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Images concernant «19e siècle.» : Sujet  7 / 0

Liste des images pour le sujet «19e siècle.»
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Maison autrefois située au 4518, boulevard Lévesque Est, Saint-Vincent-de-Paul.
C001/A2,04.01

Maison autrefois située au 4518, boulevard Lévesque Est, Saint-Vincent-de-Paul.
Vue du côté droit d'une maison traditionnelle québécoise en moellons, de plan rectangulaire d'un étage et demi portant un toit à deux versants droits en tôle à la canadienne et percé de deux lucarnes à pignon. Le côté droit est percé d'une fenêtre à chaque étage. Une cheminée est placée à l'extrémité du bâtiment. Sur la droite, le toit se prolonge pour abriter une galerie en façade. La demeure appartenait à monsieur Jean Chartrand et fut détruite en 1966. Avant 1967. Tirage photographique: n&b.
Maison autrefois située au 4518, boulevard Lévesque Est, Saint-Vincent-de-Paul.
C001/A2,04.02

Maison autrefois située au 4518, boulevard Lévesque Est, Saint-Vincent-de-Paul.
Vue d'ensemble de la façade arrière et du côté droit d'une maison traditionnelle québécoise d'un étage et demie en moellons sommairement recouvert d'un crépi. De plan rectangulaire, la maison porte un toit à deux versants retroussés en tôle à la canadienne, percé de ce côté, face à la route, de deux lucarnes à pignon. Une cheminée s'élève à chaque extrémité. Sur la gauche, le toit se prolonge en appentis au-dessus d'une galerie. Le mur du rez-de-chaussée est percée de deux fenêtres. Cette maison, à l'abandon, fut détruite en 1966. Elle appartenait à Jean Chartrand. Décor estival. Avant 1967. Tirage photographique: n&b.
Maison autrefois située au 4518, boulevard Lévesque Est, Saint-Vincent-de-Paul.
C001/A2,04.03

Maison autrefois située au 4518, boulevard Lévesque Est, Saint-Vincent-de-Paul.
Vue du côté droit d'une maison traditionnelle québécoise d'un étage et demie en moellons sommairement recouvert d'un crépi. De plan rectangulaire, la maison porte un toit à deux versants retroussés en tôle à la canadienne, percé de ce côté, face à la route, de deux lucarnes à pignon. Une cheminée s'élève à chaque extrémité. Sur la gauche, le toit se prolonge en appentis au-dessus d'une galerie. Le mur du rez-de-chaussée est percée de deux fenêtres. Cette maison, à l'abandon, fut détruite en 1966. Elle appartenait à Jean Chartrand. Décor estival. Avant 1967. Tirage photographique: n&b.
Maison située au 4592 boulevard Lévesque Est, Saint-Vincent-de-Paul.
C001/A2,04.04

Maison située au 4592 boulevard Lévesque Est, Saint-Vincent-de-Paul.
Vue de l'arrière et d'une partie du côté gauche d'une maison traditionnelle québécoise, probablement érigée au milieu du 19e siècle par Joseph Chartrand, menuisier et entrepreneur de Saint-Vincent-de-Paul, il a bâti la sacristie de l'église actuelle, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. C'est dans cette maison que naquit Joseph-Damase Chartrand, dit Chartrand des Écores (1852-1905), fils de Joseph, personnage coloré, à la fois militaire, écrivain, comptable et éditeur. Cette habitation est connue comme la maison des Chartrand. Décor estival. Tirage photographique, n&b.

Il s'agit d'une maison ancestrale de plan rectangulaire d'un étage et demi portant un toit à deux versants retroussés en bardeaux d'asphalte. La maçonnerie en moellons a fait l'objet de réparations et est recouvert d'un crépi sommaire par endroits. La façade arrière ne comporte qu'une seule fenêtre alors que sur le côté gauche on devine une porte bouchée et une petite fenêtre sous les combles. Une cheminée construite à même le mur, s'élève au-dessus du faîte.La maison est sise directement le long de la route et fait dos à celle-ci.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Saint-Vincent-de-Paul LEVE_4592).
Maison située au 4592, boulevard Lévesque Est, Saint-Vincent-de-Paul.
C001/A2,04.05

Maison située au 4592, boulevard Lévesque Est, Saint-Vincent-de-Paul.
Vue du côté gauche d'une maison traditionnelle québécoise, probablement érigée au milieu du 19e siècle par Joseph Chartrand, menuisier et entrepreneur de Saint-Vincent-de-Paul, il a bâti la sacristie de l'église actuelle, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. C'est dans cette maison que naquit Joseph-Damase Chartrand, dit Chartrand des Écores (1852-1905), fils de Joseph, personnage coloré, à la fois militaire, écrivain, comptable et éditeur. Cette habitation est connue comme la maison des Chartrand. Décor estival. Tirage photographique, n&b.

Il s'agit d'une maison ancestrale de plan rectangulaire d'un étage et demi portant un toit à deux versants retroussés en bardeaux d'asphalte. La maçonnerie en moellons a fait l'objet de réparations et est recouvert d'un crépi sommaire par endroits. La façade arrière ne comporte qu'une seule fenêtre alors que sur le côté gauche on devine une porte bouchée et une petite fenêtre sous les combles. Une cheminée construite à même le mur, s'élève au-dessus du faîte.La maison est sise directement le long de la route et fait dos à celle-ci.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Saint-Vincent-de-Paul LEVE_4592).
Maison située au 4706, boulevard Lévesque Est, Saint-Vincent-de-Paul.
C001/A2,04.06

Maison située au 4706, boulevard Lévesque Est, Saint-Vincent-de-Paul.
Vue d'ensembe d'une maison traditionnelle québécoise d'un étage et demi en moellons de pierre et au toit à deux versants retroussés aurait été érigée en 1863 par le maçon Joseph Mayé. Dans les années 1970, elle appartenait à madame V. Dion Griska. et on estime alors la date de construction à 1832. On peut cependant assurer avec certitude qu'elle fut construite avant 1871. Décor hivernal. Date inconnue. Tirage photographique: n&b.

Informations tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Saint-Vincent-de-Paul LEVE_4706).
Maison située au 5132, boulevard Lévesque Est, Saint-Vincent-de-Paul.
C001/A2,04.09

Maison située au 5132, boulevard Lévesque Est, Saint-Vincent-de-Paul.
Vue de la façade et du côté gauche d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1864 ou 1877, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Le premier propriétaire aurait été François Bricot. La maison fut plus tard reprise par monsieur Joseph Hamelin, en 1874 (?). Décor estival. Tirage photographique, coul.

Il s'agit d'une maison de plan rectangulaire d''un étage et demi en planche à clins portant un toit à deux versants retroussés en tôle pincée et percé de deux lucarnes à pignon. Une cheminée s'élève à chacune de ses extrémités. Au rez-de-chaussée, la façade est percée d'une porte flanquée de deux fenêtres et pourvue d'une galerie abritée par l'avant-toit Le côté gauche de la maison est percé d'une fenêtre par niveau.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Saint-Vincent-de-Paul LEVE_5132).
Maison située au 5143, boulevard Lévesque Est, Saint-Vincent-de-Paul.
C001/A2,04.11

Maison située au 5143, boulevard Lévesque Est, Saint-Vincent-de-Paul.
Vue de la façade d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1868, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Tirage photographique, coul.

Il s'agit d'une maison d'un étage et demi, de plan rectangulaire, en planche à clins et portant un toit en tôle à baguettes surplombant une petite galerie. La façade est percée d'une porte flanquée de deux fenêtres. Une cheminé s'élève à l'extrémitédroite du bâtiment. Une extension à parement de planches à clins et toit en bardeaux d'asphalte jouxte la maison sur la droite.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Saint-Vincent-de-Paul LEVE_5143).
Maison autrefois située au 3993, boulevard Lévesque Est, Saint-Vincent-de-Paul.
C001/A2,04.12

Maison autrefois située au 3993, boulevard Lévesque Est, Saint-Vincent-de-Paul.
Vue de la façade et du côté droit d'une maison traditionnelle québécoise, de plan rectangulaire à deux étages surmonté d'un toit en tôle pincée à deux versants droits et doté d'une cheminée à chacune de ses extrémités. La façade, en pierre de taille, est percée de trois fenêtre et d'une porte. L'étage supérieur, qui a fait l'objet de transformation, recouvert de planches à clin, présente une porte et deux fenêtres maintenant abrités par un toit en appentis alors qu'une galerie court sur toute sa largeur. Le côté droit, recouvert de crépi, est percée d'une fenêtre au rez-de-chaussée et de deux à l'étage. Une extension jouxte la partie arrière de ce mur. Cette maison fut occupée par le gérant de la carrière située au nord du boulevard Lévesque, carrière aujourd'hui devenue le Centre de la Nature. Décor hivernal. [Années 1950-1960]. Tirage photographique, n&b.
Maison située au 4518, boulevard Lévesque Est, Saint-Vincent-de-Paul.
C001/A2,04.13

Maison située au 4518, boulevard Lévesque Est, Saint-Vincent-de-Paul.
Vue de la façade avant d'une maison traditionnelle québécoise d'un étage et demie en moellons sommairement recouvert d'un crépi. De plan rectangulaire, la maison porte un toit à deux versants retroussés en tôle à la canadienne, percé de deux lucarnes à pignon, et comportant une cheminée placée à chaque extrémité. Le toit se prolonge en appentis au-dessus d'une galerie, sur la gauche, qui donne accès à une véranda, sur la droite. Le mur du rez-de-chaussée est percée de deux portes et de deux fenêtres. Cette maison, à l'abandon, fut détruite en 1966. Elle appartenait à Jean Chartrand. Tirage photographique, n&b.
Maison autrefois située au 4518, boulevard Lévesque Est, Saint-Vincent-de-Paul.
C001/A2,04.17

Maison autrefois située au 4518, boulevard Lévesque Est, Saint-Vincent-de-Paul.
Vue du côté droit d'une maison traditionnelle québécoise en moellons, de plan rectangulaire d'un étage et demi portant un toit à deux versants droits en tôle à la canadienne et percé de deux lucarnes à pignon. Le côté droit est percé d'une fenêtre à chaque étage. Une cheminée est placée à l'extrémité du bâtiment. Sur la droite, le toit se prolonge pour abriter une galerie en façade. La demeure appartenait à monsieur Jean Chartrand et fut détruite en 1966. En ou avant 1966. Tirage photographique, n&b.
Maison autrefois située au 4536, boulevard Lévesque Est, Saint-Vincent-de-Paul.
C001/A2,04.18

Maison autrefois située au 4536, boulevard Lévesque Est, Saint-Vincent-de-Paul.
Vue d'ensemble de la façade d'une maison traditionnelle québécoise de plan rectangulaire d'un étage et demi portant un toit en bardeaux d'asphalte à deux versants retroussés percé de deux lucarnes rampantes. Une première cheminée s'élève à l'extrémité gauche du faîte et une deuxième au centre, là où devait se situer la limite du bâtiment original. Le rez-de-chaussée est doté d'un portique hors-oeuvre et de trois fenêtres. Le mur de gauche, partiellement visible, ne comportait qu'une seule fenêtre, au rez-de-chaussée. Les murs étaient recouverts d'un enduit de couleur blanche. Il pourrait s'agir de la maison Séguin. Cette maison a aujourd'hui disparue. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b.
Maison située au 4706, boulevard Lévesque Est, Saint-Vincent-de-Paul.
C001/A2,04.20

Maison située au 4706, boulevard Lévesque Est, Saint-Vincent-de-Paul.
Vue de la façade d'une maison traditionnelle québécoise, construite en 1832, selon certains, ou 1863, selon d'autres, par le maçon Joseph Mayé (Maillé), dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Dans les années 1970, la maison appartient à la famille V. Dion Griska (Yvette et Jeannine). Ce bâtiment est connue cmme la maison Joseph-Mayé. Décor hivernal. Tirage photographique, n&b.

Il s'agit d'une maison de plan rectangulaire d'un étage et demi. La construction, en moellons, porte un toit en bardeaux d'asphalte à deux versants retroussés et qui se projette au-delà de la façade. La bâtisse est pouvue de d'une cheminée à chque extrémité. La façade est percée d'une porte flanquée d'une fenêtre de part et d'autre.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Saint-Vincent-de-Paul LEVE_4706).
Maison située au 4855, boulevard Lévesque Est, Saint-Vincent-de-Paul.
C001/A2,04.21

Maison située au 4855, boulevard Lévesque Est, Saint-Vincent-de-Paul.
Vue d'ensemble du côté gauche et de la façade arrière d'une maison en pierre, probablement construite en 1834 ou peu après, qui témoigne du courant néoclassique qui est issu de l'architecture britannique au 19e siècle. Le docteur Pratte, qui fait ériger cette résidence, la vend à Alphonsine Loignon, épouse du notaire Césaire-Ernest Germain, vers 1876. En 1884, cette dernière, vend la maison à Édouard Lareau. Mme Nicole Lapointe Delorme, épouse de Roger Delorme, en est la propriétaire dans les années 1970. Cette maison est connue comme la résidence Les acacias. Décor dépouillé. Tirage photographique, n&b.

Il s'agit d'une maison en moellons de plan carré de deux étages portant un toit à croupe d'oû s'élèvent deux cheminés. Le mur de gauche compte trois larges fenêtres par étage, alors que la façade arrière n'est percée que d'une petite fenêtre au rez-de-chaussée.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Saint-Vincent-de-Paul LEVE_4855_01).
Maison située au 4855, boulevard Lévesque Est, Saint-Vincent-de-Paul.
C001/A2,04.22

Maison située au 4855, boulevard Lévesque Est, Saint-Vincent-de-Paul.
Vue d'ensemble du côté gauche et de la façade d'une maison en pierre, probablement construite en 1834 ou un peu après, qui témoigne du courant néoclassique qui est issu de l'architecture britannique au 19e siècle. Le docteur Pratte, qui fait ériger cette résidence, la vend à Alphonsine Loignon, épouse du notaire Césaire-Ernest Germain, vers 1876. En 1884, cette dernière, vend la maison à Édouard Lareau. Mme Nicole Lapointe Delorme, épouse de Roger Delorme, en est la propriétaire dans les années 1970. Cette maison est connue comme la résidence Les acacias. Tirage photographique, coul.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Saint-Vincent-de-Paul LEVE_4855_01).
Maison située au 9, boulevard Bellerose Ouest, Vimont.
C001/A2,05.03

Maison située au 9, boulevard Bellerose Ouest, Vimont.
Vues d'ensemble du côté droit et de la façade d'une maison au toit mansardé à deux versant, en vogue de 1880 à 1920. Décor dépouillé. 19 décembre 1999. Tirage photograhique, coul.
Maison située au 60, avenue des Terrasses, Sainte-Rose.
C001/A2,06.002

Maison située au 60, avenue des Terrasses, Sainte-Rose.
Vue d'ensemble du côté droit et de la façade d'une maison traditionnelle québécoise en moellons, auparavant le 6 chemin de la Grande Côte. Décor estival. [Années 1970]. Tirage photographique, coul.
Maison située au 60, avenue des Terrasses, Sainte-Rose.
C001/A2,06.005

Maison située au 60, avenue des Terrasses, Sainte-Rose.
Vue d'ensemble du côté droit et de la façade d'une maison traditionnelle québécoise en moellons, auparavant le 6 chemin de la Grande Côte. Décor automnal. 8 novembre 2001. Tirage photographique, coul.
Maison située au 218, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.009

Maison située au 218, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Vue de la façade d'une maison traditionnelle québécoise, construite en 1859, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Cette maison est l'ancienne demeure du bedeau qui a été construite en 1859 avec la pierre et le bois réutilisés suite à la démolition de la deuxième église construite en 1788 et démantelée dans les années 1850 avec l'édification du lieu de culte actuel. Depuis 1840, la maison du bedeau était située à l'ouest de l'église, sur le terrain actuel de l'ancien couvent des Soeurs de Sainte-Croix. En mauvais état, cette maison est remplacée par une nouvelle demeure en 1859, toujours pour loger le bedeau de la paroisse et sa famille. De 1952 à 1956, la Caisse Desjardins y loue une pièce et y ouvre un comptoir. À partir de 1960, plusieurs commerces s'y succèdent, dont Boutique Coiffure Christine dont on peut ici distinguer l'affiche. Depuis 1985, le bâtiment a uniquement une fonction commerciale (Le Berlingot - Bar laitier). Décor estival. Années 1970. Tirage photographique, coul.

Informations tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose (SROS_0218).
Maison située au 363, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.010

Maison située au 363, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Vue de la façade et du côté gauche d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1830, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Connue comme la maison Arnoldi. Décor verdoyant. Années 1970. Tirage photographique, coul.

Il s'agit d'une maison d'un étage et demi construite en moellons. De plan rectangulaire, cette maison possède un toit à deux versants retroussés en bardeaux de cèdre percé de deux lucarnes à pignon. La façade est dotée d'une porte, au seuil légèrement surélevé, et de trois fenêtres. Le côté gauche du bâtiment est percé d'une fenêtre au rez-de-chaussée et deux plus petites sous les combles. Une cheminée, construite à même le mur de droite, se dresse au-dessus du faîte.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0363).
Maison située au 111, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.011

Maison située au 111, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Vue de la façade et du côté gauche d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1865, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Cette maison aurait été habitée par Frederic Back. Décor verdoyant.Tirage photographique, n&b.

Il s'agit d'une maison de plan carré d'un étage et demi faite en planche à clins portant un toit à deux versants retroussés en tôle à baguette percé de deux lucarnes à pignon. Une cheminée se trouve à l'extrémité droite du toit. La façade est percée d'une porte flanquée de deux fenêtres que surplombe l'avant-toit. Le mur du côté gauche est percé d'une fenêtre par niveau.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0111).
Maison située au 328 et 330, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.012

Maison située au 328 et 330, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Vue de la façade et du côté droit d'une maison traditionnelle québécoise construite vers 1880 avec influence du courant victorien de l'époque Cette maison a été la résidence de la famille du peintre Clarence Gagnon pendant un certain temps, probablement entre le début des années 1880 jusqu'à la fin des années 1880 ou au début des années 1890. Clarence Gagnon a vécu dans le village de Sainte-Rose de l'âge de deux à dix ans. Cette maison fut également la demeure de monsieur Jean-Pierre Bolduc. Décor automnal. Tirage photographique, coul.

Il s'agit d'une maison de plan rectangulaire d'un étage et demie en planche à clins portant un toit à deux versants droits en tôle à la canadienne percé de quatre lucarnes à fenêtre pendante. Une cheminée s'élève à chacune de ses extrémités. En façade, le rez-de-chaussée est percé de deux portes et de deux fenêtres abritées par un toit en appentis surplombant une galerie qui court sur tout sa largeur et une partie du côté droit. Le mur droit est percé d'une petite fenêtre par étage alors qu'une porte abritée le jouxtant mène à la cave.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0328).
Maison autrefois située au 19, rue Bellevue, Sainte-Rose.
C001/A2,06.013

Maison autrefois située au 19, rue Bellevue, Sainte-Rose.
Vue d'ensemble du côté droit et de la façade d'une maison québécoise traditionnelle en bois avec extension et qui fut la demeure de madame Fortin. Cette maison, maintenant détruite, aurait été construite en 1846. Décor dépouillé. [Années 1970-1980]. Tirage photographique, coul.
Maison située au 246, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.014

Maison située au 246, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Vue de la façade et du côté gauche d'une grande maison au toit mansardé construite ou résultat d'une transformation entre 1870 et 1900. Le site était auparavant occupé par une petite maison de bois en pièces sur pièces où est né le curé Antoine Labelle en 1833. Elle aurait été la demeure de famille Ouellette et Durocher dans les années 1930, et de M. Major. Décor automnal. Tirage photographique, n&b.

Informations tirées de la base de données patromoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0246).
Plaque commémorant le curé Antoine-Labelle à Sainte-Rose.
C001/A2,06.017

Plaque commémorant le curé Antoine-Labelle à Sainte-Rose.
Plaque commémorant le curé Antoine-Labelle, située sur le mur de sa maison natale au 246, boulevard Sainte-Rose. On peut lire : «Ici est né, le 24 novembre 1833, Mgr Antoine Labelle, curé de Saint-Jérome, apôtre de la colonisation. / In this house was born, November the 23th, 1833, Mgr Antoine Labelle, Paris priest of Saint-Jérome, Active fosterer of colonization.». La plaque est festonnée et porte les armoiries et la devise de la province de Québec «Je me souviens».
Maison située au 129, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.018

Maison située au 129, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Vue d'ensemble d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1869, ayant subie des modifications. Cette maison fut habitée par la famille Poirier. On y retrouve les adrsses civiques 129, 129A et 131. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b.

Informations tirées de la base de données patromoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0129).
Maison située au 354, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.021

Maison située au 354, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Vue de la façade d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1905 ou avant, vers 1890, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Cette maison fut la demeure de monsieur Pierre Sparks. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0354).
Maison  à Sainte-Rose.
C001/A2,06.024

Maison à Sainte-Rose.
Vue d'ensemble d'une maison de deux étages portant un toit à deux versants droits. Décor verdoyant. [Années 1970]. Tirage photographique, n&b.
Maison située au 323, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.025

Maison située au 323, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Vue de la façade et du côté droit d'une maison à mansarde en briques qui aurait été construite vers 1900, un style très en vogue en milieu rural au Québec entre 1875 et 1920. Toutefois, cette date pourrait être revue à la baisse. On mentionne qu'elle aurait été édifiée vers 1870, date qui apparaît très plausible. Les briques auraient été moulées à la main. Elle fut la demeure de Raynald Boucher. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Auteuil SROS_0323).
Maison autrefois située au 19 rue Bellevue, Sainte-Rose.
C001/A2,06.026a

Maison autrefois située au 19 rue Bellevue, Sainte-Rose.
Vue d'ensemble de la façade et du côté droit d'une maison québécoise traditionnelle en bois avec extension et qui fut la demeure de madame Fortin. Cette maison, maintenant détruite, aurait été construite en 1846. Tirage photographique, n&b.
Maison située au 60, avenue des Terrasses, Sainte-Rose
C001/A2,06.030

Maison située au 60, avenue des Terrasses, Sainte-Rose
Vue d'ensemble du côté droit d'une maison traditionnelle québécoise en moellons, auparavant le 6 chemin de la Grande Côte. Décor verdoyant.Tirage photographique, n&b.
Maison située au 1865, rue des Patriotes, Sainte-Rose.
C001/A2,06.034

Maison située au 1865, rue des Patriotes, Sainte-Rose.
Vue de la façade arrière et du côté gauche d'une maison traditionnelle québécoise, probablement construite entre 1800 et 1865, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Cette maison est l'ancienne résidence de la famille David qui a vendu son terrain à la Fabrique de Sainte-Rose pour ériger le nouveau cimetière. Certaines sources indiquent qu'elle aurait été construite dans la première tranche du 19e siècle, alors que d'autres arguent qu'elle aurait été construite vers 1865 avec la pierre de la deuxième église de la paroisse de Sainte-Rose. La tradition orale rapporte aussi que cette maison aurait servi de dépôt d'armes pour les Patriotes. Décor hivernal. Années 1970. Tirage photographique, coul.

