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Images concernant «18e siècle.» : Sujet  3 / 0

Liste des images pour le sujet «18e siècle.»
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Maison située au 765 et 775, rue des Patriotes, Sainte-Rose.
C001/A2,06.032

Maison située au 765 et 775, rue des Patriotes, Sainte-Rose.
Vue d'ensemble de la façade d'une maison, construite vers 1740 ou 1750, apparentée à la maison d'esprit français. Ce courant architectural naît en Nouvelle-France dès le 17e siècle avec l'établissement des premiers colons français qui importent de leur contrée natale leurs façons traditionnelles de construire. Il se prolonge un peu après l'arrivée des Britanniques à la fin du 18e siècle. Cette maison est l'une des plus vieilles de Sainte-Rose. Elle a d'abord appartenu à la famille Filiatrault puis a été habitée pendant 200 ans par la famille Desjardins. En 1936, elle est achetée par des Anglophones d'Outremont. En 1972, le peintre Marcel Saint-Pierre s'en porte acquéreur et la restaure entièrement. Connue comme la maison Desjardins. Décor verdoyant.Tirage photographique, coul.

Il s'agit d'une maison de plan rectangulaire d'un étage et demi en moellons portant un toit à deux versants retroussés en tôle à baguettes et percé de deux lucarnes à pignon. Une cheminée s'élève à chacune de ses extrémités. En façade, le rez-de-chaussée est percé de deux portes et de deux fenêtres disposées symétriquement.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose PATR_0765).
Maison Filiatrault-Latour située au 242, boulevard Sainte-Rose.
C001/A2,06.125

Maison Filiatrault-Latour située au 242, boulevard Sainte-Rose.
Vue d'ensemble de la façade d'une maison traditionnelle québécoise, bâtie vers 1780 - 1790. Elle est représentative de la maison franco-québécoise qui est le résultat de l'intégration de l'architecture néoclassique anglaise importée par les Britanniques à la fin du 18e siècle aux façons traditionnelles de construire en Nouvelle-France. Elle constitue ainsi un modèle de transition entre la maison d'esprit français et la maison traditionnelle
québécoise. L'un de ses propriétaires à la fin du 18e siècle, Joseph Filiatrault, a donné le terrain pour construire la deuxième église de Sainte-Rose en 1788. Le conseil du village a siégé dans cette maison au milieu du 19e siècle ainsi que le premier secrétariat du village de Sainte-Rose en 1858. Le notaire Jean-Benjamin Latour en sera ensuite propriétaire, puis son fils le notaire Jean-Paul Latour. Connue sous la dénomination Maison Filiatrault-Latour. Décor dépouillé. Tirage photographique, coul.

Informations tirées de la base de données patromoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0242).
Maison située au 765 et 775, rue des Patriotes, Sainte-Rose.
C001/A2,06.146

Maison située au 765 et 775, rue des Patriotes, Sainte-Rose.
Vue d'ensemble de la façade d'une maison, construite vers 1740 ou 1750, apparentée à la maison d'esprit français. Ce courant architectural naît en Nouvelle-France dès le 17e siècle avec l'établissement des premiers colons français qui importent de leur contrée natale leurs façons traditionnelles de construire. Il se prolonge un peu après l'arrivée des Britanniques à la fin du 18e siècle. Cette maison est l'une des plus vieilles de Sainte-Rose. Elle a d'abord appartenu à la famille Filiatrault puis a été habitée pendant 200 ans par la famille Desjardins. En 1936, elle est achetée par des Anglophones d'Outremont. En 1972, le peintre Marcel Saint-Pierre s'en porte acquéreur et la restaure entièrement. Connue comme la maison Desjardins. Décor verdoyant.Tirage photographique, n&b.

