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Images concernant «18e siècle» : Sujet  2 / 0

Liste des images pour le sujet «18e siècle»
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Maison située au 9, boulevard Bellerose Ouest, Vimont.
C001/A2,05.03

Maison située au 9, boulevard Bellerose Ouest, Vimont.
Vues d'ensemble du côté droit et de la façade d'une maison au toit mansardé à deux versant, en vogue de 1880 à 1920. Décor dépouillé. 19 décembre 1999. Tirage photograhique, coul.
Maisons situées au 1275, 1422, 1453, et 1481, boulevard Saint-Elzéar Ouest, Chomedey
C001/A2,05.10b

Maisons situées au 1275, 1422, 1453, et 1481, boulevard Saint-Elzéar Ouest, Chomedey
1275, boul. Saint-Elzéar Ouest : Maison en briques de style Boomtown qui fut populaire au Québec de 1880 à 1930. Il s'agit ici de la variante en briques avec toit plat, fausse mansarde et lucarnes pendantes. Décor dépouillé. 13 mai 1978. Négatif # 6 (78-35-4).

1422, boul. Saint-Elzéar Ouest : Maison traditionnelle québécoise d'un étage et demi au toit à deux versants droits et quatre fenêtres en façade. Aujourd'hui disparue. Décor dépouillé. 13 mai 1978. Négatifs # 4 et 5 (78-35-4).

1453, boul. Saint-Elzéar Ouest : Maison de style Boomtown, populaire au Québec de 1880 à 1930, au revêtement en pierre de taille à bossage et au toit en croupe. Aujourd'hui disparue. Décor dépouillé. 13 mai 1978. Négatifs # 35 et 36 (78-35-3) et négatifs # 2 et 3 (78-35-3).

1481, boul. Saint-Elzéar Ouest : Maison de style Boomtown, populaire au Québec de 1880 à 1930, au revêtement en pierre de taille à bossage et au toit en croupe. À l'arrière, on distingue un bâtiment de ferme. Aujourd'hui disparue. Décor dépouillé. 13 mai 1978. Négatifs # 32 à 34 (78-35-3).

Planche contact avec annotations (Id. : 78-35-3; 6 négatifs numérotés de 2 à 6, et 78-35-4; 4 négatifs numérotés de 2 à 6), n&b.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Chomedey SELO_1275).
Maison située au 321, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.007

Maison située au 321, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Vue de la façade et du côté droit d'une maison, construite entre 1757 et 1817, apparentée à la maison d'esprit français. Bien qu'une pierre de date sur la maison indique 1757, la première mention d'une maison en pierre sur cette terre se trouve dans un acte de donation du 28 septembre 1817 de Michel Desjardins à ses enfants. En 1731, Pierre Labelle fils entre en possession de la terre. Elle est ensuite vendue en 1745 à son frère, Claude Labelle, qui l'habite avec son épouse Marie-Anne Quéneville, pendant 30 ans. Celle-ci la revend en 1775, suite à la mort de son mari. En 1757, année de la pierre de date, c'est Claude Labelle qui possède la terre. La maison aurait été rénovée en 1922. Elle fut la demeure de Yves Allard. Décor automnal. [Années 1970]. Tirage photographique, coul.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Auteuil SROS_0321).
Maison située au 354, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.021

Maison située au 354, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Vue de la façade d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1905 ou avant, vers 1890, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Cette maison fut la demeure de monsieur Pierre Sparks. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0354).
Maison  à Sainte-Rose.
C001/A2,06.024

Maison à Sainte-Rose.
Vue d'ensemble d'une maison de deux étages portant un toit à deux versants droits. Décor verdoyant. [Années 1970]. Tirage photographique, n&b.
Maison située au 323, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.025

Maison située au 323, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Vue de la façade et du côté droit d'une maison à mansarde en briques qui aurait été construite vers 1900, un style très en vogue en milieu rural au Québec entre 1875 et 1920. Toutefois, cette date pourrait être revue à la baisse. On mentionne qu'elle aurait été édifiée vers 1870, date qui apparaît très plausible. Les briques auraient été moulées à la main. Elle fut la demeure de Raynald Boucher. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Auteuil SROS_0323).
Maison située au 765 et 775, rue des Patriotes, Sainte-Rose.
C001/A2,06.032

Maison située au 765 et 775, rue des Patriotes, Sainte-Rose.
Vue d'ensemble de la façade d'une maison, construite vers 1740 ou 1750, apparentée à la maison d'esprit français. Ce courant architectural naît en Nouvelle-France dès le 17e siècle avec l'établissement des premiers colons français qui importent de leur contrée natale leurs façons traditionnelles de construire. Il se prolonge un peu après l'arrivée des Britanniques à la fin du 18e siècle. Cette maison est l'une des plus vieilles de Sainte-Rose. Elle a d'abord appartenu à la famille Filiatrault puis a été habitée pendant 200 ans par la famille Desjardins. En 1936, elle est achetée par des Anglophones d'Outremont. En 1972, le peintre Marcel Saint-Pierre s'en porte acquéreur et la restaure entièrement. Connue comme la maison Desjardins. Décor verdoyant.Tirage photographique, coul.

Il s'agit d'une maison de plan rectangulaire d'un étage et demi en moellons portant un toit à deux versants retroussés en tôle à baguettes et percé de deux lucarnes à pignon. Une cheminée s'élève à chacune de ses extrémités. En façade, le rez-de-chaussée est percé de deux portes et de deux fenêtres disposées symétriquement.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose PATR_0765).
Maison située au 99, avenue des Terrasses, Auteuil.
C001/A2,06.045

Maison située au 99, avenue des Terrasses, Auteuil.
Vue d'ensemble de la façade et du côté droit d'une maison d'esprit français en moellons, construite entre 1788 et 1839. Ce courant architectural naît en Nouvelle-France dès le 17e siècle avec l'établissement des premiers colons français qui importent de leur contrée natale leurs façons traditionnelles de construire. Il se prolonge un peu après l'arrivée des Britanniques à la fin du 18e siècle. Décor automnal. 8 novembre 2001. Tirage photographique, coul.