Il s'agit d'une maison de plan rectangulaire à un étage et demi en moellons portant un toit à deux versants droits en bardeaux d'asphalte. Une cheminée construite à même les murs s'élève à chaque extrémité. Le mur avant est percé d'une porte et de deux fenêtres abritées par un toit en appentis surplombant une galerie qui court en façade et sur le côté droit. Le mur gauche est percé d'une fenêtre au rez-de-chaussée et de deux sous les combles. Des chaînes d'angle ornent la maçonnerie de cette maison. Cette construction utilise également plusieurs types de pierre dont la dolomie de Beekmantown qui se trouve uniquement dans l'ouest de l'île Jésus.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose PATR_1865).
Maison située au 1865, rue des Patriotes, Sainte-Rose.
C001/A2,06.035

Maison située au 1865, rue des Patriotes, Sainte-Rose.
Vue de la façade et du côté gauche d'une maison traditionnelle québécoise, probablement construite entre 1800 et 1865, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Cette maison est l'ancienne résidence de la famille David qui a vendu son terrain à la Fabrique de Sainte-Rose pour ériger le nouveau cimetière. Certaines sources indiquent qu'elle aurait été construite dans la première tranche du 19e siècle, alors que d'autres arguent qu'elle aurait été construite vers 1865 avec la pierre de la deuxième église de la paroisse de Sainte-Rose. La tradition orale rapporte aussi que cette maison aurait servi de dépôt d'armes pour les Patriotes. Décor dépouillé. Années 1970. Tirage photographique, n&b.

Il s'agit d'une maison de plan rectangulaire à un étage et demi en moellons portant un toit à deux versants droits en bardeaux d'asphalte. Une cheminée construite à même les murs s'élève à chaque extrémité. Le mur avant est percé d'une porte et de deux fenêtres abritées par un toit en appentis surplombant une galerie qui court en façade et sur le côté droit. Le mur gauche est percé d'une fenêtre au rez-de-chaussée et de deux sous les combles. Des chaînes d'angle ornent la maçonnerie de cette maison. Cette construction utilise également plusieurs types de pierre dont la dolomie de Beekmantown qui se trouve uniquement dans l'ouest de l'île Jésus.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose PATR_1865).
Maison située au 26 boulevard Curé-Labelle, Sainte-Rose.
C001/A2,06.036

Maison située au 26 boulevard Curé-Labelle, Sainte-Rose.
Vue de la façade et du côté gauche d'une maison traditionnelle québécoise construite vers 1840. Elle apparaît notamment sur une carte postale produite en 1905-1906 par le photographe-éditeur Pinsonneault de Trois-Rivières. La famille Locas-Dutrisac-Miller y vécut de 1900 à 1986. En 1900, Anselme Locas, menuisier de Sainte-Rose, acquiert cette maison de pierre de Jovide Desjardins. Anselme Locas possédait du côté est de sa maison un atelier de menuiserie. Il louait également des annexes de sa maison aux estivants. De 1905 à 1908, il loua une partie de sa maison à des Montréalais qui y établirent un club baptisé Niscona probablement destiné à réunir des amateurs d'activités nautiques. Tous ceux qui se rendaient au chalet du SteRose Boating Club (aujourd'hui le site de la résidence Thérèse-Casgrain) devaient emprunter le chemin qui passait autrefois devant la maison. Cette maison fut plus tard utilisé par le restaurant AlexSim. Décor dépouillé. Tirage photographique, coul.

Il s'agit d'une maison de plan rectangulaire d'un étage et demi en moellons portant un toit à deux versants retroussés en bardeaux d'asphalte et percé de deux lucarnes à pignon. Une cheminée s'élève à son extrémité droite. En façade, le rez-de-chaussée est percé d'une porte flanquées de deux fenêtres. Le côté gauche est percé de deux fenêtres au rez-de-chaussée et d'une seule sous les combles. Un bâtiment jouxte la maison sur la droite.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose CULA_0026).
Maison située au 28 et 30, boulevard Curé-Labelle, Sainte-Rose.
C001/A2,06.037

Maison située au 28 et 30, boulevard Curé-Labelle, Sainte-Rose.
Vue du côté gauche et de la façade d'une bâtisse, construite vers 1889, représentative de la maison à mansarde. Ce style est très en vogue en milieu rural au Québec entre 1875 et 1920. Elle fut la demeure de A. Prévost. Elle a maintenant une vocation commerciale (Le Boating Club). Décor dépouillé. [Années 1980]. Tirage photographique, coul.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose CULA_0030).
Maison située au 28 et 30, boulevard Curé-Labelle, sainte-Rose.
C001/A2,06.038

Maison située au 28 et 30, boulevard Curé-Labelle, sainte-Rose.
Vue du côté gauche et de la façade d'une bâtisse, construite vers 1889, représentative de la maison à mansarde. Ce style est très en vogue en milieu rural au Québec entre 1875 et 1920. Elle fut la demeure de A. Prévost. Elle a maintenant une vocation commerciale (Le Boating Club). Décor dépouillé. [Années 1980]. Tirage photographique, coul.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose CULA_0030).
Maison située au 328 et 330, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.039

Maison située au 328 et 330, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Vue de la façade et du côté droit d'une maison traditionnelle québécoise construite vers 1880 avec influence du courant victorien de l'époque Cette maison a été la résidence de la famille du peintre Clarence Gagnon pendant un certain temps, probablement entre le début des années 1880 jusqu'à la fin des années 1880 ou au début des années 1890. Clarence Gagnon a vécu dans le village de Sainte-Rose de l'âge de deux à dix ans. Cette maison fut également la demeure de monsieur Jean-Pierre Bolduc. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b.

Maison de plan rectangulaire d'un étage et demie en planche à clins portant un toit à deux versants droits en tôle à la canadienne percé de quatre lucarnes à fenêtre pendante. Une cheminée s'élève à chacune de ses extrémités. En façade, le rez-de-chaussée est percé de deux portes et de deux fenêtres abritées par un toit en appentis surplombant une galerie qui court sur tout sa largeur et une partie du côté droit. Le mur droit est percé d'une petite fenêtre par étage alors qu'une porte abritée le jouxtant mène à la cave.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0328).
Maison située au 218, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.043

Maison située au 218, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Vue de la façade d'une maison traditionnelle québécoise, construite en 1859, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Cette maison est l'ancienne demeure du bedeau qui a été construite en 1859 avec la pierre et le bois réutilisés suite à la démolition de la deuxième église construite en 1788 et démantelée dans les années 1850 avec l'édification du lieu de culte actuel. Depuis 1840, la maison du bedeau était située à l'ouest de l'église, sur le terrain actuel de l'ancien couvent des Soeurs de Sainte-Croix. En mauvais état, cette maison est remplacée par une nouvelle demeure en 1859, toujours pour loger le bedeau de la paroisse et sa famille. De 1952 à 1956, la Caisse Desjardins y loue une pièce et y ouvre un comptoir. À partir de 1960, plusieurs commerces s'y succèdent, dont Boutique Coiffure Christine dont on peut ici distinguer l'affiche. Depuis 1985, le bâtiment a uniquement une fonction commerciale (Le Berlingot - Bar laitier). Décor estival. Tirage photographique, n&b.

Informations tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose (SROS_0218).
Maison située au 99, avenue des Terrasses, Auteuil.
C001/A2,06.045

Maison située au 99, avenue des Terrasses, Auteuil.
Vue d'ensemble de la façade et du côté droit d'une maison d'esprit français en moellons, construite entre 1788 et 1839. Ce courant architectural naît en Nouvelle-France dès le 17e siècle avec l'établissement des premiers colons français qui importent de leur contrée natale leurs façons traditionnelles de construire. Il se prolonge un peu après l'arrivée des Britanniques à la fin du 18e siècle. Décor automnal. 8 novembre 2001. Tirage photographique, coul.

Cette maison appartient à la famille Joly depuis plusieurs générations. En 1978, la propriétaire, Louise Joly affirmait que la maison avait été construite
vers 1729. Selon la chaîne de titre, il est fait mention d'une maison sur l'acte de donation de 1753. Cependant
en 1788, il est mentionné dans un acte que la maison est en bois. La première mention d'une maison en pierre apparaît dans
un acte de 1839 où Jean-Baptiste Joly sépare la terre en deux (lots 42 et 43) et en donne une moitié à ses fils Jean-Baptiste
fils et Michel.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Auteuil TERR_0099).
Maison Vital-Ouimet située au 291, avenue des Terrasses, Auteuil.
C001/A2,06.046

Maison Vital-Ouimet située au 291, avenue des Terrasses, Auteuil.
Vue du côté droit et de la façade d'une maison en pierre construite vers 1841, demeure représentative de la maison traditionnelle québécoise qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Il se peut que la maison date d'avant 1811 car on sait que la terre fut subdivisée et réunifiée plusieurs fois et que Joseph Cadieux reçoit la terre en 1811 en donation de son cousin Jean Cadieux avec une maison en pierre dessus. La terre appartient à Vital Ouimet en 1875 et à Séraphin Archambault en 1911. Mme Jeannine Bastien en est propriétaire en 1978. Décor verdoyant. 8 novembre 2001. tirage photographique, n&b.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Auteuil TERR_0291).
Ferme située au 2985, avenue des Perron, Auteuil.
C001/A2,06.047

Ferme située au 2985, avenue des Perron, Auteuil.
Vue d'ensemble d'une maison et de bâtiments de ferme. Au centre, un chemin de gravier mène à une maison de ferme, au plan carré et au toit à croupe, construite en 1888 par la famille Young, l'une des rares familles d'origine anglophone du secteur. Cette demeure Sur la gauche, on distingue deux granges en bois placées bout à bout. L'une est porte un toit à doubles versants droits, alors que la deuxième porte un toit à un seul versant. Sur la droite, un troisième bâtiment de bois au toit à deux versant droits, de dimension plus modeste occupe le centre. Connue comme la maison Young. 7 novembre 2011. Tirage photographique, coul.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Auteuil PERR_2985).
Maison située au 55, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.049

Maison située au 55, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Vue partielle de la façade d'une maison à mansarde, construite vers 1868, dans un style très en vogue en milieu rural au Québec entre 1875 et 1920. Cette maison en pierre de Dolomie de Beekmantown possède une mansarde aux formes inhabituelles. Elle a appartenu à monsieur Hormidas Joly, puis à W.T. Stace. Décor verdoyant. Tirage photographique n&b.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_005).
Maison située au 218, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.050

Maison située au 218, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Vue d'ensemble de la façade d'une maison traditionnelle québécoise, construite en 1859, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Cette maison est l'ancienne demeure du bedeau qui a été construite en 1859 avec la pierre et le bois réutilisés suite à la démolition de la deuxième église construite en 1788 et démantelée dans les années 1850 avec l'édification du lieu de culte actuel. Depuis 1840, la maison du bedeau était située à l'ouest de l'église, sur le terrain actuel de l'ancien couvent des Soeurs de Sainte-Croix. En mauvais état, cette maison est remplacée par une nouvelle demeure en 1859, toujours pour loger le bedeau de la paroisse et sa famille. De 1952 à 1956, la Caisse Desjardins y loue une pièce et y ouvre un comptoir. À partir de 1960, plusieurs commerces s'y succèdent, dont Boutique Coiffure Christine dans les années 1970. Depuis 1985, le bâtiment a uniquement une fonction commerciale (Le Berlingot - Bar laitier). Décor estival. 29 mars 2006. Tirage photographique, coul.

Informations tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose (SROS_0218).
Maison située au 2985, avenue des Perron, Auteuil.
C001/A2,06.051

Maison située au 2985, avenue des Perron, Auteuil.
Vue d'ensemble du côté gauche et de la façade d'une maison à mansarde en pierre, construite en 1888, un style est très en vogue en milieu rural au Québec entre 1875 et 1920. En 1858, James Young cultive une terre de 88 arpents dans la Côte des Perron et en 1888, la famille Young fait construire une solide maison en pierre, aujourd'hui désignée «maison Young». Cette demeure fut celle de la famille Young, l'une des rares familles d'origine anglophone du secteur. Décor automnal. 7 novembre 2001. Tirage photographique, coul.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Auteuil PERR_2985).
Maison située au 3255, avenue des Perron, Auteuil.
C001/A2,06.052

Maison située au 3255, avenue des Perron, Auteuil.
Vue du côté gauche et de la façade d'une maison franco-québécoise en pierre construite vers 1848, une demeure représentative de la maison franco-québécoise qui est le résultat de l'intégration de l'architecture néoclassique anglaise importée par les Britanniques à la fin du 18e siècle aux façons traditionnelles de construire en Nouvelle-France. Ce type de résidence constitue un modèle de transition entre la maison d'esprit français et la maison traditionnelle québécoise. Décor automnal. 7 novembre 2001. Tirage photographique, coul.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Auteuil PERR_3255).
Maison située au 3575, avenue des Perron, Auteuil.
C001/A2,06.053

Maison située au 3575, avenue des Perron, Auteuil.
Vue partielle de la façade du côté droit d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1890, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Une deuxième maison dans le même style est visible en arrière-plan. Décor estival. 7 novembre 2001. Tirage photographique, coul.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Auteuil PERR_3575).
Maison située au 3575, avenue des Perron, Auteuil.
C001/A2,06.054

Maison située au 3575, avenue des Perron, Auteuil.
Vue de la façade du côté gauche d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1890, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Décor estival. 7 novembre 2001. Tirage photographique, coul.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Auteuil PERR_3575).
Maison située au 3575, avenue des Perron, Auteuil.
C001/A2,06.055

Maison située au 3575, avenue des Perron, Auteuil.
Vue du côté gauche et de la façade d'une maison traditionnelle québécoise en moellons, construite vers 1890, dans un style qui domine les campagnes et les villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Décor automnal. Tirage photographique, coul.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Auteuil PERR_3575).
Maison située au 208, boulevard Sainte-Rose Est, Auteuil.
C001/A2,06.057

Maison située au 208, boulevard Sainte-Rose Est, Auteuil.
Vue d'ensemble du côté gauche d'une maison traditionnelle québécois, probablement construite entre la fin du 18e siècle et 1828. Cette résidence est apparentée à la maison d'esprit français, un courant architectural qui naît en Nouvelle-France dès le 17e siècle avec l'établissement des premiers colons français qui importent de leur contrée natale leurs façons traditionnelles de construire. Ce courant se prolonge un peu après l'arrivée des Britanniques à la fin du 18e siècle. Cette maison a déjà abrité un magasin d'antiquités. Décor hivernal. Mars 1977. Tirage photographique, coul.

La concession de la terre de cette maison appartient successivement à Joseph Vaillancourt (1767), à Pierre Ouimet (1774), à Jean Ouimet (1807), son fils, puis, vraisemblabement à Antoine Merçant dit Lapierre (1828), à Joseph Moissan dit Lapierre (1875), à Émile Carbonneau (1911), et Jean Drapeau (1970).

Il s'agit d'une habitation de plan rectangulaire d'un étage et demi en moellons portant un toit à deux versants retroussés en bardeaux de cèdre. Trois cheminées, dont l'une hors-oeuvre, s'élèvent à chaque extrémité. En façade, le rez-de-chaussée est percé d'une porte et de trois fenêtres. Le mur gauche est percé d'une fenêtre au rez-de-chaussée et de deux plus petites sous les combles. Une extension d'un étage et demi en bardeaux de cèdre jouxte l'arrière du bâtiment.

Informations en bonne partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Auteuil SROE_0208).
Maison située au 153, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.058

Maison située au 153, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Vue de la façade d'une maison traditionnelle québécoise qui fut bâtie vers 1839. Connue comme la maison S. Charbonneau. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Auteuil SROS_0153).
Maison située au 184, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.060

Maison située au 184, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Vue de la façade d'une maison apparentée à la maison franco-québécoise qui est le résultat de l'intégration de l'architecture néoclassique anglaise importée par les Britanniques à la fin du 18e siècle aux façons traditionnelles de construire en Nouvelle-France. Elle constitue un modèle de transition entre la maison d'esprit français et la maison traditionnelle québécoise.Selon la pierre de date située au-dessus de la porte d'entrée principale, cette demeure aurait été construite en 1816. Cette maison fut la demeure de monsieur C. Poirier. Aujourd'hui, elle a une vocation commerciale (Centre ChiroPratique du Village). Décor hivernal. Années 1970. Tirage photographique, coul.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0184).
Maison située au 184, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.061

Maison située au 184, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Vue de la façade d'une maison apparentée à la maison franco-québécoise qui est le résultat de l'intégration de l'architecture néoclassique anglaise importée par les Britanniques à la fin du 18e siècle aux façons traditionnelles de construire en Nouvelle-France. Elle constitue un modèle de transition entre la maison d'esprit français et la maison traditionnelle québécoise.Selon la pierre de date située au-dessus de la porte d'entrée principale, cette demeure aurait été construite en 1816. Cette maison fut la demeure de monsieur C. Poirier. Aujourd'hui, elle a une vocation commerciale (Centre ChiroPratique du Village). Décor hivernal. Tirage photographique, coul.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0184).
Maison située au 184, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.062

Maison située au 184, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Vue de la façade d'une maison apparentée à la maison franco-québécoise qui est le résultat de l'intégration de l'architecture néoclassique anglaise importée par les Britanniques à la fin du 18e siècle aux façons traditionnelles de construire en Nouvelle-France. Elle constitue un modèle de transition entre la maison d'esprit français et la maison traditionnelle québécoise.Selon la pierre de date située au-dessus de la porte d'entrée principale, cette demeure aurait été construite en 1816. Cette maison fut la demeure de monsieur C. Poirier. Aujourd'hui, elle a une vocation commerciale (Centre ChiroPratique du Village). Années 1970. Décor estival. Tirage photographique, coul.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0184).
Maison située au 193, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.063

Maison située au 193, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Vue de la façade et du côté gauche d'une maison traditionnelle québécoise, un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Cette maison, construite vers 1875, aurait été la propriété de J. Edouard Cloutier, distributeur de machinerie agricole. Décor dépouillé. Tirage photographique, n&b.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0193).
Maison située au 193, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.064

Maison située au 193, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Vue de la façade et du côté gauche d'une maison traditionnelle québécoise, un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Cette maison, construite vers 1875, aurait été la propriété de J. Edouard Cloutier, distributeur de machinerie agricole. Décor dépouillé. Tirage photographique, n&b.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0193).
Maison située au 194, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.065

Maison située au 194, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Vue d'ensemble de la façade et du côté droit d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1819, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Connue comme la maison G. Lavallée (?). Décor estival. Tirage photographique, n&b.

Il s'agit d'une maison de plan carré d'un étage et demi en planche à clins portant un toit à deux versants retroussés en tôle à baguette et percé de deux lucarnes à fronton triangulaire. Une cheminée apparaît à son extrémité gauche. La façade est percée d'une porte flanquée de deux fenêtres. Le côté droit est percé de deux fenêtres par étage.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0194).
Maison située au 202, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.066

Maison située au 202, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Vue d'ensemble d'une maison de type traditionnel en pierre de taille, construite vers 1816, représentative du courant néoclassique issu de l'architecture britannique au 19e siècle Cette demeure hébergea Pascal-Adélard Longpré, maire de 1918 à 1936, puis Joseph «Jos» Ouimet, également maire de Sainte-Rose (1936-1950). Au début du XXe siècle, la maison sert entre autres de local pour la Banque Provinciale (1913), puis pour la Caisse populaire de Sainte-Rose de 1959 à 1961. Elle fut ensuite occupée par le Dr. Michel Roy, optométriste (1942-2019) et héberge maintenant la Clinique Visuelle Sainte-Rose. Cette maison porte la dénomination Maison Longpré-Ouimet. Tirage photographique, n&b.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0202).
Maison située au 202, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.067

Maison située au 202, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Vue d'ensemble d'une maison de type traditionnel en pierre de taille, construite vers 1816, représentative du courant néoclassique issu de l'architecture britannique au 19e siècle Cette demeure hébergea Pascal-Adélard Longpré, maire de 1918 à 1936, puis Joseph «Jos» Ouimet, également maire de Sainte-Rose (1936-1950). Au début du XXe siècle, la maison sert entre autres de local pour la Banque Provinciale (1913), puis pour la Caisse populaire de Sainte-Rose de 1959 à 1961. Elle fut ensuite occupée par le Dr. Michel Roy, optométriste (1942-2019) et héberge maintenant la Clinique Visuelle Sainte-Rose. Cette maison porte la dénomination Maison Longpré-Ouimet. Années 1970. Tirage photographique, coul.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0202).
Maison située au 202, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.068

Maison située au 202, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Vue d'ensemble d'une maison de type traditionnel en pierre de taille, construite vers 1816, représentative du courant néoclassique issu de l'architecture britannique au 19e siècle Cette demeure hébergea Pascal-Adélard Longpré, maire de 1918 à 1936, puis Joseph «Jos» Ouimet, également maire de Sainte-Rose (1936-1950). Au début du XXe siècle, la maison sert entre autres de local pour la Banque Provinciale (1913), puis pour la Caisse populaire de Sainte-Rose de 1959 à 1961. Elle fut ensuite occupée par le Dr. Michel Roy, optométriste (1942-2019) et héberge maintenant la Clinique Visuelle Sainte-Rose. Cette maison porte la dénomination Maison Longpré-Ouimet. Années 1970. Tirage photographique, coul.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0202).
Maison située au 208, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.071

Maison située au 208, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Vue de la façade et du côté droit d'une maison traditionnelle québécoise, construite, peut-être vers 1830, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Une affiche au contenu illisible est accrochée près de la porte. Cette maison a accueilli le bureau d'enregistrement des municipalités de l'île Jésus, aménagé dans la résidence du notaire F.-X. Léonard (section avec la toiture à deux versants). En 1961, la Caisse Populaire de Sainte-Rose en quête de plus grands locaux déménage dans la bâtisse. Cette maison fut également la demeure de la famille Jean Drapeau. Depuis 2009, ou avant, la bâtisse est occupée par une étude de notaires. Parfois appellée maison Jean Drapeau. Décor dépouillé. Tirage photographique, n&b.

