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C001/A2,06.172 Maisons situées au 202, 204, 208, 213, 214, 218, 233, 235, 237-239 et 241, boulevard Sainte-Rose, Sainte-Rose. 202, boul. Sainte-Rose : Deux vues d'ensemble d'une maison en pierre de taille, construite vers 1816, représentative du courant néoclassique issu de l'architecture britannique au 19e siècle Cette demeure hébergea Pascal-Adélard Longpré, maire de 1918 à 1936, puis Joseph «Jos» Ouimet, également maire de Sainte-Rose (1936-1950). Au début du XXe siècle, la maison sert entre autres de local pour la Banque Provinciale (1913), puis pour la Caisse populaire de Sainte-Rose de 1959 à 1961. Elle fut ensuite occupée par le Dr. Michel Roy, optométriste (1942-2019) et héberge maintenant la Clinique Visuelle Sainte-Rose. Décor estival. Années 1970. Négatifs # 3 et 4. 204, boul. Sainte-Rose : Vue d'ensemble d'une maison, construite vers 1900, représentative du style vernaculaire américain, plus particulièrement du modèle avec un plan en L qui est le résultat d'un croisement avec le courant dit «pittoresque». Ce type de maison est également doté d'une galerie couverte et d'une plus grande surface habitable. Connue comme la maison Lambert. Décor estival. Années 1970. Négatif # 2. 208, boul. Sainte-Rose : Vue de la façade et du côté droit d'une maison traditionnelle québécoise, construite, peut-être vers 1830, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Une affiche au contenu illisible est accrochée près de la porte. Cette maison a accueilli le bureau d'enregistrement des municipalités de l'île Jésus, aménagé dans la résidence du notaire F.-X. Léonard (section avec la toiture à deux versants). En 1961, la Caisse Populaire de Sainte-Rose en quête de plus grands locaux déménage dans la bâtisse. Cette maison fut également la demeure de la famille Jean Drapeau. Depuis 2009, ou avant, la bâtisse est occupée par une étude de notaires. Décor estival. Années 1970. Négatif # 1. 211 et 213, boul. Sainte-Rose : Vue en enfilade de l'ancienne Académie Sainte-Rose ou ancien collège des Frères de Saint-Gabriel qui viennent s'y installer vers 1910-1911 aussitôt que la construction de l'édifice se termine. Cet ancien collège est représentatif du courant Beaux-Arts, tendance fort prisée dans l'architecture commerciale et institutionnelle des premières décennies du 20e siècle. Le bâtiment est agrandi en 1935 selon les plans de la firme d'architectes Gascon & Parant, puis en 1958 pour dispenser le cours secondaire jusqu'à la onzième année. L'établissement est connu sous plusieurs désignations : le collège Sainte-Rose, l'Académie Sainte-Rose, l'école Latour et l'école Villemaire en 1958, en l'honneur de J.-Fernando Villemaire, président de la commission scolaire de 1949 à 1964. Depuis l'ouverture de l'école secondaire Curé-Antoine-Labelle en 1963, l'école Villemaire ne dispense que le cours primaire. Décor estival. Années 1970. Négatif # 6. 214, boul. Sainte-Rose : Vue d'ensemble de l'arrière d'une bâtisse de style second Empire ayant subie de nombreuses alérations. Cette bâtisse constitue la première école du village de Sainte-Rose. Depuis sa fermeture en 1910, le bâtiment a logé plusieurs fonctions dont une centrale téléphonique, un bureau de poste, un poste de police et d'incendie et un hôtel de ville. Après 1949, la mairie de Sainte-Rose s'installe à l'étage. Durant cette période, on procède à des rénovations qui rendent méconnaissable le bâtiment. Le toit mansardé, les lucarnes et le clocheton disparaissent au profit d'un toit plat. Des travaux effectués en 1986 redonnent au bâtiment son allure de 1901. Décor estival. Années 1970. Négatif # 5. 