Cette maison appartient à la famille Joly depuis plusieurs générations. En 1978, la propriétaire, Louise Joly affirmait que la maison avait été construite
vers 1729. Selon la chaîne de titre, il est fait mention d'une maison sur l'acte de donation de 1753. Cependant
en 1788, il est mentionné dans un acte que la maison est en bois. La première mention d'une maison en pierre apparaît dans
un acte de 1839 où Jean-Baptiste Joly sépare la terre en deux (lots 42 et 43) et en donne une moitié à ses fils Jean-Baptiste
fils et Michel.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Auteuil TERR_0099).
Maison située au 208, boulevard Sainte-Rose Est, Auteuil.
C001/A2,06.057

Maison située au 208, boulevard Sainte-Rose Est, Auteuil.
Vue d'ensemble du côté gauche d'une maison traditionnelle québécois, probablement construite entre la fin du 18e siècle et 1828. Cette résidence est apparentée à la maison d'esprit français, un courant architectural qui naît en Nouvelle-France dès le 17e siècle avec l'établissement des premiers colons français qui importent de leur contrée natale leurs façons traditionnelles de construire. Ce courant se prolonge un peu après l'arrivée des Britanniques à la fin du 18e siècle. Cette maison a déjà abrité un magasin d'antiquités. Décor hivernal. Mars 1977. Tirage photographique, coul.

La concession de la terre de cette maison appartient successivement à Joseph Vaillancourt (1767), à Pierre Ouimet (1774), à Jean Ouimet (1807), son fils, puis, vraisemblabement à Antoine Merçant dit Lapierre (1828), à Joseph Moissan dit Lapierre (1875), à Émile Carbonneau (1911), et Jean Drapeau (1970).

Il s'agit d'une habitation de plan rectangulaire d'un étage et demi en moellons portant un toit à deux versants retroussés en bardeaux de cèdre. Trois cheminées, dont l'une hors-oeuvre, s'élèvent à chaque extrémité. En façade, le rez-de-chaussée est percé d'une porte et de trois fenêtres. Le mur gauche est percé d'une fenêtre au rez-de-chaussée et de deux plus petites sous les combles. Une extension d'un étage et demi en bardeaux de cèdre jouxte l'arrière du bâtiment.

Informations en bonne partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Auteuil SROE_0208).
Maison ancestrale
C001/A2,06.096

Maison ancestrale
Vue de la façade d'une maison traditionnelle québécoise, aujourd'hui disparue. Emplacement inconnu. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b.
Maison située au 342, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.110a

Maison située au 342, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Vue du côté droit et de la façade d'une maison à mansarde, construite vers 1900, style très en vogue en milieu rural au Québec entre 1875 et 1920. Elle aurait été la demeure de monsieur Jacques Labelle. Tirage photographique, n&b.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0342).
Maison située au 342, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.110b

Maison située au 342, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Vue du côté droit d'une maison à mansarde, construite vers 1900, style très en vogue en milieu rural au Québec entre 1875 et 1920. Elle aurait été la demeure de monsieur Jacques Labelle. Tirage photographique, n&b.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0342).
Maison située au 342, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.110c

Maison située au 342, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Vue du côté droit d'une maison à mansarde, construite vers 1900, style très en vogue en milieu rural au Québec entre 1875 et 1920. Elle aurait été la demeure de monsieur Jacques Labelle. Tirage photographique, n&b.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0342).
Maison située au 342, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.110d

Maison située au 342, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Détail de la façade d'une maison à mansarde, construite vers 1900, style très en vogue en milieu rural au Québec entre 1875 et 1920. Elle aurait été la demeure de monsieur Jacques Labelle. Tirage photographique, n&b.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0342).
Maison située au 342, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.111

Maison située au 342, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Détail de la façade et du côté droit d'une maison à mansarde, construite vers 1900, style très en vogue en milieu rural au Québec entre 1875 et 1920. Elle aurait été la demeure de monsieur Jacques Labelle. Tirage photographique, n&b.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0342).
Maison située au 344, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.112a

Maison située au 344, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Vue de la façade d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1900, qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Cette maison aurait été la demeure de monsieur Arthur Désormaux. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0344).
Maison située au 344, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.112b

Maison située au 344, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Vue de la façade et du côté droit d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1900, qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Cette maison aurait été la demeure de monsieur Arthur Désormaux. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0344).
Maison située au 344, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.112c

Maison située au 344, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Détail de la façade et du côté gauche d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1900, qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Cette maison aurait été la demeure de monsieur Arthur Désormaux. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0344).
Maison située au 208, boulevard Sainte-Rose Est, Auteuil.
C001/A2,06.124

Maison située au 208, boulevard Sainte-Rose Est, Auteuil.
Vue d'ensemble de la façade et du côté gauche d'une maison traditionnelle québécois, probablement construite entre la fin du 18e siècle et 1828. Cette résidence est apparentée à la maison d'esprit français, un courant architectural qui naît en Nouvelle-France dès le 17e siècle avec l'établissement des premiers colons français qui importent de leur contrée natale leurs façons traditionnelles de construire. Ce courant se prolonge un peu après l'arrivée des Britanniques à la fin du 18e siècle. Cette maison a déjà abrité un magasin d'antiquités. Décor automnal. Tirage photographique, coul.

La concession de la terre de cette maison appartient successivement à Joseph Vaillancourt (1767), à Pierre Ouimet (1774), à Jean Ouimet (1807), son fils, puis, vraisemblabement à Antoine Merçant dit Lapierre (1828), à Joseph Moissan dit Lapierre (1875), à Émile Carbonneau (1911), et Jean Drapeau (1970).

