu. Décor estival. [Années 1920]. Tirage photographique:n&b. |
![]() | P080/A2,02.295 | Portrait d'enfants. Un groupe d'enfants se tient sur le débarcadère de la traverse à Sigouin, à Saint-Vincent-de-Paul. On reconnaît, première rangée, à gauche, Madeleine Sigouin (1915-1984) et son frère Jacques Sigouin (1922-2007), ici chez eux. Décor estival. vers 1925. Tirage photographique: n&b. Note; Madeleine Sigouin épousera Raymond Labrecque (1915-1968), le 1er octobre 1938. Le couple aura cinq enfants, Jean (1939-2016), Pierre et Denise (1942-), Jacques (1944-) et André (1952-). Jacques Sigouin épousera Rita Lagacé (1924-1991) en 1947. Le couple aura deux enfants, Suzanne (1950-) et Jacques (1953-). |
![]() | P080/A2,02.296 | Portrait de famille. Un homme, deux femmes, et quatre enfants posent pour la caméra. Au centtre, vêtue de noir, on reconnaît Ernestine Bisson Auclair (1883-1964). Lieu non identifié. Décor estival. [Années 1920]. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.297 | Femme et enfants. Une femme et quatre enfants posent sur les marches d'une habitation. On reconnaît, à l'arrière, Ernestine Bisson Auclair (1883-1964) et, à sa gauche, sa fille Renée Auclair (1918-1981). Lieu non identifié. Décor estival. Vers 1923. Tirage photographique; n&b. |
![]() | P080/A2,02.298 | Portrait d'enfant. On reconnaît Renée Auclair (1918-1981), première fille d'Alban Auclair (1884-1944) et d'Ernestine Bisson Auclair (1883-1964). Ici, sur le perron d'une habitation, à Saint-Vincent-de-Paul. Vers 1923. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.299 | Touriste en croisière. On reconnaît Alban Auclair (1884-1944), de Saint-Vincent-de-Paul, sur le pont d'un bateau de croisière à la Malbaie (?). Décor estival. Vers 1923. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.300 | Portrait de famille. On reconnaît, à gauche, Renée Auclair (1918-1981), sa mère Ernestine Bisson Auclair (1883-1964), et, à droite, Alice Auclair (1892-1982), la soeur d'Alban Auclair (1884-1944). Ici, sur la montée Saint-François, près du bloc du pénitencier, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor estival. Vers 1922. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.301 | Enfant en tricycle. On reconnaît Renée Auclair (1918-1981), fille d'Alban Auclair (1884-1944) et d'Ernestine Bisson Auclair (1883-1964), sur la montée Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor estival. Vers 1922. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.302 | Touristes en croisière. Deux hommes posent sur le pont d'un bateau de croisière à La Malbaie (?). On reconnaît, à droite, Alban Auclair (1884-1944), accompagné d'un écclesiastique. Décor estival. Vers 1923. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.303 | Équipe de baseball du Collège Laval. Portrait d'équipe regroupant dix joueurs en uniforme marqué des lettres C et L se chevauchant, une mascotte, et deux hommes en civil. On reconnaît, à droite, portant un canotier, Alban Auclair (1884-1944), et Robert Jobin (1911-2002), la mascotte de l'équipe. Ici, sur le terrain du Collège Laval. En arrière-plan, le pénitencier Saint-Vincent-de-Paul. Décor estival. Vers 1920. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.304 | Pont ferroviaire enjambant une écluse. Une locomotive à vapeur traverse un pont surplombant un canal de navigation (Canal Welland ?). La photo est prise depuis le pont d'un bateau circulant sur un canal. Décor estival. [Années 1920]. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.305 | Bâtiment non identifié Vue d'ensemble d'un bâtiment surmonté d'une tourelle. Lieu non identifié (Québec ou Ontario ?). Décor estival. Date inconnue. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.306 | Femme dans un décor hivernal. Ernestine Bisson Auclair (1883-1964), vêtue d'un manteau de fourrure, est debout sur le perron d'une résidence sur la montée Saint-François près du boulevard Lévesque, à Saint-Vincent-de-Paul. On aperçoit un sapin appuyé sur la balustrade. Voir aussi P080/A2,02.002. Décor hivernal. [Années 1910-1920]. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.307 | Hommes au travail. Des hommes s'affairent à la construction d'une bordure en pierre le long du chemin de la montée Saint-François près du boulevard Lévesque, tout près du pénitencier Saint-Vincent-de-Paul, à Saint-Vincent-de-Paul. En arrière-plan, on distingue la résidence de l'aumônier Olivier Harel (1847-1912) qui exerça au pénitencier de 1887-1912. La maison fut construite vers 1857, par le sénateur Bellerose (1820-1899), maire de Saint-Vincent-de-Paul de 1867 à 1887. Décor estival. [Années 1910-1920]. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.308 | Portrait de femmes et enfants. Cinq femmes et deux enfants posent dans un jardin, chez Cyrille Bisson (1842-1922) sur la montée Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul. On reconnaît, au centre et en arrière-plan, Ernestine Bisson Auclair (1883-1964). Voir P080/A2,02.31. Décor estival. [Années 1910]. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.309 | Portrait de femmes et enfants. Six femmes et deux enfants posent dans un jardin, possiblement chez Cyrille Bisson (1842-1922) sur la montée Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul. On reconnaît, à droite et en arrière-plan, Ernestine Bisson Auclair (1883-1964). Décor estival. [Années 1910]. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.310 | Portrait de femmes. Trois femmes posent devant la résidence de Cyrille Bisson (1842-1922) sur la montée Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor estival. [Années 1910]. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.311 | Jardin chez Cyrille Bisson, à Saint-Vincent-de-Paul. Un groupe de personnes se tient tout au fond du jardin chez Cyrille Bisson (1842-1922) sur la montée Saint-François. Décor estival. [Années 1910]. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.312 | Portrait de famille. Membres de la famille Auclair, à Saint-Vincent-de-Paul. On reconnaît, au centre et en noir, Mathilde Gagnon Auclair (1853-1929) et, derrière elle, son époux Emmanuel Auclair (1855-1944). Ils sont les parents de Béatrice Auclair Sigouin (1886-1972), à la gauche de Mathilde, et d'Alban Auclair (1884-1944), à droite, époux d'Ernestine Bisson Auclair (1883-1964), debout à gauche, devant la colonne. Ici, sur la montée Saint-François. Décor estival. Vers 1922. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.313 | Portrait de famille et amies. On reconnaît, au centre, Alban Auclair (1884-1944) et, à droite, sa soeur Edmée Auclair (1897-1982). Ici, devant une résidence sur la montée Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor estival. Vers 1922. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.314 | Portrait d'une femme. On reconnaît Ernestine Bisson Auclair (1883-1964), fille de Cyrille Bisson (1842-1922) et d'Olympe Valiquette (1850-1915), épouse d'Alban Auclair (1884-1944) et mère de Renée Auclair (1918-1981) et de Jeannine Auclair (1926-2010). Ici, sur la montée Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor estival. Vers 1922. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.315 | Portrait de femmes. On reconnaît, a gauche, Alice Auclair (1892-1982) et, à droite, sa belle-soeur Ernestine Bisson Auclair (1883-1964). Ici, sur la montée Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor estival. Vers 1922. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.316 | Portrait de femmes. On reconnaît, a gauche, Edmée Auclair (1897-1982) et, à droite, sa belle-soeur Ernestine Bisson Auclair (1883-1964). Ici, sur la montée Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor estival. Vers 1922. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.317 | Joueurs de crosse. On reconnaît, en uniforme, à gauche, Henri Auclair (1887-1017) et, à droite, son frère Alban Auclair (1884-1944), membres de l'équipe de crosse de Saint-Vincent-de-Paul. Décor estival. Vers 1915. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.318 | Mère et fille. On reconnaît Ernestine Bisson Auclair (1883-1964) et sa fille Renée Auclair (1918-1981), ici au chalet à Saint-Adolphe-d'Howard. Décor estival. Vers 1923-1924. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.319 | Portrait d'un couple. On reconnaît Ernestine Bisson Auclair (1883-1964) et son époux Alban Auclair (1884-1944), ici, au chalet, à Saint-Adolphe-d'Howard. Décor estival. Vers 1923-1924. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.320 | Portrait de famille et amis. On reconnaît, à gauche, Ernestine Bisson Auclair (1883-1964) et son époux Alban Auclair (1884-1944). Accroupie, à droite, Germaine Auclair (1895-1979), soeur d'Alban. Ici, au chalet, à Saint-Adolphe-d'Howard. Décor estival. Vers 1923-1924. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.321 | Mère et fille. On reconnaît Ernestine Bisson Auclair (1883-1964) et sa fille Renée Auclair (1918-1981), ici au chalet à Saint-Adolphe-d'Howard. Décor estival. Vers 1923-1924. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.322 | Portrait d'enfant. On reconnaît Renée Auclair (1918-1981), première fille d'Alban Auclair (1884-1944) et d'Ernestine Bisson Auclair (1883-1964). Ici, au chalet, à Saint-Adolphe-d'Howard. Décor estival. Vers 1923-1924. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.323 | Portrait d'enfant. On reconnaît Jeannine Auclair (1926-2010), deuxième fille d'Alban Auclair (1884-1944) et d'Ernestine Bisson Auclair (1883-1964). Vers 1927. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.324 | Portrait de femme et enfant. On reconnaît, à droite, Mariette Sigouin (1906-1997), fille de Zéphirin Sigouin (?-1938) et de Béatrice Auclair (1886-1972), et la petite Jeannine (1926-2010), sa cousine. Ici, sur la montée Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor estival. 1927. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.325 | Portrait de Mademoiselle Bisson. Mademoiselle Bisson, fille de Cyrille Bisson (1842-1922) et d'Olympe Valiquette (1850-1915), et soeur d'Ernestine Bisson Auclair (1883-1964) de Saint-Vincent-de-Paul. Vers 1915. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.326 | Portrait d'un couple. On reconnaît Alban Auclair (1884-1944) et son épouse Ernestine Bisson Auclair (1883-1964), ici à Saint-Vincent-de-Paul. Décor estival. Vers 1915-1916. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.327 | Portrait d'Ernestine Bisson Auclair. Ernestine Bisson Auclair (1883-1964) est la fille de Cyrille Bisson (1842-1922) et d'Olympe Valiquette (1850-1915). Ici, à Saint-Vincent-de-Paul. Vers 1915. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.328 | Portrait de femmes en croisière. Trois femmes non identifiées posent sur le pont d'un bateau de croisière. Lieu inconnu. [Années 1910-1920]. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.329 | Portrait d'enfant. Une enfant debout dans l'herbe. Décor estival. [Années 1910-1920]. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.331 | Équipe de baseball du Collège Laval. Dix joueurs et une mascotte portant l'uniforme du Collège Laval, reconnaissable aux lettres C et L se chevauchant, six hommes en civil et un en uniforme militaire, posent pour la caméra devant le mur du pénitencier Saint-Vincent-de-Paul. On reconnaît, dans la dernière rangée, troisième depuis la gauche, Alban Auclair (1884-1944), et Amable Clermont, notaire de 1918 à 1935, cinquième depuis la gauche. Décor estival. 1927. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.332 | Mère et fille. Ernestine Bisson Auclair (1883-1964) tient sa fille Jeannine Auclair (1926-2010) dans ses bras, devant le magasin de Cyrille Bisson (1842-1922), père d'Ernestine, près du boulevard Lévesque à Saint-Vincent-de-Paul. Décor estival. 1927. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.333 | Portrait de famille. Ernestine Bisson Auclair (1883-1964) tient sur ses genoux sa fille Jeannine Auclair (1926-2010), devant le magasin de Cyrille Bisson (1842-1922), père d'Ernestine, à Saint-Vincent-de-Paul. À ses côtés, Alice Auclair (1892-1982), tante de la petite Jeannine. Décor estival. 1927. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.334 | Portrait de famille. Ernestine Bisson Auclair (1883-1964) tient dans ses bras sa fille Jeannine Auclair (1926-2010), devant le magasin de Cyrille Bisson (1842-1922), père d'Ernestine, à Saint-Vincent-de-Paul. Derrière elle, Alice Auclair (1892-1982), tante de la petite Jeannine. Décor estival. 1927. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.335 | Portrait de famille. Mariette Sigouin Poirier (1906-1997) au volant, et la petite Jeannine Auclair (1926-2010), debout sur le marche-pied d'une automobile, à Saint-Vincent-de-Paul. 1929. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.336 | Portrait d'enfant. Jeannine Auclair (1926-2010) près du mur du pénitencier Saint-Vincent-de-Paul. Décor estival. 1929. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.337 | Course de traîneaux sur la rivière des Prairies. Trois traîneaux tirés par des chevaux sur la rivière gelée, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor hivernal. Vers 1929. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,02.338 | Incendie du magasin de Cyrille Bisson. Coupures de journaux relatant les circonstances de l'incendie qui détruisit le magasin de Cyrille Bisson (1842-1922) à Saint-Vincent-de-Paul en 1907. |
![]() | P080/A2,03.001 | Portrait de Zoé Hamelin Zoé Hamelin (1829-18 mars 1914) a épousé Pascal Gagnon (veuf) le 2 février 1852 à Saint-Vincent-de-Paul. Elle était la fille de Eustache Hamelin et Marguerite Paquet, la soeur de Joséphine Hamelin (1826-1900) et la mère de Mathilde Gagnon, épouse d'Emmanuel Auclair (1855-1944). Date inconnue. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,03.002 | Portrait de Joséphine Hamelin. Joséphine Hamelin (18 avril 1826-22 février 1900) était l'épouse de Stanislas Major. Elle était la fille de Eustache Hamelin et Marguerite Paquet, et la soeur de Zoé Hamelin (1829-1914). Photographe: G. Lemire, 68, Place Jacques-Cartier, Montréal. Date inconnue. Tirage photographique: sépia. |
![]() | P080/A2,03.003 | Portrait d'Emmanuel Auclair. Emmanuel Auclair (4 juillet 1855-6 septembre 1944), de Saint-Vincent-de-Paul, épicier-boucher sur la montée Saint-François, épousa Mathilde Gagnon (1853-1929) le 26 septembre 1881. Il était le fils de F. Xavier Auclair (1829-?) et de Virginie Poirier, tous deux mariés à Saint-Vincent-de-Paul le 27 octobre 1846. Ici, au chalet, à Saint-Adolphe-d'Howard. Décor estival. Vers 1940. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,03.004 | Portrait d'Emmanuel Auclair. Emmanuel Auclair (4 juillet 1855-6 septembre 1944), de Saint-Vincent-de-Paul, épicier-boucher sur la montée Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul, épousa Mathilde Gagnon (1853-1929) le 26 septembre 1881. Il était le fils de F. Xavier Auclair (1829-?) et de Virginie Poirier, tous deux mariés à Saint-Vincent-de-Paul le 27 octobre 1846. La photo a été prise pour sa carte mortuaire. Vers 1940. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,03.013 | Portrait d'Alice Auclair. Alice Auclair est née le 5 octobre 1892 à Saint-Vincent-de-Paul. Elle est le neuvième des douze enfants d'Emmanuel Auclair (1855-1944) et Mathilde Gagnon (1853-1929). Elle épouse Georges Robichaud (1892-1949) le 10 novembre 1925 à Saint-Vincent-de-Paul. Le couple est marié par l'abbé Elie Auclair, historien et cousin d'Emmanuel Auclair, père d'Alice. Elle décède le 29 novembre 1982 à Saint-Vincent-de-Paul. Alice Auclair était organiste à Saint-François-de-Sales et tenait également le bureau de poste. [Vers 1915]. Tirage photographique: n&b. Note: Georges Robichaud fut maire de Saint-François-de-Sales. |
![]() | P080/A2,03.014 | Portrait d'Alice Auclair. Alice Auclair est née le 5 octobre 1892 à Saint-Vincent-de-Paul. Elle est le neuvième des douze enfants d'Emmanuel Auclair (1855-1944) et Mathilde Gagnon (1853-1929). Elle épouse Georges Robichaud (1892-1949) le 10 novembre 1925 à Saint-Vincent-de-Paul. Le couple est marié par l'abbé Elie Auclair, historien et cousin d'Emmanuel Auclair, père d'Alice. Elle décède le 29 novembre 1982 à Saint-Vincent-de-Paul. Alice Auclair était organiste à Saint-François-de-Sales et tenait également le bureau de poste. [Vers 1920]. Tirage photographique: n&b. Note: Georges Robichaud fut maire de Saint-François-de-Sales. |
![]() | P080/A2,03.015 | Portrait d'un couple. On reconnaît Alice Auclair (1892-1982) et Georges Robichaud (1892-1949) qui seront mariés le 10 novembre 1925 à Saint-Vincent-de-Paul par l'abbé Elie Auclair, historien et cousin d'Emmanuel Auclair (1855-1944), père d'Alice. Décor estival. Vers 1924. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,03.017 | Portrait de Germaine Auclair. Germaine Auclair (1 janvier 1895-19 juillet 1979) était le onzième des douze enfants d'Emmanuel Auclair (1855-1944) et Mathilde Gagnon (1853-1929). Germaine était sous-agent à la Banque provinciale et, plus tard, infirmière à l'Hôtel-Dieu de Montréal. Elle a toujours été célibataire. Photographe: Homier et Lavergne, 360 St-Denis, Montréal. 1917. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,03.018 | Portrait de Germaine Auclair. Germaine Auclair (1 janvier 1895-19 juillet 1979) était le onzième des douze enfants d'Emmanuel Auclair (1855-1944) et Mathilde Gagnon (1853-1929). Germaine était sous-agent à la Banque provinciale et, plus tard, infirmière à l'Hôtel-Dieu de Montréal. Elle a toujours été célibataire. Photographe: Homier et Lavergne, 360 St-Denis, Montréal. 1917. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,03.020 | Portrait de Edmée Auclair. Edmée Auclair (19 juin 1897-10 juin 1982) est née à Saint-Vincent-de-Paul. On l'appelait aussi Lorette, ou Laurette, le nom de sa soeur décédée le 8 août 1897, deux mois avant la naissance d'Edmée, à l'âge de quinze ans. Elle était le dernier des douze enfants d'Emmanuel Auclair (1855-1944) et Mathilde Gagnon (1853-1929). Edmée fut organiste à Saint-Vincent-de-Paul pendant 40 ans. Photographe: Dupras et Colas, Montréal. Vers 1918. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,03.022 | Portrait de Edmée Auclair. Edmée Auclair (19 juin 1897-10 juin 1982) est née à Saint-Vincent-de-Paul. On l'appelait aussi Lorette, ou Laurette, le nom de sa soeur décédée le 8 août 1897, deux mois avant la naissance d'Edmée, à l'âge de quinze ans. Elle était le dernier des douze enfants d'Emmanuel Auclair (1855-1944) et Mathilde Gagnon (1853-1929). Edmée fut organiste à Saint-Vincent-de-Paul pendant 40 ans. Photographe: Dupras et Colas, Montréal. Vers 1918. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,03.023 | Portrait de Henri Auclair. Henri Auclair (20 avril 1887-12 décembre 1917), cinquième des douze enfants d'Emmanuel Auclair (1855-1944) et Mathilde Gagnon (1853-1929), est né et mort à Saint-Vincent-de-Paul. Le service fut chanté par la chorale Saint-Louis-de-France et l'abbé Eli Auclair, historien, et cousin d'Emmanuel Auclair, père de Henri. Vers 1907. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,03.025 | Portraits de jeunes femmes. On reconnaît, de gauche à droite, sur les clichés 1 à 4 et 6, en noir, Alice Auclair (1892-1982), et sur le cinquième cliché sa soeur Edmée (1897-1982), également en noir, de Saint-Vincent-de-Paul. Vers 1917. Six clichés sur un même tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,03.026 | Portrait de Edmée Auclair. Edmée Auclair (19 juin 1897-10 juin 1982) est née à Saint-Vincent-de-Paul. On l'appelait aussi Lorette, ou Laurette, le nom de sa soeur décédée le 8 août 1897, deux mois avant la naissance d'Edmée, à l'âge de quinze ans. Elle était le dernier des douze enfants d'Emmanuel Auclair (1855-1944) et Mathilde Gagnon (1853-1929). Edmée fut organiste à Saint-Vincent-de-Paul pendant 40 ans. Ici, étendue sur un rocher dans la forêt à Cacouna. Août 1922. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,03.027 | Portrait de groupe, à Saint-Vincent-de-Paul. Un groupe de quatorze personnes a pris place sur une remorque tirée par un cheval dont on devine la présence sur la droite. Parmi celles-ci, on reconnaît, au centre, portant un col blanc, Alice Auclair (1892-1982) à sa gauche, sa soeur Edmée (1897-1982), et debout à droite, leur frère Alban Auclair (1884-1944). Ici, à la gare de Saint-Vincent-de-Paul. Vers 1915. tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,03.028 | Portrait de jeunes femmes. Cinq jeunes femmes entièrement vêtues de blanc et portant un ruban à leur corsage posent pour la caméra. On reconnaît, debout, deuxième depuis la gauche, Edmée Auclair (1897-1982), dernier des douze enfants d'Emmanuel Auclair (1855-1944) et Mathilde Gagnon (1853-1929). Ici, à Saint-Vincent-de-Paul. Vers 1915. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,03.029 | Portrait de jeunes femmes. Cinq jeunes femmes posent devant une locomotive dont on aperçoit les rouages en arrière-plan. On reconnaît, à l'arrière, de gauche à droite, les trois soeurs Alice (1892-1982), Edmée (1897-1982) et Germaine Auclair (1895-1979), filles d'Emmanuel Auclair (1855-1944) et Mathilde Gagnon (1853-1929). Ici, à la gare de Saint-Vincent-de-Paul. Décor estival. Vers 1912. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,03.030 | Portrait de jeunes filles et enfants. Un groupe de onze enfants et jeunes filles pose pour la caméra devant le mur du pénitencier Saint-Vincent-de-Paul, sur la montée Saint-François. On recconnaît, deuxième rangée à droite, Mariette Sigouin (1906-1997), au centre, derrière elle, Edmée Auclair (1897-1982) et, debout à droite, sa soeur, Alice Auclair (1892-1982). Mariette était la nièce d'Edmée et Alice. Décor estival. Vers 1911. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,03.032 | Alice Auclair, de Saint-Vincent-de-Paul Portrait en pieds d'Alice Auclair (5 octobre 1892 - 29 octobre 1982). Elle était le neuvième enfant d'Emmanuel Auclair (1855-1944) et de Mathilde Gagnon (1853-1929). Ici, sur la montée Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor estival. Vers 1915. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,03.033 | Portrait de groupe, à Saint-Vincent-de-Paul Cinq jeunes femmes et un homme, qui se tient en retrait, posent pour la caméra. On reconnaît, troisième à partir de la gauche, Alice Auclair (1892-1982), neuvième enfant d'Emmanuel Auclair (1855-1944) et de Mathilde Gagnon (1853-1929). Ici, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor estival. Vers 1907. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,03.034 | Germaine Auclair, de Saint-Vincent-de-Paul Portrait en pieds de Germaine Auclair (1er octobre 1895 - 16 juillet 1979)). Elle était le onzième enfant d'Emmanuel Auclair (1855-1944) et de Mathilde Gagnon (1853-1929). Ici, sur la montée Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor estival. Vers 1915. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,03.035 | Germaine Auclair, de Saint-Vincent-de-Paul Portrait en pieds de Germaine Auclair (1er octobre 1895 - 16 juillet 1979)). Elle était le onzième enfant d'Emmanuel Auclair (1855-1944) et de Mathilde Gagnon (1853-1929). Le bâtiment sur la droite a été déménagé au 4990 et 4992, boulevard Lévesque, suite à l'expropriation pour faire place au pénitencier Saint-Vincent-de-Paul. Ici, devant la maison des Barbeau, sur la montée Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor estival. Vers 1915. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,03.036 | Portrait de trois jeunes femmes, à Saint-Vincent-de-Paul Trois jeunes femmes posent devant la maisson des Barbeau, sur la montée Saint-françois. On reconnaît, à gauche, Béatrice Auclair Sigouin Béré (27 février 1886 - 8 décembre 1972) qui épousa en première noce Zéphyrin Sigouin (1882-1938). Le couple fut marié par le curé Magloire Auclair de la paroisse Saint-Jean-Baptiste de Montréal, cousin de son père, Emmanuel Auclair, le 7 novembre 1905. En deuxième noce elle épousa Victor Béré (1887-1947). À roite, sa soeur Germaine Auclair (1895-1979), infirmière restée célibataire. Ici, devant la maison des Barbeau, sur la montée Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor estival. Vers 1915. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,03.037 | Alice Auclair, de Saint-Vincent-de-Paul Portrait en pieds d'Alice Auclair (5 octobre 1892 - 29 octobre 1982). Elle était le neuvième enfant d'Emmanuel Auclair (1855-1944) et de Mathilde Gagnon (1853-1929). Elle épousa Georges Robichaud (1892-1949) le 10 octobre 1925. Ici, sur la montée Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor estival. Vers 1915. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,03.038 | Famille Auclair, à Saint-Vincent-de-Paul Sept personnes prennent l'air sur le perron de la maison. De gauche à droite, Florence de Bellefeuille, une amie, Germaine Auclair (1895-1979), Georges Robichaud (1892-1949), Emmanuel Auclair (1855-1944), Mathilde Gagnon Auclair (1853-1929), et Alice Auclair (1892-1982). Assis, Adélard «Pit» Poirier (1908-1984). Ici, devant la maison des Barbeau que les Auclair habitèrent suite à la démolition de leur maison pour la construction du pénitencier de Saint-Vincent-de-Paul, sur la montée Saint-François. Décor estival. Vers 1915. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,03.039 | Edmée et Germaine Auclair, à Saint-Vincent-de-Paul Les deux soeurs, Edmée (1897-1982) et Germaine (1895-1979) posent sur le boulevard Lévesque, en bas de la côte de l'église, vers l'est. Sur la gauche, on distingue une partie de l'enseigne du restaurant Charbonneau «Bell» tenu par Mme Cherron, ainsi que l'hôtel Lussier. Sur la droite, on peut voir le salon de barbier «Simard», beau-frère de Mme Aldéric Désautels, puis le boucher, et le bureau de poste. Décor hivernal. Vers 1915. Tirage photographique; n&b. |
![]() | P080/A2,03.040 | Patineurs sur la rivière des Prairies, à Saint-Vincent-de-Paul Quatre patineurs posent pour le photographe. On reconnaît, deuxième depuis la gauche, Edmée Auclair (1897-1982), et quatrième, Ernestine Bisson (1883-1964). Décor hivernal. Vers 1915. Tirage photographique; n&b. |
![]() | P080/A2,03.041 | Edmée Auclair, à Saint-Vincent-de-Paul Edmée Auclair (1897-1982) fut organiste à Saint-Vincent-de-Paul pendant 40 ans. Ici, sur la montée Saint-François. Décor hivernal. Vers 1917. Tirage photographique; n&b. |
![]() | P080/A2,03.042 | Groupe de femmes sur un terrain de tennis, à Saint-Vincent-de-Paul Dix-neuf femmes sont rassemblées près du filet sur un court de tennis. On reconnaît, au centre de la première rangée, vêtue de noir, Edmée Auclair (1897-1982). Sur la deuxième rangée, deuxième depuis la gauche, Ernestine Bisson Auclair (1883-1964), troisième, Germaine Auclair (1895-1979), septième, Alice Auclair (1892-1982). Les membres de la famille Auclair portent le noir, en deuil de leur frère Henri (1887-1917). Décor estival. Vers 1918. Tirage photographique; n&b. |
![]() | P080/A2,03.043 | Jeunes femmes à vélo, à Saint-Vincent-de-Paul Deux jeunes femmes posent sur un vélo. À droite, on reconnaît Alice Auclair Robichaud (1892-1982), épouse de Georges Robichaud (1892-1949), et une amie. Ici, sur la montée Saint-François, à Saint-Vincent-de-Paul. On voit bien, en arrière-plan, le mur d'enceinte du pénitencier. Décor estival. Vers 1918. Tirage photographique; n&b. |
![]() | P080/A2,03.044 | Edmée Auclair, à Saint-Vincent-de-Paul Edmée Auclair (1897-1982) dans le jardin chez son frère Alban, devant l'église, à Saint-Vincent-de-Paul. En arrière-plan, on distingue des bâtiments du village. Décor estival. Vers 1935. Tirage photographique; n&b. |
![]() | P080/A2,03.045 | Germaine Auclair, à Saint-Vincent-de-Paul Germaine Auclair (1 janvier 1895-19 juillet 1979) était le onzième des douze enfants d'Emmanuel Auclair (1855-1944) et Mathilde Gagnon (1853-1929). Germaine était sous-agent à la Banque provinciale et, plus tard, infirmière à l'Hôtel-Dieu de Montréal. Elle habitait chez son frère Alban, au coin des rues de la Fabrique et Saint-Étienne (aujourd'hui Place Jean-Eudes-Blanchard). Elle a toujours été célibataire. Son frère avait acheté la maison suite à l'expropriation de la montée Saint-François, vers 1930-1935, pour faire place au pénitencier Saint-Vincent-de-Paul. Sur le rebord de la photo, on peut lire «Avant mon départ pour Sillery». Ici, devant la maison de son frère, située au 62, rue Saint-Étienne. Décor estival. Vers 1941. Tirage photographique; n&b. |
![]() | P080/A2,03.046 | Goupe de femmes à la gare de Saint-Vincent-de-Paul Neuf femmes, certaines juchées sur des rouleaux de fils de fer, posent devant le quai de la gare. On reconnaît, au deuxième rang, de gauche à droite, Germaine Auclair (1895-1979), et Alice Auclair (1892-1982), quatrième, sa soeur. Décor dépouillé. Vers 1924. Tirage photographique; n&b. |
![]() | P080/A2,03.047 | Portrait de groupe à la gare Saint-Vincent-de-Paul Six personnes posent près d'une voiture devant la gare, à Saint-Vincent-de-Paul. On reconnaît, à l'avant, Edmée Auclair (1897-1982), et, derrière elle, sa soeur Germaine Auclair (1895-1979). Décor dépouillé. Vers 1924. Tirage photographique; n&b. |
![]() | P080/A2,03.048 | Portrait de groupe à la gare Saint-Vincent-de-Paul Neuf personnes posent près de deux voitures devant la gare, à Saint-Vincent-de-Paul. On reconnaît, debout au centre, Alice Auclair (1892-1982), alors fiancée à Georges Robichaud, qui fut maire de Saint-François-de-Sales et agent d'assurances, et qu'elle épousera en 1925. Décor dépouillé. Vers 1924. Tirage photographique; n&b. |
![]() | P080/A2,03.049 | Couple devant la gare, à Saint-Vincent-de-Paul Alice Auclair (1892-1982) et son fiancé Georges Robichaud (1892-1949), qui fut maire de Saint-François-de-Sales et agent d'assurances, et qu'elle épousera le 10 octobre 1925. Le couple pose assis sur le marchepied d'une voiture, devant la gare. Décor dépouillé. Vers 1924. Tirage photographique; n&b. |