Il s'agit d'une maison de plan rectangulaire d'un étage et demi en maçonnerie recouverte d,un crépi et portant un toit à deux versants retroussés en en tôle à baguette. En façade, le rez-de-chaussée est percé d'une porte flanquée de deux fenêtres. Le mur droit est percé de quatre fenêtres (dont trois sont visibles) au rez-de-chaussée et de deux sous les combles. Sur la gauche, un autre bâtiment jouxte la maison.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0208).
Maison située au 111, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.072

Maison située au 111, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Vue de la façade et du côté gauche d'une maison traditionnelle québécoise d'un étage et demi en clin de bois. Le rez-de-chaussée est percé d'une porte flanquée de deux fenêtres. Deux lucarnes en façade percent un toit à deux versants retroussés recouvert de tôle à baguette. Cette maison a déjà été habitée par Frédéric Back. Décor estival. Date inconnue. Tirage photographique: n&b.
Maison située au 132, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.074

Maison située au 132, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Vue de la façade et du côté droit d'une maison traditionnelle québécoise, construite en 1849, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pen,ant la majeure partie du 19e siècle. Connue comme la maison Desjardins, elle aurait été construite pour, et peut-être par, Michel Desjardins, propriétaire de la terre depuis 1832. La pierre au-dessus de la porte d'entrée principale témoigne de la date de construction et les initiales «M. D» qu'on y retrouve font probablement référence à Michel Desjardins. En 2020, le bâtiment est occupé par les bureaux de Christopher Skeetes, député de Sainte-Rose à l'Assemblée nationale du Québec, et avant lui, les bureaux de Jean Habel, également député. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b.

Il s'agit d'une maison de plan rectangulaire d'un étage et demi en pierre de taille (façade) et en moellons (côtés) portant un toit à deux versants droits fait de tôle à baguettes et percé de quatre lucarnes à fronton triangulaire. Une cheminée s'élève à chacune de ses extrémités. Le rez-de-chaussée est percé d'une porte flanquée de quatre fenêtres abritées par l'avant-toit qui surplombe une galerie courant en façade.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0132).
Maison située au 132, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.075

Maison située au 132, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Vue de la façade et du côté droit d'une maison traditionnelle québécoise, construite en 1849, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Connue comme la maison Desjardins, elle aurait été construite pour, et peut-être par, Michel Desjardins, propriétaire de la terre depuis 1832. La pierre au-dessus de la porte d'entrée principale témoigne de la date de construction et les initiales «M. D» qu'on y retrouve font probablement référence à Michel Desjardins. En 2020, le bâtiment est occupé par les bureaux de Christopher Skeetes, député de Sainte-Rose à l'Assemblée nationale du Québec, et avant lui, les bureaux de Jean Habel, également député. Décor dépouillé. Tirage photographique, n&b.

Il s'agit d'une maison de plan rectangulaire d'un étage et demi en pierre de taille (façade) et en moellons (côtés) portant un toit à deux versants droits fait de tôle à baguettes et percé de quatre lucarnes à fronton triangulaire. Une cheminée s'élève à chacune de ses extrémités. Le rez-de-chaussée est percé d'une porte flanquée de quatre fenêtres abritées par l'avant-toit qui surplombe une galerie courant en façade.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0132).
Maison située au 132, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.076

Maison située au 132, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Vue de la façade d'une maison traditionnelle québécoise, construite en 1849, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Connue comme la maison Desjardins, elle aurait été construite pour, et peut-être par, Michel Desjardins, propriétaire de la terre depuis 1832. La pierre au-dessus de la porte d'entrée principale témoigne de la date de construction et les initiales «M. D» qu'on y retrouve font probablement référence à Michel Desjardins. En 2020, le bâtiment est occupé par les bureaux de Christopher Skeetes, député de Sainte-Rose à l'Assemblée nationale du Québec, et avant lui, les bureaux de Jean Habel, également député. Décor dépouillé. Tirage photographique, n&b.

Il s'agit d'une maison de plan rectangulaire d'un étage et demi en pierre de taille (façade) et en moellons (côtés) portant un toit à deux versants droits fait de tôle à baguettes et percé de quatre lucarnes à fronton triangulaire. Une cheminée s'élève à chacune de ses extrémités. Le rez-de-chaussée est percé d'une porte flanquée de quatre fenêtres abritées par l'avant-toit qui surplombe une galerie courant en façade.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0132).
Maison située au 7120, boulevard des Laurentides, Auteuil.
C001/A2,06.077

Maison située au 7120, boulevard des Laurentides, Auteuil.
Vue d'ensemble du côté droit et de la façade d'une maison traditionnelle québécoise construite en 1838, comme l'indique la pierre de date placée au-dessus de la porte. Ce type de construction domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. On peut également voir les bâtiments de ferme de cette propriété. La terre aurait été concédée en 1700 à un dénommé Phaneuf. La maison fut acquise par Damase Ouimet et pendant longtemps elle sera habitée par une famille Ouimet. Elle est connue comme la maison Georges Ouimet. Décor verdoyant. date inconnue. Tirage photographique, n&b.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Auteuil LAUR_7120).
Couvent de Sainte-Rose, situé au 233, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.088

Couvent de Sainte-Rose, situé au 233, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Vue de la façade et d'une partie de la face droite de l'ancien couvent de Sainte-Rose construit en 1876 selon les plans de l'architecte Victor Bourgeau, et représentatif du style Second Empire, un courant architectural fort prisé entre le milieu et la fin du 19e siècle par l'élite religieuse et bourgeoise canadienne-française dans la construction de bâtiments institutionnels et de résidences opulentes. Le couvent est dirigé par les Soeurs de Sainte-Croix qui viennent s'installer à Sainte-Rose pour prendre en charge l'éducation des jeunes filles. Le couvent est agrandi en 1912 selon les plans de l'architecte Joseph Sawer et alors que l'entrepreneur est Félix Labelle. Le couvent, également connu sous le nom de Pensionnat Saint-Charles, est de nouveau agrandi en 1947. Le bâtiment remplit ces fonctions jusqu'en 1976 avant de servir de maison d'accueil pour les religieuses retraitées. De nos jours, l'ancien couvent a une vocation commerciale. Années 1970. Tirage photograhique, coul.

Il s'agit d'un bâtiment rectangulaire de quatre étages au parement de pierre à bossage provenant des carrières de l'entrepreneur Félix Labelle. En façade, une volée de marches mène à un porche abritant l'entrée principale. Chaque étage s'orne de cinq ouvertures, l'étage supérieur, sous un toit mansardé à quatre versants, présentant deux lucarnes à pignon de part et d'autre d'une lucarne-pignon centrale. Le même ordonnement général est reproduit sur le côté droit du bâtiment sur lequel est fixé un escalier de secours en fer. En arrière-plan, on distingue le clocheton planté sur le toit.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0233).
Maison située au 329, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.094

Maison située au 329, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Vue de la façade et du côté droit d'une maison représentative du style vernaculaire américain qui remplace progressivement la maison traditionnelle
québécoise à partir de la fin du 19e siècle. Elle aurait été construite vers 1892. Le peintre Marc-Aurèle Fortin a pensionné un certain temps dans cette maison et y serait peut-être né. Cette maison fut également la demeure de Laure Saint-Aubin. Décor automnal. Tirage photographique, coul.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0329).
Maison située au 243, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.095

Maison située au 243, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Vue d'ensemble de la façade d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1868, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Connue comme la maison Hartmann. Décor automnal. [Années 1980]. Tirage photographique, coul.

Il s'agit d'une maison de plan rectangulaire d'un étage et demi portant un toit à deux versants retroussés en tôle pincée et percé d'une lucarne rampante. Des cheminées s'élèvent à chaque extrémité. La façade, qui semble recouverte d'un enduit, est percée de deux portes et de trois fenêtres abritées par un toit en appentis qui surplombe la galerie sur toute sa largeur. Le côté droit est percé de deux fenêtres par étage et d'une plus petite au niveau du faîte.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0243).
Maison autrefois située au 3951, boulevard Sainte-Rose, Fabreville.
C001/A2,06.097

Maison autrefois située au 3951, boulevard Sainte-Rose, Fabreville.
Vue de la façade d'une maison traditionnelle québécoise, aujourd'hui disparue, démolie pour la construction de l'autoroute 13. Elle est connue comme la maison Viateur Lacroix. On peut voir un bâtiment de ferme sur la droite. Décor dépouillé. Tirage photographique, n&b.
Maison autrefois située au 3951, boulevard Sainte-Rose, Fabreville.
C001/A2,06.098

Maison autrefois située au 3951, boulevard Sainte-Rose, Fabreville.
Vue de la façade d'une maison traditionnelle québécoise, aujourd'hui disparue, démolie pour la construction de l'autoroute 13. Elle est connue comme la maison Viateur Lacroix. Décor dépouillé. Tirage photographique, n&b.
Maison autrefois située au 19, rue Émile, Sainte-Rose.
C001/A2,06.099

Maison autrefois située au 19, rue Émile, Sainte-Rose.
Vue d'ensemble d'une maison de style néo-Queen Ann en bois, construite en 1896, et aujourd'hui disparue. Cette maison fut occupée par Zéphirin Gauthier, avocat établi à Montréal, pendant les années 1940. Elle fut également la demeure de Donat Landry à une époque inconnue. La rue Émile se nomme maintenant rue Émile-Léonard. Décor dépouillé. Tirage photographique, n&b.
Maison située au 178, rue Lepage, Sainte-Rose.
C001/A2,06.101

Maison située au 178, rue Lepage, Sainte-Rose.
Vue de la façade d'une maison à mansarde, construite vers 1880, un style très en vogue en milieu rural au Québec entre 1875 et 1920. Cette maison au parement de briques, de deux étages et demi, porte un toit mansardé à deux versants. Une extension de deux étages dans le même style jouxte le bâtiment principal sur la droite. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose LEPA_0178).
Maison située au 178, rue Lepage, Sainte-Rose.
C001/A2,06.104

Maison située au 178, rue Lepage, Sainte-Rose.
Vue de la façade d'une maison à mansarde, construite vers 1880, un style très en vogue en milieu rural au Québec entre 1875 et 1920. Cette maison au parement de briques, de deux étages et demi, porte un toit mansardé à deux versants. Une extension de deux étages dans le même style jouxte le bâtiment principal sur la droite. Décor verdoyant. Tirage photographique, coul.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose LEPA_0178).
Maison située au 329, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.106

Maison située au 329, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Vue de la façade et du côté gauche d'une maison représentative du style vernaculaire américain qui remplace progressivement la maison traditionnelle
québécoise à partir de la fin du 19e siècle. Elle aurait été construite vers 1892. Le peintre Marc-Aurèle Fortin a pensionné un certain temps dans cette maison et y serait peut-être né. Cette maison fut également la demeure de Laure Saint-Aubin. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0329).
Maison située au 329, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.107

Maison située au 329, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Vue de la façade et du côté droit d'une maison représentative du style vernaculaire américain qui remplace progressivement la maison traditionnelle
québécoise à partir de la fin du 19e siècle. Elle aurait été construite vers 1892. Le peintre Marc-Aurèle Fortin a pensionné un certain temps dans cette maison et y serait peut-être né. Cette maison fut également la demeure de Laure Saint-Aubin. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0329).
Maison située au 329, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.108

Maison située au 329, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Vue rapprochée de la façade d'une maison représentative du style vernaculaire américain qui remplace progressivement la maison traditionnelle
québécoise à partir de la fin du 19e siècle. Elle aurait été construite vers 1892. Le peintre Marc-Aurèle Fortin a pensionné un certain temps dans cette maison et y serait peut-être né. Cette maison fut également la demeure de Laure Saint-Aubin. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0329).
Maison située au 342, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.110a

Maison située au 342, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Vue du côté droit et de la façade d'une maison à mansarde, construite vers 1900, style très en vogue en milieu rural au Québec entre 1875 et 1920. Elle aurait été la demeure de monsieur Jacques Labelle. Tirage photographique, n&b.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0342).
Maison située au 342, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.110b

Maison située au 342, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Vue du côté droit d'une maison à mansarde, construite vers 1900, style très en vogue en milieu rural au Québec entre 1875 et 1920. Elle aurait été la demeure de monsieur Jacques Labelle. Tirage photographique, n&b.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0342).
Maison située au 342, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.110c

Maison située au 342, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Vue du côté droit d'une maison à mansarde, construite vers 1900, style très en vogue en milieu rural au Québec entre 1875 et 1920. Elle aurait été la demeure de monsieur Jacques Labelle. Tirage photographique, n&b.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0342).
Maison située au 342, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.110d

Maison située au 342, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Détail de la façade d'une maison à mansarde, construite vers 1900, style très en vogue en milieu rural au Québec entre 1875 et 1920. Elle aurait été la demeure de monsieur Jacques Labelle. Tirage photographique, n&b.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0342).
Maison située au 342, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.111

Maison située au 342, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Détail de la façade et du côté droit d'une maison à mansarde, construite vers 1900, style très en vogue en milieu rural au Québec entre 1875 et 1920. Elle aurait été la demeure de monsieur Jacques Labelle. Tirage photographique, n&b.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0342).
Maison située au 344, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.112a

Maison située au 344, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Vue de la façade d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1900, qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Cette maison aurait été la demeure de monsieur Arthur Désormaux. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0344).
Maison située au 344, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.112b

Maison située au 344, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Vue de la façade et du côté droit d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1900, qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Cette maison aurait été la demeure de monsieur Arthur Désormaux. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0344).
Maison située au 344, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.112c

Maison située au 344, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Détail de la façade et du côté gauche d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1900, qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Cette maison aurait été la demeure de monsieur Arthur Désormaux. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0344).
Maison située au 363, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.115

Maison située au 363, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Vue de la façade et du côté droit d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1830, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Connue comme la maison Arnoldi. En avant-plan, une haie longeant une clôture, un poteau et des fils électriques, un panneau Arrêt et une plaque de rue sur laquelle on peut lire boul. Ste-Rose. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b.

Il s'agit d'une maison d'un étage et demi construite en moellons. De plan rectangulaire, cette maison possède un toit à deux versants retroussés en bardeaux de cèdre percé de deux lucarnes à pignon. La façade est dotée d'une porte, au seuil légèrement surélevé, et de trois fenêtres. Le côté droit du bâtiment est percé de deux fenêtres, plus petites sous les combles, à chaque étage. Une cheminée, construite à même le mur se dresse au-dessus du faîte.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0363).
Maison située au 363, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.116a

Maison située au 363, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Vue du côté droit d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1830, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Connue comme la maison Arnoldi. En avant-plan, une haie longeant une clôture, un panneau Arrêt et deux plaques de rue sur laquelle on peut lire boul. Ste-Rose et Albert. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b.

Il s'agit d'une maison d'un étage et demi construite en moellons. De plan rectangulaire, cette maison possède un toit à deux versants retroussés en bardeaux de cèdre percé de deux lucarnes à pignon. La façade est dotée d'une porte, au seuil légèrement surélevé, et de trois fenêtres. Le côté droit du bâtiment est percé de deux fenêtres, plus petites sous les combles, à chaque étage. Une cheminée, construite à même le mur se dresse au-dessus du faîte.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0363).
Maison située au 363, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.116b

Maison située au 363, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Vue de la façade et du côté gauche d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1830, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. En avant-plan, une haie longeant une clôture, et une borne fontaine. Connue comme la maison Arnoldi. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b.

Il s'agit d'une maison d'un étage et demi construite en moellons. De plan rectangulaire, cette maison possède un toit à deux versants retroussés en bardeaux de cèdre percé de deux lucarnes à pignon. La façade est dotée d'une porte, au seuil légèrement surélevé, et de trois fenêtres. Le côté gauche du bâtiment est percé d'une fenêtre au rez-de-chaussée et deux plus petites sous les combles. Une cheminée, envahie par la vigne, est construite à même le mur.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0363).
Maison située au 363, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.116c

Maison située au 363, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Vue du côté droit d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1830, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. En avant-plan, une haie longeant une clôture, et une borne fontaine. Connue comme la maison Arnoldi. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b.

Il s'agit d'une maison d'un étage et demi construite en moellons. De plan rectangulaire, cette maison possède un toit à deux versants retroussés en bardeaux de cèdre percé de deux lucarnes à pignon. L'extension, sur la droite, au mur recouvert de crépi et au perron surélevé, est surmontée d'un toit à deux versants droits en bardeau de cèdre. Une cheminée en briques, hors-oeuvre, s'élève à l'angle formé par les deux constructions.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0363).
Maison située au 363, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.116d

Maison située au 363, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Vue de la façade d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1830, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. En avant-plan, une haie longeant une clôture et un cable électrique qui traverse le ciel. Connue comme la maison Arnoldi. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b.

Il s'agit d'une maison d'un étage et demi construite en moellons. De plan rectangulaire, cette maison possède un toit à deux versants retroussés en bardeaux de cèdre percé de deux lucarnes à pignon. L'extension, sur la droite, au mur recouvert de crépi et au perron surélevé, est surmontée d'un toit à deux versants droits en bardeau de cèdre. Une cheminée en briques, hors-oeuvre, s'élève à l'angle formé par les deux constructions.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0363).
Maison située au 363, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.116e

Maison située au 363, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Vue de la façade d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1830, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. En avant-plan, une haie et un poteau auquel est fixé un panneau d'Arrêt, et deux plaques de rues sur lesquelles on peut lire Boul Ste-Rose et Albert. Connue comme la maison Arnoldi. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b.

Il s'agit d'une maison d'un étage et demi construite en moellons. De plan rectangulaire, cette maison possède un toit à deux versants retroussés en bardeaux de cèdre percé de deux lucarnes à pignon. L'extension, sur la droite, au mur recouvert de crépi et au perron surélevé, est surmontée d'un toit à deux versants droits en bardeau de cèdre. Une cheminée en briques, hors-oeuvre, s'élève à l'angle formé par les deux constructions.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0363).
Maison située au 363, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.116f

Maison située au 363, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Vue du côté droit d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1830, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Connue comme la maison Arnoldi. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b.

Il s'agit d'une maison d'un étage et demi construite en moellons. De plan rectangulaire, cette maison possède un toit à deux versants retroussés en bardeaux de cèdre percé de deux lucarnes à pignon. Le côté droit du bâtiment est percé de deux fenêtres, plus petites sous les combles, à chaque étage, et d'une porte aménagée dans le soubassement du bâtiment. L'extension est recouvert d'un crépi, est percée d'un soupirail et porte un toit en bardeaux de cèdre à deux versants. Une cheminée de brique, hors-ouoeuvre, s'élève à l'angle formé par les deux bâtiments.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0363).
Maison située au 363, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.116g

Maison située au 363, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Vue rapprochée de la façade d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1830, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Connue comme la maison Arnoldi. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b.

Il s'agit d'une maison d'un étage et demi construite en moellons. De plan rectangulaire, cette maison possède un toit à deux versants retroussés en bardeaux de cèdre percé de deux lucarnes à pignon. La façade est dotée d'une porte, au seuil légèrement surélevé, et de trois fenêtres.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0363).
Maison située au 363, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.116h

Maison située au 363, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Vue rapprochée de la façade d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1830, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Connue comme la maison Arnoldi. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b.

Il s'agit d'une maison d'un étage et demi construite en moellons. De plan rectangulaire, cette maison possède un toit à deux versants retroussés en bardeaux de cèdre percé de deux lucarnes à pignon. La façade est dotée d'une porte, au seuil légèrement surélevé, et de trois fenêtres.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0363).
Maison située au 363, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.116i

Maison située au 363, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Vue d'un détail du côté droit d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1830, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. On aperçoit une fenêtre du rez-de-chaussée, et une seconde, plus petite, sous les combles, vers l'avant du bâtiment. Connue comme la maison Arnoldi. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b.

Il s'agit d'une maison d'un étage et demi construite en moellons. De plan rectangulaire, cette maison possède un toit à deux versants retroussés en bardeaux de cèdre percé de deux lucarnes à pignon. La façade est dotée d'une porte, au seuil légèrement surélevé, et de trois fenêtres.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0363).
Maison située au 363, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.117

Maison située au 363, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Vue du côté droit d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1830, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Connue comme la maison Arnoldi. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b.

Il s'agit d'une maisond 'un étage et demi construite en moellons. De plan rectangulaire, cette maison possède un toit à deux versants retroussés en bardeaux de cèdre percé de deux lucarnes à pignons. La façade est dotée d'une porte, au seuil légèrement surélevé, et de trois fenêtres. Le côté droit du bâtiment est percé de deux fenêtres, plus petites sous les combles, à chaque étage. Une cheminée, de briques et hors-oeuvre, s'élève à l'angle formé par la maison et une extension la jouxtan à l'arrière.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0363).
Maison située au 378, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.120a

Maison située au 378, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Vue d'ensemble du côté gauche et de la façade d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1858, un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Décor verdoyant. Connue comme la maison Arthur Grenier. Tirage photographique, n&b.

Il s'agit d'une maison de plan rectangulaire d'un un étage et demi, au toit à deux versants retroussés et percé de deux lucarnes à pignon. La façade du rez-de-chaussée possède une porte flanquée d'une fenêtre de part et d'autre. Le côté gauche est percé de deux fenêtres par étage. Le terrain, légèrement en pente, expose une fondation de béton. Le revêtement est de papier-brique et le toit, recouvert de tôle à baguette, surplombe la galerie qui court en façade. Une cheminée en brique, hors-oeuvre, s'élève le long du mur gauche jusqu'à son faîte. À l'arrière, le toit se prolonge en appentis au-dessus d'un tambour.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0378).
Maison située au 328 et 330, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.122a

Maison située au 328 et 330, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Vue de la façade et du côté droit d'une maison traditionnelle québécoise construite vers 1880 avec influence du courant victorien de l'époque. Cette maison a été la résidence de la famille du peintre Clarence Gagnon pendant un certain temps, probablement entre le début des années 1880 jusqu'à la fin des années 1880 ou au début des années 1890. Clarence Gagnon a vécu dans le village de Sainte-Rose de l'âge de deux à dix ans. Cette maison fut également la demeure de monsieur Jean-Pierre Bolduc. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b.

Vue rapprochée de la façade d'une maison de plan rectangulaire d'un étage et demie en planche à clins portant un toit à deux versants droits en tôle à la canadienne percé de quatre lucarnes à fenêtre pendante. En façade, le rez-de-chaussée est percé de deux portes et de deux fenêtres abritées par un toit en appentis surplombant une galerie qui court sur tout sa largeur et une partie du côté droit.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0328).
Maison située au 328 et 330, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.122b

Maison située au 328 et 330, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Vue de la façade et du côté droit d'une maison traditionnelle québécoise construite vers 1880 avec influence du courant victorien de l'époque Cette maison a été la résidence de la famille du peintre Clarence Gagnon pendant un certain temps, probablement entre le début des années 1880 jusqu'à la fin des années 1880 ou au début des années 1890. Clarence Gagnon a vécu dans le village de Sainte-Rose de l'âge de deux à dix ans. Cette maison fut également la demeure de monsieur Jean-Pierre Bolduc. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b.