Il s'agit d'une habitation de plan rectangulaire d'un étage et demi en moellons portant un toit à deux versants retroussés en bardeaux de cèdre. Trois cheminées, dont l'une hors-oeuvre, s'élèvent à chaque extrémité. En façade, le rez-de-chaussée est percé d'une porte et de trois fenêtres. Le mur gauche est percé d'une fenêtre au rez-de-chaussée et de deux plus petites sous les combles. Une extension d'un étage et demi en bardeaux de cèdre jouxte l'arrière du bâtiment.

Informations en bonne partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Auteuil SROE_0208).
Maison Filiatrault-Latour située au 242, boulevard Sainte-Rose.
C001/A2,06.125

Maison Filiatrault-Latour située au 242, boulevard Sainte-Rose.
Vue d'ensemble de la façade d'une maison traditionnelle québécoise, bâtie vers 1780 - 1790. Elle est représentative de la maison franco-québécoise qui est le résultat de l'intégration de l'architecture néoclassique anglaise importée par les Britanniques à la fin du 18e siècle aux façons traditionnelles de construire en Nouvelle-France. Elle constitue ainsi un modèle de transition entre la maison d'esprit français et la maison traditionnelle
québécoise. L'un de ses propriétaires à la fin du 18e siècle, Joseph Filiatrault, a donné le terrain pour construire la deuxième église de Sainte-Rose en 1788. Le conseil du village a siégé dans cette maison au milieu du 19e siècle ainsi que le premier secrétariat du village de Sainte-Rose en 1858. Le notaire Jean-Benjamin Latour en sera ensuite propriétaire, puis son fils le notaire Jean-Paul Latour. Connue sous la dénomination Maison Filiatrault-Latour. Décor dépouillé. Tirage photographique, coul.

Informations tirées de la base de données patromoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0242).
Maison située au 321, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.136

Maison située au 321, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Vue de la façade et du côté gauche d'une maison construite entre 1757 et 1817 apparentée à la maison d'esprit français. Bien qu'une pierre de date sur la maison indique 1757, la première mention d'une maison en pierre sur cette terre se trouve dans un acte de donation du 28 septembre 1817 de Michel Desjardins à ses enfants. En 1731, Pierre Labelle fils entre en possession de la terre. Elle est ensuite vendue en 1745 à son frère, Claude Labelle, qui l'habite avec son épouse Marie-Anne Quéneville, pendant 30 ans. Celle-ci la revend en 1775, suite à la mort de son mari. En 1757, année de la pierre de date, c'est Claude Labelle qui possède la terre. La maison aurait été rénovée en 1922. Elle fut la demeure de Yves Allard. Décor verdoyant. 1940. Tirage photographique, n&b.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Auteuil SROS_0321).
Maison située au 321, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.137

Maison située au 321, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Vue de la façade et du côté droit d'une maison construite entre 1757 et 1817 apparentée à la maison d'esprit français. Bien qu'une pierre de date sur la maison indique 1757, la première mention d'une maison en pierre sur cette terre se trouve dans un acte de donation du 28 septembre 1817 de Michel Desjardins à ses enfants. En 1731, Pierre Labelle fils entre en possession de la terre. Elle est ensuite vendue en 1745 à son frère, Claude Labelle, qui l'habite avec son épouse Marie-Anne Quéneville, pendant 30 ans. Celle-ci la revend en 1775, suite à la mort de son mari. En 1757, année de la pierre de date, c'est Claude Labelle qui possède la terre. La maison aurait été rénovée en 1922. Elle fut la demeure de Yves Allard. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Auteuil SROS_0321).
Maison située au 323, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.139

Maison située au 323, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Vue de la façade et du côté droit d'une maison à mansarde en briques qui aurait été construite vers 1900, un style très en vogue en milieu rural au Québec entre 1875 et 1920. Toutefois, cette date pourrait être revue à la baisse. On mentionne qu'elle aurait été édifiée vers 1870, date qui apparaît très plausible. Les briques auraient été moulées à la main. Elle fut la demeure de Raynald Boucher. Décor verdoyant. [Années 1970]. Tirage photographique, n&b.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Auteuil SROS_0323).
Maison située au 323, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.140

Maison située au 323, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Vue de la façade d'une maison à mansarde en briques qui aurait été construite vers 1900, un style très en vogue en milieu rural au Québec entre 1875 et 1920. Toutefois, cette date pourrait être revue à la baisse. On mentionne qu'elle aurait été édifiée vers 1870, date qui apparaît très plausible. Les briques auraient été moulées à la main. Elle fut la demeure de Raynald Boucher. Décor hivernal. Tirage photographique, n&b.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Auteuil SROS_0323).
Maison située au 323, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.141

Maison située au 323, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Vue de la façade et du côté gauche d'une maison à mansarde en briques qui aurait été construite vers 1900, un style très en vogue en milieu rural au Québec entre 1875 et 1920. Toutefois, cette date pourrait être revue à la baisse. On mentionne qu'elle aurait été édifiée vers 1870, date qui apparaît très plausible. Les briques auraient été moulées à la main. Elle fut la demeure de Raynald Boucher. Décor dépouillé. Années 1970. Tirage photographique, coul.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Auteuil SROS_0323).
Maison située au 765 et 775, rue des Patriotes, Sainte-Rose.
C001/A2,06.146

Maison située au 765 et 775, rue des Patriotes, Sainte-Rose.
Vue d'ensemble de la façade d'une maison, construite vers 1740 ou 1750, apparentée à la maison d'esprit français. Ce courant architectural naît en Nouvelle-France dès le 17e siècle avec l'établissement des premiers colons français qui importent de leur contrée natale leurs façons traditionnelles de construire. Il se prolonge un peu après l'arrivée des Britanniques à la fin du 18e siècle. Cette maison est l'une des plus vieilles de Sainte-Rose. Elle a d'abord appartenu à la famille Filiatrault puis a été habitée pendant 200 ans par la famille Desjardins. En 1936, elle est achetée par des Anglophones d'Outremont. En 1972, le peintre Marcel Saint-Pierre s'en porte acquéreur et la restaure entièrement. Connue comme la maison Desjardins. Décor verdoyant.Tirage photographique, n&b.