Il s'agit d'une maison de plan rectangulaire d'un éta ge et demi en moellons portant un toit à deux versants retroussés en tôle en baguettes percé de deux lucarnes à pignon. Une cheminée s'élève à chacune de ses extrémités. En façade, le rez-de-chaussée est percé de deux portes et de deux fenêtres disposées symétriquement.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose PATR_0765).
Maison située au 765 et 775, rue des Patriotes, Sainte-Rose.
C001/A2,06.149

Maison située au 765 et 775, rue des Patriotes, Sainte-Rose.
Vue rapprochée de la façade d'une maison, construite vers 1740 ou 1750, apparentée à la maison d'esprit français. Ce courant architectural naît en Nouvelle-France dès le 17e siècle avec l'établissement des premiers colons français qui importent de leur contrée natale leurs façons traditionnelles de construire. Il se prolonge un peu après l'arrivée des Britanniques à la fin du 18e siècle. Cette maison est l'une des plus vieilles de Sainte-Rose. Elle a d'abord appartenu à la famille Filiatrault puis a été habitée pendant 200 ans par la famille Desjardins. En 1936, elle est achetée par des Anglophones d'Outremont. En 1972, le peintre Marcel Saint-Pierre s'en porte acquéreur et la restaure entièrement. Connue comme la maison Desjardins. Décor verdoyant. 1980. Tirage photographique, n&b.

Il s'agit d'une maison de plan rectangulaire d'un étage et demi en moellons portant un toit à deux versants retroussés en tôle en baguettes percé de deux lucarnes à pignon. Une cheminée s'élève à chacune de ses extrémités. En façade, le rez-de-chaussée est percé de deux portes et de deux fenêtres disposées symétriquement.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose PATR_0765).
Maison située au 625, boulevard des Mille-Îles, Auteuil.
C001/A2,06.173

Maison située au 625, boulevard des Mille-Îles, Auteuil.
Vue de la façade et du côté gauche d'une maison franco-québécoise, construite vers 1790, et représentative de l'intégration de l'architecture néoclassique anglaise importée par les Britanniques à la fin du 18e siècle aux façons traditionnelles de construire en Nouvelle-France. Ce type de résidence constitue un modèle de transition entre la maison d'esprit français et la maison traditionnelle québécoise. Cette maison, autrefois située sur le Chemin de la Grande-Côte (maintenant boul. des Mille-Îles), fut la résidence de René-S Bouvrette. Décor estival. 1956. Tirage photographique, n&b.

Il s'agit d'une maison de plan rectangulaire en moellons de un étage et demi portat un toit à deux versants droits en bardeaux d'asphalte. Le toit est doté et pourvu de deux larges cheminées placées aux extrémités. En façade, le rez-de-chaussée est percé d'une porte et de trois fenêtres auxquels fait écho sous les combles une lucarne continue. Le mur de gauche est percé d'une fenêtre au rez-de-chaussée et de deux autres à l'étage.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Auteuil MILI_0625).
Maison située au 844, rue Saint-François-Xavier, Terrebonne.
C001/A2,14.01

Maison située au 844, rue Saint-François-Xavier, Terrebonne.
Vue d'ensemble des restes calcinés d'une maison traditionnelle québécoise, construite à l'été 1760 par Jacques Perras. Il s'agit d'une maison d'un étage et demi, en moellons, dont on distingue encore la façade du rez-de-chausée et le mur droit. Les murs sont recouvert d'un crépi à motif de pierre de taille en façade et sommaire sur le côté. Les deux cheminées sont intégrées aux murs latéraux encore visibles qui supportaient un toit à deux versants droits. Le rez-de-chaussée était percé de quatre fenêtres, la face latérale de deux à chaque étage. L'entrée est situé dans un renfoncement de l'angle gauche du bâtiment. Porte et fenêtres sont placardées, un conteneur bleu est placé le long de la façade, et un cordon jaune et des barricades limitent l'accès au bâtiment. Connue comme la maison Jacques Perras. 4 février 1999. Décor hivernal. Tirage photographique, coul.