Maison de plan rectangulaire d'un étage et demie en planche à clins portant un toit à deux versants droits en tôle à la canadienne percé de quatre lucarnes à fenêtre pendante. Une cheminée s'élève à chacune de ses extrémités. En façade, le rez-de-chaussée est percé de deux portes et de deux fenêtres abritées par un toit en appentis surplombant une galerie qui court sur tout sa largeur et une partie du côté droit. Le mur droit est percé d'une petite fenêtre par étage alors qu'une porte abritée le jouxtant mène à la cave.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0328).
Maison située au 208, boulevard Sainte-Rose Est, Auteuil.
C001/A2,06.124

Maison située au 208, boulevard Sainte-Rose Est, Auteuil.
Vue d'ensemble de la façade et du côté gauche d'une maison traditionnelle québécois, probablement construite entre la fin du 18e siècle et 1828. Cette résidence est apparentée à la maison d'esprit français, un courant architectural qui naît en Nouvelle-France dès le 17e siècle avec l'établissement des premiers colons français qui importent de leur contrée natale leurs façons traditionnelles de construire. Ce courant se prolonge un peu après l'arrivée des Britanniques à la fin du 18e siècle. Cette maison a déjà abrité un magasin d'antiquités. Décor automnal. Tirage photographique, coul.

La concession de la terre de cette maison appartient successivement à Joseph Vaillancourt (1767), à Pierre Ouimet (1774), à Jean Ouimet (1807), son fils, puis, vraisemblabement à Antoine Merçant dit Lapierre (1828), à Joseph Moissan dit Lapierre (1875), à Émile Carbonneau (1911), et Jean Drapeau (1970).

Il s'agit d'une habitation de plan rectangulaire d'un étage et demi en moellons portant un toit à deux versants retroussés en bardeaux de cèdre. Trois cheminées, dont l'une hors-oeuvre, s'élèvent à chaque extrémité. En façade, le rez-de-chaussée est percé d'une porte et de trois fenêtres. Le mur gauche est percé d'une fenêtre au rez-de-chaussée et de deux plus petites sous les combles. Une extension d'un étage et demi en bardeaux de cèdre jouxte l'arrière du bâtiment.

Informations en bonne partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Auteuil SROE_0208).
Maison située au 243, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.127

Maison située au 243, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Vue d'ensemble de la façade et du côté droit d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1868, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Une pancarte acrochée au-dessus de l'entrée affiche «Artisanat». Connue comme la maison Hartmann. Décor hivernal. Années 1970. Tirage photographique, coul.

Il s'agit d'une maison de plan rectangulaire d'un étage et demi portant un toit à deux versants retroussés en tôle pincée et percé d'une lucarne rampante. Des cheminées s'élèvent à chaque extrémité. La façade, qui semble recouverte d'un enduit, est percée de deux portes et de trois fenêtres abritées par un toit en appentis qui surplombe la galerie sur toute sa largeur. Le côté droit est percé de deux fenêtres par étage et d'une plus petite au niveau du faîte.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0243).
Maison située au 255, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.131

Maison située au 255, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Vue d'ensemble du côté gauche et de la façade d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1856, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle.

Il s'agit d'une maison de plan rectangulaire d'un étage et demi en moellons et chaînages portant un toit à deux versants retroussés en tôle à baguette et percé de trois lucarnes à pignon. Une cheminée (non visible) construite à même les murs s'élève sur son côté gauche. En façade, le rez-de-chaussée est percé d'une porte flanquée de deux fenêtres abritée par un avant-toit qui surplombe une galerie courant sur toute sa largeur. Le côté gauche est percé d'une fenêtre au rez-de-chaussée et de deux plus petites sous les combles. Sur la droite, on distingue une extension empiétant sur la galerie, et une affiche sur laquelle on lit «ANTIQUES». Cette maison est connue sous la dénomination Maison Ouimet. Décor dépouillé. Tirage photographique, n&b.

Note historique : La terre appartient d'abord à la famille Filiatrault. Vers 1833, les Ouimet s'en portent acquéreurs. Elle est ensuite cédée à Michel Ouimet (frère de Paul Ouimet et Marguerite Foucault [Faucault], époux d'Élisabeth Filiatrault, qui construit ou fait construire cette demeure vers 1856 (d'autres sources avancent également 1845, 1852 et 1854). On rapporte que les pierres de la demeure proviennent de la démolition de la deuxième église de Sainte-Rose qui avait été érigée en 1788. Paul Ouimet donne sa terre à son fils Anselme (père de Séraphin Ouimet (d.1964), ingénieur, et de Charles Ouimet, surintendant de la ville de Sainte-Rose, qui y serait nés) qui y sont tous nés. En 1929, la maison fut vendue au fils d'Anselme, Charles Ouimet, et la maison fut habitée par ses deux filles, Anna et Rita Ouimet, musiciennes, qui ont tenu dans l'annexe vitrée, construite vers 1935, un petit commerce de mercerie, de tissus et de chapeaux. Parmi les résidents connus: les frères Séraphin Ouimet, arpenteur-géomètre, et Charles Ouimet, chef de la police et des pompiers, ainsi que Joseph-Aldéric Ouimet (1847-1916), avocat, député fédéral conservateur, lieutenant-colonel de la milice du 65e Régiment des Fusiliers Mont-Royal et ministre des Travaux publics (1892-1896). Anna Ouimet est la dernière de sa famille à posséder la maison. Celle-ci est vendue en 1977 à Manfred Dewies et C. D. Rekinger qui l'occupaient comme locataires depuis 1970. Une seconde annexe en pièce sur pièce est ajoutée vers la fin des années 1970 par Manfred Dewies. Cette maison était située immédiatement à l'est du château Normand (Ancien château Vanier).

Informations en partie tirée de la base de données de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0255).
Maison située au 235, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.132

Maison située au 235, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Vue d'ensemble d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1865, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Elle aurait été la résidence du docteur Avila Desrochers, dont la construction lui a été attribuée, ainsi que de monsieur Michel Roy. Ici, après avoir subie des modifications. Décor hivernal. Tirage photographique, n&b.

Informations en partie tirée de la base de données de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0235).
Maison située au 235, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.133

Maison située au 235, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Vue d'ensemble d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1865, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Elle aurait été la résidence du docteur Avila Desrochers, dont la construction lui a été attribuée, ainsi que de monsieur Michel Roy. Ici, après avoir subie des modifications. Décor hivernal. Années 1970. Tirage photographique, coul.

Informations en partie tirée de la base de données de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0235).
Maison située au 321, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.136

Maison située au 321, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Vue de la façade et du côté gauche d'une maison construite entre 1757 et 1817 apparentée à la maison d'esprit français. Bien qu'une pierre de date sur la maison indique 1757, la première mention d'une maison en pierre sur cette terre se trouve dans un acte de donation du 28 septembre 1817 de Michel Desjardins à ses enfants. En 1731, Pierre Labelle fils entre en possession de la terre. Elle est ensuite vendue en 1745 à son frère, Claude Labelle, qui l'habite avec son épouse Marie-Anne Quéneville, pendant 30 ans. Celle-ci la revend en 1775, suite à la mort de son mari. En 1757, année de la pierre de date, c'est Claude Labelle qui possède la terre. La maison aurait été rénovée en 1922. Elle fut la demeure de Yves Allard. Décor verdoyant. 1940. Tirage photographique, n&b.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Auteuil SROS_0321).
Maison située au 321, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.137

Maison située au 321, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Vue de la façade et du côté droit d'une maison construite entre 1757 et 1817 apparentée à la maison d'esprit français. Bien qu'une pierre de date sur la maison indique 1757, la première mention d'une maison en pierre sur cette terre se trouve dans un acte de donation du 28 septembre 1817 de Michel Desjardins à ses enfants. En 1731, Pierre Labelle fils entre en possession de la terre. Elle est ensuite vendue en 1745 à son frère, Claude Labelle, qui l'habite avec son épouse Marie-Anne Quéneville, pendant 30 ans. Celle-ci la revend en 1775, suite à la mort de son mari. En 1757, année de la pierre de date, c'est Claude Labelle qui possède la terre. La maison aurait été rénovée en 1922. Elle fut la demeure de Yves Allard. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Auteuil SROS_0321).
Maison située au 323, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.139

Maison située au 323, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Vue de la façade et du côté droit d'une maison à mansarde en briques qui aurait été construite vers 1900, un style très en vogue en milieu rural au Québec entre 1875 et 1920. Toutefois, cette date pourrait être revue à la baisse. On mentionne qu'elle aurait été édifiée vers 1870, date qui apparaît très plausible. Les briques auraient été moulées à la main. Elle fut la demeure de Raynald Boucher. Décor verdoyant. [Années 1970]. Tirage photographique, n&b.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Auteuil SROS_0323).
Maison située au 323, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.140

Maison située au 323, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Vue de la façade d'une maison à mansarde en briques qui aurait été construite vers 1900, un style très en vogue en milieu rural au Québec entre 1875 et 1920. Toutefois, cette date pourrait être revue à la baisse. On mentionne qu'elle aurait été édifiée vers 1870, date qui apparaît très plausible. Les briques auraient été moulées à la main. Elle fut la demeure de Raynald Boucher. Décor hivernal. Tirage photographique, n&b.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Auteuil SROS_0323).
Maison située au 323, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.141

Maison située au 323, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Vue de la façade et du côté gauche d'une maison à mansarde en briques qui aurait été construite vers 1900, un style très en vogue en milieu rural au Québec entre 1875 et 1920. Toutefois, cette date pourrait être revue à la baisse. On mentionne qu'elle aurait été édifiée vers 1870, date qui apparaît très plausible. Les briques auraient été moulées à la main. Elle fut la demeure de Raynald Boucher. Décor dépouillé. Années 1970. Tirage photographique, coul.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Auteuil SROS_0323).
Maison située au 328 et 330, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.143

Maison située au 328 et 330, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Vue de la façade d'une maison traditionnelle québécoise construite vers 1880 avec influence du courant victorien de l'époque Cette maison a été la résidence de la famille du peintre Clarence Gagnon pendant un certain temps, probablement entre le début des années 1880 jusqu'à la fin des années 1880 ou au début des années 1890. Clarence Gagnon a vécu dans le village de Sainte-Rose de l'âge de deux à dix ans. Cette maison fut également la demeure de monsieur Jean-Pierre Bolduc. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0328).
Maison située au 328 et 330, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.144a

Maison située au 328 et 330, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Vue d'ensemble de la façade d'une maison traditionnelle québécoise construite vers 1880 avec influence du courant victorien de l'époque Cette maison a été la résidence de la famille du peintre Clarence Gagnon pendant un certain temps, probablement entre le début des années 1880 jusqu'à la fin des années 1880 ou au début des années 1890. Clarence Gagnon a vécu dans le village de Sainte-Rose de l'âge de deux à dix ans. Cette maison fut également la demeure de monsieur Jean-Pierre Bolduc. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0328).
Maison située au 328 et 330, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.144b

Maison située au 328 et 330, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Détail de la façade d'une maison traditionnelle québécoise construite vers 1880 avec influence du courant victorien de l'époque Cette maison a été la résidence de la famille du peintre Clarence Gagnon pendant un certain temps, probablement entre le début des années 1880 jusqu'à la fin des années 1880 ou au début des années 1890. Clarence Gagnon a vécu dans le village de Sainte-Rose de l'âge de deux à dix ans. Cette maison fut également la demeure de monsieur Jean-Pierre Bolduc. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0328).
Maison située au 328 et 330, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.144c

Maison située au 328 et 330, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Vue partielle de la façade d'une maison traditionnelle québécoise construite vers 1880 avec influence du courant victorien de l'époque Cette maison a été la résidence de la famille du peintre Clarence Gagnon pendant un certain temps, probablement entre le début des années 1880 jusqu'à la fin des années 1880 ou au début des années 1890. Clarence Gagnon a vécu dans le village de Sainte-Rose de l'âge de deux à dix ans. Cette maison fut également la demeure de monsieur Jean-Pierre Bolduc. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0328).
Maison située au 26, boulevard Curé-Labelle, Sainte-Rose.
C001/A2,06.150

Maison située au 26, boulevard Curé-Labelle, Sainte-Rose.
Vue de la façade et du côté gauche d'une maison traditionnelle québécoise construite vers 1840. Elle apparaît notamment sur une carte postale produite en 1905-1906 par le photographe-éditeur Pinsonneault de Trois-Rivières. La famille Locas-Dutrisac-Miller y vécut de 1900 à 1986. En 1900, Anselme Locas, menuisier de Sainte-Rose, acquiert cette maison de pierre de Jovide Desjardins. Anselme Locas possédait du côté est de sa maison un atelier de menuiserie. Il louait également des annexes de sa maison aux estivants. De 1905 à 1908, il loua une partie de sa maison à des Montréalais qui y établirent un club baptisé Niscona probablement destiné à réunir des amateurs d'activités nautiques. Tous ceux qui se rendaient au chalet du SteRose Boating Club (aujourd'hui le site de la résidence Thérèse-Casgrain) devaient emprunter le chemin qui passait autrefois devant la maison. Cette maison fut plus tard utilisé par le restaurant AlexSim. Connue comme la maison Miller. Décor dépouillé. Tirage photographique, coul.

Il s'agit d'une maison de plan rectangulaire d'un étage et demi en moellons portant un toit à deux versants retroussés en bardeaux d'asphalte et percé de deux lucarnes à pignon. Une cheminée s'élève à son extrémité droite. En façade, le rez-de-chaussée est percé d'une porte flanquées de deux fenêtres. Le côté gauche est percé de deux fenêtres au rez-de-chaussée et d'une seule sous les combles. Un bâtiment jouxte la maison sur la droite.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose CULA_0026).
Maison située au 255, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.151

Maison située au 255, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Vue du côté gauche et de la façade d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1856, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle.

Il s'agit d'une maison de plan rectangulaire d'un étage et demi en moellons et chaînages portant un toit à deux versants retroussés en tôle à baguette et percé de trois lucarnes à pignon. Une cheminée (non visible) construite à même les murs s'élève sur son côté gauche. En façade, le rez-de-chaussée est percé d'une porte flanquée de deux fenêtres abritée par un avant-toit qui surplombe une galerie courant sur toute sa largeur. Le côté gauche est percé d'une fenêtre au rez-de-chaussée et de deux plus petites sous les combles. Cette maison est connue sous la dénomination Maison Ouimet. Décor dépouillé. Tirage photographique, n&b.

Note historique : La terre appartient d'abord à la famille Filiatrault. Vers 1833, les Ouimet s'en portent acquéreurs. Elle est ensuite cédée à Michel Ouimet (frère de Paul Ouimet et Marguerite Foucault [Faucault], époux d'Élisabeth Filiatrault, qui construit ou fait construire cette demeure vers 1856 (d'autres sources avancent également 1845, 1852 et 1854). On rapporte que les pierres de la demeure proviennent de la démolition de la deuxième église de Sainte-Rose qui avait été érigée en 1788. Paul Ouimet donne sa terre à son fils Anselme (père de Séraphin Ouimet (d.1964), ingénieur, et de Charles Ouimet, surintendant de la ville de Sainte-Rose, qui y serait nés) qui y sont tous nés. En 1929, la maison fut vendue au fils d'Anselme, Charles Ouimet, et la maison fut habitée par ses deux filles, Anna et Rita Ouimet, musiciennes, qui ont tenu dans l'annexe vitrée, construite vers 1935, un petit commerce de mercerie, de tissus et de chapeaux. Parmi les résidents connus: les frères Séraphin Ouimet, arpenteur-géomètre, et Charles Ouimet, chef de la police et des pompiers, ainsi que Joseph-Aldéric Ouimet (1847-1916), avocat, député fédéral conservateur, lieutenant-colonel de la milice du 65e Régiment des Fusiliers Mont-Royal et ministre des Travaux publics (1892-1896). Anna Ouimet est la dernière de sa famille à posséder la maison. Celle-ci est vendue en 1977 à Manfred Dewies et C. D. Rekinger qui l'occupaient comme locataires depuis 1970. Une seconde annexe en pièce sur pièce est ajoutée vers la fin des années 1970 par Manfred Dewies. Cette maison était située immédiatement à l'est du château Normand (Ancien château Vanier).

Informations en partie tirée de la base de données de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0255).
Maison située au 255, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.152

Maison située au 255, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Vue rapprochée du côté gauche et de la façade d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1856, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle.

Il s'agit d'une maison de plan rectangulaire d'un étage et demi en moellons et chaînages portant un toit à deux versants retroussés en tôle à baguette et percé de trois lucarnes à pignon. Une cheminée (non visible) construite à même les murs s'élève sur son côté gauche. En façade, le rez-de-chaussée est percé d'une porte flanquée de deux fenêtres abritée par un avant-toit qui surplombe une galerie courant sur toute sa largeur. Le côté gauche est percé d'une fenêtre au rez-de-chaussée et de deux plus petites sous les combles. Sur la droite, on distingue une extension empiétant sur la galerie, et une affiche sur laquelle on lit «ANTIQUES». Cette maison est connue sous la dénomination Maison Ouimet. Décor dépouillé. Tirage photographique, n&b.

Note historique : La terre appartient d'abord à la famille Filiatrault. Vers 1833, les Ouimet s'en portent acquéreurs. Elle est ensuite cédée à Michel Ouimet (frère de Paul Ouimet et Marguerite Foucault [Faucault], époux d'Élisabeth Filiatrault, qui construit ou fait construire cette demeure vers 1856 (d'autres sources avancent également 1845, 1852 et 1854). On rapporte que les pierres de la demeure proviennent de la démolition de la deuxième église de Sainte-Rose qui avait été érigée en 1788. Paul Ouimet donne sa terre à son fils Anselme (père de Séraphin Ouimet (d.1964), ingénieur, et de Charles Ouimet, surintendant de la ville de Sainte-Rose, qui y serait nés) qui y sont tous nés. En 1929, la maison fut vendue au fils d'Anselme, Charles Ouimet, et la maison fut habitée par ses deux filles, Anna et Rita Ouimet, musiciennes, qui ont tenu dans l'annexe vitrée, construite vers 1935, un petit commerce de mercerie, de tissus et de chapeaux. Parmi les résidents connus: les frères Séraphin Ouimet, arpenteur-géomètre, et Charles Ouimet, chef de la police et des pompiers, ainsi que Joseph-Aldéric Ouimet (1847-1916), avocat, député fédéral conservateur, lieutenant-colonel de la milice du 65e Régiment des Fusiliers Mont-Royal et ministre des Travaux publics (1892-1896). Anna Ouimet est la dernière de sa famille à posséder la maison. Celle-ci est vendue en 1977 à Manfred Dewies et C. D. Rekinger qui l'occupaient comme locataires depuis 1970. Une seconde annexe en pièce sur pièce est ajoutée vers la fin des années 1970 par Manfred Dewies. Cette maison était située immédiatement à l'est du château Normand (Ancien château Vanier).

Informations en partie tirée de la base de données de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0255).
Maison située au 255, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.153

Maison située au 255, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Vue du côté gauche et de la façade d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1856, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle.

Il s'agit d'une maison de plan rectangulaire d'un étage et demi en moellons et chaînages portant un toit à deux versants retroussés en tôle à baguette et percé de trois lucarnes à pignon. Une cheminée (non visible) construite à même les murs s'élève sur son côté gauche. En façade, le rez-de-chaussée est percé d'une porte flanquée de deux fenêtres abritée par un avant-toit qui surplombe une galerie courant sur toute sa largeur. Le côté gauche est percé d'une fenêtre au rez-de-chaussée et de deux plus petites sous les combles. Sur la droite, on distingue une extension empiétant sur la galerie, et une affiche sur laquelle on lit «FLEURISTE 625-4393». Cette maison est connue sous la dénomination Maison Ouimet. Décor dépouillé. Tirage photographique, n&b.

Note historique : La terre appartient d'abord à la famille Filiatrault. Vers 1833, les Ouimet s'en portent acquéreurs. Elle est ensuite cédée à Michel Ouimet (frère de Paul Ouimet et Marguerite Foucault [Faucault], époux d'Élisabeth Filiatrault, qui construit ou fait construire cette demeure vers 1856 (d'autres sources avancent également 1845, 1852 et 1854). On rapporte que les pierres de la demeure proviennent de la démolition de la deuxième église de Sainte-Rose qui avait été érigée en 1788. Paul Ouimet donne sa terre à son fils Anselme (père de Séraphin Ouimet (d.1964), ingénieur, et de Charles Ouimet, surintendant de la ville de Sainte-Rose, qui y serait nés) qui y sont tous nés. En 1929, la maison fut vendue au fils d'Anselme, Charles Ouimet, et la maison fut habitée par ses deux filles, Anna et Rita Ouimet, musiciennes, qui ont tenu dans l'annexe vitrée, construite vers 1935, un petit commerce de mercerie, de tissus et de chapeaux. Parmi les résidents connus: les frères Séraphin Ouimet, arpenteur-géomètre, et Charles Ouimet, chef de la police et des pompiers, ainsi que Joseph-Aldéric Ouimet (1847-1916), avocat, député fédéral conservateur, lieutenant-colonel de la milice du 65e Régiment des Fusiliers Mont-Royal et ministre des Travaux publics (1892-1896). Anna Ouimet est la dernière de sa famille à posséder la maison. Celle-ci est vendue en 1977 à Manfred Dewies et C. D. Rekinger qui l'occupaient comme locataires depuis 1970. Une seconde annexe en pièce sur pièce est ajoutée vers la fin des années 1970 par Manfred Dewies. Cette maison était située immédiatement à l'est du château Normand (Ancien château Vanier).

Informations en partie tirée de la base de données de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0255).
Maison située au 321, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.154

Maison située au 321, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Vue de la façade et du côté droit d'une maison construite entre 1757 et 1817 apparentée à la maison d'esprit français. Bien qu'une pierre de date sur la maison indique 1757, la première mention d'une maison en pierre sur cette terre se trouve dans un acte de donation du 28 septembre 1817 de Michel Desjardins à ses enfants. En 1731, Pierre Labelle fils entre en possession de la terre. Elle est ensuite vendue en 1745 à son frère, Claude Labelle, qui l'habite avec son épouse Marie-Anne Quéneville, pendant 30 ans. Celle-ci la revend en 1775, suite à la mort de son mari. En 1757, année de la pierre de date, c'est Claude Labelle qui possède la terre. La maison aurait été rénovée en 1922. Elle fut la demeure de Yves Allard. Décor hivernal. Tirage photographique, n&b.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Auteuil SROS_0321).
Maison située au 328 et 330, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.156

Maison située au 328 et 330, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Vue de la façade et du côté gauche d'une maison traditionnelle québécoise construite vers 1880 avec influence du courant victorien de l'époque Cette maison a été la résidence de la famille du peintre Clarence Gagnon pendant un certain temps, probablement entre le début des années 1880 jusqu'à la fin des années 1880 ou au début des années 1890. Clarence Gagnon a vécu dans le village de Sainte-Rose de l'âge de deux à dix ans. Cette maison fut également la demeure de monsieur Jean-Pierre Bolduc. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b.