Il s'agit d'une maison de plan rectangulaire d'un éta ge et demi en moellons portant un toit à deux versants retroussés en tôle en baguettes percé de deux lucarnes à pignon. Une cheminée s'élève à chacune de ses extrémités. En façade, le rez-de-chaussée est percé de deux portes et de deux fenêtres disposées symétriquement.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose PATR_0765).
Maison située au 765 et 775, rue des Patriotes, Sainte-Rose.
C001/A2,06.149

Maison située au 765 et 775, rue des Patriotes, Sainte-Rose.
Vue rapprochée de la façade d'une maison, construite vers 1740 ou 1750, apparentée à la maison d'esprit français. Ce courant architectural naît en Nouvelle-France dès le 17e siècle avec l'établissement des premiers colons français qui importent de leur contrée natale leurs façons traditionnelles de construire. Il se prolonge un peu après l'arrivée des Britanniques à la fin du 18e siècle. Cette maison est l'une des plus vieilles de Sainte-Rose. Elle a d'abord appartenu à la famille Filiatrault puis a été habitée pendant 200 ans par la famille Desjardins. En 1936, elle est achetée par des Anglophones d'Outremont. En 1972, le peintre Marcel Saint-Pierre s'en porte acquéreur et la restaure entièrement. Connue comme la maison Desjardins. Décor verdoyant. 1980. Tirage photographique, n&b.

Il s'agit d'une maison de plan rectangulaire d'un étage et demi en moellons portant un toit à deux versants retroussés en tôle en baguettes percé de deux lucarnes à pignon. Une cheminée s'élève à chacune de ses extrémités. En façade, le rez-de-chaussée est percé de deux portes et de deux fenêtres disposées symétriquement.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose PATR_0765).
Maison située au 321, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.154

Maison située au 321, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Vue de la façade et du côté droit d'une maison construite entre 1757 et 1817 apparentée à la maison d'esprit français. Bien qu'une pierre de date sur la maison indique 1757, la première mention d'une maison en pierre sur cette terre se trouve dans un acte de donation du 28 septembre 1817 de Michel Desjardins à ses enfants. En 1731, Pierre Labelle fils entre en possession de la terre. Elle est ensuite vendue en 1745 à son frère, Claude Labelle, qui l'habite avec son épouse Marie-Anne Quéneville, pendant 30 ans. Celle-ci la revend en 1775, suite à la mort de son mari. En 1757, année de la pierre de date, c'est Claude Labelle qui possède la terre. La maison aurait été rénovée en 1922. Elle fut la demeure de Yves Allard. Décor hivernal. Tirage photographique, n&b.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Auteuil SROS_0321).
Maison située au 344, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.158

Maison située au 344, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Vue de la façade et du côté droit d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1900, qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Cette maison aurait été la demeure de monsieur Arthur Désormaux. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0344).
Maison située au 152 et 154, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.163

Maison située au 152 et 154, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Vue de la façade et du côté droit d'une maison traditionnelle québécoise, un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Cette maison aurait été construite entre 1750 et 1850. Elle est connue comme la maison Joly-Vaillancourt. Sur une affiche qui pend de l'avant-toit, on peut lire «It cirage - Cordonnerie A(?).Lanoue».

Le menuisier-charpentier Jean-Baptiste Joly, qui a réalisé le décor intérieur de l'église de Sainte-Rose, y réside à une période indéterminée. À partir de 1932, le cordonnier-sellier Cyrille Vaillancourt loge dans cette demeure. La partie est de la maison, avec sa vitrine commerciale et sa porte, abrite la boutique du cordonnier-sellier alors que la partie ouest sert de logement à la famille. À cette époque, plusieurs attelages de chevaux s'y arrêtaient pour des réparations puisque M. Vaillancourt était spécialisé dans le travail de sellier. Cyrille Vaillancourt y exerce son métier pendant plus de quarante ans. Par la suite, l'ancien apprenti, M. Lanoue, devient propriétaire de la boutique. Celle-ci est encore en activités à la fin des années 1970. En 2020, Doris Saint-Germain, comptable agréé, en est l'occupant. Décor estival. Tirage photographique, n&b.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0152).
Maison située au 174, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.164

Maison située au 174, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Vue de la façade d'une maison franco-québécoise, résultat de l'intégration de l'architecture néoclassique anglaise importée par les Britanniques à la fin du 18e siècle aux façons traditionnelles de construire en Nouvelle-France. Elle constitue un modèle de transition entre la maison d'esprit français et la maison traditionnelle québécoise. Cette résidence aurait été construite vers 1797. La firme Bougie Laframboise Avocats occupe le bâtiment depuis au moins 2009. Décor estival. La mention «D Léonard Montréal» apparaît sur la photographie. Date inconnue. Tirage photographique, n&b.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0174).

Voir aussi C001/A2,06.063.
Maison située au 625, boulevard des Mille-Îles, Auteuil.
C001/A2,06.173

Maison située au 625, boulevard des Mille-Îles, Auteuil.
Vue de la façade et du côté gauche d'une maison franco-québécoise, construite vers 1790, et représentative de l'intégration de l'architecture néoclassique anglaise importée par les Britanniques à la fin du 18e siècle aux façons traditionnelles de construire en Nouvelle-France. Ce type de résidence constitue un modèle de transition entre la maison d'esprit français et la maison traditionnelle québécoise. Cette maison, autrefois située sur le Chemin de la Grande-Côte (maintenant boul. des Mille-Îles), fut la résidence de René-S Bouvrette. Décor estival. 1956. Tirage photographique, n&b.