Dans ses premières heures, cette maison servie de caserne au régiment de La Sarre, alors cantonné à Terrebonne. Elle appartenait notamment aux deux premiers députés du comté, Joseph-Hubert Lacroix et Jacob Jordan (seigneur de Terrebonne et Lachenaie). Les contemporains de Terrebonne la désignent sous le nom de la maison Bélisle, propriété de cette famille de forgerons au 20e siècle. Depuis, l'endroit avait été vendu à un tiers. En février 1999, un incendie ravageait la maison, abandonnée. Elle fut ensuite rachetée et rénovée par une corporation municipale, et est maintenant la Maison de Pays de Lanaudière qui offre des produits et de l'artisanat de la région.

Une partie des informations est tirée de : http://www.shrt.qc.ca/documents/terrebonnetournee.pdf
Maison située au 844, rue Saint-François-Xavier, Terrebonne.
C001/A2,14.03

Maison située au 844, rue Saint-François-Xavier, Terrebonne.
Vue d'ensemble des restes calcinés d'une maison traditionnelle québécoise, construite à l'été 1760 par Jacques Perras. Il s'agit d'une maison d'un étage et demi, en moellons, dont on distingue encore la façade du rez-de-chausée et le mur droit. Les murs sont recouvert d'un crépi à motif de pierre de taille en façade et sommaire sur le côté. Les deux cheminées sont intégrées aux murs latéraux encore visibles qui supportaient un toit à deux versants droits. Le rez-de-chaussée était percé de quatre fenêtres, la face latérale de deux à chaque étage. L'entrée est situé dans un renfoncement de l'angle gauche du bâtiment. Porte et fenêtres sont placardées, un conteneur bleu est placé le long de la façade, et un cordon jaune et des barricades limitent l'accès au bâtiment. Connue comme la maison Jacques Perras. 4 février 1999. Décor hivernal. Tirage photographique, coul.

Dans ses premières heures, cette maison servie de caserne au régiment de La Sarre, alors cantonné à Terrebonne. Elle appartenait notamment aux deux premiers députés du comté, Joseph-Hubert Lacroix et Jacob Jordan (seigneur de Terrebonne et Lachenaie). Les contemporains de Terrebonne la désignent sous le nom de la maison Bélisle, propriété de cette famille de forgerons au 20e siècle. Depuis, l'endroit avait été vendu à un tiers. En février 1999, un incendie ravageait la maison, abandonnée. Elle fut ensuite rachetée et rénovée par une corporation municipale, et est maintenant la Maison de Pays de Lanaudière qui offre des produits et de l'artisanat de la région.

Une partie des informations est tirée de : http://www.shrt.qc.ca/documents/terrebonnetournee.pdf
Maison Cazal située au 4765 boulevard Gouin Est, Montréal.
C001/A2,14.06

Maison Cazal située au 4765 boulevard Gouin Est, Montréal.
Vue du côté gauche et de la façade d'une maison de pierre canadienne construite vers 1755. mur du côté gauche. Décor dépouillé. 21 mars 2000. Titage photographique, coul.
Maison Brignon-dit-Lapierre située au 4251, boulevard Gouin Est, Montréal.
C001/A2,14.07

Maison Brignon-dit-Lapierre située au 4251, boulevard Gouin Est, Montréal.
Vue d'ensemble de la façade d'une maison de plan rectangulaire en pierre de taille d'un étage et demi portant un toit à deux versants droits en bardeaux d'asphalte percé de quatre fenêtres abritées par un toit en appentis. Des cheminées doubles, bâties à même les murs, sont placées à chaque extrémité. En façade, le rez-de-chaussée est percé de deux portes et de deux fenêtres disposées en mirroir. Une extension en moellons d'un étage jouxte le mur de droite. Cette maison située à Montréal-Nord a été classée «monument historique» par la ville de Montréal en 2007 et a été habitée par le maçon Pierre Guilbault. La maison fut construite en 1770. Des travaux de restauration ont été faits de 2009 à 2011. Décor hivernal. Tirage photographique, coul.

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