Maison de plan rectangulaire d'un étage et demie en planche à clins portant un toit à deux versants droits en tôle à la canadienne percé de quatre lucarnes à fenêtre pendante. Une cheminée s'élève à chacune de ses extrémités. En façade, le rez-de-chaussée est percé de deux portes et de deux fenêtres abritées par un toit en appentis surplombant une galerie qui court sur tout sa largeur et une partie du côté gauche et droit. Le mur gauche est percé d'une petite fenêtre par étage alors qu'une porte abritée le jouxtant mène à la cave.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0328).
Maison située au 329, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.157

Maison située au 329, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Vue de la façade et du côté droit d'une maison représentative du style vernaculaire américain qui remplace progressivement la maison traditionnelle
québécoise à partir de la fin du 19e siècle. Elle aurait été construite vers 1892. Le peintre Marc-Aurèle Fortin a pensionné un certain temps dans cette maison et y serait peut-être né. Cette maison fut également la demeure de Laure Saint-Aubin. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0329).
Maison située au 344, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.158

Maison située au 344, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Vue de la façade et du côté droit d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1900, qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Cette maison aurait été la demeure de monsieur Arthur Désormaux. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0344).
Maison située au 363, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.160

Maison située au 363, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Vue de la façade et du côté droit d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1830, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Connue comme la maison Arnoldi. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b.

Il s'agit d'une maisond 'un étage et demi construite en moellons. De plan rectangulaire, cette maison possède un toit à deux versants retroussés en bardeaux de cèdre percé de deux lucarnes à pignons. La façade est dotée d'une porte, au seuil légèrement surélevé, et de trois fenêtres. Le côté droit du bâtiment est percé de deux fenêtres, plus petites sous les combles, à chaque étage.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0363).
Maison située au 152 et 154, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.163

Maison située au 152 et 154, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Vue de la façade et du côté droit d'une maison traditionnelle québécoise, un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Cette maison aurait été construite entre 1750 et 1850. Elle est connue comme la maison Joly-Vaillancourt. Sur une affiche qui pend de l'avant-toit, on peut lire «It cirage - Cordonnerie A(?).Lanoue».

Le menuisier-charpentier Jean-Baptiste Joly, qui a réalisé le décor intérieur de l'église de Sainte-Rose, y réside à une période indéterminée. À partir de 1932, le cordonnier-sellier Cyrille Vaillancourt loge dans cette demeure. La partie est de la maison, avec sa vitrine commerciale et sa porte, abrite la boutique du cordonnier-sellier alors que la partie ouest sert de logement à la famille. À cette époque, plusieurs attelages de chevaux s'y arrêtaient pour des réparations puisque M. Vaillancourt était spécialisé dans le travail de sellier. Cyrille Vaillancourt y exerce son métier pendant plus de quarante ans. Par la suite, l'ancien apprenti, M. Lanoue, devient propriétaire de la boutique. Celle-ci est encore en activités à la fin des années 1970. En 2020, Doris Saint-Germain, comptable agréé, en est l'occupant. Décor estival. Tirage photographique, n&b.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0152).
Maison située au 202, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.165

Maison située au 202, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Vue d'ensemble d'une maison de type traditionnel en pierre de taille, construite vers 1816, représentative du courant néoclassique issu de l'architecture britannique au 19e siècle Cette demeure hébergea Pascal-Adélard Longpré, maire de 1918 à 1936, puis Joseph «Jos» Ouimet, également maire de Sainte-Rose (1936-1950). Au début du XXe siècle, la maison sert entre autres de local pour la Banque Provinciale (1913), puis pour la Caisse populaire de Sainte-Rose de 1959 à 1961. Elle fut ensuite occupée par le Dr. Michel Roy, optométriste (1942-2019) et héberge maintenant la Clinique Visuelle Sainte-Rose. Cette maison porte la dénomination Maison Longpré-Ouimet. Date inconnue. Tirage photographique, n&b.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0202).
Maison autrefois située au 1098, boulevard Sainte-Rose Ouest, Laval-Ouest.
C001/A2,06.175

Maison autrefois située au 1098, boulevard Sainte-Rose Ouest, Laval-Ouest.
Vue d'ensemble d'une maison traditionnelle québécoise en moellons, construite en 1830, et aujourd'hui disparue. Cette maison fut autrefois la demeure de René Ouimet. Décor estival. 1956. Tirage photographique, n&b.
Maison ancestrale à Sainte-Rose.
C001/A2,06.176

Maison ancestrale à Sainte-Rose.
Vue de la façade et du côté gauche d'une maison traditionnelle québécoise. Emplacement non identifié à l'ouest du village de Sainte-Rose. Décor estival. Tirage photographique, n&b.

Il s'agit d'une maison de plan rectangulaire d'un étage et demi en pierre de taille portant un toit à deux versants droits en bardeaux d'asphalte et percé d'une lucarne rampante. Trois cheminées sélèvent au-dessus du faîte, une à chacune de ses extrémités, construites à même les murs, et une en son milieu. La façade est percée de deux portes flanquées de trois fenêtres abritées par un toit en appentis qui surplombe une galerie qui court sur toute sa largeur. Le mur gauche est percé de deux fenêtres sous les combles. Une petite extension de deux étages avec porte et fenêtre jouxte le mur gauche.
Maison autrefois située au 1098, boulevard Sainte-Rose Ouest, Laval-Ouest.
C001/A2,06.177

Maison autrefois située au 1098, boulevard Sainte-Rose Ouest, Laval-Ouest.
Vue d'ensemble d'une maison traditionnelle québécoise en moellons, construite en 1830, et aujourd'hui disparue. Cette maison fut autrefois la demeure de René Ouimet. Décor estival. 1956. Tirage photographique, n&b.
Maison traditionnelle québécoise à Sainte-Rose.
C001/A2,06.180

Maison traditionnelle québécoise à Sainte-Rose.
Vue du côté gauche et de la façade d'une maison traditionnelle québécoise en moellons. Ici, la maison, située à l'ouest du village, est abandonnée. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b.
Maison située au 202, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.181

Maison située au 202, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Vue d'ensemble d'une maison de type traditionnel en pierre de taille, construite vers 1816, représentative du courant néoclassique issu de l'architecture britannique au 19e siècle Cette demeure hébergea Pascal-Adélard Longpré, maire de 1918 à 1936, puis Joseph «Jos» Ouimet, également maire de Sainte-Rose (1936-1950). Au début du XXe siècle, la maison sert entre autres de local pour la Banque Provinciale (1913), puis pour la Caisse populaire de Sainte-Rose de 1959 à 1961. Elle fut ensuite occupée par le Dr. Michel Roy, optométriste (1942-2019) et héberge maintenant la Clinique Visuelle Sainte-Rose. Cette maison porte la dénomination Maison Longpré-Ouimet. Décor estival. Tirage photographique, n&b.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0202).
Maison située au 208, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose
C001/A2,06.183

Maison située au 208, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose
Vue de la façade et du côté droit d'une maison traditionnelle québécoise, construite, peut-être vers 1830, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Une affiche au contenu illisible est accrochée près de la porte. Cette maison a accueilli le bureau d'enregistrement des municipalités de l'île Jésus, aménagé dans la résidence du notaire F.-X. Léonard (section avec la toiture à deux versants). En 1961, la Caisse Populaire de Sainte-Rose en quête de plus grands locaux déménage dans la bâtisse. Cette maison fut également la demeure de la famille Jean Drapeau. Depuis 2009, ou avant, la bâtisse est occupée par une étude de notaires. Décor verdoyant. Photographe : D. Léonard, Montréal. Date inconnue. Tirage photographique, n&b.

Il s'agit d'une maison de plan rectangulaire d'un étage et demi en maçonnerie recouverte d,un crépi et portant un toit à deux versants retroussés en en tôle à baguette. En façade, le rez-de-chaussée est percé d'une porte flanquée de deux fenêtres. Le mur droit est percé de quatre fenêtres (dont trois sont visibles) au rez-de-chaussée et de deux sous les combles. Sur la gauche, un autre bâtiment jouxte la maison.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0208).
Maison située au 255, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.185

Maison située au 255, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Vue de la façade et du côté gauche d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1856, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle.

Il s'agit d'une maison de plan rectangulaire d'un étage et demi en moellons et chaînages portant un toit à deux versants retroussés en tôle à baguette et percé de trois lucarnes à pignon. Une cheminée (non visible) construite à même les murs s'élève sur son côté gauche. En façade, le rez-de-chaussée est percé d'une porte flanquée de deux fenêtres abritée par un avant-toit qui surplombe une galerie courant sur toute sa largeur. Le côté gauche est percé d'une fenêtre au rez-de-chaussée et de deux plus petites sous les combles. Sur la droite, on distingue une extension empiétant sur la galerie, et une affiche sur laquelle on lit «ANTIQUES». Cette maison est connue sous la dénomination Maison Ouimet. Décor dépouillé. Tirage photographique, coul.

Note historique : La terre appartient d'abord à la famille Filiatrault. Vers 1833, les Ouimet s'en portent acquéreurs. Elle est ensuite cédée à Michel Ouimet (frère de Paul Ouimet et Marguerite Foucault [Faucault], époux d'Élisabeth Filiatrault, qui construit ou fait construire cette demeure vers 1856 (d'autres sources avancent également 1845, 1852 et 1854). On rapporte que les pierres de la demeure proviennent de la démolition de la deuxième église de Sainte-Rose qui avait été érigée en 1788. Paul Ouimet donne sa terre à son fils Anselme (père de Séraphin Ouimet (d.1964), ingénieur, et de Charles Ouimet, surintendant de la ville de Sainte-Rose, qui y serait nés) qui y sont tous nés. En 1929, la maison fut vendue au fils d'Anselme, Charles Ouimet, et la maison fut habitée par ses deux filles, Anna et Rita Ouimet, musiciennes, qui ont tenu dans l'annexe vitrée, construite vers 1935, un petit commerce de mercerie, de tissus et de chapeaux. Parmi les résidents connus: les frères Séraphin Ouimet, arpenteur-géomètre, et Charles Ouimet, chef de la police et des pompiers, ainsi que Joseph-Aldéric Ouimet (1847-1916), avocat, député fédéral conservateur, lieutenant-colonel de la milice du 65e Régiment des Fusiliers Mont-Royal et ministre des Travaux publics (1892-1896). Anna Ouimet est la dernière de sa famille à posséder la maison. Celle-ci est vendue en 1977 à Manfred Dewies et C. D. Rekinger qui l'occupaient comme locataires depuis 1970. Une seconde annexe en pièce sur pièce est ajoutée vers la fin des années 1970 par Manfred Dewies. Cette maison était située immédiatement à l'est du château Normand (Ancien château Vanier).

Informations en partie tirée de la base de données de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0255).
Maison située au 255, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.188

Maison située au 255, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Vue de la façade et du côté gauche d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1856, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Cette maison est connue sous la dénomination Maison Ouimet. Décor dépouillé. Tirage photographique, n&b.

Il s'agit d'une maison de plan rectangulaire d'un étage et demi en moellons et chaînages portant un toit à deux versants retroussés en tôle à baguette et percé de trois lucarnes à pignon. Une cheminée (non visible) construite à même les murs s'élève sur son côté gauche. En façade, le rez-de-chaussée est percé d'une porte flanquée de deux fenêtres abritée par un avant-toit qui surplombe une galerie courant sur toute sa largeur. Le côté gauche est percé d'une fenêtre au rez-de-chaussée et de deux plus petites sous les combles.

Note historique : La terre appartient d'abord à la famille Filiatrault. Vers 1833, les Ouimet s'en portent acquéreurs. Elle est ensuite cédée à Michel Ouimet (frère de Paul Ouimet et Marguerite Foucault [Faucault], époux d'Élisabeth Filiatrault, qui construit ou fait construire cette demeure vers 1856 (d'autres sources avancent également 1845, 1852 et 1854). On rapporte que les pierres de la demeure proviennent de la démolition de la deuxième église de Sainte-Rose qui avait été érigée en 1788. Paul Ouimet donne sa terre à son fils Anselme (père de Séraphin Ouimet (d.1964), ingénieur, et de Charles Ouimet, surintendant de la ville de Sainte-Rose, qui y serait nés) qui y sont tous nés. En 1929, la maison fut vendue au fils d'Anselme, Charles Ouimet, et la maison fut habitée par ses deux filles, Anna et Rita Ouimet, musiciennes, qui ont tenu dans l'annexe vitrée, construite vers 1935, un petit commerce de mercerie, de tissus et de chapeaux. Parmi les résidents connus: les frères Séraphin Ouimet, arpenteur-géomètre, et Charles Ouimet, chef de la police et des pompiers, ainsi que Joseph-Aldéric Ouimet (1847-1916), avocat, député fédéral conservateur, lieutenant-colonel de la milice du 65e Régiment des Fusiliers Mont-Royal et ministre des Travaux publics (1892-1896). Anna Ouimet est la dernière de sa famille à posséder la maison. Celle-ci est vendue en 1977 à Manfred Dewies et C. D. Rekinger qui l'occupaient comme locataires depuis 1970. Une seconde annexe en pièce sur pièce est ajoutée vers la fin des années 1970 par Manfred Dewies. Cette maison était située immédiatement à l'est du château Normand (Ancien château Vanier).

Informations en partie tirée de la base de données de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0255).
Maison située au 749, rang Saint-Antoine, Sainte-Dorothée.
C001/A2,06.193

Maison située au 749, rang Saint-Antoine, Sainte-Dorothée.
Vue du côté gauche et de la façade d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1832, assurément avant 1859, pour la famille Lachaine. Cette maison est apparentée à la maison franco-québécoise qui est le résultat de l'intégration de l'architecture néoclassique anglaise importée par les Britanniques à la fin du 18e siècle aux façons traditionnelles de construire en Nouvelle-France. Elle est un modèle de transition entre la maison d'esprit français et la maison traditionnelle québécoise. Décor estival. Cette maison porte la dénomination Maison Lachaine. [Années 1960-1970]. Tirage photographique, n&b.

Note historique : Jean-Baptiste Lachaine obtient la terre en 1785. Jean-Baptiste Lachaine fils, enfant de Marie-Thérèse Clairoux et de Jean-Baptiste Lachaine père, épouse en 1832, Marie-Thérèse Clairoux, fille de Marie Angélique Lemieux et de Michel Clairoux. La maison pourrait se trouver sur la terre à ce moment. Le 3 janvier 1859, le couple fait donation de leur ferme à leur fils, aussi nommé Jean-Baptiste, et son épouse Olive Perrier. La mention d'une maison en pierre, est mentionnée pour une première fois dans l'acte de donation. Jean-Baptiste Lachaine décède en 1867. Par la suite, la maison demeure la propriété de la famille Lachaine jusqu'en 1871 lorsque Louis et François Plouffe achètent la ferme. Les Plouffe se départissent de la maison et de ses bâtiments de ferme en 1876. Martin Laurin, époux d'Esther Touchette, en devient propriétaire. En 1906, Esther Touchette, veuve depuis plusieurs années, vend sa propriété à Michée Dorion. Par la suite, plusieurs propriétaires se succèdent jusqu'à son achat par Suzanne Huot et Pierre Cormier en 1983. Le couple reçoit le premier prix du patrimoine de Laval en 2000 pour la restauration du bâtiment secondaire.

Informations tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Dorothée SANT_0749).
Maison située au 749, rang Saint-Antoine, Sainte-Dorothée.
C001/A2,06.194

Maison située au 749, rang Saint-Antoine, Sainte-Dorothée.
Vue rapprochée du côté gauche et de la façade d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1832, assurément avant 1859, pour la famille Lachaine. Cette maison est apparentée à la maison franco-québécoise qui est le résultat de l'intégration de l'architecture néoclassique anglaise importée par les Britanniques à la fin du 18e siècle aux façons traditionnelles de construire en Nouvelle-France. Elle est un modèle de transition entre la maison d'esprit français et la maison traditionnelle québécoise. Décor estival. Cette maison porte la dénomination Maison Lachaine. [Années 1960-1970]. Tirage photographique, n&b.

Note historique : Jean-Baptiste Lachaine obtient la terre en 1785. Jean-Baptiste Lachaine fils, enfant de Marie-Thérèse Clairoux et de Jean-Baptiste Lachaine père, épouse en 1832, Marie-Thérèse Clairoux, fille de Marie Angélique Lemieux et de Michel Clairoux. La maison pourrait se trouver sur la terre à ce moment. Le 3 janvier 1859, le couple fait donation de leur ferme à leur fils, aussi nommé Jean-Baptiste, et son épouse Olive Perrier. La mention d'une maison en pierre, est mentionnée pour une première fois dans l'acte de donation. Jean-Baptiste Lachaine décède en 1867. Par la suite, la maison demeure la propriété de la famille Lachaine jusqu'en 1871 lorsque Louis et François Plouffe achètent la ferme. Les Plouffe se départissent de la maison et de ses bâtiments de ferme en 1876. Martin Laurin, époux d'Esther Touchette, en devient propriétaire. En 1906, Esther Touchette, veuve depuis plusieurs années, vend sa propriété à Michée Dorion. Par la suite, plusieurs propriétaires se succèdent jusqu'à son achat par Suzanne Huot et Pierre Cormier en 1983. Le couple reçoit le premier prix du patrimoine de Laval en 2000 pour la restauration du bâtiment secondaire.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Dorothée SANT_0749).
Maison autrefois située au 273, boulevard Lévesque, Pont-Viau.
C001/A2,07.001.1

Maison autrefois située au 273, boulevard Lévesque, Pont-Viau.
Vue de la façade d'une maison traditionnelle québécoise, aujourd'hui disparue. Décor dépouillé. date inconnue. Tirage photographique, n&b.
Maison autrefois située au 273, boulevard Lévesque, Pont-Viau.
C001/A2,07.001.2

Maison autrefois située au 273, boulevard Lévesque, Pont-Viau.
Vue du côté gauche et et la façade d'une maison traditionnelle québécoise, aujourd'hui disparue. Décor dépouillé. Date inconnue. Tirage photographique, n&b.
Maison autrefois située au 273, boulevard Lévesque, Pont-Viau.
C001/A2,07.001.3

Maison autrefois située au 273, boulevard Lévesque, Pont-Viau.
Vue du côté droit et de la façade d'une maison traditionnelle québécoise, aujourd'hui disparue. Décor dépouillé. Date inconnue. Tirage photographique, n&b.
Maison autrefois située au 273, boulevard Lévesque, Pont-Viau.
C001/A2,07.001.4

Maison autrefois située au 273, boulevard Lévesque, Pont-Viau.
Vue de la façade d'une maison traditionnelle québécoise, aujourd'hui disparue. Décor dépouillé. Date inconnue. Tirage photographique, n&b.
Maison située au 180 boulevard Lévesque Est, Pont-Viau.
C001/A2,07.002.1

Maison située au 180 boulevard Lévesque Est, Pont-Viau.
Vue d'ensemble du côté gauche et de la façade d'une maison, construite vers 1870, qui témoigne du néoclassicisme issu de l'architecture britannique au 19e siècle. Décor dépouillé. Date inconnue. Tirage photographique, n&b.

nformations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Pont-Viau LEVE_0180).
Maison située au 180, boulevard Lévesque Est, Pont-Viau.
C001/A2,07.002.2

Maison située au 180, boulevard Lévesque Est, Pont-Viau.
Vue d'ensemble du côté gauche d'une maison d'une maison, construite vers 1870, qui témoigne du néoclassicisme issu de l'architecture britannique au 19e siècle. Décor dépouillé. Date inconnue. Tirage photographique, n&b.

nformations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Pont-Viau LEVE_0180).
Maison située au 180, boulevard Lévesque Est, pont-Viau.
C001/A2,07.002.3

Maison située au 180, boulevard Lévesque Est, pont-Viau.
Vue d'ensemble du côté gauche et de la façade d'une maison, construite vers 1870, qui témoigne du néoclassicisme issu de l'architecture britannique au 19e siècle. Décor dépouillé. Date inconnue. Tirage photographique, n&b.

nformations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Pont-Viau LEVE_0180).
Maison située au 180, boulevard Lévesque Est, Pont-Viau.
C001/A2,07.002.4

Maison située au 180, boulevard Lévesque Est, Pont-Viau.
Vue d'ensemble du côté gauche d'une maison, construite vers 1870, qui témoigne du néoclassicisme issu de l'architecture britannique au 19e siècle. Décor dépouillé. Date inconnue. Tirage photographique, n&b.

nformations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Pont-Viau LEVE_0180).
Maison située au 4592, boulevard Lévesque Est, Saint-Vincent-de-Paul.
C001/A2,10.004

Maison située au 4592, boulevard Lévesque Est, Saint-Vincent-de-Paul.
Vue de l'arrière et du côté gauche d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1850, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Cette résidence en pierre a probablement été construite par Joseph Chartrand, entrepreneur et menuisier de Saint-Vincent-de-Paul qui a bâti, entre autres, la sacristie de l'église actuelle. Et c'est dans cette maison que naît Joseph-Damase Chartrand, dit Chartrand des Écores (1852-1905), fils de Joseph, personnage coloré à la fois militaire, écrivain, comptable et éditeur. Date inconnue. Décor hivernal. Négatif, n&b.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Saint-Vincent-de-Paul LEVE_4592).
Maison autrefois située au 310, boulevard Saint-Martin, Chomedey.
C001/A2,10.016

Maison autrefois située au 310, boulevard Saint-Martin, Chomedey.
Vue de la façade et du côté droit d'une maison traditionnelle québécoise en moellons d'un étage et demi, aujourd'hui disparue. Décor hivernal. Tirage photographique: n&b.
Maison située au 4040, boulevard Saint-Martin Ouest, Chomedey.
C001/A2,10.017

Maison située au 4040, boulevard Saint-Martin Ouest, Chomedey.
Vue de la façade et du côté droit d'une maison très ancienne, située au coeur de l'ancien village de Saint-Martin, érigée entre la deuxième moitié du 18e siècle et les toutes premières décennies du 19e siècle. Portant la dénomination Maison Papineau-Cléroux, cette maison de tradition française ou franco-québécoise fut transformée en style Second Empire vers la fin du 19e siècle, en ajoutant une toiture à mansarde, pour plus d'espace habitable, et s'adaptant au goût du jour par une ornementation de style victorien.

Une date de construction vers 1820 a déjà été avancée. À partir 1930, le rez-de-chaussée aurait servi de magasin général. En 1869, André-Benjamin Papineau, célèbre Patriote et premier maire de Saint-Martin, en fait le lieu de son étude notariale. Suite à un incendie, elle aurait été reconstruite à la fin du 19e siècle. La famille Cléroux l'acquiert au 19e siècle. Origène Cléroux, dont les grands-parents en ont aussi été propriétaires, y réside à partir de 1940, et sera habitée jusqu'en 1985 par la famille Cléroux. Elle est alors acquise par le CLSC du Ruisseau-Papineau mais nécessite plusieurs travaux afin de la rendre conforme à un usage public. Elle est placardée en 1992 et la ville en prend possession en 2004. Placardée pendant 16 ans,la firme Luc M. Allard Architecte y déménage ses bureaux en 2007. Ici, la maison est placardée. Décor hivernal. Février 1995. Tirage photographique, coul.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Chomedey SMAO_4040).
Maison située au 4040, boulevard Saint-Martin Ouest, Chomedey.
C001/A2,10.018

Maison située au 4040, boulevard Saint-Martin Ouest, Chomedey.
Vue de la façade arrière et du côté gauche d'une maison très ancienne, située au coeur de l'ancien village de Saint-Martin, érigée entre la deuxième moitié du 18e siècle et les toutes premières décennies du 19e siècle. Portant la dénomination Maison Papineau-Cléroux, cette maison de tradition française ou franco-québécoise fut transformée en style Second Empire vers la fin du 19e siècle, en ajoutant une toiture à mansarde, pour plus d'espace habitable, et s'adaptant au goût du jour par une ornementation de style victorien.