Il s'agit d'une maison de plan rectangulaire en moellons de un étage et demi portat un toit à deux versants droits en bardeaux d'asphalte. Le toit est doté et pourvu de deux larges cheminées placées aux extrémités. En façade, le rez-de-chaussée est percé d'une porte et de trois fenêtres auxquels fait écho sous les combles une lucarne continue. Le mur de gauche est percé d'une fenêtre au rez-de-chaussée et de deux autres à l'étage.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Auteuil MILI_0625).
Maison traditionnelle québécoise à Sainte-Rose.
C001/A2,06.180

Maison traditionnelle québécoise à Sainte-Rose.
Vue du côté gauche et de la façade d'une maison traditionnelle québécoise en moellons. Ici, la maison, située à l'ouest du village, est abandonnée. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b.
Maison Filiatrault-Latour située au 242, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
C001/A2,06.184

Maison Filiatrault-Latour située au 242, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose.
Vue d'ensemble de la façade d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1780-1790, représentative de la maison franco-québécoise, résultat de l'intégration de l'architecture néoclassique anglaise importée par les Britanniques à la fin du 18e siècle aux façons traditionnelles de construire en Nouvelle-France. Elle constitue ainsi un modèle de transition entre la maison d'esprit français et la maison traditionnelle québécoise. Cette maison est connue sous la dénomination Maison Filiatrault-Latour. Décor dépouillé. Date inconnue. Photographe: Yvon ouimet. Tirage photographique, n&b.

Notes: L'un de ses propriétaires à la fin du 18e siècle, Joseph Filiatrault, a donné le terrain pour construire la deuxième église de Sainte-Rose en 1788. Le conseil du village a siégé dans cette maison au milieu du 19e siècle ainsi que le premier secrétariat du village de Sainte-Rose en 1858. Le notaire Jean-Benjamin Latour en est ensuite propriétaire, puis son fils le notaire Jean-Paul Latour.

Informations tirées de la base de données patromoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose SROS_0242).
Maison autrefois située au 273, boulevard Lévesque, Pont-Viau.
C001/A2,07.001.1

Maison autrefois située au 273, boulevard Lévesque, Pont-Viau.
Vue de la façade d'une maison traditionnelle québécoise, aujourd'hui disparue. Décor dépouillé. date inconnue. Tirage photographique, n&b.
Maison autrefois située au 273, boulevard Lévesque, Pont-Viau.
C001/A2,07.001.2

Maison autrefois située au 273, boulevard Lévesque, Pont-Viau.
Vue du côté gauche et et la façade d'une maison traditionnelle québécoise, aujourd'hui disparue. Décor dépouillé. Date inconnue. Tirage photographique, n&b.
Maison autrefois située au 273, boulevard Lévesque, Pont-Viau.
C001/A2,07.001.3

Maison autrefois située au 273, boulevard Lévesque, Pont-Viau.
Vue du côté droit et de la façade d'une maison traditionnelle québécoise, aujourd'hui disparue. Décor dépouillé. Date inconnue. Tirage photographique, n&b.
Maison autrefois située au 273, boulevard Lévesque, Pont-Viau.
C001/A2,07.001.4

Maison autrefois située au 273, boulevard Lévesque, Pont-Viau.
Vue de la façade d'une maison traditionnelle québécoise, aujourd'hui disparue. Décor dépouillé. Date inconnue. Tirage photographique, n&b.
Maison autrefois située au 235, boulevard Saint-Elzéar Ouest, Vimont.
C001/A2,10.026

Maison autrefois située au 235, boulevard Saint-Elzéar Ouest, Vimont.
Vue d'ensemble du côté gauche d'une maison québécoise traditionnelle en moellons, aujourd'hui démolie. Décor verdoyant. [Années 1970]. Tirage photographique, n&b.
Maison située au 205, boulevard Saint-Elzéar Ouest, Vimont.
C001/A2,10.031

Maison située au 205, boulevard Saint-Elzéar Ouest, Vimont.
Vue de la façade et du côté droit d'une maison québécoise traditionnelle en moellons et de son textension. Décor verdoyant. Date inconnue. Tirage photographique, n&b.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Vimont SELO_0205).
Maison située au 205, boulevard Saint-Elzéar Ouest, Vimont.
C001/A2,10.032

Maison située au 205, boulevard Saint-Elzéar Ouest, Vimont.
Vue de la façade d'une maison québécoise traditionnelle en moellons et de son textension. Décor verdoyant. Date inconnue. Tirage photographique, n&b.

Informations en partie tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Vimont SELO_0205).
Maison située au 205 boulevard Saint-Elzéar ouest.
C001/A2,10.033

Maison située au 205 boulevard Saint-Elzéar ouest.
Vue de la façade et de l'extension prenant l'apparence d'une petite maison québécoise traditionnelle en planche à clins. On distingue la façade de la maison québécoise en pierre qu'elle jouxte sur la gauche. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b.
Maison située au 205 boulevard Saint-Elzéar ouest.
C001/A2,10.034

Maison située au 205 boulevard Saint-Elzéar ouest.
Vue de la façade et du mur gauche d'une maison québécoise traditionnelle en pierre et d'une partie de l'extension aujourd'hui disparue qui la jouxtait sur la gauche. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b.
Maison située au 235 boulevard Saint-Elzéar ouest.
C001/A2,10.035

Maison située au 235 boulevard Saint-Elzéar ouest.
Vue d'ensemble du côté gauche d'une maison québécoise traditionnelle en moellons, aujourd'hui démolie. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b.
Maison autrefois située au 235, boulevard Saint-Elzéar Ouest, Vimont.
C001/A2,10.036.1

Maison autrefois située au 235, boulevard Saint-Elzéar Ouest, Vimont.
Vue d'ensemble du côté droit d'une maison québécoise traditionnelle en moellons, aujourd'hui démolie. Décor verdoyant. [Années 1970]. Tirage photographique, n&b.
Maison autrefois située au 235, boulevard Saint-Elzéar Ouest, Vimont.
C001/A2,10.036.3