![]() | P080/A2,03.050 | Couple devant la gare, à Saint-Vincent-de-Paul Alice Auclair (1892-1982) et son fiancé Georges Robichaud (1892-1949), qui fut maire de Saint-François-de-Sales et agent d'assurances, qu'elle épousera en 1925. Le couple pose debout devant une voiture. En arrière-plan, la gare de Saint-Vincent-de-Paul. Décor dépouillé. Vers 1924. Tirage photographique; n&b. |
![]() | P080/A2,03.051 | Couple d'amoureux sur un pont, à Saint-Vincent-de-Paul Alice Auclair (1892-1982) et son fiancé Georges Robichaud (1892-1949), qui fut maire de Saint-François-de-Sales et agent d'assurances, qu'elle épousera en 1925. Le couple est juché sur le garde-fou du pont Rouge, en face de la maison «Labelle», située au 6175, boulevard Lévesque Est, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor estival. Vers 1924. Tirage photographique; n&b. |
![]() | P080/A2,03.052 | Membres de la famille Auclair, à Saint-Vincent-de-Paul On reconnaît, de gauche à droite, Germaine Auclair (1895-1979), Georges Préfontaine, et son amoureuse, Edmée Auclair (1897-1982). Ici, juchés sur le garde-fou du pont Rouge, en face de la maison «Labelle», située au 6175, boulevard Lévesque Est, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor estival. Vers 1924. Tirage photographique; n&b. |
![]() | P080/A2,03.053 | Groupe sur un pont, à Saint-Vincent-de-Paul Quatre personnes posent sur un pont. On reconnaît, de gauche à droite, Germaine Auclair (1895-1979), un homme non identifié, Georges Robichaud (1892-1949), qui fut maire de Saint-François-de-Sales et agent d'assurances, et sa fiancée, Alice Auclair (1892-1982), qu'il épousera en 1925. Ici, sur le pont Rouge, en face de la maison «Labelle», située au 6175, boulevard Lévesque Est, à Saint-Vincent-de-Paul. En arrière-plan, la rivière des Prairies. Décor estival. Vers 1924. Tirage photographique; n&b. |
![]() | P080/A2,03.054 | Couples d'amoureux, à Saint-Vincent-de-Paul On reconnaît, de gauche à droite, Georges Préfontaine et son amoureuse Edmée Auclair (1897-1982), Alice Auclair (1892-1982) et son fiancé Georges Robichaud (1892-1949). Ici, sur la berge de la rivière des Prairies, près du pont Rouge et de l'entrée du ruisseau de la Pinière, en face de la maison «Labelle», située au 6175, boulevard Lévesque Est, à Saint-Vincent-de-Paul. En arrière-plan, la rivière des Prairies. Décor estival. Vers 1924. Tirage photographique; n&b. |
![]() | P080/A2,03.055 | Couples d'amoureux, à Saint-Vincent-de-Paul On reconnaît, de part et d'autre d'une voiture, et de gauche à droite, Georges Préfontaine et son amoureuse Edmée Auclair (1897-1982), Georges Robichaud (1892-1949) et sa fiancée Alice Auclair (1892-1982). Ici, sur la berge de la rivière des Prairies, près du pont Rouge et de l'entrée du ruisseau de la Pinière, en face de la maison «Labelle», située au 6175, boulevard Lévesque Est, à Saint-Vincent-de-Paul. En arrière-plan, la rivière des Prairies. Décor estival. Vers 1924. Tirage photographique; n&b. |
![]() | P080/A2,03.057 | Georges Robichaud à bord de sa voiture Georges Robichaud (1892-1949) au volant de sa voiture, garée sur la route, près de Saint-Jérôme. Georges épousa Alice Auclair (1892-1982) le 10 octobre 1925, à Saint-Vincent-de-Paul, mais habita Saint-François de Sales où Alice était organiste de la paroisse et tenait le bureau de poste, et où Geoges fut maire. Décor estival. Vers 1933. Tirage photographique; n&b. |
![]() | P080/A2,03.058 | Couple d'amoureux Georges Robichaud (1892-1949) et sa fiancée Alice Auclair (1892-1982). Le couple se maria le 10 octobre 1925, à Saint-Vincent-de-Paul, mais habitèrent Saint-François de Sales où Alice était organiste de la paroisse et tenait le bureau de poste, et où Geoges fut maire. Décor estival. Vers 1924. Tirage photographique; n&b. |
![]() | P080/A2,03.059 | Groupe en voiture Trois personnes ont pris place à l'intérieur d'une voiture. On reconnaît, à l'arrière, Edmée Auclair (1897-1982), organiste à Saint-Vincent-de-Paul pendant 40 ans. Décor estival. Vers 1924. Tirage photographique; n&b. |
![]() | P080/A2,03.060 | Groupe en promenade Quatre personnes et leur véhicule automobile se sont arrêtées sur le chemin. On reconnaît, de gauche à droite, Germaine Auclair (1895-1979), Georges Robichaud (1892-1949) et Alice Auclair (1892-1982), et, à droite, Edmée Auclair (1897-1982). Décor estival. Vers 1933. Tirage photographique; n&b. |
![]() | P080/A2,03.061 | Couple d'amoureux Georges Robichaud (1892-1949) et sa fiancée Alice Auclair (1892-1982). Le couple se maria le 10 octobre 1925, à Saint-Vincent-de-Paul, mais habitèrent Saint-François de Sales où Alice était organiste de la paroisse et tenait le bureau de poste, et où Geoges fut maire. Le couple n'eut pas d'enfant. Décor estival. Vers 1924. Tirage photographique; n&b. |