Une date de construction vers 1820 a déjà été avancée. À partir 1930, le rez-de-chaussée aurait servi de magasin général. En 1869, André-Benjamin Papineau, célèbre Patriote et premier maire de Saint-Martin, en fait le lieu de son étude notariale. Suite à un incendie, elle aurait été reconstruite à la fin du 19e siècle. La famille Cléroux l'acquiert au 19e siècle. Origène Cléroux, dont les grands-parents en ont aussi été propriétaires, y réside à partir de 1940, et sera habitée jusqu'en 1985 par la famille Cléroux. Elle est alors acquise par le CLSC du Ruisseau-Papineau mais nécessite plusieurs travaux afin de la rendre conforme à un usage public. Elle est placardée en 1992 et la ville en prend possession en 2004. Placardée pendant 16 ans,la firme Luc M. Allard Architecte y déménage ses bureaux en 2007. Ici, la maison est placardée. Décor hivernal. Février 1995. Tirage photographique, coul.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Chomedey SMAO_4040).
Maison située au 4040, boulevard Saint-Martin Ouest, Chomedey.
C001/A2,10.019

Maison située au 4040, boulevard Saint-Martin Ouest, Chomedey.
Vue du côté droit et de la façade arrière d'une maison très ancienne, située au coeur de l'ancien village de Saint-Martin, érigée entre la deuxième moitié du 18e siècle et les toutes premières décennies du 19e siècle. Portant la dénomination Maison Papineau-Cléroux, cette maison de tradition française ou franco-québécoise fut transformée en style Second Empire vers la fin du 19e siècle, en ajoutant une toiture à mansarde, pour plus d'espace habitable, et s'adaptant au goût du jour par une ornementation de style victorien.

Une date de construction vers 1820 a déjà été avancée. À partir 1930, le rez-de-chaussée aurait servi de magasin général. En 1869, André-Benjamin Papineau, célèbre Patriote et premier maire de Saint-Martin, en fait le lieu de son étude notariale. Suite à un incendie, elle aurait été reconstruite à la fin du 19e siècle. La famille Cléroux l'acquiert au 19e siècle. Origène Cléroux, dont les grands-parents en ont aussi été propriétaires, y réside à partir de 1940, et sera habitée jusqu'en 1985 par la famille Cléroux. Elle est alors acquise par le CLSC du Ruisseau-Papineau mais nécessite plusieurs travaux afin de la rendre conforme à un usage public. Elle est placardée en 1992 et la ville en prend possession en 2004. Placardée pendant 16 ans,la firme Luc M. Allard Architecte y déménage ses bureaux en 2007. Ici, la maison est placardée. Décor hivernal. Février 1995. Tirage photographique, coul.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Chomedey SMAO_4040).
Maison située au 4040, boulevard Saint-Martin Ouest, Chomedey.
C001/A2,10.020

Maison située au 4040, boulevard Saint-Martin Ouest, Chomedey.
Vue du côté gauche et de la façade d'une maison très ancienne, située au coeur de l'ancien village de Saint-Martin, érigée entre la deuxième moitié du 18e siècle et les toutes premières décennies du 19e siècle. Portant la dénomination Maison Papineau-Cléroux, cette maison de tradition française ou franco-québécoise fut transformée en style Second Empire vers la fin du 19e siècle, en ajoutant une toiture à mansarde, pour plus d'espace habitable, et s'adaptant au goût du jour par une ornementation de style victorien.

Une date de construction vers 1820 a déjà été avancée. À partir 1930, le rez-de-chaussée aurait servi de magasin général. En 1869, André-Benjamin Papineau, célèbre Patriote et premier maire de Saint-Martin, en fait le lieu de son étude notariale. Suite à un incendie, elle aurait été reconstruite à la fin du 19e siècle. La famille Cléroux l'acquiert au 19e siècle. Origène Cléroux, dont les grands-parents en ont aussi été propriétaires, y réside à partir de 1940, et sera habitée jusqu'en 1985 par la famille Cléroux. Elle est alors acquise par le CLSC du Ruisseau-Papineau mais nécessite plusieurs travaux afin de la rendre conforme à un usage public. Elle est placardée en 1992 et la ville en prend possession en 2004. Placardée pendant 16 ans,la firme Luc M. Allard Architecte y déménage ses bureaux en 2007. Ici, la maison est placardée. Décor hivernal. Février 1995. Tirage photographique, coul.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Chomedey SMAO_4040).
Maison située au 4040, boulevard Saint-Martin Ouest, Chomedey.
C001/A2,10.021

Maison située au 4040, boulevard Saint-Martin Ouest, Chomedey.
Vue du côté droit et de la façade d'une maison très ancienne, située au coeur de l'ancien village de Saint-Martin, érigée entre la deuxième moitié du 18e siècle et les toutes premières décennies du 19e siècle. Portant la dénomination Maison Papineau-Cléroux, cette maison de tradition française ou franco-québécoise fut transformée en style Second Empire vers la fin du 19e siècle, en ajoutant une toiture à mansarde, pour plus d'espace habitable, et s'adaptant au goût du jour par une ornementation de style victorien.

Une date de construction vers 1820 a déjà été avancée. À partir 1930, le rez-de-chaussée aurait servi de magasin général. En 1869, André-Benjamin Papineau, célèbre Patriote et premier maire de Saint-Martin, en fait le lieu de son étude notariale. Suite à un incendie, elle aurait été reconstruite à la fin du 19e siècle. La famille Cléroux l'acquiert au 19e siècle. Origène Cléroux, dont les grands-parents en ont aussi été propriétaires, y réside à partir de 1940, et sera habitée jusqu'en 1985 par la famille Cléroux. Elle est alors acquise par le CLSC du Ruisseau-Papineau mais nécessite plusieurs travaux afin de la rendre conforme à un usage public. Elle est placardée en 1992 et la ville en prend possession en 2004. Placardée pendant 16 ans,la firme Luc M. Allard Architecte y déménage ses bureaux en 2007. Ici, la maison est placardée. Décor hivernal. Février 1995. Tirage photographique, coul.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Chomedey SMAO_4040).
Maison autrefois située au 5041, boulevard Saint-Martin Ouest, Chomedey.
C001/A2,10.023

Maison autrefois située au 5041, boulevard Saint-Martin Ouest, Chomedey.
Vue d'ensemble de la façade et du côté gauche d'une maison traditionnelle québécoise. La maison est dans un état de décrépitude avancée. Une pancarte indique qu'elle est à vendre. Elle est aujourd'hui démolie. Octobre 2001. Tirage photographique, coul.

Il s'agit d'une maison de plan rectangulaire d'un étage et demi portant un toit à deux versants droits en bardeau d'asphalte. Les murs sont en moellons recouverts d'un crépi et d'un enduit reproduisant un motif de pierre de taille. Une cheminée s'élève à chaque extrémité du bâtiment. La façade est percée d'une porte et de trois fenêtres, et de trois lucarnes à pignons sous les combles. Le côté gauche de la maison est percé d'une fenêtre au rez-de-chaussé et de deux dans le pignon.
Maison autrefois située au 5041, boulevard Saint-Martin Ouest, Chomedey.
C001/A2,10.024

Maison autrefois située au 5041, boulevard Saint-Martin Ouest, Chomedey.
Vue d'ensemble de la façade et du côté droit d'une maison traditionnelle québécoise. La maison est dans un état de décrépitude avancée. Une pancarte indique qu'elle est à vendre. Elle est aujourd'hui démolie. Octobre 2001. Tirage photographique, coul.

Il s'agit d'une maison de plan rectangulaire d'un étage et demi portant un toit à deux versants droits en bardeau d'asphalte. Les murs sont en moellons recouverts d'un crépi et d'un enduit reproduisant un motif de pierre de taille. Une cheminée s'élève à chaque extrémité du bâtiment. La façade est percée d'une porte et de trois fenêtres, et de trois lucarnes à pignons sous les combles. Le côté gauche de la maison est percé d'une fenêtre au rez-de-chaussé et de deux dans le pignon.
Maison située au 3859, chemin du Souvenir, Chomedey.
C001/A2,10.025

Maison située au 3859, chemin du Souvenir, Chomedey.
Vue de la façade et du côté droit d'une ancienne maison de ferme en bois, probablement érigée vers ou avant 1823, peut-être en 1807, témoin du passé rural de ce secteur de la ville. Cette maison constitue un modèle de transition entre la maison d'esprit français et la maison traditionnelle québécoise. Décor dépouillé. Tirage photographique, coul.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Chomedey SOUV_3859).
Maison autrefois située au 235, boulevard Saint-Elzéar Ouest, Vimont.
C001/A2,10.026

Maison autrefois située au 235, boulevard Saint-Elzéar Ouest, Vimont.
Vue d'ensemble du côté gauche d'une maison québécoise traditionnelle en moellons, aujourd'hui démolie. Décor verdoyant. [Années 1970]. Tirage photographique, n&b.
Maison autrefois située au 2155, boulevard Saint-Elzéar Ouest, Chomedey.
C001/A2,10.043.1

Maison autrefois située au 2155, boulevard Saint-Elzéar Ouest, Chomedey.
Vue d'ensemble de la façade et du mur gauche d'une maison de pierre québécoise traditionnelle, abandonnée et aujourd'hui disparue. On aperçoit, en arrière-plan, des bâtiments de ferme. Décor estival. Tirage photographique, n&b.
Maison autrefois située au 2155, boulevard Saint-Elzéar, Chomedey.
C001/A2,10.043.2

Maison autrefois située au 2155, boulevard Saint-Elzéar, Chomedey.
Vue de la façade et du côté gauche d'une maison traditionnelle québécoise en moellons d'un étage et demi, au toit à deux versants retroussés pourvu de lucarnes et abritant une galerie surélevée. Cette maison est aujourd'hui disparue. Décor dépouillé. Tirage photographique: n&b.
Maison autrefois située au 3625, boulevard Saint-Elzéar Ouest, Chomedey.
C001/A2,10.046

Maison autrefois située au 3625, boulevard Saint-Elzéar Ouest, Chomedey.
Vue d'ensemble du côté gauche d'une maison à mansarde, un style très en vogue en milieu rural au Québec entre 1875 et 1920. Cependant, il pourrait s'agir d'une maison à toit à deux versants dont la toiture a été transformée en mansarde. Cette maison, construite vers 1840, a aujourd'hui disparue. [Années 1970]. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Auteuil SELO_3625).
Maison autrefois située au 3270, boulevard Saint-Elzéar Ouest, Chomedey.
C001/A2,10.047

Maison autrefois située au 3270, boulevard Saint-Elzéar Ouest, Chomedey.
Vue d'ensemble d'une maison traditionnelle québécoise, aujourd'hui disparue, et du paysage environnant. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b.
Maison autrefois située au 3270, boulevard Saint-Elzéar Ouest, Chomedey.
C001/A2,10.048

Maison autrefois située au 3270, boulevard Saint-Elzéar Ouest, Chomedey.
Vue de la façade d'une maison traditionnelle québécoise, aujourd'hui disparue, et du paysage environnant. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b.
Maison autrefois située au 3270, boulevard Saint-Elzéar Ouest, Chomedey.
C001/A2,10.049

Maison autrefois située au 3270, boulevard Saint-Elzéar Ouest, Chomedey.
Vue de la façade d'une maison traditionnelle québécoise, aujourd'hui disparue. Décor verdoyant. Tirage photographique: n&b.
Maison située au 3755 boulevard Saint-Elzéar Ouest (Saint-Martin).
C001/A2,10.051

Maison située au 3755 boulevard Saint-Elzéar Ouest (Saint-Martin).
Vue d'ensemble de la façade et du côté gauche d'une maison, construite vers 1832. Cette correspond à la maison franco-québécoise qui est le résultat de l'intégration de l'architecture néoclassique anglaise importée par les Britanniques à la fin du 18e siècle aux façons traditionnelles de construire en Nouvelle-France. Elle constitue un modèle de transition entre la maison d'esprit français et la maison traditionnelle québécoise en moellond d'un étage et demi. Le toit à deux versants droits est percé d'une lucarne double. Une extension jouxte la maison sur le côté gauche. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Chomedey SELO_3753).
Maison située au 3935, boulevard Saint-Elzéar Ouest, Chomedey.
C001/A2,10.052

Maison située au 3935, boulevard Saint-Elzéar Ouest, Chomedey.
Vue de la façade et du côté gauche d'une maison de ferme traditionnelle québécoise, construite vers 1840, qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Chomedey SELO_3935).
Maison située au 3935, boulevard Saint-Elzéar Ouest, Chomedey.
C001/A2,10.053

Maison située au 3935, boulevard Saint-Elzéar Ouest, Chomedey.
Vue de la façade et du côté droit d'une maison de ferme traditionnelle québécoise, construite vers 1840, qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Chomedey SELO_3935).
Maison Papineau-Cléroux, située au 4040, boulevard Saint-Martin, Chomedey.
C001/A2,10.054a

Maison Papineau-Cléroux, située au 4040, boulevard Saint-Martin, Chomedey.
Vue de la façade arrière et du côté gauche de cette maison construite dans les années 1820. Ancien magasin général au 19e siècle, cette maison a été la propriété du notaire André-Benjamin Papineau, cousin de Louis-Joseph Papineau. Au 20e siècle, la maison a été la propriété de la famille Cléroux de Saint-Martin et à la fin du 20e siècle, la maison est à l'abandon et est placardée pendant 16 ans. En 2007, la firme Luc M. Allard Architecte y déménage ses bureaux. Ici, la maison est placardée. Décor verdoyant. 2002. Tirage photographique, coul.
Maison Papineau-Cléroux, située au 4040, boulevard Saint-Martin, Chomedey.
C001/A2,10.054b

Maison Papineau-Cléroux, située au 4040, boulevard Saint-Martin, Chomedey.
Vue de la façade et du côté droit de cette maison construite dans les années 1820. Ancien magasin général au 19e siècle, cette maison a été la propriété du notaire André-Benjamin Papineau, cousin de Louis-Joseph Papineau. Au 20e siècle, la maison a été la propriété de la famille Cléroux de Saint-Martin et à la fin du 20e siècle, la maison est à l'abandon et est placardée pendant 16 ans. En 2007, la firme Luc M. Allard Architecte y déménage ses bureaux. Ici, la maison est placardée. Décor verdoyant. 2002. Tirage photographique, coul.
Maison Papineau-Cléroux, située au 4040, boulevard Saint-Martin, Chomedey.
C001/A2,10.054c

Maison Papineau-Cléroux, située au 4040, boulevard Saint-Martin, Chomedey.
Vue du côté gauche de cette maison construite dans les années 1820. Ancien magasin général au 19e siècle, cette maison a été la propriété du notaire André-Benjamin Papineau, cousin de Louis-Joseph Papineau. Au 20e siècle, la maison a été la propriété de la famille Cléroux de Saint-Martin et à la fin du 20e siècle, la maison est à l'abandon et est placardée pendant 16 ans. En 2007, la firme Luc M. Allard Architecte y déménage ses bureaux. Ici, la maison est placardée. Décor verdoyant. 2002. Tirage photographique, coul.
Maison Papineau-Cléroux, située au 4040, boulevard Saint-Martin, Chomedey.
C001/A2,10.054d

Maison Papineau-Cléroux, située au 4040, boulevard Saint-Martin, Chomedey.
Vue de la façade arrière de cette maison construite dans les années 1820. Ancien magasin général au 19e siècle, cette maison a été la propriété du notaire André-Benjamin Papineau, cousin de Louis-Joseph Papineau. Au 20e siècle, la maison a été la propriété de la famille Cléroux de Saint-Martin et à la fin du 20e siècle, la maison est à l'abandon et est placardée pendant 16 ans. En 2007, la firme Luc M. Allard Architecte y déménage ses bureaux. Ici, la maison est placardée. Décor verdoyant. 2002. Tirage photographique, coul.
Maison Papineau-Cléroux, située au 4040, boulevard Saint-Martin, Chomedey.
C001/A2,10.056

Maison Papineau-Cléroux, située au 4040, boulevard Saint-Martin, Chomedey.
Vue de la façade et d'une partie du côté gauche de cette maison construite dans les années 1820. Ancien magasin général au 19e siècle, cette maison a été la propriété du notaire André-Benjamin Papineau, cousin de Louis-Joseph Papineau. Au 20e siècle, la maison a été la propriété de la famille Cléroux de Saint-Martin et à la fin du 20e siècle, la maison est à l'abandon et est placardée pendant 16 ans. En 2007, la firme Luc M. Allard Architecte y déménage ses bureaux. Ici, la maison n'est pas encore placardée. Décor hivernal. Tirage photographique, n&b.
Maison Papineau-Cléroux, située au 4040, boulevard Saint-Martin, Chomedey.
C001/A2,10.057

Maison Papineau-Cléroux, située au 4040, boulevard Saint-Martin, Chomedey.
Vue de la façade et d'une partie du côté droit de cette maison construite dans les années 1820. Ancien magasin général au 19e siècle, cette maison a été la propriété du notaire André-Benjamin Papineau, cousin de Louis-Joseph Papineau. Au 20e siècle, la maison a été la propriété de la famille Cléroux de Saint-Martin et à la fin du 20e siècle, la maison est à l'abandon et est placardée pendant 16 ans. En 2007, la firme Luc M. Allard Architecte y déménage ses bureaux. Ici, la maison n'est pas encore placardée. Décor hivernal. Tirage photographique, n&b.
Maison Papineau-Cléroux, située au 4040, boulevard Saint-Martin, Chomedey.
C001/A2,10.059.1

Maison Papineau-Cléroux, située au 4040, boulevard Saint-Martin, Chomedey.
Vue de la façade et d'une partie du côté droit de cette maison construite dans les années 1820. Ancien magasin général au 19e siècle, cette maison a été la propriété du notaire André-Benjamin Papineau, cousin de Louis-Joseph Papineau. Au 20e siècle, la maison a été la propriété de la famille Cléroux de Saint-Martin et à la fin du 20e siècle, la maison est à l'abandon et est placardée pendant 16 ans. En 2007, la firme Luc M. Allard Architecte y déménage ses bureaux. Ici, la maison est placardée. Décor hivernale. Janvier 1996. Tirage photographique, coul.
Maison Papineau-Cléroux, située au 4040, boulevard Saint-Martin, Chomedey.
C001/A2,10.059.2

Maison Papineau-Cléroux, située au 4040, boulevard Saint-Martin, Chomedey.
Vue de la façade arrière de cette maison construite dans les années 1820. Ancien magasin général au 19e siècle, cette maison a été la propriété du notaire André-Benjamin Papineau, cousin de Louis-Joseph Papineau. Au 20e siècle, la maison a été la propriété de la famille Cléroux de Saint-Martin et à la fin du 20e siècle, la maison est à l'abandon et est placardée pendant 16 ans. En 2007, la firme Luc M. Allard Architecte y déménage ses bureaux. Ici, la maison est placardée. Décor hivernale. Janvier 1996. Tirage photographique, coul.
Maison autrefois située au 5041, boulevard Saint-Martin Ouest, Chomedey.
C001/A2,10.060

Maison autrefois située au 5041, boulevard Saint-Martin Ouest, Chomedey.
Vue d'ensemble du côté gauche d'une maison traditionnelle québécoise de plan rectangulaire d'un étage et demi portant un toit à deux versants droits en bardeau d'asphalte. Les murs sont en moellons recouverts d'un crépi et d'un enduit reproduisant un motif de pierre de taille. Une cheminée s'élève à chaque extrémité du bâtiment. La façade est percée d'une porte et de trois fenêtres, et de trois lucarnes à pignons sous les combles. Le côté gauche de la maison est percé d'une fenêtre au rez-de-chaussée et de deux dans le pignon. La maison est dans un état de décrépitude avancée. Elle est aujourd'hui démolie. Octobre 2001. Tirage photographique, coul.
Maison autrefois située au 310, boulevard Saint-Martin, Chomedey.
C001/A2,10.061

Maison autrefois située au 310, boulevard Saint-Martin, Chomedey.
Vue de la façade et du côté droit d'une maison traditionnelle québécoise en pierre, aujourd'hui disparue. Décor hivernal. Tirage photographique, n&b.
Maison autrefois située au 310, boulevard Saint-Martin, Chomedey.
C001/A2,10.062

Maison autrefois située au 310, boulevard Saint-Martin, Chomedey.
Vue de la façade et du côté gauche d'une maison traditionnelle québécoise en pierre, aujourd'hui disparue. Décor hivernal. Tirage photographique, n&b.
Maison canadienne située sur le boulevard Saint-Elzéar, Chomedey.
C001/A2,10.072

Maison canadienne située sur le boulevard Saint-Elzéar, Chomedey.
Vue d'ensemble de la façade arrière et du côté gauche d'une maison de plan rectangulaire en moellons d'un étage et demi portant un toit à deux versants droits recouverts d'ardoise et percé deux lucarnes à pignon. Deux cheminées, construites à même les murs, sont placées à chaque extrémité du bâtiment. La façade arrière est percée de trois ouvertures et de deux soupiraux. Le côté gauche est percé d'une fenêtre au rez-de-chaussée et de deux plus petites à l'étage. La maison est à l'abandon. Décor hivernal. Janvier 1996. Voir aussi: C001/A2,06.073. Tirage photographique, coul.
Maison ancestrale autrefois située sur le boulevard Saint-Elzéar, Chomedey.
C001/A2,10.073

Maison ancestrale autrefois située sur le boulevard Saint-Elzéar, Chomedey.
Vue d'ensemble de la façade et du côté droit d'une maison de plan rectangulaire en moellons d'un étage et demi portant un toit à deux versants droits recouverts d'ardoise et percé deux lucarnes à pignon. Deux cheminées, construites à même les murs, sont placées à chaque extrémité du bâtiment. La façade est percée de deux portes surélevées flanquées et de deux fenêtres disposées en miroir, et d'une galerie maintenant disparue. Le côté gauche n'est percé que d'une petite fenêtre à l'étage. La maison est à l'abandon. Décor hivernal. Janvier 1996. Voir aussi: C001/A2,06.072. Tirage photographique, coul.
Maison autrefois située au 3925, chemin du Souvenir, Chomedey.
C001/A2,10.076

Maison autrefois située au 3925, chemin du Souvenir, Chomedey.
Vue de la façade et du côté gauche d'une maison traditionnelle québécoise en bois, aujourd'hui disparue. Tirage photographique, n&b.
Maison autrefois située au 3849, chemin du Souvenir, Chomedey.
C001/A2,10.077

Maison autrefois située au 3849, chemin du Souvenir, Chomedey.
Vue d'ensemble d'une maison traditionnelle québécoise et de bâtiments de ferme, aujourd'hui disparus. Décor verdoyant. Tirage photographique: n&b.
Maison québécoise., Chomedey
C001/A2,10.078

Maison québécoise., Chomedey
Vue d'ensemble d'une maison québéquoise d'influence américaine avec plan en L et galerie couverte. Contruite entre 1900 et 1930. Décor hivernal. Tirage photographique, n&b.
Maison située au 4304, boulevard Saint-Martin, Chomedey.
C001/A2,10.079

Maison située au 4304, boulevard Saint-Martin, Chomedey.
Vue d'ensemble d'une maison canadienne. Décor hivernal. Tirage photographique: n&b.
Maison autrefois située au 1435 et 1437, boulevard Saint-Martin, Chomedey.
C001/A2,10.080

Maison autrefois située au 1435 et 1437, boulevard Saint-Martin, Chomedey.
Vue d'ensemble d'une maison québécoise traditionnelle avec extension. Cette maison fut démolie en 1975. Décor hivernal. Années 1970. Tirage photographique, coul.
Maison située au 3958, boulevard Saint-Martin, Chomedey.
C001/A2,10.081

Maison située au 3958, boulevard Saint-Martin, Chomedey.
Vue de la façade et du côté droit d'une maison traditionnelle québécoise ayant subie des modifications. En 2019, cette maison abrite le salon de coiffure Mychel Brisebois. Décor dépouillé. Tirage photographique: n&b.
Presbytère de l'église située au 4080 boulevard Saint-Martin Ouest, Chomedey..
C001/A2,10.082

Presbytère de l'église située au 4080 boulevard Saint-Martin Ouest, Chomedey..
Le presbytère de Saint-Martin est érigé en 1882 par l'entrepreneur Odille Lafleur. Ce bâtiment est représentatif du courant néoclassique issu de l'architecture britannique au 19e siècle. Il se démarque par son carré de pierre de deux étages et demi, ses chaînes d'angle et sa vaste galerie couverte. Décor hivernal. Date inconnue. Tirage photographique: n&b.