Maison autrefois située au 235, boulevard Saint-Elzéar Ouest, Vimont.
Vue du côté droit d'une maison québécoise traditionnelle en moellons, aujourd'hui démolie. Décor verdoyant. [Années 1970]. Tirage photographique, n&b.
Maison autrefois située au 235, boulevard Saint-Elzéar Ouest, Vimont.
C001/A2,10.036.4

Maison autrefois située au 235, boulevard Saint-Elzéar Ouest, Vimont.
Vue d'ensemble du côté gauche d'une maison québécoise traditionnelle en moellons, aujourd'hui démolie. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b.
Maison québécoise traditionnelle.
C001/A2,10.036.5

Maison québécoise traditionnelle.
Vue de du coin extérieur formé par la façade et le côté droit d'une maison québécoise traditionnelle en moellons. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b.
Maison québécoise traditionnelle
C001/A2,10.036.6

Maison québécoise traditionnelle
Vue rapprochée de la trappe menant à la cave d'une maison québécoise traditionnelle en moellons. Décor verdoyant. Tirage photographique n&b.
Maison autrefois située au 1149 boulevard Saint-Elzéar ouest.
C001/A2,10.042

Maison autrefois située au 1149 boulevard Saint-Elzéar ouest.
Vue d'ensemble d'une maison traditionnelle québécoise en pierre. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b.
Maison autrefois située au 2155, boulevard Saint-Elzéar Ouest, Chomedey.
C001/A2,10.043.1

Maison autrefois située au 2155, boulevard Saint-Elzéar Ouest, Chomedey.
Vue d'ensemble de la façade et du mur gauche d'une maison de pierre québécoise traditionnelle, abandonnée et aujourd'hui disparue. On aperçoit, en arrière-plan, des bâtiments de ferme. Décor estival. Tirage photographique, n&b.
Maison située au 2801, boulevard Saint-Elzéar, Chomedey.
C001/A2,10.044

Maison située au 2801, boulevard Saint-Elzéar, Chomedey.
Vue d'ensemble d'une maison à mansarde avec extension, un style très en vogue en milieu rural au Québec entre 1875 et 1920. Décor estival. Tirage photographique, n&b.
Maison située au 4304, boulevard Saint-Martin, Chomedey.
C001/A2,10.079

Maison située au 4304, boulevard Saint-Martin, Chomedey.
Vue d'ensemble d'une maison canadienne. Décor hivernal. Tirage photographique: n&b.
Maison autrefois située au 1435 et 1437, boulevard Saint-Martin, Chomedey.
C001/A2,10.080

Maison autrefois située au 1435 et 1437, boulevard Saint-Martin, Chomedey.
Vue d'ensemble d'une maison québécoise traditionnelle avec extension. Cette maison fut démolie en 1975. Décor hivernal. Années 1970. Tirage photographique, coul.
Maison autrefois située sur le boulevard Saint-Martin, Chomedey
C001/A2,10.083

Maison autrefois située sur le boulevard Saint-Martin, Chomedey
Vue du côté gauche et de la façade d'une maison traditionnelle québécoise en moellons, aujourd'hui disparue. Elle aurait été située au 4124 ou 4132 boulevard Saint-Martin. [Années 1950]. Décor hivernal. Tirage photographique, n&b.
Maison autrefois située sur le boulevard Saint-Martin, Chomedey.
C001/A2,10.084

Maison autrefois située sur le boulevard Saint-Martin, Chomedey.
Vue du côté gauche et de la façade d'une maison traditionnelle québécoise en moellons, aujourd'hui disparue. Elle aurait été située au 4124 ou 4132 boulevard Saint-Martin. [Années 1950]. Décor hivernal. Tirage photographique, n&b.
Maison Waxman, Sainte-Dorothée.
C001/A2,11.01

Maison Waxman, Sainte-Dorothée.
Vue éloignée d'une maison traditionnelle quécoise connue comme la Maison Waxman. En avant-plan, la rivière des Prairies. Décor automnal. Tirage photographique, coul.
Maison Waxman, Sainte-Dorothée.
C001/A2,11.02

Maison Waxman, Sainte-Dorothée.
Vue éloignée d'une maison traditionnelle quécoise connue comme la Maison Waxman. En avant-plan, la rivière des Prairies. Décor hivernal. Tirage photographique, coul.
Maison autrefois située au 673, rang Saint-Antoine, Sainte-Dorothée.
C001/A2,11.03

Maison autrefois située au 673, rang Saint-Antoine, Sainte-Dorothée.
Vue d'ensemble de la façade et du côté droit d'une maison à toit mansardé à deux versants, un style en vogue de 1880 à 1920. Sur la gauche, on distingue un bâtiment de ferme. Cette maison a aujoud'hui disparue. Décor hivernal. Années 1920-1921. Tirage photographique, n&b.
Maison située au 844, rue Saint-François-Xavier, Terrebonne.
C001/A2,14.01

Maison située au 844, rue Saint-François-Xavier, Terrebonne.
Vue d'ensemble des restes calcinés d'une maison traditionnelle québécoise, construite à l'été 1760 par Jacques Perras. Il s'agit d'une maison d'un étage et demi, en moellons, dont on distingue encore la façade du rez-de-chausée et le mur droit. Les murs sont recouvert d'un crépi à motif de pierre de taille en façade et sommaire sur le côté. Les deux cheminées sont intégrées aux murs latéraux encore visibles qui supportaient un toit à deux versants droits. Le rez-de-chaussée était percé de quatre fenêtres, la face latérale de deux à chaque étage. L'entrée est situé dans un renfoncement de l'angle gauche du bâtiment. Porte et fenêtres sont placardées, un conteneur bleu est placé le long de la façade, et un cordon jaune et des barricades limitent l'accès au bâtiment. Connue comme la maison Jacques Perras. 4 février 1999. Décor hivernal. Tirage photographique, coul.