218, boul. Sainte-Rose : Deux vues d'une maison traditionnelle québécoise, construite en 1859, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Cette maison est l'ancienne demeure du bedeau qui a été construite en 1859 avec la pierre et le bois réutilisés suite à la démolition de la deuxième église construite en 1788 et démantelée dans les années 1850 avec l'édification du lieu de culte actuel. Depuis 1840, la maison du bedeau était située à l'ouest de l'église, sur le terrain actuel de l'ancien couvent des Soeurs de Sainte-Croix. En mauvais état, cette maison est remplacée par une nouvelle demeure en 1859, toujours pour loger le bedeau de la paroisse et sa famille. De 1952 à 1956, la Caisse Desjardins y loue une pièce et y ouvre un comptoir. À partir de 1960, plusieurs commerces s'y succèdent. Depuis 1985, le bâtiment a uniquement une fonction commerciale (Boutique Coiffure Christine, Le Berlingot - Bar laitier). Décor estival. Années 1970. Négatifs # 7 et 8. 233, boul. Sainte-Rose : Vue d'ensemble de l'ancien couvent de Sainte-Rose, construit en 1875-1876 selon les plans de l'architecte Victor Bourgeau, et représentatif du style Second Empire, un courant architectural fort prisé entre le milieu et la fin du 19e siècle par l'élite religieuse et bourgeoise canadienne-française dans la construction de bâtiments institutionnels et de résidences opulentes. Le couvent est dirigé par les Soeurs de Sainte-Croix qui viennent s'installer à Sainte-Rose pour prendre en charge l'éducation des jeunes filles. La pierre de maçonnerie provient des carrières de l'entrepreneur Félix Labelle. Le portail de la façade a été modifié au début des années 1900. Avec l'augmentation du nombre d'étudiantes, le couvent est agrandi en 1912. Cet agrandissement est effectué selon les plans de l'architecte Joseph Sawer et l'entrepreneur est Félix Labelle. L'espace du couvent s'en trouve ainsi doublé. Un autre agrandissement est réalisé en 1947. Le couvent est également connu sous le nom de Pensionnat Saint-Charles et dispense l'enseignement aux jeunes filles et à tous les enfants du niveau de la maternelle (jardin de l'enfance). Il sert d'école pour filles, de pensionnat et d'externat jusqu'en 1976. L'établissement servira de maison d'accueil pour les religieuses retraitées avant d'être utilisé à des fins commerciale. Décor estival. Années 1970. Négatif # 9. 235, boul. Sainte-Rose : Vue d'ensemble d'une maison traditionnelle québécoise, construite vers 1865, dans un style qui domine le paysage bâti des campagnes et des villages québécois pendant la majeure partie du 19e siècle. Elle aurait été la résidence du docteur Avila Desrochers, dont la construction lui a été attribuée, ainsi que de monsieur Michel Roy. Ici, après avoir subie des modifications. Décor estival. Années 1970. Négatif # 10. 237 et 239, boul. Sainte-Rose : Vue d'ensemble d'une maison cubique à deux étages, située à l'intersection du boulevard Sainte-Rose et de la rue Cantin. Décor estival. Années 1970. Négatif # 11. 241, boul. Sainte-Rose : Vue d'ensemble d'une maison cubique à deux étages, située à l'intersection du boulevard Sainte-Rose et de la rue Cantin. En devanture, une afffiche sur laquelle on peut lire «Épicerrie Charbonneau». Décor estival. Années 1970. Négatif # 12. Planche-contact (12 négatifs numérotés de 1 à 12), n&b. Informations tirées de la base de données patrimoniales de la ville de Laval (Inventaire-Sainte-Rose (SROS_0208, SROS_0202, SROS_0204, SROS_0211, SROS_0214, SROS_0218, SROS_0233, SROS_0235) Sainte-Rose, Laval, architecture, finance, économie, éducation, religion, 19e siècle, 20e siècle. Fonds C001 |
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