![]() | P080/A2,03.062 | Couple d'amoureux, à Saint-Vincent-de-Paul Georges Robichaud (1892-1949) et son épouse Alice Auclair (1892-1982). Le couple se maria le 10 octobre 1925, à Saint-Vincent-de-Paul, mais habitèrent Saint-François de Sales où Alice était organiste de la paroisse et tenait le bureau de poste, et où Geoges fut maire. Le couple n'eut pas d'enfant. Décor estival. Vers 1930. Tirage photographique; n&b. |
![]() | P080/A2,03.063 | Couple d'amoureux Georges Robichaud (1892-1949) et sa fiancée Alice Auclair (1892-1982). Le couple se maria le 10 octobre 1925, à Saint-Vincent-de-Paul, mais habitèrent Saint-François de Sales où Alice était organiste de la paroisse et tenait le bureau de poste, et où Geoges fut maire. Le couple n'eut pas d'enfant. Ici, sur la berge de la rivière des Priairies. Décor estival. Vers 1924. Tirage photographique; n&b. |
![]() | P080/A2,03.064 | Amis en balade Des amis de Georges Robichaud (1892-1949) et d'Alice Auclair (1892-1982) ont pris place à bord de la voiture de Georges. Décor estival. Date inconnue. Tirage photographique; n&b. |
![]() | P080/A2,03.065 | Deux amies sur la berge de la rivière des Prairies Deux amies de Georges Robichaud (1892-1949) et d'Alice Auclair (1892-1982) posent sur la berge de la rivière des Prairies, derrière le manoir Lussier. En arrrère-plan , sur la gauche, on distingue la maison Labelle, près du ruisseau La Lapinière. Décor estival. date inconnue. Tirage photographique; n&b. |
![]() | P080/A2,03.066 | Edmée Auclair au piano Edmée Auclair (19 juin 1897-10 juin 1982) est née à Saint-Vincent-de-Paul. On l'appelait aussi Lorette, ou Laurette, le nom de sa soeur décédée le 8 août 1897, deux mois avant la naissance d'Edmée, à l'âge de quinze ans. Elle était le dernier des douze enfants d'Emmanuel Auclair (1855-1944) et Mathilde Gagnon (1853-1929). Edmée fut organiste à Saint-Vincent-de-Paul pendant 40 ans. Vers 1912. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,03.067 | Edmée et Alice Auclair Les deux soeurs, Edmée (1897-1982) à gauche, et Alice (1892-1982), posent, vêtues de noir, sur le seuil d'une résidence en bois, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor estival. Vers 1918. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,03.068 | Portrait de deux femmes Deux femmes non identifiées sont assises l'une près de l'autre devant un perron, alors qu'un jeune garçon, qui se cachent derrière les deux femmes, fixe le photographe. Ici, à Saint-Vincent-de-Paul. [Vers 1900]. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,03.069 | Membres de la famille Bisson, à Saint-Vincent-de-Paul Cinq membres de la famille de Cyrille Bisson (1842-1922), maire de Saint-Vincent-de-Paul de 1893 à 1896, que l'on voit sur la gauche, sont assis sur un même banc sur le perron d'une résidence sur la montée Saint-François. Vers 1915. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,03.070 | Alice Auclair et Georges Robichaud Alice Auclair (1892-1982) et Georges Robichaud (1892-1949) se marièrent le 10 octobre 1925. Ici, sur le perron d'une résidence à Saint-Vincent-de-Paul. Vers 1926. Tirage photographique: n&b. |
![]() | P080/A2,03.071 | Les soeurs Auclair de Saint-Vincent-de-Paul chez une amie, à Rougemont. On reconnaît, debout et de gauche à droite, Alice Auclair Robichaud (1892-1982), Béatrice Auclair Sigouin (Béré) (1886-1972) et une amie. À l'avant-plan, Edmée Auclair (1897-1982), à gauche, et Germaine Auclair (1895-1979). Décor estival. 1948. Tirage photographique; n&b. |
![]() | P080/A2,03.072 | Équipe de crosse de Saint-Vincent-de-Paul Douze joueurs de crosse, portant uniforme rayé, casquette, gants et crosse, cinq hommes en civil, ainsi qu'une petite fille vêtue de blanc, posent pour la postérité. On reconnaît, debout, troisième depuis la gauche, Émile Labrecque (1875-1945), portant moustache, et, sixième, Alban Auclair (1884-1944). Accroupi, portant casquette marquée d'un x, Henri Auclair (1887-1917), frère d'Alban. Ici, à Saint-Vincent-de-Paul. Décor estival. Vers 1910. Tirage photographique; n&b. |
![]() | P081/B1.02 | L'équipe de baseball Les Lions de Chomedey au début des années 1960 Photo d'équipe des joueurs et de leurs coordonnateurs. Sur la légende accollée à la photo, on peut lire : Debout : G. Thompson G. Fountain G. Weinstein R. Zarny W. Taylor C. Litalien E. Lagacé P. Legendre F. Miron Y. Lauzon G. Journault M. Laurin R. Sauvé G. Corbeil J.P. Carrière. À genoux : M. Légaré E. Harrison J. Pepper G. Kramer J.G. Corbeil P. Creamer J.G. Lagacé Y. De Repentigny. Assis : P. Carrière G. Thompson. En médaillon : D. Young K. Goodman F. Perreault. Photographe : Rodolphe. Tirage photographique: n&b ; 19,6 x 24,6 cm. |
![]() | P081/B1.03 | L'équipe de baseball Les Lions de Chomedey en 1962. Photo d'équipe des joueurs et de leurs coordonnateurs prise de jour sur un terrain de baseball, l'année de la création du clube. Sur l'étiquette accollée à l'endos, on peut lire : «Club de baseball Les Lions de Chomedey». Juin 1962. Tirage photographique : n&b ; 20,6 x 25,5 cm. |
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