Dans ses premières heures, cette maison servie de caserne au régiment de La Sarre, alors cantonné à Terrebonne. Elle appartenait notamment aux deux premiers députés du comté, Joseph-Hubert Lacroix et Jacob Jordan (seigneur de Terrebonne et Lachenaie). Les contemporains de Terrebonne la désignent sous le nom de la maison Bélisle, propriété de cette famille de forgerons au 20e siècle. Depuis, l'endroit avait été vendu à un tiers. En février 1999, un incendie ravageait la maison, abandonnée. Elle fut ensuite rachetée et rénovée par une corporation municipale, et est maintenant la Maison de Pays de Lanaudière qui offre des produits et de l'artisanat de la région.

Une partie des informations est tirée de : http://www.shrt.qc.ca/documents/terrebonnetournee.pdf
Maison située au 844, rue Saint-François-Xavier, Terrebonne.
C001/A2,14.02

Maison située au 844, rue Saint-François-Xavier, Terrebonne.
Vue d'ensemble des restes calcinés d'une maison traditionnelle québécoise, construite à l'été 1760 par Jacques Perras. Il s'agit d'une maison d'un étage et demi, en moellons, dont on distingue encore la façade arrière du rez-de-chausée recouverte d'un crépi, les deux cheminées intégrées aux murs latéraux encore visibles qui supportaient un toit à deux versants droits. Cette façade de maison de plan rectangulaire, possédait au rez-de-chaussée, trois fenêtres et deux portes dont l'une légèrement surélevée. Portes et fenêtres sont placardées et des débris jonchent le sol. Connue comme la maison Jacques Perras. 4 février 1999. Décor hivernal. Tirage photographique, coul.

Dans ses premières heures, cette maison servie de caserne au régiment de La Sarre, alors cantonné à Terrebonne. Elle appartenait notamment aux deux premiers députés du comté, Joseph-Hubert Lacroix et Jacob Jordan (seigneur de Terrebonne et Lachenaie). Les contemporains de Terrebonne la désignent sous le nom de la maison Bélisle, propriété de cette famille de forgerons au 20e siècle. Depuis, l'endroit avait été vendu à un tiers. En février 1999, un incendie ravageait la maison, abandonnée. Elle fut ensuite rachetée et rénovée par une corporation municipale, et est maintenant la Maison de Pays de Lanaudière qui offre des produits et de l'artisanat de la région.

Une partie des informations est tirée de : http://www.shrt.qc.ca/documents/terrebonnetournee.pdf
Maison située au 844, rue Saint-François-Xavier, Terrebonne.
C001/A2,14.03

Maison située au 844, rue Saint-François-Xavier, Terrebonne.
Vue d'ensemble des restes calcinés d'une maison traditionnelle québécoise, construite à l'été 1760 par Jacques Perras. Il s'agit d'une maison d'un étage et demi, en moellons, dont on distingue encore la façade du rez-de-chausée et le mur droit. Les murs sont recouvert d'un crépi à motif de pierre de taille en façade et sommaire sur le côté. Les deux cheminées sont intégrées aux murs latéraux encore visibles qui supportaient un toit à deux versants droits. Le rez-de-chaussée était percé de quatre fenêtres, la face latérale de deux à chaque étage. L'entrée est situé dans un renfoncement de l'angle gauche du bâtiment. Porte et fenêtres sont placardées, un conteneur bleu est placé le long de la façade, et un cordon jaune et des barricades limitent l'accès au bâtiment. Connue comme la maison Jacques Perras. 4 février 1999. Décor hivernal. Tirage photographique, coul.

Dans ses premières heures, cette maison servie de caserne au régiment de La Sarre, alors cantonné à Terrebonne. Elle appartenait notamment aux deux premiers députés du comté, Joseph-Hubert Lacroix et Jacob Jordan (seigneur de Terrebonne et Lachenaie). Les contemporains de Terrebonne la désignent sous le nom de la maison Bélisle, propriété de cette famille de forgerons au 20e siècle. Depuis, l'endroit avait été vendu à un tiers. En février 1999, un incendie ravageait la maison, abandonnée. Elle fut ensuite rachetée et rénovée par une corporation municipale, et est maintenant la Maison de Pays de Lanaudière qui offre des produits et de l'artisanat de la région.

Une partie des informations est tirée de : http://www.shrt.qc.ca/documents/terrebonnetournee.pdf
Maison située au 844, rue Saint-François-Xavier, Terrebonne.
C001/A2,14.04

Maison située au 844, rue Saint-François-Xavier, Terrebonne.
Vue d'ensemble des restes calcinés d'une maison traditionnelle québécoise, construite à l'été 1760 par Jacques Perras. Il s'agit d'une maison d'un étage et demi, en moellons, dont on distingue encore la façade du rez-de-chausée et le mur droit. Les murs sont recouvert d'un crépi à motif de pierre de taille en façade et sommaire sur le côté. Les deux cheminées sont intégrées aux murs latéraux encore visibles qui supportaient un toit à deux versants droits. Le rez-de-chaussée était percé de quatre fenêtres, la face latérale de deux à chaque étage. Porte et fenêtres sont placardées, un conteneur bleu est placé le long de la façade, et un cordon jaune et des barricades limitent l'accès au bâtiment. Connue comme la maison Jacques Perras. 4 février 1999. Décor hivernal. Tirage photographique, coul.

Dans ses premières heures, cette maison servie de caserne au régiment de La Sarre, alors cantonné à Terrebonne. Elle appartenait notamment aux deux premiers députés du comté, Joseph-Hubert Lacroix et Jacob Jordan (seigneur de Terrebonne et Lachenaie). Les contemporains de Terrebonne la désignent sous le nom de la maison Bélisle, propriété de cette famille de forgerons au 20e siècle. Depuis, l'endroit avait été vendu à un tiers. En février 1999, un incendie ravageait la maison, abandonnée. Elle fut ensuite rachetée et rénovée par une corporation municipale, et est maintenant la Maison de Pays de Lanaudière qui offre des produits et de l'artisanat de la région.