Note historique : Le curé Maxime Leblanc arrive à Saint-Martin en 1881. L'année suivante, il fait construire un nouveau presbytère. Odille Lafleur, entrepreneur originaire de la paroisse de Saint-Jean-de-Jérusalem d'Argenteuil, conçoit les plans de la bâtisse avec, comme modèle, le presbytère de Saint-Thomas-de-Joliette qu'il a construit en 1879. La construction du presbytère de Saint-Martin ainsi que la surveillance des travaux sont également assurées par Lafleur. Le curé Leblanc se réserve l'aménagement paysager de la nouvelle maison curiale en prévoyant un espace de verdure et la plantation d'arbres. Par la suite, plusieurs additions et modifications sont apportées au bâtiment notamment une annexe au toit mansardé et un garage.

Informations tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Chomedey SMAO_4080_P).
Maison autrefois située sur le boulevard Saint-Martin, Chomedey
C001/A2,10.083

Maison autrefois située sur le boulevard Saint-Martin, Chomedey
Vue du côté gauche et de la façade d'une maison traditionnelle québécoise en moellons, aujourd'hui disparue. Elle aurait été située au 4124 ou 4132 boulevard Saint-Martin. [Années 1950]. Décor hivernal. Tirage photographique, n&b.
Maison autrefois située sur le boulevard Saint-Martin, Chomedey.
C001/A2,10.084

Maison autrefois située sur le boulevard Saint-Martin, Chomedey.
Vue du côté gauche et de la façade d'une maison traditionnelle québécoise en moellons, aujourd'hui disparue. Elle aurait été située au 4124 ou 4132 boulevard Saint-Martin. [Années 1950]. Décor hivernal. Tirage photographique, n&b.
Maison ancestrale autrefois située à Chomedey.
C001/A2,10.085

Maison ancestrale autrefois située à Chomedey.
Vue d'ensemble de la façade et du côté droit d'une maison ancestrale en pierre de plan rectangulaire de deux étages et demi portant un toit à deux versants retroussés percé de trois lucarnes à pignon. En façade, le rez-de-chaussée est percé d'une porte flanquée de quatre fenêtres, et de cinq fenêtres à l'étage. Le côté droit est percé d'une fenêtre et d'une porte au rez-de-chausssée, de deux fenêtres et d'une porte à l'étage à laquelle mène un escalier de fer, et d'une fenêtre sous les combles. Une galerie abritée par un toit en appentis court en façade. Cette maison à l'abandon, hypothétiquement située sur le boulevard Saint-Martin, est maintenant démolie. Décor hivernal.1968. Voir aussi: C001/A2,10.086, C001/A2,10.087 et C001/A2,10.089. Tirage photographique, n&b.
Maison ancestrale autrefois située à Chomedey.
C001/A2,10.087

Maison ancestrale autrefois située à Chomedey.
Vue d'ensemble du côté gauche d'une maison ancestrale en pierre de plan rectangulaire de deux étages et demi portant un toit à deux versants retroussés percé de trois lucarnes à pignon (non visibles). Le rez-de-chaussée est percé d'une porte et d'une fenêtre abritées par un toit en appentis construit dans le prolongement de la galerie en façade. À l'étage, le mur est percé de trois fenêtres, et d'une seule sous les combles. Une extension jouxte l'arrière du bâtiment. Cette maison à l'abandon, hypothétiquement située sur le boulevard Saint-Martin, est maintenant démolie. Décor hivernal.1968. Voir aussi: C001/A2,10.085, C001/A2,10.086 et C001/A2,10.089. Tirage photographique, n&b.
Maison autrefois située sur le boulevard Saint-Martin, Chomedey.
C001/A2,10.088

Maison autrefois située sur le boulevard Saint-Martin, Chomedey.
Vue de la façade et du côté gauche d'une maison traditionnelle québécoise en moellons et au toit en tôle à la canadienne. Ici, la maison, abandonnée, est en mauvais état et présente des ouvertures béantes. Elle est maintenant démolie. Décor hivernal. 1968. Tirage photographique, n&b.
Maison ancestrale autrefois située à Chomedey.
C001/A2,10.089

Maison ancestrale autrefois située à Chomedey.
Vue d'ensemble de la façade et du côté gauche d'une maison ancestrale en pierre de plan rectangulaire de deux étages et demi portant un toit à deux versants retroussés percé de trois lucarnes à pignon. En façade, le rez-de-chaussée est percé d'une porte flanquée de quatre fenêtres, et de cinq fenêtres à l'étage. Sur le côté gauche, le rez-de-chaussée est percé d'une porte et d'une fenêtre abritées par un toit en appentis construit dans le prolongement de la galerie en façade. À l'étage, le mur est percé de trois fenêtres, et d'une seule sous les combles. Une extension jouxte l'arrière du bâtiment. Cette maison à l'abandon, hypothétiquement située sur le boulevard Saint-Martin, est maintenant démolie. Décor hivernal.1968. Voir aussi: C001/A2,10.085, C001/A2,10.086 et C001/A2,10.087. Tirage photographique, n&b.
Ancien couvent des Soeurs de Sainte-Croix, Saint-Martin.
C001/A2,10.091

Ancien couvent des Soeurs de Sainte-Croix, Saint-Martin.
Vue d'ensemble d'un bâtiment de style Second Empire, construit en 1816, dans un style fort prisé par les institutions entre le milieu et la fin du 19e siècle. D'abord utilisé comme école de la fabrique pour les garçons, les Frères de Sainte-Croix s'y installent en 1851 et occupent les lieux jusqu'en 1862. Puis, les Soeurs de Sainte-Croix s'y installent en 1881 et y demeurent jusqu'en 1979. L'immeuble, aujourd'hui le CLSC du Ruisseau-Papineau, est situé au 1665-1675, rue du Couvent. Décor hivernal. Tirage photographique, coul.

Il s'agit d'un imposant bâtiment de plan rectangulaire de deux étages et demi surmonté d'un toit mansardé à deux versants en tôle à baguette. L'entrée est décentrée sur la gauche et prend la forme d'un perron fermé auquel on accède par un escalier. Cet étage est percée de six fenêtres surplombant les soupiraux situés au niveau de la rue. La mansarde est percée de huit lucarnes à fenêtres pendantes et le toit couronné d'un clocheton placé dans l'axe de l'entrée principale. Une imposante extension de forme rectangulaire en pierre à bossage de deux étages jouxte le bâtiment sur la droite. Sur la gauche, une volée de marche donne accès à un perron abrité et l'entrée principale. Deux fenêtres complètent cet étage surélevé, alors que trois fenêtres ornent l'étage supérieur surmonté d'un toit en pavillon.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Chomedey COUV_1665).
Ancien couvent des Soeurs de Sainte-Croix, Chomedey.
C001/A2,10.092

Ancien couvent des Soeurs de Sainte-Croix, Chomedey.
Vue d'ensemble d'un bâtiment de style Second Empire, construit en 1816, dans un style fort prisé par les institutions entre le milieu et la fin du 19e siècle. D'abord utilisé comme école de la fabrique pour les garçons, les Frères de Sainte-Croix s'y installent en 1851 et occupent les lieux jusqu'en 1862. Puis, les Soeurs de Sainte-Croix s'y installent en 1881 et y demeurent jusqu'en 1979. L'immeuble, aujourd'hui le CLSC du Ruisseau-Papineau, est situé au 1665-1675, rue du Couvent. Décor hivernal. [Années 1950-1960]. Tirage photographique, n&b.

Il s'agit d'un imposant bâtiment de plan rectangulaire de deux étages et demi surmonté d'un toit mansardé à deux versants en tôle à baguette. L'entrée est décentrée sur la gauche et prend la forme d'un perron fermé auquel on accède par un escalier. Cet étage est percée de six fenêtres surplombant les soupiraux situés au niveau de la rue. La mansarde est percée de huit lucarnes à fenêtres pendantes et le toit couronné d'un clocheton placé dans l'axe de l'entrée principale. Une imposante extension de forme rectangulaire en pierre à bossage de deux étages jouxte le bâtiment sur la droite. Sur la gauche, une volée de marche donne accès à un perron abrité et l'entrée principale. Deux fenêtres complètent cet étage surélevé, alors que trois fenêtres ornent l'étage supérieur surmonté d'un toit en pavillon.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Chomedey COUV_1665).
Ancien couvent des Soeurs de Sainte-Croix, Chomedey.
C001/A2,10.093

Ancien couvent des Soeurs de Sainte-Croix, Chomedey.
Vue de la face gauche d'un bâtiment de style Second Empire, construit en 1816, dans un style fort prisé par les institutions entre le milieu et la fin du 19e siècle. D'abord utilisé comme école de la fabrique pour les garçons, les Frères de Sainte-Croix s'y installent en 1851 et occupent les lieux jusqu'en 1862. Puis, les Soeurs de Sainte-Croix s'y installent en 1881 et y demeurent jusqu'en 1979. L'immeuble, aujourd'hui le CLSC du Ruisseau-Papineau, est situé au 1665-1675, rue du Couvent. Décor hivernal. [Années 1950-1960]. Tirage photographique, n&b.

Il s'agit d'un bâtiment de plan rectangulaire de deux étages et demi surmonté d'un toit mansardé à deux versants. La facçade gauche, recouverte d'un crépi, est percée de deux entrées secondaires placées côte-à-côte au niveau du sol. Une petite fenêtre perce l'étage principal alors que deux autres se situent au niveau de la mansarde. Sur la droite, on aperçoit la partie gauche de la façade avant du bâtiment, son parement en pierre de taille, ses lucarnes à fenêtres pendantes, et son clocheton. Une cheminée s'élève en arrière-plan.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Chomedey COUV_1665).
Maison autrefois située au 1529, rue Robinson, à Saint-Martin.
C001/A2,10.095

Maison autrefois située au 1529, rue Robinson, à Saint-Martin.
Vue du profil droit et de la façade d'une maison traditionnelle québécoise autrefois située sur la rue Principale (maintenant Robinson), tout près de l'intersection de la rue du Souvenir. Il s'agit d'une maison d'inspiration française en transition vers la maison traditionnelle québécoise construite en 1878. Le bâtiment d'un étage et demi présentait une porte flanquée de deux fenêtres en façade et était pourvu d'un toit à deux versants retroussés. Elle aurait été démolie après ou vers 2013 pour faire place à un stationnement. Le Pré-inventaire du patrimoine architectural de la Ville de Laval dans son Rapport de synthèse daté de février 2015 ne fait pas mention de ce bâtiment qui fut rasé entre septembre 2015 et octobre 2016. Décor hivernal. 1994. Photographe: Louis-Philippe Lamy. Tirage photographique, coul.
Don de Louis-Philippe Lamy.

Notes historiques:
D'après le Lowell de 1968, cette demeure était habitée par Napoléon Guinois (1914-1971) et Rolande Desrochers-Guinois (1917-2017).
Monsieur Louis-Philippe Lamy, dont Rolande était la cousine germaine de sa mère, raconte : «Pendant très longtemps le propriétaire de la clinique médicale située à l'arrière de la maison des Guinois (1536 Curé-Labelle) promettait à Rolande de lui construire une maison neuve si elle lui vendait sa propriété, ce qu'elle a toujours refusé. Elle aimait beaucoup sa petite maison. Après la mort de son époux en 1971, elle avait fait rénover l'extérieur de la maison et même fait creuser le sous-sol sans soulever la demeure. À l'intérieur les murs étaient couverts de lattes de bois verticales, aucun plâtre. Elle avait largement dépassé les 90 ans lorsqu'elle a dû quitter sa maison pour le CHSLD Saint-Judes sur le boulevard Saint-Martin où elle est décédée en juillet 2017 à 100 ans. Elle était arrière-arrière-grand-mère ce qui est plutôt exceptionnel! Elle repose dans le lot des Guinois au cimetière Saint-Martin. Je n'ai pas vraiment connu ses enfants sauf son plus jeune, Claude, qui était dans ma classe à l'école Leblanc à Saint-Martin. Claude est décédé tragiquement dans un accident de moto en 1978, il avait 19 ans...Napoléon s'était autrefois construit un garage car selon ma mère il aimait les beaux «chars»! Il travaillait pour la Ville de Montréal mais comme à l'époque il fallait habiter la ville pour avoir un emploi de fonctionnaire municipal il donnait l'adresse de ses beaux-parents à Cartierville... mon grand-père maternel et la mère de Rolande étaient frère et soeur. Ils étaient nés à Bordeaux (paroisse du Sault-au-Récollet)... Rollande a habité la maison à partir des années 1940 jusque vers 2010.»
Maison autrefois située au 1529, rue Robinson, à Saint-Martin.
C001/A2,10.096

Maison autrefois située au 1529, rue Robinson, à Saint-Martin.
Vue de l'arrière d'une maison traditionnelle québécoise.Maison située sur la rue Robinson (anciennement Principale), tout près de l'intersection de la rue du Souvenir. Il s'agit d'une maison d'inspiration française en transition vers la maison traditionnelle québécoise construite en 1878. Le bâtiment d'un étage et demi présentait une porte flanquée de deux fenêtres en façade et était pourvu d'un toit à deux versants retroussés. Elle aurait été démolie après ou vers 2013 pour faire place à un stationnement. Le Pré-inventaire du patrimoine architectural de la Ville de Laval dans son Rapport de synthèse daté de février 2015 ne fait pas mention de ce bâtiment qui fut rasé entre septembre 2015 et octobre 2016. Décor hivernal. 1994. Photographe: Louis-Philippe Lamy. Tirage photographique, coul.
Don de Louis-Philippe Lamy

Notes historiques:
D'après le Lowell de 1968, cette demeure était habitée par Napoléon Guinois (1914-1971) et Rolande Desrochers-Guinois (1917-2017).
Monsieur Louis-Philippe Lamy, dont Rolande était la cousine germaine de sa mère, raconte : «Pendant très longtemps le propriétaire de la clinique médicale située à l'arrière de la maison des Guinois (1536 Curé-Labelle) promettait à Rolande de lui construire une maison neuve si elle lui vendait sa propriété, ce qu'elle a toujours refusé. Elle aimait beaucoup sa petite maison. Après la mort de son époux en 1971, elle avait fait rénover l'extérieur de la maison et même fait creuser le sous-sol sans soulever la demeure. À l'intérieur les murs étaient couverts de lattes de bois verticales, aucun plâtre. Elle avait largement dépassé les 90 ans lorsqu'elle a dû quitter sa maison pour le CHSLD Saint-Judes sur le boulevard Saint-Martin où elle est décédée en juillet 2017 à 100 ans. Elle était arrière-arrière-grand-mère ce qui est plutôt exceptionnel! Elle repose dans le lot des Guinois au cimetière Saint-Martin. Je n'ai pas vraiment connu ses enfants sauf son plus jeune, Claude, qui était dans ma classe à l'école Leblanc à Saint-Martin. Claude est décédé tragiquement dans un accident de moto en 1978, il avait 19 ans...Napoléon s'était autrefois construit un garage car selon ma mère il aimait les beaux «chars»! Il travaillait pour la Ville de Montréal mais comme à l'époque il fallait habiter la ville pour avoir un emploi de fonctionnaire municipal il donnait l'adresse de ses beaux-parents à Cartierville... mon grand-père maternel et la mère de Rolande étaient frère et soeur. Ils étaient nés à Bordeaux (paroisse du Sault-au-Récollet)... Rollande a habité la maison à partir des années 1940 jusque vers 2010.»
Maison autrefois située au 1529, rue Robinson, à Saint-Martin.
C001/A2,10.096a

Maison autrefois située au 1529, rue Robinson, à Saint-Martin.
Vue du profil gauche et de la façade d'une maison traditionnelle québécoise autrefois située sur la rue Principale (maintenant Robinson), tout près de l'intersection de la rue du Souvenir. Il s'agit d'une maison d'inspiration française en transition vers la maison traditionnelle québécoise construite en 1878. Le bâtiment d'un étage et demi présentait une porte flanquée de deux fenêtres en façade et était pourvu d'un toit à deux versants retroussés. Un petit garage jouxte le côté droit du bâtiment. La maison aurait été démolie après ou vers 2013 pour faire place à un stationnement. Le Pré-inventaire du patrimoine architectural de la Ville de Laval dans son Rapport de synthèse daté de février 2015 ne fait pas mention de ce bâtiment qui fut rasé entre septembre 2015 et octobre 2016. Décor hivernal. 1994. Photographe: Louis-Philippe Lamy. Tirage photographique, coul.
Don de Louis-Philippe Lamy.

Notes historiques:
D'après le Lowell de 1968, cette demeure était habitée par Napoléon Guinois (1914-1971) et Rolande Desrochers-Guinois (1917-2017).
Monsieur Louis-Philippe Lamy, dont Rolande était la cousine germaine de sa mère, raconte : «Pendant très longtemps le propriétaire de la clinique médicale située à l'arrière de la maison des Guinois (1536 Curé-Labelle) promettait à Rolande de lui construire une maison neuve si elle lui vendait sa propriété, ce qu'elle a toujours refusé. Elle aimait beaucoup sa petite maison. Après la mort de son époux en 1971, elle avait fait rénover l'extérieur de la maison et même fait creuser le sous-sol sans soulever la demeure. À l'intérieur les murs étaient couverts de lattes de bois verticales, aucun plâtre. Elle avait largement dépassé les 90 ans lorsqu'elle a dû quitter sa maison pour le CHSLD Saint-Judes sur le boulevard Saint-Martin où elle est décédée en juillet 2017 à 100 ans. Elle était arrière-arrière-grand-mère ce qui est plutôt exceptionnel! Elle repose dans le lot des Guinois au cimetière Saint-Martin. Je n'ai pas vraiment connu ses enfants sauf son plus jeune, Claude, qui était dans ma classe à l'école Leblanc à Saint-Martin. Claude est décédé tragiquement dans un accident de moto en 1978, il avait 19 ans...Napoléon s'était autrefois construit un garage car selon ma mère il aimait les beaux «chars»! Il travaillait pour la Ville de Montréal mais comme à l'époque il fallait habiter la ville pour avoir un emploi de fonctionnaire municipal il donnait l'adresse de ses beaux-parents à Cartierville... mon grand-père maternel et la mère de Rolande étaient frère et soeur. Ils étaient nés à Bordeaux (paroisse du Sault-au-Récollet)... Rollande a habité la maison à partir des années 1940 jusque vers 2010.»
Maison Waxman, Sainte-Dorothée.
C001/A2,11.01

Maison Waxman, Sainte-Dorothée.
Vue éloignée d'une maison traditionnelle quécoise connue comme la Maison Waxman. En avant-plan, la rivière des Prairies. Décor automnal. Tirage photographique, coul.
Maison Waxman, Sainte-Dorothée.
C001/A2,11.02

Maison Waxman, Sainte-Dorothée.
Vue éloignée d'une maison traditionnelle quécoise connue comme la Maison Waxman. En avant-plan, la rivière des Prairies. Décor hivernal. Tirage photographique, coul.
Maison autrefois située au 673, rang Saint-Antoine, Sainte-Dorothée.
C001/A2,11.03

Maison autrefois située au 673, rang Saint-Antoine, Sainte-Dorothée.
Vue d'ensemble de la façade et du côté droit d'une maison à toit mansardé à deux versants, un style en vogue de 1880 à 1920. Sur la gauche, on distingue un bâtiment de ferme. Cette maison a aujoud'hui disparue. Décor hivernal. Années 1920-1921. Tirage photographique, n&b.
Maison Champagne située au 89 rue Principale, Sainte-Dorothée
C001/A2,11.05

Maison Champagne située au 89 rue Principale, Sainte-Dorothée
Vue de la façade d'une résidence érigée au 19e siècle, peut-être en 1812, représentative de la maison traditionnelle québécoise qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Certaines sources mentionnent que la maison Champagne d'origine aurait été incendiée et que la maison actuelle ne serait pas aussi ancienne. Le batiment fut détruit dans un incendie, le 16 mars 1983. Décor dépouillé. Date inconnue. Tirage photographique: n&b.

Il s'agit d'une maison de plan rectangulaire d'un étage et demi faite en planches verticales, portant un toit à deux versants retroussés en tôle à baguette et percé d'une double lucarne rampante. Sur la gauche, une cheminée s'élève au-dessus du toit. La façade est percée d'une porte flanquée de deux fenêtres. Une extension d'un étage, utlisant les mêmes matériaux, et pourvue d'une porte et d'une fenêtre, jouxte le mur gauche. Sur la droite, on distingue une partie de la grange dans un décor dépouillé.