Une partie des informations est tirée de : http://www.shrt.qc.ca/documents/terrebonnetournee.pdf
Maison Cazal située au 4765 boulevard Gouin Est, Montréal.
C001/A2,14.06

Maison Cazal située au 4765 boulevard Gouin Est, Montréal.
Vue du côté gauche et de la façade d'une maison de pierre canadienne construite vers 1755. mur du côté gauche. Décor dépouillé. 21 mars 2000. Titage photographique, coul.
Maison Brignon-dit-Lapierre située au 4251, boulevard Gouin Est, Montréal.
C001/A2,14.07

Maison Brignon-dit-Lapierre située au 4251, boulevard Gouin Est, Montréal.
Vue d'ensemble de la façade d'une maison de plan rectangulaire en pierre de taille d'un étage et demi portant un toit à deux versants droits en bardeaux d'asphalte percé de quatre fenêtres abritées par un toit en appentis. Des cheminées doubles, bâties à même les murs, sont placées à chaque extrémité. En façade, le rez-de-chaussée est percé de deux portes et de deux fenêtres disposées en mirroir. Une extension en moellons d'un étage jouxte le mur de droite. Cette maison située à Montréal-Nord a été classée «monument historique» par la ville de Montréal en 2007 et a été habitée par le maçon Pierre Guilbault. La maison fut construite en 1770. Des travaux de restauration ont été faits de 2009 à 2011. Décor hivernal. Tirage photographique, coul.
Maison située au 4005, boulevard Gouin Est, Montréal.
C001/A2,14.08

Maison située au 4005, boulevard Gouin Est, Montréal.
Vue partielle de la façade et du côté gauche d'une maison traditionnelle québécoise. Décor dépouillé. 21 mars 2000. Tirage photographique, n&b.
Maison traditionnelle québécoise
C001/A2,15.13

Maison traditionnelle québécoise
Vue de la façade et du côté droit d'une maison traditionnelle québécoise en moellons. Adresse inconnue. Décor verdoyant. Tirage photographique, n&b.
Maison autrefois située au 5500, boulevard Lévesque Est, Saint-Vincent de-Paul.
P080/A1.031

Maison autrefois située au 5500, boulevard Lévesque Est, Saint-Vincent de-Paul.
Cette habitation est l'ancienne maison «Chenet», qui aurait été érigée en 1792 par Esprit-Zéphirin Chenet, curé de la paroisse Saint-Vincent-de-Paul de 1790 à 1801. En 1815, elle est achetée par le sculpteur René Saint-James, qui la cède à Joseph Pépin. En 1842, elle devient la propriété de Césaire Germain, notaire. Le Capitaine Joseph-Damase Chartrand, dit Chartrand des Écores, la vend au gouvernement fédéral en 1897, qui en fera la résidence de l'aumônier du pénitencier. La résidence sera démolie en 1967 pour faire place au Canada Collège du personnel qui sert à la formation des employés du pénitencier. Décor verdoyant. Photographe : O. Allard, 1557, Mont-Royal, Montréal. Date inconnue. Carte postale: sépia.
L'église de Saint-Vincent-de-Paul vers 1915.
P080/A1.034

L'église de Saint-Vincent-de-Paul vers 1915.
Vue de l'église du village de Saint-Vincent-de-Paul. Décor estival. Vers 1915. Carte postale; n&b.
Maison autrefois située au 5500, boulevard Lévesque Est, Saint-Vincent-de-Paul.
P080/A1.189

Maison autrefois située au 5500, boulevard Lévesque Est, Saint-Vincent-de-Paul.
Cette habitation, ici vers 1900, est l'ancienne maison «Chenet», qui aurait été érigée en 1792 par Esprit-Zéphirin Chenet, curé de la paroisse Saint-Vincent-de-Paul de 1790 à 1801. En 1815, elle est achetée par le sculpteur René Saint-James, qui la cède à Joseph Pépin. En 1842, elle devient la propriété de Césaire Germain, notaire. Le capitaine Joseph-Damase Chartrand, dit Chartrand des Écores, la vend au gouvernement fédéral en1897, qui en fera la résidence de l'aumônier du pénitencier. Elle sera également la résidence de M. Wilson, comme l'indique l'inscription sur la carte postale. La résidence sera démolie en 1967 pour faire place au Canada Collège du personnel qui sert à la formation des employés du pénitencier. Décor verdoyant. Date inconnue. Tirée de «Vues de St-Vincent-de-Paul». Carte postale (tirage photographique-copie): n&b.
Maison autrefois située au 5500, boulevard Lévesque Est, Saint-Vincent-de-Paul.
P080/A1.190

Maison autrefois située au 5500, boulevard Lévesque Est, Saint-Vincent-de-Paul.
Cette habitation, ici vers 1900, est l'ancienne maison «Chenet», qui aurait été érigée en 1792 par Esprit-Zéphirin Chenet, curé de la paroisse Saint-Vincent-de-Paul de 1790 à 1801. En 1815, elle est achetée par le sculpteur René Saint-James, qui la cède à Joseph Pépin. En 1842, elle devient la propriété de Césaire Germain, notaire. Le capitaine Joseph-Damase Chartrand, dit Chartrand des Écores, la vend au gouvernement fédéral en1897, qui en fera la résidence de l'aumônier du pénitencier. Elle sera également la résidence de M. Wilson, comme l'indique l'inscription sur la carte postale. La résidence, située au 5500, boulevard Lévesque Est, sera démolie en 1967 pour faire place au Canada Collège du personnel qui sert à la formation des employés du pénitencier. Décor verdoyant. Date inconnue. Tirage photographique (copie): n&b.

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