Note historique; La maison appartenait à monsieur Paul-Émile Roger, mais était habitée par monsieur Jean-Paul Pépin (artiste-peintre). On raconte que la maison et les dépendances furent sauvées par M.J. Champagne, qui aurait donné ses animaux pour y arriver, la veille de l'attaque des patriotes de Saint-Eustache le 14 décembre 1837.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Dorothée PRIN_0089)
Maison située au 625, rue Principale, Sainte-Dorothée.
C001/A2,11.06

Maison située au 625, rue Principale, Sainte-Dorothée.
Vue de la façade et du côté gauche d'une maison traditionnelle québécoise en pierres de taille avec deux extensions dans le même style. Sur le panneau planté face au bâtiment on peut lire «J.D. Deslauriers - Salons funéraires». Aujourd'hui, on y retrouve le centre de la petite enfance : Les trésors de Démosthène. Décor estival. [196?]. Tirage photographique, n&b.

Note:
Cette maison est celle de Louis Laurin, donateur de la moitié du terrain de la fabrique (de la Place Publique et de l'emplacement de l'église et d'une partie du cimetière). Cette maison fut aussi, pendant bien des années, le salon funéraire F. Brisebois, puis achetée par Urgel Bourgie dans les années 1990.
Maison située au 4005, boulevard Gouin Est, Montréal.
C001/A2,14.08

Maison située au 4005, boulevard Gouin Est, Montréal.
Vue partielle de la façade et du côté gauche d'une maison traditionnelle québécoise. Décor dépouillé. 21 mars 2000. Tirage photographique, n&b.
Maison traditionnelle québécoise
C001/A2,15.13

Maison traditionnelle québécoise
Vue de la façade et du côté droit d'une maison traditionnelle québécoise en moellons. Adresse inconnue. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b.
Maison autrefois située au 5500, boulevard Lévesque Est, Saint-Vincent de-Paul.
P080/A1.031

Maison autrefois située au 5500, boulevard Lévesque Est, Saint-Vincent de-Paul.
Cette habitation est l'ancienne maison «Chenet», qui aurait été érigée en 1792 par Esprit-Zéphirin Chenet, curé de la paroisse Saint-Vincent-de-Paul de 1790 à 1801. En 1815, elle est achetée par le sculpteur René Saint-James, qui la cède à Joseph Pépin. En 1842, elle devient la propriété de Césaire Germain, notaire. Le Capitaine Joseph-Damase Chartrand, dit Chartrand des Écores, la vend au gouvernement fédéral en 1897, qui en fera la résidence de l'aumônier du pénitencier. La résidence sera démolie en 1967 pour faire place au Canada Collège du personnel qui sert à la formation des employés du pénitencier. Décor verdoyant. Photographe : O. Allard, 1557, Mont-Royal, Montréal. Date inconnue. Carte postale: sépia.
L'église de Saint-Vincent-de-Paul.
P080/A1.064

L'église de Saint-Vincent-de-Paul.
Vue de l'église de Saint-Vincent-de-Paul dans les années 1950. Oeuvre de l'architecte Victor Bourgeau, elle fut construite de 1854 à 1875 par l'entrepreneur Célestin Labelle. Décor estival. [Années 1950]. Édité par Photo UNIC (11698B - No. 2136), 7000, rue Saint-Urbain, Montréal. Carte postale; coul.
Le Collège Laval à Saint-Vincent-de-Paul.
P080/A1.078

Le Collège Laval à Saint-Vincent-de-Paul.
Vue du Collège Laval, ouvert en 1859, tel que vu depuis l'avenue du Collège. Décor verdoyant. Date inconnue. Carte postale; n&b.
Le Collège Laval à Saint-Vincent-de-Paul.
P080/A1.099

Le Collège Laval à Saint-Vincent-de-Paul.
Vue du collège à l'époque où il était tenu par les Petits Frères de Marie (Frères Maristes). Décor dépouillé. Vers 1906. Tirage photographique; n&b.
L'autel principal de l'église de Saint-Vincent-de-Paul.
P080/A1.107

L'autel principal de l'église de Saint-Vincent-de-Paul.
L'autel principal, ici décoré pour l'exposition du Saint-Sacrement. Date inconnue. Tirage photographique; n&b.
Le choeur de l'église de Saint-Vincent-de-Paul.
P080/A1.108

Le choeur de l'église de Saint-Vincent-de-Paul.
Vue du choeur de l'église vers 1900. Tirage photographique; n&b.
La nef de l'église Saint-Vincent-de-Paul.
P080/A1.109

La nef de l'église Saint-Vincent-de-Paul.
Vue de l'allée centrale, avec la chaire maintenant dans le choeur. On distingue les anciens lustres qui seront plus tard remplacés. Vers 1950. Tirage photographique; n&b.
Bas-côté de l'église de Saint-Vincent-de-Paul.
P080/A1.110

Bas-côté de l'église de Saint-Vincent-de-Paul.
Vue du bas-côté gauche de l'église avec l'autel latéral. Vers 1950. Tirage photographique; n&b.
Le choeur de l'église Saint-Vincent-de-Paul.
P080/A1.111

Le choeur de l'église Saint-Vincent-de-Paul.
Vue du choeur et de l'autel principal. Vers 1950. Tirage photographique; n&b.
Le narthex de l'église Saint-Vincent-de-Paul.
P080/A1.113

Le narthex de l'église Saint-Vincent-de-Paul.
Vue partielle de la nef, du narthex, et des deux jubés. L'orgue était au deuxième jubé. Vers 1950. Tirage photographique; n&b.
Le plafond de la nef de l'église Saint-Vincent-de-Paul.
P080/A1.114

Le plafond de la nef de l'église Saint-Vincent-de-Paul.
Vue du plafond de la nef depuis le deuxième jubé. Vers 1965. Tirage photographique; n&b.
Le choeur de l'église Saint-Vincent-de-Paul.
P080/A1.115

Le choeur de l'église Saint-Vincent-de-Paul.
Vue du choeur depuis le deuxième jubé. L'orgue remplace maintenant l'ancient autel et un nouveau lustre vient remplacer les trois anciens. Vers 1965. Tirage photographique; n&b.
Une chorale chante dans le choeur de l'église Saint-Vincent-de-Paul.
P080/A1.116

Une chorale chante dans le choeur de l'église Saint-Vincent-de-Paul.
Vue du choeur depuis le deuxième jubé. L'orgue remplace maintenant l'ancien autel et un nouveau lustre vient remplacer les trois anciens. [Vers 1965]. Tirage photographique; n&b.
L'ancien presbytère de Saint-Vincent-de-Paul.
P080/A1.122

L'ancien presbytère de Saint-Vincent-de-Paul.
Lancien presbytère, construit en 1862 selon les plans de l'architecte Victor Bourgeau, mesurait 40 pieds de long par 36 de large. Il était situé au 5443, boulevard Lévesque Est et fut démoli en août 1963. Source et date inconnue. Tirage photographique; n&b.
Le choeur de l'église Saint-Vincent-de-Paul.
P080/A1.123

Le choeur de l'église Saint-Vincent-de-Paul.
Vue de la nef et du choeur de l'église. Vers 1954. Carte postale; n&b.
L'église Saint-Vincent-de-Paul.
P080/A1.124

L'église Saint-Vincent-de-Paul.
Vue de l'église avant l'érection de la statue du Sacré-Coeur de Jésus en 1931. Sur la gauche, on distingue la maison d'Alban Auclair, au 62, rue Saint-Étienne (aujourd'hui Place Jean-Eudes-Blanchard), plus tard occupée par la Caisse populaire de Saint-Vincent-de-Paul. Décor hivernal. [Années 1930]. Photographe : Famille Auclair. Tirage photographique; n&b.
L'église Saint-Vincent-de-Paul.
P080/A1.125

L'église Saint-Vincent-de-Paul.
Vue de l'église depuis le boulevard Lévesque. Décor dépouillé. Vers 1915. Tirage photographique; n&b.
Maison située au 5365, 5367 et 5369, boulevard Lévesque Est, Saint-Vincent-de-Paul.
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Maison située au 5365, 5367 et 5369, boulevard Lévesque Est, Saint-Vincent-de-Paul.
Vue d'une maison en pierre de style Second Empire, construite en 1826, dans un style fort prisé par la bourgeoisie entre le milieu et la fin du 19e siècle. Cette maison porte la dénomination Maison Joseph-Wenceslas Lévesque. Décor dépouillé. Date inconnue. Carte postale (copie-tirage photographique): n&b.

Notes : Cette maison appartenait au forgeron Amable Christin dit Saint-Amour avant que Louis Paré,marchand, n'en fasse l'acquisition en 1863. Le nouveau propriétaire transforme alors la construction à pignon d'un seul étage en une demeure spacieuse à deux étages à toit mansardé avec tourelle. Cette résidence fut ensuite achetée en 1903 par Marie-Éléonore Prévost (1880-?), épouse de Joseph-Wenceslas Lévesque (1873-1953), notaire, et qui deviendra l'étude de ce dernier de 1903 à 1913. J-Wenceslas Lévesque fut également maire du village de 1917 à 1921 et député libéral provincial dans le comté de Laval de 1908 à 1919. Le boulevard Lévesque fut nommé en son nom.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Saint-Vincent-de-Paul LEVE_5365).
Maison située au 5365, 5367 et 5369, boulevard Lévesque Est, Saint-Vincent-de-Paul.
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Maison située au 5365, 5367 et 5369, boulevard Lévesque Est, Saint-Vincent-de-Paul.
Détail de la façade d'une maison en pierre de style Second Empire, construite en 1826, dans un style fort prisé par la bourgeoisie entre le milieu et la fin du 19e siècle. Cette maison porte la dénomination Maison Joseph-Wenceslas Lévesque. Décor hivernal. Vers 1950. Carte postale (copie-tirage photographique): n&b.

Notes : Cette maison appartenait au forgeron Amable Christin dit Saint-Amour avant que Louis Paré,marchand, n'en fasse l'acquisition en 1863. Le nouveau propriétaire transforme alors la construction à pignon d'un seul étage en une demeure spacieuse à deux étages à toit mansardé avec tourelle. Cette résidence fut ensuite achetée en 1903 par Marie-Éléonore Prévost (1880-?), épouse de Joseph-Wenceslas Lévesque (1873-1953), notaire, et qui deviendra l'étude de ce dernier de 1903 à 1913. J-Wenceslas Lévesque fut également maire du village de 1917 à 1921 et député libéral provincial dans le comté de Laval de 1908 à 1919. Le boulevard Lévesque fut nommé en son nom.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Saint-Vincent-de-Paul LEVE_5365).
Résidence du révérend père Olivier Harel à Saint-Vincent-de-Paul.
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Résidence du révérend père Olivier Harel à Saint-Vincent-de-Paul.
Le père Harel (1847-1912) était aumônier au pénitencier Saint-Vincent-de-Paul de 1887 à 1912. La maison fût construite par le sénateur Bellerose (1820-1899) vers 1857. Cette maison, peut-être située au 5453, boulevard Lévesque Est, était voisine du presbytère. Décor dépouillé. Tirage photographique: n&b.

Pour consultation seulement.
Maison autrefois située à Saint-Vincent-de-Paul.
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Maison autrefois située à Saint-Vincent-de-Paul.
La maison que l'on aperçoit derrière la voiture fut construite en 1883 au coin du boulevard Lévesque et de l'avenue Bellevue. Elle était occupé par le bedeau de l'église et servit au conseil municipal jusqu'en 1931. De 1928 à 1958, elle fut occupée par Alexandre Valade (1889-1970), bedeau. La maison fut démolie en 1964. Décor dépouillé. Vers 1950. Photographe: Famille Labrecque. Tirage photographique: n&b.
Maison située au 5395, boulevard Lévesque Est, Saint-Vincent-de-Paul.
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Maison située au 5395, boulevard Lévesque Est, Saint-Vincent-de-Paul.
Vue d'une maison traditionnelle québécoise, construite en 1859, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Cette résidence fut érigée par Amélia Merckell (1798-1871), une américaine et veuve de Louis-Henry Dion, bourgeois de Saint-Martin. Suite au décès de madame Merckell, la maison fut achetée en 1871 par le docteur Jean-Théodule Pominville (1824-1892), qui y établira son cabinet de médecin. On voit ici la résidence vers 1920. Ce bâtiment porte la dénomination Maison Amélia Merckell. Décor verdoyant. Photographe : Studio Ovila Allard, Montréal. Date inconnue. Carte postale (tirage photographique-copie): n&b.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Saint-Vincent-de-Paul LEVE_5395).
Le Couvent des Soeurs de la Providence à Saint-Vincent-de-Paul, au tournant du 20e siècle
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Le Couvent des Soeurs de la Providence à Saint-Vincent-de-Paul, au tournant du 20e siècle
Située au 5436, boulevard Lévesque Est, cette institution veillait à l'éducation primaire des enfants mais acceuillait aussi les orphelins et servait d'hospice pour les personnes agées. Sur la gauche, on peut voir la partie la plus ancienne, érigée à partir de 1862, selon les plans de l'architecte Bourgeau. Tout juste derrière, se trouve l'annexe érigée en 1891. Décor dépouillé. Date inconnue. Tiré de l'Album uiversel, 27 janvier 1906, no.1136, p.1210.
Le village de Sainte-Rose.
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Le village de Sainte-Rose.
Vue d'une artère de Sainte-Rose. Tirage photographique (copie): n&b.
Maison québécoise traditionnelle.
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Maison québécoise traditionnelle.
Maison dont l'emplacement est inconnu. Décor estival. Date inconnue. Tirage photographique: n&b.
Portrait de Mathilde Gagnon.
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Portrait de Mathilde Gagnon.
Mathilde Gagnon (3 mai 1853-13 septembre 1929) de Saint-Vincent-de-Paul épousa Emmanuel Auclair (1855-1944), veuf, le 26 septembre 1881. Elle était la fille de Pascal Gagnon et de Zoé Hamelin (1829-1914), tous deux mariés le 2 août 1852 à Saint-Vincent-de-Paul. Vers 1890. Tirage photographique: sépia.
Portrait de Mathilde Gagnon.
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Portrait de Mathilde Gagnon.
Mathilde Gagnon (3 mai 1853-13 septembre 1929) de Saint-Vincent-de-Paul épousa Emmanuel Auclair (1855-1944), veuf, le 26 septembre 1881. Elle était la fille de Pascal Gagnon et de Zoé Hamelin (1829-1914), tous deux mariés le 2 août 1852 à Saint-Vincent-de-Paul. Photographe: N.C. Lalonde, 30, rue St-Laurent, Montréal. Vers 1880. Tirage photographique: sépia.
Portrait de la famille d'Emmanuel Auclair, de Saint-Vincent-de-Paul.
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Portrait de la famille d'Emmanuel Auclair, de Saint-Vincent-de-Paul.
Emmanuel Auclair (1855-1944) et son épouse, Mathilde Gagnon (1853-1929) posent avec leurs enfants. On reconnaît, sur la première rangée, troisième depuis la gauche, Béatrice (27 février 1886-8 août 1972), puis Alfred (15 novembre 1883-10 mai 1970). À l'arrière, Laurette (10 septembre 1882-8 avril 1897). Les autres enfants sont Alban (9 décembre 1884-7 décembre 1944), Henri (20 avril 1887-12 décembre 1917), Ernest (3 juin 1888-10 mai 1976), Roméo (1889 ou 1890-?) et Léonie (1890-1896). Vers 1890. Tirage photographique: sépia.
Portrait de la famille d'Emmanuel Auclair, de Saint-Vincent-de-Paul.
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Portrait de la famille d'Emmanuel Auclair, de Saint-Vincent-de-Paul.
Emmanuel Auclair (1855-1944) et son épouse, Mathilde Gagnon (1853-1929) posent avec leurs enfants. On reconnaît, sur la première rangée, troisième depuis la gauche, Béatrice (27 février 1886-8 août 1972), puis Alfred (15 novembre 1883-10 mai 1970). À l'arrière, Laurette (10 septembre 1882-8 avril 1897). Les autres enfants sont Alban (9 décembre 1884-7 décembre 1944), Henri (20 avril 1887-12 décembre 1917), Ernest (3 juin 1888-10 mai 1976), Roméo (1889 ou 1890-?) et Léonie (1890-1896). Vers 1890. Tirage photographique: n&b.
Portrait de Lorette Auclair.
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Portrait de Lorette Auclair.
Laurette, aussi écrit Laurette, Auclair est née à Saint-Vincent-de-Paul le 10 octobre 1882, a été confirmée le 6 juin 1892 et est décédée le 8 avril 1892 à Saint-Vincent-de-Paul. Elle est le premier de douze enfants d'Emmanuel Auclair (1855-1944) et de Mathilde Gagnon (1853-1929). Le service a été chanté par l'abbé Elie Auclair, historien et cousin d'Emmanuel Auclair. Vers 1884. Tirage photographique: sépia.
Portrait de Béatrice et Lorette Auclair.
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Portrait de Béatrice et Lorette Auclair.
Sur la gauche, Béatrice Auclair (27 février 1886-8 décembre 1972), et sa soeur Lorette, aussi écrit Laurette (10 décembre 1882-8 avril 1897), toutes deux de Saint-Vincent-de-Paul et sont les premier et quatrième des douze enfants d'Emmanuel Auclair (1855-1944) et Mathilde Gagnon (1853-1929). Vers 1891. Tirage photographique: sépia.
Portrait de Lorette Auclair.
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Portrait de Lorette Auclair.
Lorette, aussi écrit Laurette (10 décembre 1882-8 avril 1897) de Saint-Vincent-de-Paul, a été confirmée le 6 juin 1892 et était le premier des douze enfants d'Emmanuel Auclair (1855-1944) et Mathilde Gagnon (1853-1929). Photographe: Quéry Frères, 10, côte St-Lambert, Qué. Vers 1890. Tirage photographique: sépia.
Portrait de Béatrice Auclair.
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Portrait de Béatrice Auclair.
Béatrice Auclair est le quatrième des douze enfants d'Emmanuel Auclair (1855-1944) et Mathilde Gagnon (1853-1929). Elle est née le 27 février 1886 à Saint-Vincent-de-Paul et épouse Zéphirin Sigouin (1882-1938) le 7 novembre 1905. Le couple fut marié par l'abbé Magloire Auclair, curé de Saint-Jean-Baptiste de Montréal, cousin d'Emmanuel Auclair, le père de Béatrice. Cette dernière épouse en deuxième noce Hector Béré (1887-1947). Béatrice Auclair décède le 8 décembre 1972. Photographe: J.A. Dumas, 112 Vitre coin de la rue St-Laurent, Montréal. Vers 1890. Tirage photographique: sépia.
Portrait de Germaine Auclair.
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Portrait de Germaine Auclair.
Germaine Auclair (1 janvier 1895-19 juillet 1979) était le onzième des douze enfants d'Emmanuel Auclair (1855-1944) et Mathilde Gagnon (1853-1929). Germaine était sous-agent à la Banque provinciale et, plus tard, infirmière à l'Hôtel-Dieu de Montréal. Elle habitait chez son frère Alban, au coin des rues de la Fabrique et Saint-Étienne (aujourd'hui Place Jean-Eudes-Blanchard). Elle a toujours été célibataire. Son frère avait acheté la maison suite à l'expropriation de la montée Saint-François, vers 1930-1935, pour faire place au pénitencier Saint-Vincent-de-Paul. Photographe: J.A. Dumas, 112 Vitre coin de la rue St-Laurent, Montréal. Vers 1899. Tirage photographique: sépia.
Portrait d'Alice Auclair.
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Portrait d'Alice Auclair.
Alice Auclair est née le 5 octobre 1892 à Saint-Vincent-de-Paul. Elle est le neuvième des douze enfants d'Emmanuel Auclair (1855-1944) et Mathilde Gagnon (1853-1929). Elle épouse Georges Robichaud (1892-1949) le 10 novembre 1925 à Saint-Vincent-de-Paul. Le couple est marié par l'abbé Elie Auclair, historien et cousin d'Emmanuel Auclair, père d'Alice. Elle décède le 29 novembre 1982 à Saint-Vincent-de-Paul. Alice Auclair était organiste à Saint-François-de-Sales et tenait également le bureau de poste. Photographe: J.A. Dumas, 112 Vitre coin de la rue St-Laurent, Montréal. 1897. Tirage photographique: sépia.

Note: Georges Robichaud fut maire de Saint-François-de-Sales.
Portrait de Edmée Auclair.
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Portrait de Edmée Auclair.
Edmée Auclair (19 juin 1897-10 juin 1982) est née à Saint-Vincent-de-Paul. On l'appelait aussi Lorette, ou Laurette, le nom de sa soeur décédée le 8 août 1897, deux mois avant la naissance d'Edmée, à l'âge de quinze ans. Elle était le dernier des douze enfants d'Emmanuel Auclair (1855-1944) et Mathilde Gagnon (1853-1929). Edmée fut organiste à Saint-Vincent-de-Paul pendant 40 ans. Photographe: J.A. Dumas, 112 Vitre coin de la rue St-Laurent, Montréal. Vers 1899. Tirage photographique: n&b.
Portrait d'enfants.
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Portrait d'enfants.
On reconnaît, de gauche à droite, les quatre premiers fils d'Emmanuel Auclair (1855-1944) et Mathilde Gagnon (1853-1929) de Saint-Vincent-de-Paul: Ernest (3 juin 1888-10 mai 1976), Alfred (15 novembre 1883-10 mai 1970), Alban (9 décembre 1884-7 décembre 1944) et Henri (20 avril 1887-12 décembre 1917). Photographe: Quéry Frères, 10, côte St-Lambert, Qué. Vers 1895. Tirage photographique: sépia.
Portrait de jeunes femmes
P080/A2,03.031

Portrait de jeunes femmes
À droite, on reconnaît Béatrice Auclair, quatrième des douze enfants d'Emmanuel Auclair (1855-1944) et Mathilde Gagnon (1853-1929). Béatrice est née le 27 février 1886 à Saint-Vincent-de-Paul et épouse Zéphirin Sigouin (1882-1938) le 7 novembre 1905. Le couple fut marié par l'abbé Magloire Auclair, curé de Saint-Jean-Baptiste de Montréal, cousin d'Emmanuel Auclair, le père de Béatrice. Cette dernière épouse en deuxième noce Hector Béré (1887-1947). Béatrice Auclair décède le 8 décembre 1972. Vers 1898. Tirage photographique: sépia.
La boucherie-épicerie d'Emmanuel Auclair, à Saint-Vincent-de-Paul
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La boucherie-épicerie d'Emmanuel Auclair, à Saint-Vincent-de-Paul
Vue d'ensemble du commerce d'Emmanuel Auclair (1855-1944) qui occupe une maison à mansarde en bois sur la montée Saint-François. Dans les vitrines et sur le perron sont étalés des marchandises, alors que le proriétaire, Emmanuel Auclair, pose sur les marches menant à l'établissement. Un autre commerce jouxtant ce dernier affiche une pancarte sur laquelle on peut lire «Massey - Harris Machines», un fabricant de machines agricoles. Décor estival. Vers 1895. Tirage photographique; n&b.

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